Aller au contenu

« Toulouse olympique XIII » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
m →‎Effectif : Johnathon Ford
Sebletoulousain (discuter | contributions)
mAucun résumé des modifications
Balises : Modification par mobile Modification par application mobile Modification avec l’application iOS
Ligne 29 : Ligne 29 :
[[Image:08.09.54 Equipe de Toulouse (1954) - 53Fi505.jpg|thumb|Le Toulouse olympique XIII en septembre 1954.]]
[[Image:08.09.54 Equipe de Toulouse (1954) - 53Fi505.jpg|thumb|Le Toulouse olympique XIII en septembre 1954.]]
[[Fichier:10.05.64 Finale Toulouse-Villeneuve (1964) - 53Fi540.jpg|vignette|Finale 1964 de la [[Coupe de France de rugby à XIII|Coupe de France]], remportée par [[Villeneuve XIII rugby league |Villeneuve]] face au Toulouse Olympique.]]
[[Fichier:10.05.64 Finale Toulouse-Villeneuve (1964) - 53Fi540.jpg|vignette|Finale 1964 de la [[Coupe de France de rugby à XIII|Coupe de France]], remportée par [[Villeneuve XIII rugby league |Villeneuve]] face au Toulouse Olympique.]]
Le '''Toulouse Olympique XIII''' ('''TO XIII''') est un club de [[rugby à XIII]] [[France|français]] fondé en [[1937]] et basé à [[Toulouse]]. Le club du [[Midi-Pyrénées]] est présidé par Bernard Sarrazain. Le TO XIII adopta le nom de '''Spacers de Toulouse''' entre [[1995]] et [[2002]]. Après avoir évolué en [[Championnat de France de rugby à XIII|Championnat de France]] d'{{Citation|Elite 1}} avec deux titres remportés en 2014 et 2015, le club a rejoint le championnat anglais à partir de 2016, d'abord le troisième échelon la [[League 1 (rugby à XIII)|League 1]] puis en 2017 le second échelon le [[Championship (rugby à XIII)|Championship]] et enfin le premier échelon la [[Super League (rugby à XIII)|Super League]] à partir de 2002 suite à leur succès 34-12 contre [[Featherstone Rovers|Featherstone]], rejoignant ainsi l'autre club français les [[Dragons Catalans]].
Le '''Toulouse Olympique XIII''' ('''TO XIII''') est un club de [[rugby à XIII]] [[France|français]] fondé en [[1937]] et basé à [[Toulouse]]. Le club du [[Midi-Pyrénées]] est présidé par Bernard Sarrazain. Le TO XIII adopta le nom de '''Spacers de Toulouse''' entre [[1995]] et [[2002]]. Après avoir évolué en [[Championnat de France de rugby à XIII|Championnat de France]] d'{{Citation|Elite 1}} avec deux titres remportés en 2014 et 2015, le club a rejoint le championnat anglais à partir de 2016, d'abord le troisième échelon la [[League 1 (rugby à XIII)|League 1]] puis en 2017 le second échelon le [[Championship (rugby à XIII)|Championship]] et enfin le premier échelon la [[Super League (rugby à XIII)|Super League]] à partir de 2021 suite à leur succès 34-12 contre [[Featherstone Rovers|Featherstone]], rejoignant ainsi l'autre club français les [[Dragons Catalans]].


