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« Gérard Ansaloni » : différence entre les versions

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Il se tourne en 1993 vers une carrière artistique en participant aux [[Francofolies de La Rochelle]] et en se produisant dans différents lieux dédiés à la musique. Il participe à plusieurs émissions comme « Sous les étoiles exactement » ou « Pollen, les copains d’abord » sur France Inter.
Il se tourne en 1993 vers une carrière artistique en participant aux [[Francofolies de La Rochelle]] et en se produisant dans différents lieux dédiés à la musique. Il participe à plusieurs émissions comme « Sous les étoiles exactement » ou « Pollen, les copains d’abord » sur France Inter.


Durant ses études au [[lycée Camille-Jullian]] de Bordeaux, et après un bref passage au conservatoire en classe de chant, il assure, en compagnie de son ami Jean Philippe Chaumont, les première parties de [[Bernard Dimey]], [[Bernard Lavilliers]], Germinal et [[Gilles Elbaz]] qui se produisent entre 1975 et 1979 au cabaret du peintre Raymond Nabos<ref>{{Lien web |titre=Association alyon : CV d'artistes lyonnais. |url=http://www.alyon.org/expo/cv/raymond_nabos/ |site=www.alyon.org |consulté le=2019-08-14 }}</ref> « La Cour des Miracles » à Bordeaux.
Durant ses études au [[lycée Camille-Jullian]] de Bordeaux, et après un bref passage au conservatoire en classe de chant, il assure, en compagnie de son ami Jean Philippe Chaumont, les première parties de [[Bernard Dimey]], [[Bernard Lavilliers]]<ref>{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Michel|nom1=Kemper|titre=Les Vies liées de Lavilliers|éditeur=Flammarion|date=2010-11-10|isbn=9782081257184|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=4NdkeV-uUVMC&printsec=frontcover&dq=ansaloni+les+vies+li%C3%A9es+de+lavillier&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiI_P2ao4LkAhUS_BQKHWFNBjEQ6wEILjAA#v=onepage&q=ansaloni&f=false|consulté le=2019-08-14}}</ref>, Germinal et [[Gilles Elbaz]] qui se produisent entre 1975 et 1979 au cabaret du peintre Raymond Nabos<ref>{{Lien web |titre=Association alyon : CV d'artistes lyonnais. |url=http://www.alyon.org/expo/cv/raymond_nabos/ |site=www.alyon.org |consulté le=2019-08-14 }}</ref> « La Cour des Miracles » à Bordeaux.
L’ami Jean Philippe, décédé tragiquement pendant sa vingt-cinquième année, deviendra un des thèmes récurrents de la poésie de Gérard Ansaloni. Ami, de même, d’[[Olivier Cacouault]], compositeur de chants pour chorale, il apprend de lui les règles de versification.
L’ami Jean Philippe, décédé tragiquement pendant sa vingt-cinquième année, deviendra un des thèmes récurrents de la poésie de Gérard Ansaloni. Ami, de même, d’[[Olivier Cacouault]], compositeur de chants pour chorale, il apprend de lui les règles de versification.

