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=== Typologie ===
=== Typologie ===
Bry-sur-Marne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'[[Institut national de la statistique et des études économiques|Insee]]<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le {{date-|14 novembre 2020}} en comité interministériel des ruralités.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|url=https://www.observatoire-des-territoires.gouv.fr/typologie-urbain-rural|titre=Typologie urbain / rural|site=observatoire-des-territoires.gouv.fr|consulté le= 6 avril 2021}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|url=https://www.insee.fr/fr/metadonnees/definition/c1472|titre=Commune urbaine - définition|site=le site de l’[[Insee]]|consulté le= 6 avril 2021}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|url=https://www.observatoire-des-territoires.gouv.fr/methodes/methode-comprendre-la-grille-de-densite|titre=Comprendre la grille de densité|site=observatoire-des-territoires.gouv.fr|consulté le= 6 avril 2021}}.</ref>.
Bry-sur-Marne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'[[Institut national de la statistique et des études économiques|Insee]]<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le {{date-|14 novembre 2020}} en comité interministériel des ruralités.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|url=https://www.observatoire-des-territoires.gouv.fr/typologie-urbain-rural|titre=Typologie urbain / rural|site=observatoire-des-territoires.gouv.fr|consulté le= 6 avril 2021}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|url=https://www.insee.fr/fr/metadonnees/definition/c1472|titre=Commune urbaine - définition|site=le site de l’[[Insee]]|consulté le= 6 avril 2021}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|url=https://www.observatoire-des-territoires.gouv.fr/methodes/methode-comprendre-la-grille-de-densite|titre=Comprendre la grille de densité|site=observatoire-des-territoires.gouv.fr|consulté le= 6 avril 2021}}.</ref>.
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==== Transports en commun ====
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* Par RER : [[Ligne A du RER d'Île-de-France|RER A]] gare de [[Gare de Bry-sur-Marne|Bry-sur-Marne RER]], sur la branche '''A4''' de [[gare de Marne-la-Vallée - Chessy|Marne-la-Vallée - Chessy]]
* Par RER : [[Ligne A du RER d'Île-de-France|RER A]] gare de [[Gare de Bry-sur-Marne|Bry-sur-Marne RER]], sur la branche '''A4''' de [[gare de Marne-la-Vallée - Chessy|Marne-la-Vallée - Chessy]]
* Par bus : {{Bus RATP/correspondances avec intitulé|120|210|220|520}}
* Par bus : {{Bus RATP/correspondances avec intitulé|120|210|220|520}}

Version du 3 décembre 2023 à 15:36

Bry-sur-Marne
Bry-sur-Marne
La mairie.
Blason de Bry-sur-Marne
Blason
Bry-sur-Marne
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-de-Marne
Arrondissement Nogent-sur-Marne
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Paris-Est Marne-et-Bois
Maire
Mandat
Charles Aslangul
2020-2026
Code postal 94360
Code commune 94015
Démographie
Gentilé Bryards/Bryardes
Population
municipale
17 400 hab. (2021 en augmentation de 4,86 % par rapport à 2015)
Densité 5 194 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 28″ nord, 2° 31′ 20″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 100 m
Superficie 3,35 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Villiers-sur-Marne
Législatives 5e circonscription du Val-de-Marne
Localisation
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Bry-sur-Marne
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Bry-sur-Marne
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Bry-sur-Marne
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Bry-sur-Marne
Liens
Site web https://www.brysurmarne.fr/

Bry-sur-Marne est une commune française située dans le département du Val-de-Marne, en région Île-de-France.

Desservie par une station du RER A (Bry-sur-Marne RER), Bry-sur-Marne fait partie du secteur 1 de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée, Porte de Paris avec Noisy-le-Grand et Villiers-sur-Marne.

Elle devient connue en partie grâce aux Studios de Bry-sur-Marne et à l'Institut national de l'audiovisuel (INA).