Le club a remporté un [[Championship (rugby à XIII)|Championship]] ([[Saison 2021 du Championship (rugby à XIII)|2021]]), une [[Coupe de France de rugby à XIII|Coupe de France]] (2014) et six championnats de France ([[Championnat de France de rugby à XIII 1964-1965|1965]], [[Championnat de France de rugby à XIII 1972-1973|1973]], [[Championnat de France de rugby à XIII 1974-1975|1975]], [[Championnat de France de rugby à XIII 1999-2000|2000]], [[Championnat de France de rugby à XIII 2013-2014|2014]] et [[Championnat de France de rugby à XIII 2014-2015|2015]]).
Le club a remporté un [[Championship (rugby à XIII)|Championship]] ([[Saison 2021 du Championship (rugby à XIII)|2021]]), une [[Coupe de France de rugby à XIII|Coupe de France]] (2014) et six championnats de France ([[Championnat de France de rugby à XIII 1964-1965|1965]], [[Championnat de France de rugby à XIII 1972-1973|1973]], [[Championnat de France de rugby à XIII 1974-1975|1975]], [[Championnat de France de rugby à XIII 1999-2000|2000]], [[Championnat de France de rugby à XIII 2013-2014|2014]] et [[Championnat de France de rugby à XIII 2014-2015|2015]]).

Version du 11 octobre 2021 à 00:24

Toulouse Olympique XIII
Logo du Toulouse Olympique XIII
Généralités
Surnoms TO XIII
Noms précédents Spacers de Toulouse
Fondation 1937
Statut professionnel Professionnel
Couleurs Blanc et bleu marine
Stade Stade Ernest-Wallon
(19 000 places)
Siège 107, avenue Frédéric Estèbe
31200 Toulouse
Championnat actuel Super League
Président Bernard Sarrazain
Entraîneur Sylvain Houles
Site web www.to13.com
Palmarès principal
National[1] Championship (1)
Championnat de France (6)
Coupe de France (1)

Maillots

Domicile

Extérieur
Le Toulouse olympique XIII en décembre 1952.
Le Toulouse olympique XIII en septembre 1954.
Finale 1964 de la Coupe de France, remportée par Villeneuve face au Toulouse Olympique.

Le Toulouse Olympique XIII (TO XIII) est un club de rugby à XIII français fondé en 1937 et basé à Toulouse. Le club du Midi-Pyrénées est présidé par Bernard Sarrazain. Le TO XIII adopta le nom de Spacers de Toulouse entre 1995 et 2002. Après avoir évolué en Championnat de France d'« Elite 1 » avec deux titres remportés en 2014 et 2015, le club a rejoint le championnat anglais à partir de 2016, d'abord le troisième échelon la League 1 puis en 2017 le second échelon le Championship et enfin le premier échelon la Super League à partir de 2021 suite à leur succès 34-12 contre Featherstone, rejoignant ainsi l'autre club français les Dragons Catalans.

Le club a remporté un Championship (2021), une Coupe de France (2014) et six championnats de France (1965, 1973, 1975, 2000, 2014 et 2015).

Histoire

Troisième titre de Championnat de France, remporté en 1975.

1937: Création du club

En la Ligue française de rugby à XIII décide d'implanter le rugby à XIII à Toulouse en achetant[réf. nécessaire] le stade Arnauné et le Toulouse olympique est créé pour y jouer[réf. nécessaire]. Le premier match du TO se déroula le contre le Racing Club albigeois XIII. En 1938 le Toulouse olympique fusionne avec l'autre club toulousain, le Galia Club toulousain.

En 1939 le TO atteint la finale de la Coupe de France. Pendant les années de guerre le TO est contraint de jouer au rugby à XV, à la suite de l’interdiction du rugby à XIII par le gouvernement de Vichy. Après un court apprentissage le TO défie, en , le SU Agen de Guy Basquet et Albert Ferrasse en demi-finale de Coupe de France de rugby à XV.

Après la Libération le club continua sur cette belle lancée, affrontant à deux reprises l'AS Carcassonne en finale du championnat avec dans son effectif deux jeunes très prometteurs Pérez et Duffort[2]. Suivit une éclipse d'une décennie. Une nouvelle forte équipe apparut avec Pierre Lacaze et Georges Aillères[3].

En 1995 le Toulouse olympique intègre le club omnisports des Spacers et change d'appellation. En 2000 le club remporte le championnat après 25 ans de disette et ambitionne de jouer la Super League Europe. En 2003 leur candidature est rejetée par la Rugby Football League au profit de l'Union Treiziste Catalane.

