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Ce site est contrôlé par la société Luxview, créée en 2009 par Marc Adamowicz à [[Paris]] et détenue depuis 2013 par la société [[Home Shopping Service]], filiale du groupe Métropole Télévision ([[Groupe M6]]). |
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Il propose du « discount sur Internet » dans un secteur optique jusqu’alors protégé par une législation stricte et des habitudes de consommation traditionnelles, il propose aux consommateurs d’essayer leurs lunettes par Internet via un programme utilisant la photo du consommateur ou tout simplement par courrier en recevant plusieurs montures à essayer à domicile<ref>{{lien web| |
Il propose du « discount sur Internet » dans un secteur optique jusqu’alors protégé par une législation stricte et des habitudes de consommation traditionnelles, il propose aux consommateurs d’essayer leurs lunettes par Internet via un programme utilisant la photo du consommateur ou tout simplement par courrier en recevant plusieurs montures à essayer à domicile<ref>{{lien web|url=http://www.e-marketing.fr/Marketing-Magazine/Article/La-SANTE-le-nouveau-LUXE-des-Fran-ais-43707-1.htm|titre=La santé, le nouveau luxe des français|éditeur=E-Marketing.fr, numéro 159|date = {{date|1|juin|2012}}|consulté le = 31 janvier 2015}}</ref>. |
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Happyview évolue dans un secteur dynamique qui sert plus de 40 millions de consommateurs porteurs de lunettes ou de [[Lentilles de contact|lentilles]] en France. Le secteur de l’optique traditionnelle a progressivement décidé dans les années 2010-2011 de se tourner vers Internet<ref>Source: Enjeux Les Échos, numéro du 1er septembre 2011, page vue le 29 janvier 2015, [http://archives.lesechos.fr/archives/2011/Enjeux/282-35-ENJ.htm « Des Lunettes bien Net »]</ref>. |
Happyview évolue dans un secteur dynamique qui sert plus de 40 millions de consommateurs porteurs de lunettes ou de [[Lentilles de contact|lentilles]] en France. Le secteur de l’optique traditionnelle a progressivement décidé dans les années 2010-2011 de se tourner vers Internet<ref>Source: Enjeux Les Échos, numéro du 1er septembre 2011, page vue le 29 janvier 2015, [http://archives.lesechos.fr/archives/2011/Enjeux/282-35-ENJ.htm « Des Lunettes bien Net »]</ref>. |
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==Contexte historique== |
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Début 2009, Marc Adamowicz a créé le premier site en [[France]] de vente de produits d’optique, agréé par la [[sécurité sociale]] en bouleversant à l’époque le marché français de l’optique<ref>Source: Magazine L’Express, page vue le 29 janvier 2015, [http://lentreprise.lexpress.fr/marketing-vente/ebusiness/vente-de-lunettes-en-ligne-l-optique-a-prix-casses_1525558.html « Vente de lunettes en ligne – l’optique à prix cassés »]</ref>. À l’époque, la plupart des professionnels opticiens et fabricants de lunettes pensait que la vente de [[lunettes de vue]] par [[Internet]] était interdite<ref>Source: Magazine Challenge, numéro du 5 décembre 2009, page vue le 29 janvier 2015, [http://www.challenges.fr/recherche/?q=happyview&referer=challenges « La révélation : l’opticien qui veut convertir au low cost »]</ref>. Ils ne savaient pas qu’il était techniquement possible de vendre à distance, tout en respectant la [[prescription médicale]] et en obtenant les mesures morphologiques nécessaires pour fabriquer des lunettes. Pourtant, dès 2009, beaucoup d’autres secteurs industriels et commerciaux distribuaient déjà leurs produits et leurs services sur Internet. Et les lunettes de vue se vendaient aux [[États-Unis]] depuis fort longtemps sur Internet. Le marché français de l’optique était, lui, quasiment vierge. Seules quelques sociétés étrangères vendaient en France des [[lentilles de contact]] mais pas de lunettes. Happyview a proposé un modèle innovant : offrir un produit de santé par Internet et le vendre à un tarif très compétitif, dont le prix des verres ne dépendait pas de la correction du porteur. Ce n’était pas la pratique commerciale dans les magasins des opticiens en France à l’époque. |