On le retrouve durant les années 1987 et 1988 à Paris se formant aux nouvelles techniques de la [[musique assistée par ordinateur]] (MAO) à la faculté Saint Charles, département audiovisuel de la Sorbonne. Il compose durant ces années pour Nathalie Corène<ref>{{Lien web |titre=Encyclopédisque - Discographie : Nathalie CORÈNE |url=http://www.encyclopedisque.fr/artiste/5537.html |site=www.encyclopedisque.fr |consulté le=2019-08-14 }}</ref> (Nuit de Jazz, Partir..) et pour des ami(e)s de rencontre (Le petit houx, Adeline, Romans noirs..). Il peaufine ses « Humanités » au Studio Do de Michel Eskenazi<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |titre=Saint-Jean-de-Duras (47) : un studio d’enregistrement assez unique |url=https://www.sudouest.fr/2013/06/10/saint-jean-de-duras-47-un-studio-d-enregistrement-assez-unique-1080634-3838.php |site=SudOuest.fr |consulté le=2019-08-14 }}</ref> en tant que technicien [[MIDI]] (Musical Instrument Digital Interface) durant l’année 1989, année pendant laquelle il travaille avec l’initiateur de la musique Hip-Hop en France : [[Dee Nasty|DJ Dee Nasty]]<ref>{{Lien web |langue=en-us |titre=DJ Dee Nasty {{!}} Biography & History |url=https://www.allmusic.com/artist/dj-dee-nasty-mn0001396418 |site=AllMusic |consulté le=2019-08-13 }}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Dee Nasty, premier des DJ classiques |url=https://musique.rfi.fr/actu-musique/rap/album/20160111-dee-nasty-classique |site=RFI Musique |date=2016-01-11 |consulté le=2019-08-13 }}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |nom1=christophe |titre=Dee Nasty |url=http://www.musiculture.fr/dee-nasty/ |site=www.musiculture.fr|date=2015-09-25 |consulté le=13 août 2019}}</ref>. Il rencontre aussi cette année-là, la chanteuse [[Amina Annabi|Amina]] venue enregistrer au studio Do et le producteur Martin Messonier.
On le retrouve durant les années 1987 et 1988 à Paris se formant aux nouvelles techniques de la [[musique assistée par ordinateur]] (MAO) à la faculté Saint Charles, département audiovisuel de la Sorbonne. Il compose durant ces années pour Nathalie Corène<ref>{{Lien web |titre=Encyclopédisque - Discographie : Nathalie CORÈNE |url=http://www.encyclopedisque.fr/artiste/5537.html |site=www.encyclopedisque.fr |consulté le=2019-08-14 }}</ref> (Nuit de Jazz, Partir..) et pour des ami(e)s de rencontre (Le petit houx, Adeline, Romans noirs..). Il peaufine ses « Humanités » au Studio Do de Michel Eskenazi<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |titre=Saint-Jean-de-Duras (47) : un studio d’enregistrement assez unique |url=https://www.sudouest.fr/2013/06/10/saint-jean-de-duras-47-un-studio-d-enregistrement-assez-unique-1080634-3838.php |site=SudOuest.fr |consulté le=2019-08-14 }}</ref> en tant que technicien [[MIDI]] (Musical Instrument Digital Interface) durant l’année 1989, année pendant laquelle il travaille avec l’initiateur de la musique Hip-Hop en France : [[Dee Nasty|DJ Dee Nasty]]<ref>{{Lien web |langue=en-us |titre=DJ Dee Nasty {{!}} Biography & History |url=https://www.allmusic.com/artist/dj-dee-nasty-mn0001396418 |site=AllMusic |consulté le=2019-08-13 }}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Dee Nasty, premier des DJ classiques |url=https://musique.rfi.fr/actu-musique/rap/album/20160111-dee-nasty-classique |site=RFI Musique |date=2016-01-11 |consulté le=2019-08-13 }}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |nom1=christophe |titre=Dee Nasty |url=http://www.musiculture.fr/dee-nasty/ |site=www.musiculture.fr|date=2015-09-25 |consulté le=13 août 2019}}</ref>. Il rencontre aussi cette année-là, la chanteuse [[Amina Annabi|Amina]] venue enregistrer au studio Do et le producteur Martin Messonier.


De 1990 à 1995 il met à profit ses connaissances acquises dans le domaine de la composition, de la programmation sur ordinateur et de l’écriture poétique en rédigeant d’innombrables textes et musiques.
De 1990 à 1995 il met à profit ses connaissances acquises dans le domaine de la composition, de la programmation sur ordinateur et de l’écriture poétique en rédigeant d’innombrables textes et musiques.