En 2005, le TO bat, en quart de finale de la Challenge Cup, le club anglais de Super League des Widnes Vikings. En demi-finale le club toulousain perd face aux champions du monde des clubs, les Leeds Rhinos.

En 2006 la RFL décide d'élargir la Super League, à partir de la saison 2009, à 14 franchises. Le Toulouse olympique XIII échoue en cette entreprise au profit d'un club gallois, les Crusaders. Toulouse ne jouera pas en Super League. Les Toulousains sont tout de même invités à jouer dans un grand championnat. Le Championship est un championnat composé d'équipes professionnelles et semi-professionnelles anglaises. Il constitue la compétition de deuxième niveau, juste en dessous de la Super League européenne. En 2011 le TO XIII, menacé de relégation a fait son retour en championnat de France Élite 1 pour la saison 2011-2012.

2014 : Le doublé

Toulouse reçoit son titre de Championnat de France en 2014.

La saison 2013-2014 est l'une des plus abouties de l'histoire du club puisqu'il réalise pour la première fois le doublé Championnat-Coupe de France. Sous l'impulsion entre autres de l'Australien Mark Kheirallah venu des Sydney Roosters au poste de demi de mêlée puis replacé au poste d'arrière, Toulouse écarte en Coupe de France Baho, Saint-Estève XIII catalan et Palau avant de s'imposer en finale contre Carcassonne 46-10 au stade Albert Domec.

En Championnat, Toulouse retrouve la finale pour la première fois depuis huit ans. Après une première phase où Toulouse subit le rythme de Limoux, le club prend la tête du Championnat du fil de la saison parvenant à terminer première de la seconde phase. En phase finale, Toulouse bat Villeneuve-sur-Lot 30-14 avant de s'imposer en finale 38-12 contre Lézignan. Il s'agit du cinquième titre de Championnat de France de l'histoire du club.

Ce doublé du club vient au bon moment puisque son ambition reste d'intégrer en 2016 la Super League et d'y rejoindre les Dragons Catalans (unique franchise française basée à Perpignan)[4]. Pour ce faire, le club a demandé à la Mairie de Toulouse de rénover le stade des Minimes pour porter sa capacité à plus de 10 000 spectateurs, la décision revient à la Rugby Football League (organisatrice de ce championnat professionnel britannique) qui est prévu pour l'été 2014[5].

2016 - : Retour dans le championnat anglais

Après leur sixième sacre en Championnat de France en 2015 et quatre ans après une première expérience en Championship (anti-chambre de la Super League), le Toulouse olympique XIII représente une candidature pour intégrer le championnat anglais, à savoir le troisième échelon la League 1[6]. Restructurés, les échelons anglais ne fonctionnent plus sous franchise mais avec des promotions et relégations, Toulouse voyant dans ce cas une plus large possibilité d'intégrer un jour la Super League selon son président Bernard Sarrazain[7]. Cette première saison 2016 en League 1 est une véritable réussite sportive puisqu'en saison régulière, Toulouse remporte dix-neuf des vingt matchs ajouté à un match nul. Invaincu, il se présente en finale contre les Hornets de Rochdale, son dauphin en saison régulière. Toutefois, cette finale tourne à l'avantage de Rochdale qui s'impose 24-22. Finalement, Toulouse décroche le deuxième billet pour la promotion en Championship après ses victoires contre York (62-10) et Barrow (32-22).

De nombreux joueurs du club sont présents lors de la Coupe du monde 2017 : Bastien Ader, Clément Boyer et Mark Kheirallah (France) ainsi que les frères Andrew et Kane Bentley (Écosse).

Le club flirte avec les premières places du classement du Championship les saisons suivantes, se classant souvent deuxième au classement, mais échoue aux portes de la promotion en Superleague en 2018.

Pour l'année 2019, un observateur britannique, Garry Schofield, espère que le club consolide sa position de leader dans le championnat , car Toulouse « apporte beaucoup à la compétition » mais pense que le club ne pourra pas atteindre encore la Super League[8].