Début 2009, Marc Adamowicz a créé le premier site en [[France]] de vente de produits d’optique, agréé par la [[sécurité sociale]] en bouleversant à l’époque le marché français de l’optique<ref>Source: Magazine L’Express, page vue le 29 janvier 2015, [http://lentreprise.lexpress.fr/marketing-vente/ebusiness/vente-de-lunettes-en-ligne-l-optique-a-prix-casses_1525558.html « Vente de lunettes en ligne – l’optique à prix cassés »]</ref>. À l’époque, la plupart des professionnels opticiens et fabricants de lunettes pensait que la vente de [[lunettes de vue]] par [[Internet]] était interdite<ref>Source: Magazine Challenge, numéro du 5 décembre 2009, page vue le 29 janvier 2015, [http://www.challenges.fr/recherche/?q=happyview&referer=challenges « La révélation : l’opticien qui veut convertir au low cost »]</ref>. Ils ne savaient pas qu’il était techniquement possible de vendre à distance, tout en respectant la [[prescription médicale]] et en obtenant les mesures morphologiques nécessaires pour fabriquer des lunettes. Pourtant, dès 2009, beaucoup d’autres secteurs industriels et commerciaux distribuaient déjà leurs produits et leurs services sur Internet. Et les lunettes de vue se vendaient aux [[États-Unis]] depuis fort longtemps sur Internet. Le marché français de l’optique était, lui, quasiment vierge. Seules quelques sociétés étrangères vendaient en France des [[lentilles de contact]] mais pas de lunettes. Happyview a proposé un modèle innovant : offrir un produit de santé par Internet et le vendre à un tarif très compétitif, dont le prix des verres ne dépendait pas de la correction du porteur. Ce n’était pas la pratique commerciale dans les magasins des opticiens en France à l’époque. |
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Happyview est membre du Syndicat National des Opticiens sur Internet, contribuant ainsi au développement significatif et global du secteur de la vente d’optique en ligne<ref>Source: Enjeux Les Échos, numéro du 1er septembre 2011, page vue le 29 janvier 2015, [http://archives.lesechos.fr/archives/2011/Enjeux/282-35-ENJ.htm « Des Lunettes bien Net »]</ref>. |
Happyview est membre du Syndicat National des Opticiens sur Internet, contribuant ainsi au développement significatif et global du secteur de la vente d’optique en ligne<ref>Source: Enjeux Les Échos, numéro du 1er septembre 2011, page vue le 29 janvier 2015, [http://archives.lesechos.fr/archives/2011/Enjeux/282-35-ENJ.htm « Des Lunettes bien Net »]</ref>. |
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==Développements récents et évolution== |
== Développements récents et évolution == |
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En 2012, afin d’élargir son offre, Happyview a fait l’acquisition de Malentille.com, l’un des principaux vendeurs sur Internet de [[lentilles de contact]] et de produits d’entretien<ref>Source: Journal Du Net, numéro du 17 octobre 2012, page vue le 30 janvier 2015, [http://www.journaldunet.com/ebusiness/commerce/happyview-acquiert-malentille-1012.shtml « Optique en ligne : Happyview rachète Malentille.com »]</ref>. |
En 2012, afin d’élargir son offre, Happyview a fait l’acquisition de Malentille.com, l’un des principaux vendeurs sur Internet de [[lentilles de contact]] et de produits d’entretien<ref>Source: Journal Du Net, numéro du 17 octobre 2012, page vue le 30 janvier 2015, [http://www.journaldunet.com/ebusiness/commerce/happyview-acquiert-malentille-1012.shtml « Optique en ligne : Happyview rachète Malentille.com »]</ref>. |
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Version du 4 février 2015 à 22:57
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| Happyview | |
| Création | 2009 |
|---|---|
| Dates clés | 2012 : acquisition de Malentille ; 2013 : cession à Home Shopping Service |
| Forme juridique | Société par Actions Simplifiée |
| Siège social | Rungis France
|
| Direction | Marc Adamowicz |
| Activité | Opticien |
| Produits | Lunettes, lentilles |
| Société mère | Home Shopping Service |
| Filiales | Optilens |
| Site web | www.happyview.fr et www.malentille.com |
| modifier - modifier le code - voir Wikidata | |
Happyview est un site marchand d’optique grand public sur Internet qui distribue en France des lunettes de vue et des lunettes de soleil. Ce site est contrôlé par la société Luxview, créée en 2009 par Marc Adamowicz à Paris et détenue depuis 2013 par la société Home Shopping Service, filiale du groupe Métropole Télévision (Groupe M6).