Géographie

Localisation

Situation de Bry-sur-Marne dans le déârtement

Bry-sur-Marne est située dans le grand Bassin parisien, entre les villes du Perreux-sur-Marne à l'ouest, de Noisy-le-Grand au nord, de Villiers-sur-Marne à l'est et de Champigny-sur-Marne au sud.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Neuilly-Plaisance, Noisy-le-Grand, Champigny-sur-Marne, Le Perreux-sur-Marne et Villiers-sur-Marne.

Hydrographie

Le château du Rancy, inscrit aux monuments La commune est bordée au nord et à l'ouest par la Marne. Deux îles font partie du territoire de la commune :

Climat

Le climat bryard est identique à celui de Paris : tempéré, de type océanique.

Urbanisme

Grande Rue, le centre commercial de Bry ; à droite, l'office du tourisme et (juste en dehors de l'image) le Musée Adrien-Mentienne.
Carte des infrastructures de transport en 2016
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Typologie

Bry-sur-Marne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[4] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[7],[8].

Morphologie urbaine

Logement

Habitat et logement

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 7 804, alors qu'il était de 7 318 en 2015 et de 6 884 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 91,3 % étaient des résidences principales, 2,8 % des résidences secondaires et 5,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 35,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 61,6 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bry-sur-Marne en 2020 en comparaison avec celle du Val-de-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,8 %) supérieure à celle du département (1,9 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 64,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (70,8 % en 2015), contre 44,8 % pour le Val-de-Marne et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Bry-sur-Marne en 2020.
Typologie Bry-sur-Marne[I 1] Val-de-Marne[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 91,3 92,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,8 1,9 9,7
Logements vacants (en %) 5,9 5,8 8,2

HLM : en 2019, la commune était encore très loin des objectifs légaux de la loi SRU, avec seulement 18,03% de HLM (https://94.citoyens.com/2020/logement-social-en-val-de-marne-10-villes-sanctionnees,22-12-2020.html


Projets d'aménagements

Ligne 15/RER E : Gare de Bry-Villiers-Champigny

La future gare de Bry-Villiers-Champigny est une future station de RER/Métro qui ouvrira vers fin 2024 sur la future ligne (M)(15) et assurera la correspondance vers 2025 sur le (RER)(E).

La gare sera implantée dans l'ouest de la commune de Villiers-sur-Marne, dans le sud de Bry-sur-Marne et de la R10 et dans le nord de Champigny-sur-Marne. Elle devrait passer à proximité du chemin des Bouteraines (Villiers-sur-Marne). Le futur bus Altival (qui doit relier la gare de Sucy-Bonneuil à celle de Noisy-le-Grand - Mont d'Est sans pour autant passer par Paris) devrait desservir la gare de Bry-Villiers-Champigny dès son ouverture. La gare de Bry-Villiers-Champigny permettra de se rendre à Sucy - Bonneuil en 3 minutes et la future gare de Villejuif - Institut Gustave Roussy en 14 minutes seulement. La gare du (RER)(E) devrait être en extérieur avec un abri voyageur en hauteur et la ligne (M)(15) devrait être une gare souterraine.

Voies de communication et transports

Voies routières

Il existe une piste cyclable qui longe les bords de la Marne[Quand ?].

Transports en commun

RER en Bry-sur-Marne RER.

Dans le futur, la commune sera desservie par :

Toponymie

Panneau d'entrée dans la ville.

*

La ville est mentionnée sous son le nom de Brie dans « une charte de Charles le Chauve datant de 861 » - première trace écrite attestant son existence[9].

Le nom de Bry, selon le site officiel de la ville, « vient du celtique Briw signifiant pont ou passage traversant un cours d'eau »[9].

Histoire

Préhistoire et antiquité

Le site de l'actuelle ville est habité depuis le Néolithique. Les plus anciens restes humains, découverts dans la cour de l'école primaire, remontent au Ve siècle av. J.-C.

Bry a également été le site d'une nécropole datant de la Gaule romaine et de l'époque mérovingienne..

Moyen Âge

Le village primitif s’est formé au Moyen âge autour d’un port et d’un bac que les seigneurs de Bry exploitaient à l’emplacement du pont actuel, et comprenait le château seigneurial, l'église édifiée en 1130, ainsi que quelques demeures bourgeoises et masures paysannes installées le long des actuelles Grande Rue, rue du Four et du bas de l’avenue du Général Leclerc[10].