En 1996, alors qu’il a 38 ans, [[Pierre Barouh]], créateur des éditions [[Saravah]], lui propose d’enregistrer un premier album ; ce sera ''[[Le Banquet (album)|Le Banquet]]'', mélange de psalmodie et de musique pour grand orchestre initiant le [[Slam (poésie)|slam]] à la française. Entre 1995 et 2000 il se produit au Café de la Danse, à l’Espace Kiron, aux Francofolies, puis au Canada dans le cadre du festival de la Poésie de Trois rivières, toujours en compagnie de Pierre Barouh, à Montréal, à Québec.. Il côtoie par l’intermédiaire de son éditeur [[Françoise Kucheida]], [[Daniel Mille]], [[Bia]], [[Pierre Louki]], [[Fred Poulet]], [[Eric Guilleton]], [[Aram Sédéfian]], [[Gérard Pierron]].
En 1996, alors qu’il a 38 ans, [[Pierre Barouh]], créateur des éditions [[Saravah]], lui propose d’enregistrer un premier album ; ce sera ''[[Le Banquet (album)|Le Banquet]]'', mélange de psalmodie et de musique pour grand orchestre initiant le [[Slam (poésie)|slam]] à la française. Entre 1995 et 2000 il se produit au Café de la Danse, à l’Espace Kiron, aux Francofolies, puis au Canada dans le cadre du festival de la Poésie de Trois rivières, toujours en compagnie de Pierre Barouh, à Montréal, à Québec.. Il côtoie par l’intermédiaire de son éditeur [[Françoise Kucheida]], [[Daniel Mille]], [[Bia]], [[Pierre Louki]], [[Fred Poulet]], [[Eric Guilleton]], [[Aram Sédéfian]], [[Gérard Pierron]] <ref>{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Bertrand|nom1=Dicale|titre=Les chansons qui ont tout changé|éditeur=Fayard|date=2011-06-22|isbn=9782213665368|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=sk12XUZEbCkC&printsec=frontcover&dq=bertrand+dicale+ansaloni&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjM5LimpILkAhXSyYUKHWCWAfQQ6AEIPjAE#v=onepage&q=ansaloni&f=false|consulté le=2019-08-14}}</ref>.


2000 : c’est l’année de la rencontre avec Mathias Vincenot, chargé de Cours de Civilisation Française à la [[Sorbonne]], qui lui propose plusieurs interventions dans le cadre de manifestations, débats et tours de chant entre les murs de la dite Sorbonne. En 2001 Mathias Vincenot<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |titre=Matthias Vincenot |url=https://www.matthias-vincenot.fr/ |site=Matthias Vincenot |consulté le=2019-08-14 }}</ref> l’invite à figurer dans la première édition de l’''[[Anthologie]] des nouveaux poètes français et francophones'' (éd. Jean Pierre Huguet). Cette anthologie, signée M. Vincenot et Jean Luc Favre, fera l’objet d’une seconde édition en 2003. Sept poèmes de Gérard Ansaloni figurent dans cette anthologie.
2000 : c’est l’année de la rencontre avec Mathias Vincenot<ref>{{Lien web |titre=Matthias Vincenot |url=https://www.matthias-vincenot.fr/ |site=Matthias Vincenot |périodique= |date= |consulté le=2019-08-14 }}</ref>, chargé de Cours de Civilisation Française à la [[Sorbonne]], qui lui propose plusieurs interventions dans le cadre de manifestations, débats et tours de chant entre les murs de la dite Sorbonne. En 2001 Mathias Vincenot l’invite à figurer dans la première édition de l’''[[Anthologie]] des nouveaux poètes français et francophones'' (éd. Jean Pierre Huguet). Cette anthologie, signée M. Vincenot et Jean Luc Favre, fera l’objet d’une seconde édition en 2003. Sept poèmes de Gérard Ansaloni figurent dans cette anthologie.


