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La réaction furieuse de la population surprit Gage, et une seconde expédition fut annulée. Gage concentra ses troupes à Boston et demanda des renforts à Londres.
La réaction furieuse de la population surprit Gage, et une seconde expédition fut annulée. Gage concentra ses troupes à Boston et demanda des renforts à Londres.

==Conséquences==
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After the Powder Alarm, militia forces throughout New England were more cautious with their supplies and more intent on gaining information about Gage's plans and troop movements. [[Paul Revere]] played a significant role in distributing this information due to his geographical position in Boston, his social position as a middle-class craftsman in contact with all social classes, and his political position as a well-known Patriot propagandist and organizer.

On [[September 21]], [[1774]], New England Patriot leaders met in [[Worcester, Massachusetts|Worcester]] and urged [[town meeting]]s to organize a third of the militias into special companies of [[Minutemen (militia)|minutemen]] in constant readiness to march. They also instituted the system of express riders and alarms that would prove to be critical at [[Battle of Lexington and Concord|Lexington and Concord]]. In October, the former legislature of Massachusetts met in defiance of the [[Massachusetts Government Act]] and declared itself to be the First Provincial Congress. It created a [[Committee of Safety (American Revolution)|Committee of Safety]] modeled after a body with the same name during the [[English Civil War]] and it recommended that a quarter of the militia be designated as minutemen.

Stores of gunpowder &mdash; typically referred to by Loyalists as "the king's powder" and by Patriots as "the militia's powder" &mdash; were carried off from forts in [[Newport, Rhode Island]], [[Providence, Rhode Island]], and [[New London, Connecticut]] and distributed to the militias in towns away from the coast. [[Fort William and Mary]] in [[Portsmouth, New Hampshire]], guarded by six British soldiers, was taken over by [[New Hampshire]] [[irregulars]] on [[December 15]] after a brief exchange of gunfire with no serious injuries, and the supplies there met a similar fate.

On Sunday [[February 27]], [[1775]], a force of about 240 British regulars was sent to confiscate weapons at [[Salem, Massachusetts]]. They were stopped by a small crowd that raised a drawbridge in their path and taunted them while others moved the cannon to safety and sent for help from nearby towns. Eventually, the drawbridge was lowered and the [[British Army]] was permitted to search the forge where the cannon had once been. They returned to their ships while being mocked by a growing force of irregulars marching along in lock-step next to them.

These bloodless conflicts over military supplies seemed &mdash; both to the participants and to historians with the benefit of hindsight &mdash; to be leading almost inevitably to open warfare. However, it should be remembered that were it not for events spiralling out of control during key moments, the [[Battle of Lexington and Concord]] on [[April 19]], [[1775]] also might have simply been another Powder Alarm march with no casualties.
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==Bibliographie==
==Bibliographie==

Version du 11 décembre 2006 à 10:34

Modèle:Ébauche États-Unis La Powder Alarm (mot à mot "l'alarme de la poudre"), aux États-Unis, fut une réaction populaire massive à une action des troupes britanniques sous les ordres du Général Thomas Gage, gouverneur royal du Massachusetts, avant le début de la Guerre d'indépendance des États-Unis d'Amérique. Le 1er septembre 1774, des soldats britanniques confisquèrent des réserves de poudre et d'armes de la milice, lors d'une action surprise près de Boston. Cette expédition alarma le pays et les patriotes américains se ruèrent à l'action, pensant que la guerre avait commencé. Bien qu'il se soit avéré qu'il s'agissait d'une fausse alarme, la Powder Alarm incita tous les protagonistes à agir moins précipitamment à l'avenir. Ce fut également une répétition générale pour la Bataille de Lexington et Concord qui eut lieu sept mois plus tard.

L'expédition

La poudrière (Magazin) est située à la limite nord de cette carte du Siège de Boston de 1775.

Le Général Gage, chargé de faire appliquer les très impopulaires Intolerable Acts, cherchant à éviter la survenue de la guerre et à maintenir la paix entre les Patriotes et les Loyalistes, pense que la seule chose à faire est de saisir les équipement militaires entreposés au Massachusetts.

En ce matin du 1er septembre 1774, une force d'environ 260 soldats britanniques remontent à la rame la Mystic River de Boston à Winter Hill, aujourd'hui Somerville (Massachusetts). À cette époque, cette terre faisait partie de la ville de Charlestown, qui était une entité indépendante de Boston. De là, il marchent sur deux kilomètres jusqu'à la poudrière qui se trouve toujours dans Powder House Square à Somerville, où l'on a entreposé la plus grosse quantité de poudre du Massachusetts. Le sheriff du comté remet la clé du bâtiment aux troupes du Roi qui avant le levé du soleil emmènent toute la poudre. La plupart des soldats rentrent à Boston par la rivière, mais un petit contingent se rend à Cambridge (Massachusetts), pour y enlever deux pièces d'artillerie qu'ils ramènent par voie terrestre à Boston par le pont de Great Bridge.

La réaction

Cette expédition déclenche le jour suivant une marche sur Boston de dizaines de milliers de miliciens qui ont entendu des rumeurs faisant état d'un conflit armé et de mouvements de troupes britanniques incessants. Après avoir été correctement renseignés, ces miliciens rentreront chez eux. Une foule de patriotes en colères chassa quelques loyalistes hors de Cambridge et contraignit le sheriff qui avait remis les clés de la poudrière à signer un serment selon lequel il ne ferait plus jamais appliquer les Intolerable Acts ou n'obéirait aux ordres de Gage.

La réaction furieuse de la population surprit Gage, et une seconde expédition fut annulée. Gage concentra ses troupes à Boston et demanda des renforts à Londres.

Conséquences

Bibliographie

  • Fischer, David Hackett. Paul Revere's Ride. New York: Oxford University Press, 1994. ISBN 0-19-508847-6.
  • Raphael, Ray. The First American Revolution: Before Lexington and Concord. New York: The New Press, 2002.

Source