Temps modernes

Dans les années 1690, Nicolas de Frémont, marquis d'Auneuil, entreprend la construction du château de Bry[réf. nécessaire].

Époque contemporaine

Le premier pont de Bry est construit en 1831[10].

En 1842, l'église se voit dotée du diorama en trompe-l'œil de Louis Daguerre

En 1859, l’ancien domaine seigneurial de Bry, qui s’étendait alors sur les deux tiers de la commune, est loti par les héritiers de la défunte châtelaine de Bry, Geneviève de Rigny. Intervenant à la même époque que la construction que la construction du viaduc de Nogent-sur-Marne, amène d'importantes transformations de la commune, qui perd sa fonction agricole pour devenir résidentielle[10].

L'actuelle mairie est construite en 1866.

Lors de la Guerre franco-allemande de 1870, au cours du Siège de Paris, la bataille de Champigny qui a lieu du (30 novembre au se déroule en partie sur le territoire de la commune. Elle en sort dévastée. Plusieurs monuments rappellent ces évènements tragiques.

En 1873 est construit le second pont de Bry, dont le péage est supprimé en 1884[10].

Le chemin de fer traverse Bry en 1928 (Ligne de la grande ceinture de Paris), mais la gare de voyageurs n'est construite qu'en 1932. Elle ne sera ouverte au trafic voyageurs que jusqu'en 1939.

La ville est desservie par les tramways de la ligne 3 des chemins de fer nogentais dès 1888. Après l'absorption des Nogentais par la STCRP, la ligne prend en 1921 le no 120 et dessert Porte de VincennesBois de VincennesNogent-sur-MarneLe Perreux – Bry–sur–Marne – Noisy-le-Grand, jusqu'à sa suppression dans les années 1930 [11],[12].

En 1928 est construite la Grande ceinture complémentaire, ainsi qu'est mené l'aménagement du boulevard Pasteur[13]

Les opérations d'urbanisation se poursuivent à la fin du XIXe siècle : lotissement de La Pépinière (1892), du parc du château (1896) de la Garenne (1899), principalement comme résidences secondaires de parisiens aisés qui profitent de la proximité de la capitale et des paysages des coteaux et les bords de Marne[10].

L'actuel Pont de Bry est ouvert en 1938[10].

La construction de l’hôpital Saint-Camille, commencée en 1936, est interrompue par la Seconde Guerre mondiale, puis reprise en 1946. Il est inauguré en 1952 et agrandi en 1963[14].

Jusqu'aux années 1950, l'agriculture est encore présente à Bry, notamment aux coteaux et sur le plateau avec de nombreux vergers. Les transformations urbaines se poursuivent avec la mise en chantier de la Cité de la télévision (1972), l’aménagement des Maisons Rouges et la construction des résidences Site et Parc (1959), Beau Site (1965) et Bry Pasteur (1966), puis l'aménagement de zones d'aménagement concerté (ZAC des Fontaines Giroux, des Coudrais, du Colombier, des Armoiries et des Graviers)[10]

Bry est connectée à l'autoroute A4 en 1970, et à la ligne A du RER d'Île-de-France en 1977[9].

Pour davantage d'informations sur l'histoire urbaine et le patrimoine de Bry-sur-Marne, voir l'ouvrage publié dans la collection Images du Patrimoine du ministère de la Culture : Inventaire général du patrimoine culturel, Région Île-de-France. Isabelle Duhau (réd.) ; Stéphane Asseline (photogr.). Bry et Champigny, dans les méandres de la Marne. Lyon : Lieux Dits, 2007[15]. Voir également les bases de données nationales du ministère de la Culture : Mérimée pour l'architecture, Palissy pour les objets mobilier et Mémoire pour l'iconographie[16].

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Jusqu’à la loi du 10 juillet 1964[17], la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais au Val-de-Marne à la suite d'un transfert administratif effectif le .

La commune était historiquement le chef-lieu du canton de Bry-sur-Marne. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Villiers-sur-Marne.

Intercommunalité

La commune n'était membre, jusqu'en 2015, d'aucune intercommunalité à fiscalité propre.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[18].