En 2002 il produit son deuxième album chez [[Saravah]]. Ce sera ''[[La Mort de la Vierge (album)|La Mort de la Vierge]]'', album dans lequel sera faite la part belle au compositeur [[Olivier Cacouault]]<ref>{{Lien web |titre=Accueil |url=http://www.oliviercacouault.com/Accueil.html |site=www.oliviercacouault.com |consulté le=2019-08-14 }}</ref> qui signe cinq musiques pour chorale<ref>{{Lien web |titre=Droit d'Auteur ON DIRAIT QUE LE BEAU N APPART - Répertoire des Œuvres - La Sacem |url=https://repertoire.sacem.fr/detail-oeuvre/3pnsNAyIvje8ENqH--QpAUNAcruU_kFfk1sM-_1Q3sw=/ON%20DIRAIT%20QUE%20LE%20BEAU%20N%20APPART?query=cacouault&filters=parties#searchBtn |site=repertoire.sacem.fr |consulté le=2019-08-14 }}</ref>. L’album compte 22 titres dont la « Suite pour la fin du siècle »<ref>{{Lien web |titre=Droit d'Auteur SUITE POUR LA FIN DU SIECLE - Répertoire des Œuvres - La Sacem |url=https://repertoire.sacem.fr/detail-oeuvre/0r0OsYeYsiDzyJH0SLlPfb3h_Hc1IpfSdtIew7FXmXg=/SUITE%20POUR%20LA%20FIN%20DU%20SIECLE?query=suite%20pour%20la%20fin%20du%20si%C3%A8cle&filters=titles#searchBtn |site=repertoire.sacem.fr |consulté le=2019-08-14 }}</ref> qui totalise à elle seule 20 minutes de texte et de musique allant du jazz à la musique aléatoire.
En 2002 il produit son deuxième album chez [[Saravah]]. Ce sera ''[[La Mort de la Vierge (album)|La Mort de la Vierge]]'', album dans lequel sera faite la part belle au compositeur [[Olivier Cacouault]]<ref>{{Lien web |titre=Accueil |url=http://www.oliviercacouault.com/Accueil.html |site=www.oliviercacouault.com |consulté le=2019-08-14 }}</ref> qui signe cinq musiques pour chorale<ref>{{Lien web |titre=Droit d'Auteur ON DIRAIT QUE LE BEAU N APPART - Répertoire des Œuvres - La Sacem |url=https://repertoire.sacem.fr/detail-oeuvre/3pnsNAyIvje8ENqH--QpAUNAcruU_kFfk1sM-_1Q3sw=/ON%20DIRAIT%20QUE%20LE%20BEAU%20N%20APPART?query=cacouault&filters=parties#searchBtn |site=repertoire.sacem.fr |consulté le=2019-08-14 }}</ref>. L’album compte 22 titres dont la « Suite pour la fin du siècle »<ref>{{Lien web |titre=Droit d'Auteur SUITE POUR LA FIN DU SIECLE - Répertoire des Œuvres - La Sacem |url=https://repertoire.sacem.fr/detail-oeuvre/0r0OsYeYsiDzyJH0SLlPfb3h_Hc1IpfSdtIew7FXmXg=/SUITE%20POUR%20LA%20FIN%20DU%20SIECLE?query=suite%20pour%20la%20fin%20du%20si%C3%A8cle&filters=titles#searchBtn |site=repertoire.sacem.fr |consulté le=2019-08-14 }}</ref> qui totalise à elle seule 20 minutes de texte et de musique allant du jazz à la musique aléatoire.

Version du 14 août 2019 à 13:49

Gérard Ansaloni, né le à Sainte-Foy-la-Grande, est un poète, auteur, compositeur, orchestrateur et interprète français.

Biographie

Après une formation, notamment en classe de chant au Conservatoire de Bordeaux, il exerce différentes activités artistiques (professeur d’éducation musicale, technicien du son).

Il se tourne en 1993 vers une carrière artistique en participant aux Francofolies de La Rochelle et en se produisant dans différents lieux dédiés à la musique. Il participe à plusieurs émissions comme « Sous les étoiles exactement » ou « Pollen, les copains d’abord » sur France Inter.

