Voir la source de Mouvement du 1er mars

== Mouvement d'indépendance ==
Deux jours avant l'enterrement de Kojong, une déclaration d'indépendance a été lue dans le parc de la Pagode, à [[Séoul]]. Les écoles et les universités furent fermées. Une jeune femme de quinze ans, [[Yu Gwan-sun]], prit la tête des manifestations. Arrêtée et torturée, elle mourut en prison en [[1920]], devenant un symbole de la résistance coréenne.

La répression aurait causé {{nombre|7000|morts}} et {{formatnum:40000}} arrestations<ref name=":0">{{Ouvrage|auteur=Léon C. Rochotte|titre=Koryo, Corée, 5.000 ans d'histoire en raccourci…|année=1996|présentation en ligne=http://assoc.orange.fr/france-coree/billet/billet_43.htm}}</ref>.

D'autres futures personnalités coréennes, comme le cinéaste [[Na Un-gyu]], participèrent également au mouvement du {{date-|1 mars 1919}}. La biographie du président nord-coréen [[Kim Il-sung]] souligne que le mouvement du {{ date- |1 mars 1919}} l'a pour la première fois sensibilisé à la cause de l'indépendance de la Corée<ref name=":1">{{Lien web|titre=Kim Il Sung : un homme marquant du {{s-|XX}}|url=http://www.korea-is-one.org/article.php3?id_article=143|éditeur=Korea is One|consulté le=31/01/2007}}</ref>.

Le cinéma de résistance est apparu après le mouvement du {{ date- |1 | mars |1919- }}<ref name="Philippe Pons État-guérilla p280">{{Ouvrage| langue = fr| auteur1 = Philippe Pons| titre = Corée du Nord, un État-guérilla en mutation| sous-titre = | éditeur = Gallimard | collection = La Suite des temps| lieu = | mois = 04| année = 2016| volume = | tome = | pages totales = 720| passage = page 280| isbn = 9782070142491| lire en ligne = | id = }}</ref>.