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Entre 2007 et 2012, Electronic Box a augmenté son chiffre d'affaires de 1859 %<ref name="KYpfiw" />. À la suite d'une décision du [[Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes|CRTC]] en [[2011]] qui favorisait les fournisseurs indépendants, Electronic Box a été le premier fournisseur Internet canadien à offrir de nouveaux prix<ref name="KYpfiw">http://www.lactualite.com/lactualite-affaires/les-leaders-croissance/je-veux-devenir-un-fournisseur-majeur-de-services-internet/</ref>. |
Entre 2007 et 2012, Electronic Box, parfois appelée La Boîte électronique, a augmenté son chiffre d'affaires de 1859 %<ref name="KYpfiw" />. À la suite d'une décision du [[Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes|CRTC]] en [[2011]] qui favorisait les fournisseurs indépendants, Electronic Box a été le premier fournisseur Internet canadien à offrir de nouveaux prix<ref name="KYpfiw">http://www.lactualite.com/lactualite-affaires/les-leaders-croissance/je-veux-devenir-un-fournisseur-majeur-de-services-internet/</ref>. |
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Depuis 2013, EBOX se mérite une place dans le prestigieux PROFIT500 qui liste les 500 entreprises canadiennes ayant connues la plus forte croissance annuellement. |
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En 2017, la compagnie lance la plus grande campagne de publicité de son histoire en collaborant avec l'agence Dentsubos<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=EBOX se fait voir et entendre {{!}} Grenier aux nouvelles|url=http://www.grenier.qc.ca/nouvelles/14273/ebox-se-fait-voir-et-entendre|site=www.grenier.qc.ca|consulté le=2017-11-08}}</ref> et le nombre de clients est alors estimé |
En 2017, la compagnie lance la plus grande campagne de publicité de son histoire en collaborant avec l'agence Dentsubos<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=EBOX se fait voir et entendre {{!}} Grenier aux nouvelles|url=http://www.grenier.qc.ca/nouvelles/14273/ebox-se-fait-voir-et-entendre|site=www.grenier.qc.ca|consulté le=2017-11-08}}</ref> et le nombre de clients est alors estimé à 70 000<ref>{{Article|langue=fr-CA|auteur1=|prénom1=Jean-Benoit|nom1=Nadeau|titre=3. EBOX: David contre les Goliath|périodique=L’actualité|date=13 octobre 2017|issn=|lire en ligne=http://lactualite.com/lactualite-affaires/2017/10/13/leaders-2017-3-ebox/|consulté le=2017-11-08|pages=}}</ref>. |
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Le nombre de clients est estimé à 130 000 en 2018<ref>{{Lien web|langue=|titre=EBox : des prix concurrentiels et une exécution impeccable|url=https://www.lesaffaires.com/dossier/les-recettes-de-croissance-des-300/ebox--des-prix-concurrentiels-et-une-execution-impeccable/605897|site=lesaffaires.com|périodique=|date=27 Octobre 2018|consulté le=7 mars 2019}}</ref>. |
Le nombre de clients est estimé à 130 000 en 2018<ref>{{Lien web|langue=|titre=EBox : des prix concurrentiels et une exécution impeccable|url=https://www.lesaffaires.com/dossier/les-recettes-de-croissance-des-300/ebox--des-prix-concurrentiels-et-une-execution-impeccable/605897|site=lesaffaires.com|périodique=|date=27 Octobre 2018|consulté le=7 mars 2019}}</ref>. |
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En avril 2018, EBOX lance son offre télédistribution par Internet<ref>{{Article|langue=fr-CA|auteur1=|prénom1=Vincent|nom1=Brousseau-Pouliot|titre=Ebox se lance dans la télé|périodique=La Presse|date=22 mai 2018|issn=|lire en ligne=https://www.lapresse.ca/affaires/medias/201805/22/01-5182680-ebox-se-lance-dans-la-tele.php|consulté le=2019-05-14|pages=}}</ref> en utilisant le système d'exploitation [[Android TV]]. Le terminal EBOX TV est fabriqué par le géant [[Sagemcom]] et permet d'utiliser le [[Google Play Store]] ainsi que la fonction Chromecast. Au cours de l'année 2019, la plateforme autorise les appareils Sony Bravia Android TV, Nvidia Shield, Xiaomi MiBox 4S puis Amazon FireTV Stick comme alternative au terminal Sagemcom. En 2020, EBOX TV prévoit le déploiement du ''network digital personal video recorder'' (NDVR), l'enregistreur personnel dématérialisé, ce qui rendra obsolète l'utilisation d'un disque dur complémentaire au terminal et éliminera la nécessité d'utiliser la boîte Sagemcom, pour enregistrer ses émissions préférées.<br /> |
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En 2016, EBOX annonce l'ouverture de sa première boutique physique, un magasin de |
En 2016, EBOX annonce l'ouverture de sa première boutique physique, un magasin de 3 000 pieds carrés (280 m<sup>2</sup>) où les clients peuvent tester et acheter les produits. Quelques semaines plus tard, EBOX annonce un investissement de 7,5 millions de dollars <ref>http://www.ebox.ca/en/blog/ebox-campus-7-5-million-dollars-investment/</ref> pour l'installation du Campus EBOX, un endroit de travail pour les 150 employés de l'entreprise. |
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== Liens externes == |
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Version du 27 février 2020 à 03:47
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| EBOX | |
| |
| Création | 1997 (à Montréal) |
|---|---|
| Personnages clés | Jean-Philippe Béïque, PDG |
| Siège social | Montréal, Longueuil |
| Activité | Télécommunications |
| Produits | Internet Haute Vitesse ADSL et Câble, Téléphonie IP, Interurbains |
| Effectif | + ou - 300 (2019) |
| Site web | http://www.ebox.ca/ |
| Chiffre d'affaires | + ou - 50 000 000 $ (2018) |
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EBOX est une compagnie de télécommunications canadienne qui offre des services Internet et téléphoniques au Québec et en Ontario depuis 1997.