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).

La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Paris-Est-Marne et Bois[19].

Tendances politiques et résultats

Élections présidentielles

Résultats des deuxièmes tours :
Référendums

Élections législatives

Résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes

Résultats des deux meilleurs scores

Élections régionales

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections cantonales et départementales

Résultats des deuxièmes tours :

Élections municipales

Résultats des deuxièmes tours :

Liste des maires

Depuis la Libération, sept maires se sont succédé à la tête de la commune.

Liste des maires depuis 1944[21]
Période Identité Étiquette Qualité
août 1944 mai 1945 Paul Gilles Charles Leprêtre    
mai 1945 1953 Edmond Maurice Petit RPF Marchand d'articles de sport
Était capitaine dans les Forces françaises libres
1953 1965 Paul Désiré Barilliet UNR  
1965 mars 1989 Étienne Audfray[22] CD puis
UDF-CDS
Artiste sculpteur[23]
Conseiller général de Bry-sur-Marne (1982 → 1994)
mars 1989[24] mars 2000 Jacques Lasne RPR Conseiller général de Bry-sur-Marne (1994 → 2001)
Démissionnaire[25]
mars 2000[26] juillet 2020 Jean-Pierre Spilbauer UMP
puis DVD
Vétérinaire, premier adjoint (1995 → 2000)
Conseiller régional d'Île-de-France (2010 → 2015)
Vice-président de l'EPT Paris-Est Marne et Bois (2016 → 2020)
Maire par intérim d'août à décembre 1996
juillet 2020 En cours Charles Aslangul LR Avocat
Vice-président de l'EPT Paris-Est Marne et Bois
Conseiller métropolitain Grand Paris (2020 → )

Ville internet

En 2008, la commune de Bry-sur-Marne a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[27].

Crue de la Marne sous la neige, à Bry en février 2018.

Politique environnementale

Jumelages

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[28],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 17 400 habitants[Note 4], en augmentation de 4,86 % par rapport à 2015 (Val-de-Marne : +3,13 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
425417414358379378362387412
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4117038459179721 0501 3301 4371 699
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1252 7332 9493 4684 4175 1665 1825 1006 660
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
9 04611 67212 27012 16813 82615 00014 98515 98716 717
2021 - - - - - - - -
17 400--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

Bry-sur-Marne est située dans l'académie de Créteil.

Un lycée international polyglotte de 1 500 places construit sur les communes de Noisy-le-Grand et de Bry-sur-Marne a ouvert ses portes à la rentrée 2015. La commune héberge le collège Henri-Cahn attenant à l'école élémentaire Henri Cahn, et l'institut privé Saint-Thomas dans le château de Bry (primaire et collège), le groupe scolaire Paul-Barillet dans les « Hauts de Bry » (maternelle + élémentaire), le groupe scolaire Louis-Daguerre (maternelle + élémentaire), la maternelle Jules-Ferry et les écoles Etienne De Silhouette maternelle et Etienne De Silhouette élémentaire (anciennement « écoles de la Pépinière »).

Collège Henri-Cahn

Il tient son nom d'un maire de la ville qui, en 1929, fit construire un groupe scolaire, au confort moderne pour l'époque[31].

Collège public, il accueille près de 700 élèves, répartis en 26 divisions[32].

Après des classes bilangues[33] - en allemand puis espagnol - une section internationale portugais s'y est ouverte à la rentrée 2018[34].

La ville de Bry-sur-Marne appartient au secteur de l'académie de Créteil ; ainsi les lycées « de secteur » sont les lycées Édouard-Branly et Louis-Armand à Nogent-sur-Marne, Pablo-Picasso à Fontenay-sous-Bois et Paul-Doumer au Perreux-sur-Marne.