Il propose du « discount sur Internet » dans un secteur optique jusqu’alors protégé par une législation stricte et des habitudes de consommation traditionnelles, il propose aux consommateurs d’essayer leurs lunettes par Internet via un programme utilisant la photo du consommateur ou tout simplement par courrier en recevant plusieurs montures à essayer à domicile[1].
Happyview évolue dans un secteur dynamique qui sert plus de 40 millions de consommateurs porteurs de lunettes ou de lentilles en France. Le secteur de l’optique traditionnelle a progressivement décidé dans les années 2010-2011 de se tourner vers Internet[2].
Contexte historique
Début 2009, Marc Adamowicz a créé le premier site en France de vente de produits d’optique, agréé par la sécurité sociale en bouleversant à l’époque le marché français de l’optique[3]. À l’époque, la plupart des professionnels opticiens et fabricants de lunettes pensait que la vente de lunettes de vue par Internet était interdite[4]. Ils ne savaient pas qu’il était techniquement possible de vendre à distance, tout en respectant la prescription médicale et en obtenant les mesures morphologiques nécessaires pour fabriquer des lunettes. Pourtant, dès 2009, beaucoup d’autres secteurs industriels et commerciaux distribuaient déjà leurs produits et leurs services sur Internet. Et les lunettes de vue se vendaient aux États-Unis depuis fort longtemps sur Internet. Le marché français de l’optique était, lui, quasiment vierge. Seules quelques sociétés étrangères vendaient en France des lentilles de contact mais pas de lunettes. Happyview a proposé un modèle innovant : offrir un produit de santé par Internet et le vendre à un tarif très compétitif, dont le prix des verres ne dépendait pas de la correction du porteur. Ce n’était pas la pratique commerciale dans les magasins des opticiens en France à l’époque.
Happyview est membre du Syndicat National des Opticiens sur Internet, contribuant ainsi au développement significatif et global du secteur de la vente d’optique en ligne[5].
Développements récents et évolution
En 2012, afin d’élargir son offre, Happyview a fait l’acquisition de Malentille.com, l’un des principaux vendeurs sur Internet de lentilles de contact et de produits d’entretien[6].
En 2013 la société Luxview a cédé les deux enseignes Happyview et Malentille à la société Home Shopping Service, une filiale du Groupe M6 (groupe Métropole Télévision)[7],[8].
En 2014, fort d’un nouvel actionnariat doté d’un accès privilégié au media télévisuel, Happyview a lancé les premières campagnes pédagogiques de publicité audiovisuelles en France pour des produits d’optique vendus sur Internet. Le marché continue ainsi d’évoluer de façon dynamique et compétitive avec l’arrivée de nouveaux entrants dans un climat favorable à la baisse des coûts de l’optique non seulement pour le consommateur mais aussi pour les mutuelles et la Sécurité sociale[9].
En 2015, Happyview et Malentille continuent de se développer au sein du Groupe M6, sous la direction de Marc Adamowicz.
Références
- « La santé, le nouveau luxe des français », E-Marketing.fr, numéro 159, (consulté le )
- Source: Enjeux Les Échos, numéro du 1er septembre 2011, page vue le 29 janvier 2015, « Des Lunettes bien Net »
- Source: Magazine L’Express, page vue le 29 janvier 2015, « Vente de lunettes en ligne – l’optique à prix cassés »
- Source: Magazine Challenge, numéro du 5 décembre 2009, page vue le 29 janvier 2015, « La révélation : l’opticien qui veut convertir au low cost »
- Source: Enjeux Les Échos, numéro du 1er septembre 2011, page vue le 29 janvier 2015, « Des Lunettes bien Net »
- Source: Journal Du Net, numéro du 17 octobre 2012, page vue le 30 janvier 2015, « Optique en ligne : Happyview rachète Malentille.com »
- Source: Les Échos, numéro du 24 octobre 2013, page vue le 29 janvier 2015, « M6 Acquiert deux sites d’E-commerce »
- Source: Opticien-Presse.fr, numéro du 16 octobre 2013, page vue le 31 janvier 2015, « La vente sur Internet de produits optiques attise l’appétit des grands groupes de distribution »
- Source: Le Journal Du Net, numéro du 2 janvier 2014, page vue le 31 janvier 2015, « Optique en ligne : 2014, le (vrai) début des hostilités »