Non-participation à la Coupe d'Angleterre en 2019

Le club, comme celui de Toronto, n'est pas admis à disputer la compétition en 2019. En effet, craignant que le bon parcours de l'équipe ne provoque un manque à gagner en billetterie, la RFL lui demande, comme aux clubs de Toronto et des Dragons catalans, la somme de 750 000 £ pour participer à l'édition de 2019. Le club, comme Toronto, refuse de régler cette somme, qui représenterait des frais importants en sus de ceux que le club doit engager pour la logistique[9].

2019 : un entraînement « de luxe » pour le Toulouse Olympique

En 2019, une des équipes finalistes au Mondial des Clubs , les Sydney Roosters, s'entraînent avec les joueurs du Toulouse Olympique à l'INSEP de Paris. Il s'agit d'une séance commune d'entraînement entre les deux équipes, avant que les Australiens ne disputent la finale contre Wigan le [10]. Cette séance, organisée par un ancien joueur de Toulouse, Trent Robinson[11], est relativement médiatisée[12].

La question du stade dans les années 2019-2020

Le stade Arnauné (ou stade des minimes) est le stade traditionnel du club, mais ce dernier doit l'abandonner provisoirement en 2017 en raison de travaux qui y sont entrepris par la ville de Toulouse. Le club dispute alors ses matchs à Blagnac (Stade Ernest-Argelès) ou de manière exceptionnelle au stade Ernest Wallon , comme pour la réception de Toronto en 2019 ; ce match est non seulement une réussite sur le plan sportif, le club battant largement le leader canadien[13], mais aussi sur le plan financier puisqu'on enregistre environ 6 000 spectateurs[14].

Le club doit « récupérer » son stade traditionnel en 2020, cependant des problèmes de contentieux administratif (annulation de permis de construire) laisse planer un doute sur cette reprise effective de possession à la date prévue[15].


Palmarès

Championnats de France Championnats d'Angleterre Coupe de France Coupe d'Angleterre
  • Élite (1re division)
    • Champion (6) : 1965, 1973, 1975, 2000, 2014 et 2015.
    • Finaliste (6) : 1945, 1946, 1964, 2001, 2005 et 2006.
  • Élite 2 (2e division)
    • Finaliste (2) : 1983, 1993.
  • Championship (2e division)
    • Titre :
    • Saison régulière :
      • Champion : 2021.
      • Vice-champion  : 2019.
    • Phase finale :
      • Vainqueur (1) : 2017 (Championship Shield).
  • League One (3e division)
    • Saison régulière :
      • Champion (1) : 2016.
  • Vainqueur (1) : 2014.
  • Finaliste (6) : 1939, 1962, 1963, 1964, 1968 et 1976.
  • Demi-finaliste (1) : 2005.
  • Huitième de finaliste (1) : 2016.

Joueurs emblématiques

 

Liste des entraîneurs

 