Conseil Municipal des Jeunes (CMJ)

La ville de Bry-sur-Marne est composé d'un Conseil Municipal des Jeunes ( comme d'un Conseil Municipal des Seniors) qui accueille les jeunes bryards et bryardes de 14 à 17 ans pour s'investir sur des projets, proposés par leurs soins et votés lors d'assemblées plénières, sur la ville et/ou en dehors, et leur apprendre à gérer un budget défini à l'année. Le CMJ est aussi appelé à participer à des manifestations annuelles comme le dépôt de gerbes lors des commémorations. Tout ceci sur la base du volontariat et, ce, pendant un an. Le CMJ est composé de 5 sphères, votées lors d'un week-end d'imprégnation: Communication, Événementiel, Grands Projets, Éco-urbanisme et Sociale, dans lesquelles les jeunes s'inscrivent comme ils le souhaitent, ils peuvent faire partie de toutes les sphères comme d'une seule. Ils sont supervisés par un coordinateur qui les accompagne sur les différentes actions et réalise les démarches administratives liées aux projets[35]. Le CMJ de Bry-sur-Marne participe aussi à l'ANACEJ dans le but de discuter avec d'autres CMJ & CME (Conseil Municipal d'Enfants) sur des thématiques variées et d'actualités tels que l'écologie, ou bien la remise des prix pour les projets marquants de l'année[36].

Manifestations culturelles et festivités

  • L'école municipale de musique Hector-Berlioz classée conservatoire à rayonnement communal, participe à de nombreuses manifestations artistiques dans Bry-sur-Marne et les communes voisines.
  • Le Bry Harmonie Orchestra (l'orchestre municipal) organise chaque année la « Céciliade » à l'occasion de la Sainte-Cécile, patronne des musiciens. Cette fête regroupe tous les ans de nombreuses associations musicales dans un même projet de concert.
  • Le concert des « violons de Bry », sous la direction de Pascal Oddon (premier prix du conservatoire de Paris), regroupe les 100 membres de l'association pour un concert annuel.
  • De grandes animations sont organisées chaque année pour la fête de la musique, sur la place Devinck ainsi que dans le square de Lattre-de-Tassigny.
  • Chaque année de mi-novembre à mi-décembre se tient à l'hôtel de Malestroit le « Salon national des artistes animaliers ».
Panneau central du diorama dans l'atelier de restauration, septembre 2007.
  • Au premier trimestre de l'année, se tient le salon de Bry où sont présentés une majorité d'artistes bryards.
  • Une initiative particulière concerne l'animation culturelle en créant des séquences nommées « Arts hors les murs », où les œuvres sont exposées par vagues de deux mois chez les artisans, les commerçants et tout lieu ouvert au public.

Santé

  • L'hôpital de proximité Saint Camille, établissement à but non lucratif, dispose de 270 lits et places et couvre la plupart des spécialités médicales et chirurgicales. Il dispose d'un accueil d'urgence des patients ouvert 24 heures sur 24[37].
  • L'hôpital privé de Marne La Vallée géré par la Ramsay Santé est également situé dans la commune.

Sports[38]

Le Parc des Sports des Maisons rouges de Bry-sur-Marne.

Médias

Cultes

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 43 832 , ce qui plaçait Bry-sur-Marne au 1 093e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[40].

Emploi

Entreprises et commerces

Le plus gros employeur est l'INA qui a son siège social dans les hauts de Bry-sur-Marne où plus de 1 000 personnes y sont employées.

Les studios de Bry hérités de la SFP, les plus modernes et plus grands studios de cinéma de France avec 8 plateaux de tournage et ateliers répartis sur 13 ha, sont repris par le groupe Transpalux en 2015[41],[42] puis acquis par AXA IM et Guillaume de Menthon en 2023[43].

Culture locale et patrimoine

Monuments et lieux touristiques

Patrimoine culturel

Le Musée Adrien Mentienne

Le Diorama de Louis Daguerre

Place Daguerre.

L'église Saint-Gervais-Saint-Protais de Bry-sur-Marne conserve le seul exemplaire restant des dioramas peints par Louis Daguerre.

L'effet de diorama

La toile peinte par Louis Daguerre (co-inventeur de la photographie et inventeur du daguerréotype) représente un intérieur d'église gothique. Cette œuvre, véritable tableau animé, est surtout exceptionnelle par son système de transparences et par le traitement scientifique des couleurs qui filtrent la lumière.