Durant ses études au lycée Camille-Jullian de Bordeaux, et après un bref passage au conservatoire en classe de chant, il assure, en compagnie de son ami Jean Philippe Chaumont, les première parties de Bernard Dimey, Bernard Lavilliers[1], Germinal et Gilles Elbaz qui se produisent entre 1975 et 1979 au cabaret du peintre Raymond Nabos[2] « La Cour des Miracles » à Bordeaux. L’ami Jean Philippe, décédé tragiquement pendant sa vingt-cinquième année, deviendra un des thèmes récurrents de la poésie de Gérard Ansaloni. Ami, de même, d’Olivier Cacouault, compositeur de chants pour chorale, il apprend de lui les règles de versification.

On le retrouve durant les années 1987 et 1988 à Paris se formant aux nouvelles techniques de la musique assistée par ordinateur (MAO) à la faculté Saint Charles, département audiovisuel de la Sorbonne. Il compose durant ces années pour Nathalie Corène[3] (Nuit de Jazz, Partir..) et pour des ami(e)s de rencontre (Le petit houx, Adeline, Romans noirs..). Il peaufine ses « Humanités » au Studio Do de Michel Eskenazi[4] en tant que technicien MIDI (Musical Instrument Digital Interface) durant l’année 1989, année pendant laquelle il travaille avec l’initiateur de la musique Hip-Hop en France : DJ Dee Nasty[5],[6],[7]. Il rencontre aussi cette année-là, la chanteuse Amina venue enregistrer au studio Do et le producteur Martin Messonier.

De 1990 à 1995 il met à profit ses connaissances acquises dans le domaine de la composition, de la programmation sur ordinateur et de l’écriture poétique en rédigeant d’innombrables textes et musiques.

En 1996, alors qu’il a 38 ans, Pierre Barouh, créateur des éditions Saravah, lui propose d’enregistrer un premier album ; ce sera Le Banquet, mélange de psalmodie et de musique pour grand orchestre initiant le slam à la française. Entre 1995 et 2000 il se produit au Café de la Danse, à l’Espace Kiron, aux Francofolies, puis au Canada dans le cadre du festival de la Poésie de Trois rivières, toujours en compagnie de Pierre Barouh, à Montréal, à Québec.. Il côtoie par l’intermédiaire de son éditeur Françoise Kucheida, Daniel Mille, Bia, Pierre Louki, Fred Poulet, Eric Guilleton, Aram Sédéfian, Gérard Pierron [8].

2000 : c’est l’année de la rencontre avec Mathias Vincenot[9], chargé de Cours de Civilisation Française à la Sorbonne, qui lui propose plusieurs interventions dans le cadre de manifestations, débats et tours de chant entre les murs de la dite Sorbonne. En 2001 Mathias Vincenot l’invite à figurer dans la première édition de l’Anthologie des nouveaux poètes français et francophones (éd. Jean Pierre Huguet). Cette anthologie, signée M. Vincenot et Jean Luc Favre, fera l’objet d’une seconde édition en 2003. Sept poèmes de Gérard Ansaloni figurent dans cette anthologie.

En 2002 il produit son deuxième album chez Saravah. Ce sera La Mort de la Vierge, album dans lequel sera faite la part belle au compositeur Olivier Cacouault[10] qui signe cinq musiques pour chorale[11]. L’album compte 22 titres dont la « Suite pour la fin du siècle »[12] qui totalise à elle seule 20 minutes de texte et de musique allant du jazz à la musique aléatoire.

En septembre 2004, après un tour de « dire » à la médiathèque de Saint Herblain, un texte d’Ansaloni figure dans un cahier spécial et luxueux édité par cette même médiathèque[13]. Le texte, « La pauvre quête », est illustré par François Supiot.

En 2006 sont publiées « Les humanités poétiques », roman autobiographique, dérisoire et truculent récit des aventures artistiques de Gérard Ansaloni, suivi en 2010 d'un second volet : « Le forfaire » puis d'un troisième volet en 2018 : « Les dix rouleaux de Touenhouang ».

Il vit et travaille actuellement à Boulogne-sur-Mer.