Historique
Entre 2007 et 2012, Electronic Box, parfois appelée La Boîte électronique, a augmenté son chiffre d'affaires de 1859 %[1]. À la suite d'une décision du CRTC en 2011 qui favorisait les fournisseurs indépendants, Electronic Box a été le premier fournisseur Internet canadien à offrir de nouveaux prix[1].
Depuis 2013, EBOX se mérite une place dans le prestigieux PROFIT500 qui liste les 500 entreprises canadiennes ayant connues la plus forte croissance annuellement.
En 2016, Electronic Box change de nom et devient EBOX.
En 2017, la compagnie lance la plus grande campagne de publicité de son histoire en collaborant avec l'agence Dentsubos[2] et le nombre de clients est alors estimé à 70 000[3].
Le nombre de clients est estimé à 130 000 en 2018[4].
Services
Ebox utilise principalement le réseau de Bell, Rogers, Videotron et Cogeco pour connecter ses abonnés, mais propose des tarifs et des forfaits différents.
Internet
EBOX propose plusieurs forfaits Internet, par câble ou par DSL, avec des débits, au choix, entre 5 et 940 Mbit/s.
Téléphonie
EBOX offre également la téléphonie résidentielle ou commerciale combinée à un forfait Internet.
Télévision
En avril 2018, EBOX lance son offre télédistribution par Internet[5] en utilisant le système d'exploitation Android TV. Le terminal EBOX TV est fabriqué par le géant Sagemcom et permet d'utiliser le Google Play Store ainsi que la fonction Chromecast. Au cours de l'année 2019, la plateforme autorise les appareils Sony Bravia Android TV, Nvidia Shield, Xiaomi MiBox 4S puis Amazon FireTV Stick comme alternative au terminal Sagemcom. En 2020, EBOX TV prévoit le déploiement du network digital personal video recorder (NDVR), l'enregistreur personnel dématérialisé, ce qui rendra obsolète l'utilisation d'un disque dur complémentaire au terminal et éliminera la nécessité d'utiliser la boîte Sagemcom, pour enregistrer ses émissions préférées.
Membre du CNOC
EBOX est membre du CNOC (Canadian Network Operators Consortium).
EBOX Store et EBOX Campus
En 2016, EBOX annonce l'ouverture de sa première boutique physique, un magasin de 3 000 pieds carrés (280 m2) où les clients peuvent tester et acheter les produits. Quelques semaines plus tard, EBOX annonce un investissement de 7,5 millions de dollars [6] pour l'installation du Campus EBOX, un endroit de travail pour les 150 employés de l'entreprise.
Liens externes
Notes et références
- http://www.lactualite.com/lactualite-affaires/les-leaders-croissance/je-veux-devenir-un-fournisseur-majeur-de-services-internet/
- « EBOX se fait voir et entendre | Grenier aux nouvelles », sur www.grenier.qc.ca (consulté le )
- Jean-Benoit Nadeau, « 3. EBOX: David contre les Goliath », L’actualité, (lire en ligne, consulté le )
- « EBox : des prix concurrentiels et une exécution impeccable », sur lesaffaires.com, (consulté le )
- Vincent Brousseau-Pouliot, « Ebox se lance dans la télé », La Presse, (lire en ligne, consulté le )
- http://www.ebox.ca/en/blog/ebox-campus-7-5-million-dollars-investment/