La toile, peinte sur ses deux faces, une en effet « jour » et l'autre en effet « nuit », se transforme au fur et à mesure de la journée en fonction des variations de la lumière.

Des spécialistes au chevet de l'œuvre

En raison du vieillissement des matériaux et de restaurations inadaptées, le diorama était très fortement dégradé. Sa restauration a été confiée à une équipe de restaurateurs : Dominique Dollé (mandataire), Alain Roche, Ariel Bertrand, Bertrand Bedel de Buzareingues et Sophie Deyrolle, qui ont participé à la restauration de la Galerie des Glaces à Versailles. Jacques Moulin, architecte en chef des Monuments historiques, en a assuré la maîtrise d'œuvre[45]. Grâce à un procédé élaboré sur mesure, l'œuvre a pu retrouver une partie des effets illusionnistes originaux.

Les partenaires du renouveau de Daguerre

L'association bryarde Louis Daguerre, le magicien de l'image est chargée de la collecte des fonds. Elle démarche pour cela tous les partenaires potentiels, publics et privés. Jusqu'à sa dissolution demandée par le Maire Monsieur Spilbauer, son président était l'un des rares daguerréotypistes contemporains.

Francis Olschafskie, chercheur à l'université de Boston, a conçu gracieusement le site de l'association. Une Webcam permet au public de suivre en direct la restauration. Cet expert explique l'engouement américain pour Daguerre:

« Aux États-Unis, l'avènement des nouveaux moyens de photographier a relancé la recherche sur les photographies anciennes ; Le diorama est au cœur de quatre domaines : la photographie, le théâtre, le cinéma et la technologie. »

L'École nationale supérieure Louis-Lumière (Noisy-le-Grand), spécialisée dans le cinéma, va réaliser des documentaires sur la restauration.

Le mécène américain du diorama

La fondation Getty a versé 200 000 dollars (environ 138 000 euros) pour la restauration du diorama de l'église Saint-Gervais-Saint-Protais. La fondation Getty finance dans le monde entier des projets pour la sauvegarde d'œuvres d'art ; elle regroupe d'éminents spécialistes dans le domaine de l'histoire de l'art. Recevoir un versement de cette prestigieuse institution signifie donc que la pièce concernée est de grande qualité et le dossier technique sans faille. Désormais, la restauration du diorama bénéficie donc du label "soutenue par la fondation Getty". Ce sésame devrait ouvrir la porte à d'autres financements.

Afin de les obtenir, la Ville compte bien continuer à appliquer la même recette. En 2007, le maire s'est ainsi rendu à New York, Boston, Rochester et Los Angeles pour plaider la cause du diorama.

La ville peut s'appuyer sur la notoriété de Daguerre aux États-Unis pour trouver de nouveaux mécènes. En effet, au pays des grands studios, le co-inventeur de la photographie avec Niepce, est également considéré comme étant à l'origine du cinéma. L'effet d'animation propre au diorama ne fait que renforcer ce crédit.

Bry-sur-Marne dans les arts et la culture

Stanislas Lépine, Vue de Brie-sur-Marne
, 1873
Palais des Beaux-Arts de Lille

Studios d'enregistrement de Bry-sur-Marne

Les Studios de Bry cessent ensuite les enregistrements d'émissions télévisées pour devenir des studios entièrement dédiés aux tournages de films et de séries de fiction.

Personnalités liées à la commune

Maison d'Hortense Bégard
épouse du peintre Pierre Ucciani
tableau de Paul-Désiré Trouillebert
Collection Ucciani-Paris
Maison des parents Bégard
à Bry-sur-Marne
peinte par Paul-Désiré Trouillebert
photo collection Ucciani-Paris
Bouquet de violettes
offert à Hortense Bégard
épouse du peintre Pierre Ucciani
tableau de Paul-Désiré Trouillebert
Collection Ucciani-Paris

Héraldique, logotype et devise

Logo de la municipalité jusqu'en 2021.
Bry-sur-Marne

Les armes de Bry-sur-Marne se blasonnent ainsi :

Le blason a été créé en 1905 par Ferdinand Corinthe Dandois, peintre verrier et héraldiste de Vincennes . de Vincennes, et adoptées par délibération du Conseil municipal en 1905, présidé par M. Jules FAY-LA-CROIX, Maire de l’époque.