Références de spectacles vivants

  • 2012 : Festival de la parole d'Hames.
  • 2003 : Médiathèque de St Herblain, Le Pannonica à Nantes. Baptême de l'auditorium Pierre Barouh aux Herbiers en compagnie de Pierre Barouh, Oscar Castro, Jacques Higelin, Véronique Balmont, Claire Elzière. Lecture de poèmes à « L'Entrepot ».
  • 2002 : « Les » Sorbonne.
  • 2001 : Le Chemin du Montparnasse à Paris.
  • 1999 : L’écart, le Musée de la Civilisation et le Maquisart au Québec.
  • 1998 : 11e festival de Marne, Centre culturel de Brives.
  • 1997 : Francofolies de La Rochelle, Le Café de la Danse, Salle jacques Brel, La Pépinière opéra, l’Espace Kiron...
  • 1975 : La cour des miracles de Raymond Nabos à Bordeaux

Références audiovisuelles

  • 2001 : « Sous les étoiles exactement » France Inter, Serge Le Vaillant.
  • 1999 : « Chanson en liberté » Radio Canada, Elisabeth Gagnon,
  • 1999 : « Les refrains d’abord » Radio Canada, Monique Giroux.
  • 1997 : « Pollen, les copains d’abord » France Inter, J-L Foulquier au « Divan du monde » « Fréquence Paris plurielle », « Divergence FM » dans le cadre de la « Comédie du livre » de Montpellier.
  • 1996 : France culture, Martin Penet, « Synergie » France Inter, Jean-Luc Hesse.

Livres

Discographie

Références

  1. Michel Kemper, Les Vies liées de Lavilliers, Flammarion, (ISBN 9782081257184, lire en ligne)
  2. « Association alyon : CV d'artistes lyonnais. », sur www.alyon.org (consulté le )
  3. « Encyclopédisque - Discographie : Nathalie CORÈNE », sur www.encyclopedisque.fr (consulté le )
  4. « Saint-Jean-de-Duras (47) : un studio d’enregistrement assez unique », sur SudOuest.fr (consulté le )
  5. (en-US) « DJ Dee Nasty | Biography & History », sur AllMusic (consulté le )
  6. « Dee Nasty, premier des DJ classiques », sur RFI Musique, (consulté le )
  7. christophe, « Dee Nasty », sur www.musiculture.fr, (consulté le )
  8. Bertrand Dicale, Les chansons qui ont tout changé, Fayard, (ISBN 9782213665368, lire en ligne)
  9. « Matthias Vincenot », sur Matthias Vincenot (consulté le )
  10. « Accueil », sur www.oliviercacouault.com (consulté le )
  11. « Droit d'Auteur ON DIRAIT QUE LE BEAU N APPART - Répertoire des Œuvres - La Sacem », sur repertoire.sacem.fr (consulté le )
  12. « Droit d'Auteur SUITE POUR LA FIN DU SIECLE - Répertoire des Œuvres - La Sacem », sur repertoire.sacem.fr (consulté le )
  13. « Bibliographie », sur gerardansaloni.com (consulté le )
  14. « Les dix rouleaux de Touenhouang », sur www.laptiteheleneeditions.com (consulté le )
  15. « Les jardins de Musée », sur Bookelis (consulté le )
  16. a et b « Les Dossiers d'Aquitaine », sur Les Dossiers d'Aquitaine (consulté le )
  17. a et b « Bibliographie », sur Matthias Vincenot (consulté le )
  18. a et b « Jean-Pierre Huguet éditeur », sur boutique.editionhuguet.com (consulté le )
  19. « Les années Saravah : Coffret 2 CD avec livret 40 pages français anglais et japonais - Saravah », sur www.saravah.fr (consulté le )
  20. « la mort de la vierge - Saravah », sur www.saravah.fr (consulté le )
  21. « 30 ans Saravah - Saravah », sur www.saravah.fr (consulté le )
  22. « le banquet - Saravah », sur www.saravah.fr (consulté le )

Liens externes