« Élégies de Lygdamus » : différence entre les versions
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Les '''''élégies de Lygdamus''''', ensemble de six [[élégie]]s que la tradition nous a transmises dans le cadre du troisième livre du ''Corpus Tibullianum''. La paternité de [[Tibulle]] sur cette œuvre, largement admise<ref>{{Ouvrage|langue=Fr|auteur1=Tibulle (édition de Max Ponchont)|titre=Elégie|passage=p.121|lieu=Paris|éditeur=Budé|date=1924}}</ref> jusqu'au début du {{XIXe siècle}}, {{refnec|n'est plus acceptée par personne depuis}}. Et il est vrai que sa médiocre qualité n'ajoute rien à la gloire du chantre de Délie. D'après [[Léon Herrmann]], l'œuvre doit être attribuée à [[Césius Bassus]]<ref>''L'Âge d'argent doré'', [[Presses universitaires de France]], [[1951]]</ref>. |
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== Notes et références == |
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Version du 29 octobre 2022 à 22:50
Les élégies de Lygdamus, ensemble de six élégies que la tradition nous a transmises dans le cadre du troisième livre du Corpus Tibullianum. La paternité de Tibulle sur cette œuvre, largement admise[1] jusqu'au début du XIXe siècle, n'est plus acceptée par personne depuis[réf. nécessaire]. Et il est vrai que sa médiocre qualité n'ajoute rien à la gloire du chantre de Délie. D'après Léon Herrmann, l'œuvre doit être attribuée à Césius Bassus[2].
Notes et références
- Tibulle (édition de Max Ponchont), Elégie, Paris, Budé, , p.121
- L'Âge d'argent doré, Presses universitaires de France, 1951