Effectif

Effectif du Toulouse olympique XIII
Equipe première Staff

Entraîneur

Assistants


Légende:
  • (c) Capitaine
  • (vc) Vice-capitaine


Bilan du club toutes saisons et toutes compétitions confondues

Année Saison régulière
Championnat de France
Phase finale
Championnat de France
Coupe de France
Class. Points MJ V. N. D. Pp. Pc. Perf. MJ V. N. D. Pp. Pc. Performance
1997 11e 28 14 7 1 6 Non qualifié 0 0 0 0 0 0
1998 6e 43 22 10 1 11 Quart de finale 2 1 0 1 38 66 Huitième de finale
1999 5e 50 22 15 0 7 Demi-finale 4 2 0 2 95 82 Huitième de finale
2000 4e 51 Champion 5 4 0 1 134 64 Huitième de finale
2001 3e 46 20 13 0 7 Finale 5 3 0 2 133 98 Demi-finale
2002 4e 46 20 13 0 7 Demi-finale 4 2 0 2 79 53 Quart-de-finale
2003 5e 42 Barrage 1 0 0 2 62 77 Demi-finale
2004 3e 55 Barrage 1 0 0 1 20 40 Demi-finale
2005 2e 55 Finaliste 1 1 0 1 62 84 Demi-finale
2006 2e 52 20 16 0 4 832 268 Finaliste 2 1 0 1 63 33 Demi-finale
2007 2e 51 20 15 1 4 643 333 Demi-finale 1 0 0 1 13 24 Huitième de finale
2008 7e 36 20 12 0 8 353 518 1er tour 1 0 0 1 10 40 Quart de finale
Année Saison régulière
Championship
Phase finale
Championship
Challenge Cup
Class. Points MJ V. N. D. Pp. Pc. Perf. MJ V. N. D. Pp. Pc. Performance
2009 10e 30 20 9 0 11 556 582 non qualifié 0 0 0 0 0 0 3e tour
2010 8e 27 20 8 0 12 486 649 non qualifié 0 0 0 0 0 0 4e tour
2011 10e 15 20 4 0 16 358 663 non qualifié 0 0 0 0 0 0 3e tour
Année Saison régulière
Championnat de France
Phase finale
Championnat de France
Coupe de France
Class. Points MJ V. N. D. Pp. Pc. Perf. MJ V. N. D. Pp. Pc. Performance
2012 5e 42 18 12 0 6 442 352 Quart de finale 1 0 0 1 4 28 Quart de finale
2013 5e 35 17 9 0 8 370 305 Demi-finale 2 1 0 1 53 53 Demi-finale
2014 1re 46 20 12 3 5 548 314 Victoire 2 2 0 0 68 26 Victoire
2015 1re 51 20 14 2 4 598 370 Victoire 2 2 0 0 41 32 Quart de finale
Année Saison régulière
League 1
Phase finale
League 1
Challenge Cup
Class. Points MJ V. N. D. Pp. Pc. Perf. MJ V. N. D. Pp. Pc. Performance
2016 1re 41 21 20 0 1 990 276 Victoire[17] 3 2 0 1 116 46 Huitième de finale
Année Saison régulière
Championship
Championship Shield
Championship
Challenge Cup
Class. Points MJ V. N. D. Pp. Pc. Perf. MJ V. N. D. Pp. Pc. Performance
2017 5e 30 23 15 0 8 720 466 Vainqueur 9 6 0 1 340 175 5e tour
Année Saison régulière
Championship
The Qualifiers
Championship/Super League
Challenge Cup
Class. Points MJ V. N. D. Pp. Pc. Perf. MJ V. N. D. Pp. Pc. Performance
2018 3e 33 23 16 1 6 900 438 6e 7 3 0 4 156 190 Non inscrit
Année Saison régulière
Championship
Phase finale
Championship
Challenge Cup
Class. Points MJ V. N. D. Pp. Pc. Perf. MJ V. N. D. Pp. Pc. Performance
2019 2e 40 27 20 0 7 877 446 Finale préliminaire 3 1 0 2 80 82 Non inscrit
2020 Édition annulée et titre non décerné en raison de la pandémie de Covid-19 en France
2021 1er 28 14 14 0 0 698 124 Champion 2 2 0 0 85 24 Non inscrit
Année Saison régulière
Super League
Phase finale
Super League
Challenge Cup
Class. Points MJ V. N. D. Pp. Pc. Perf. MJ V. N. D. Pp. Pc. Performance
2022 - 0 0 0 0 0 0 0 -' 0 0 0 0 0 0
  • Mise à jour le .

Voir aussi

Médias

A la fin des années 1990, le club est l'un des premiers à avoir un site internet officiel sur la toile, avec les clubs de Montpellier, Limoux et la Réole. En effet, le premier site internet officiel du club fut conçu par deux élèves du Lycée Jean-Moulin de Toulouse[18].