À cette période, Bry-sur-Marne était encore une commune rurale, le blason reflète donc cette image. L’écu se divise en quatre parties :

En bas à gauche : on retrouve un pont de bois antique, qui rappelle que l’histoire de la commune est liée à la traversée de la Marne. Le mot « Bry » est d’ailleurs un dérivé du mot gaulois « briva » qui veut dire « pont ». On suppose qu’un premier pont a été bâti à Bry durant l’Antiquité. Il faudra ensuite attendre 1830 pour avoir à nouveau un pont. En haut à gauche : c’est une roue à aube qui évoque l’ancien moulin de Bry, présent sur la commune jusqu’en 1859, entre les îles d’amour et du moulin. Ce moulin d’origine médiévale servait à moudre le blé pour obtenir de la farine et donc nourrir les habitants de la commune. En haut à droite : il y a trois épis de blé qui évoquent la vocation primitive, rurale et agricole de la commune. En 1905, Bry était un village rural de 2 700 habitants où l’on cultivait le blé. Au début du 20e siècle, des champs étaient exploités sur le plateau et sur les coteaux de la ville. En bas à droite : on retrouve l’orme multiséculaire de Bry, planté dès le 15e siècle et abattu en 1904. En effet, auparavant, à l’emplacement de la Mairie il y avait une place publique qui comprenait un alignement de plusieurs dizaines d’ormes. L’orme était la fierté de la commune. C’est aussi un symbole de longévité, qui signifie que l’histoire de Bry est ancienne et qu’elle perdurera encore longtemps. Au-dessus du blason, on retrouve une couronne de tours fortifiées qui signifie que ce blason est un blason de ville. Autour de ce dernier, des motifs floraux : des plantes aquatiques sur la gauche qui symbolisent le lien avec la Marne, et des fruits sur la droite qui rappellent que Bry était à l’époque connue pour ses cultures de prunes. En effet, la « bonne de Bry », variété mise au point au 19e siècle, était réputée pour sa saveur, la terre argileuse étant favorable au développement d’arbres fruitiers. Un ouvrage de botanique la cite même comme l’un des plus beaux fruits du 20e siècle. Enfin, en-dessous du blason, on retrouve la devise de la Ville : « Moult viel que Paris » qui signifie : « Plus vieille que Paris ». Cette devise peut s’expliquer par le fait qu’à la fin du 19e siècle, Adrien Mentienne, Maire de l’époque et archéologue à ses heures perdues, venait de mettre au jour à Bry une vaste nécropole gallo-romaine et mérovingienne dont l’ancienneté permit à la modeste commune de Bry de revendiquer des origines séculaires et ainsi de rivaliser avec Paris ! [53].

Sa devise est « Moult viel que Paris »[53].

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

Site de l'Insee

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  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Bry-sur-Marne - Section LOG T7 » (consulté le ).
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Autres sources

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  24. « AUXERRE (Yonne) : démission socialiste. », Le Monde,‎ (lire en ligne) « BRY-SUR-MARNE (Val-de-Marne) : primaire à droite. M. Jacques Lasne (RPR) présentera une liste où l'on retrouve la totalité des élus RPR du conseil municipal sortant contre celle conduite par le maire actuel, M. Etienne Audfray (UDF-CDS). Conseiller général de 1970 à 1982 (sa victoire sur un élu communiste avait fait basculer le département de gauche à droite), M. Lasne ne s'était pas représenté en 1982 pour raisons professionnelles, transmettant ainsi le témoin à M. Audfray. Aujourd'hui il justifie son retour par une dégradation de la situation locale (accélération des constructions, absence de communication et de concertation, installation de neuf cents parcmètres). M. Lasne qualifie sa candidature de " gestion municipale ", lui refusant l'étiquette de " politique ". Le RPR et le CNI lui ont accordé leurs investitures ».
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  52. « P'tit monstre : les aventures ultra-violentes d'un céréales killer », Le Point, 16 février 2017
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