En 2017, pour célébrer les 80 ans du Toulouse Olympique, le club prend l’initiative de sortir un livre d'or, « Le Livre d'Or des 80 ans du Toulouse Olympique », qui fait l'objet d'une double publication en « papier »[19] et numérique[20], celle-ci utilisant la réalité augmentée.

Le club est suivi principalement par la Dépêche du Midi. Mais son rang dans le rugby à XIII européen fait que des magazines comme Midi Olympique, Rugby League World et Rugby Leaguer & League Express lui consacrent une couverture conséquente.

Notes et références

  1. Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
  2. Demelin et Campistrous 2008, p. 68
  3. André Passamar, L'encyclopédie de Treize Magazine, Toulouse, Sud-Ouest Presse impression, 2ème trimestre 1984, 169 p. (ASIN B0014I5GK6), « Toulouse, Olympique de », p. 146
  4. Après le doublé, le TO XIII vise la Super League , 20minutes.fr, le 12 mai 2014.
  5. Le TO XIII doit patienter, 20minutes.fr, le 16 mai 2014.
  6. Toulouse double la mise, le Midi Olympique, p. 28, Didier Navarre, le 11 mai 2015.
  7. La League One est un passage obligée, le Midi Olympique, p. 27, Didier Navarre, le 18 mai 2015.
  8. (en) Garry Schofield, « Pulling no punches : 4 Toulouse Olympique », Rugby Leaguer&League Express,‎ , p. 9 (ISSN 0962-1547)
  9. (en) Matthew Shaw et Ash Hope, « Cup Half Empty : The RFL had tongues wagging earlier this month when they subtly annouced that Toronto Wolfpack and Toulouse Olympique would not participating in the Challenge Cup », Rugby League World, no 453,‎ , p. 18-21 (ISSN 1466-0105)
  10. Didier Navarre, « Toulouse : à l'épreuve des Roosters mercredi. », Midi Olympique (édition rouge),‎ , p. 33
  11. P.Ph., « Toulouse va s'entraîner avec les Sydney Roosters », sur lequipe.fr, L’Équipe,
  12. « [Vidéo] Rugby Pack : Spécial Toulouse Olympique – Sydney Roosters », sur Treizemondial.fr,
  13. VA., « Championship : le Toulouse XIII s'invite au stade Ernest Wallon où il bat le leader canadien Toronto », sur france3-regions.francetvinfo.fr,
  14. Jérémy, « Toulouse s’offre le Wolfpack, et avec la manière ! », sur treizemondial.fr,  : « Devant plus de 6000 spectateurs, quelle belle après-midi à Ernest-Wallon ! »
  15. Didier Navarre, « Quel stade pour le TO ? : Depuis 2016, Toulouse délocalise ses matchs à Blagnac. Une solution devrait être proposée à ses dirigeants l'année prochaine », Midi Olympique (édition rouge),‎ , p. 36
  16. le joueur, bien que né en Australie, a porté les couleurs de l'équipe de France
  17. Toulouse ne remporte pas le titre du championnat, étant battu par Rochdale en finale, mais parvient à remporter le match de promotion en Championship.
  18. Pierre Carcau, « Internet : les sites français », Treize Magazine, no 210,‎ , p. 21 (ISSN 0220-5807) :

    « Il est des initiatives qui font plaisir. Comme celle de deux élèves du Lycée Jean-Moulin de Toulouse, qui, sous la direction de leur enseignant Daniel Taillefer, ont conçu un site sur le club de la ville rose »

  19. Toulouse Olympique XIII (préf. Bernard Sarrazain), Livre d'Or des 80 ans du Toulouse Olympique, Toulouse, Art Events Production, , 127 p.
  20. « Livre d'Or des 80 ans du Toulouse Olympique », sur livredorto13.com (consulté le )

Liens externes

Bibliographie

  • [Demelin et Campistrous 2008] Michel Demelin, Quand le XIII enflammait la France : Histoire du rugby, Paris, Éditions Talaïa, , 109 p. (ISBN 2-9522036-7-9) Document utilisé pour la rédaction de l’article