« Keyla K » : différence entre les versions
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En 2012, elle est oriente en [[journalisme]] et [[communication]] a l'université Mahatma Gandhi à Lambagni d'où elle sort avec une [[Licence universitaire|licence]] en 2014<ref>{{lien web |langue=en |titre=Keyla |url=https://www.voluncorp.com/biographie-154-keyla.aspx |site=voluncorp.com |consulté le=12-11-2023}}.</ref>. |
En 2012, elle est oriente en [[journalisme]] et [[communication]] a l'université Mahatma Gandhi à Lambagni d'où elle sort avec une [[Licence universitaire|licence]] en 2014<ref>{{lien web |langue=en |titre=Keyla |url=https://www.voluncorp.com/biographie-154-keyla.aspx |site=voluncorp.com |consulté le=12-11-2023}}.</ref>. |
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Keyla l’arabe |
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== Parcours musicienne == |
== Parcours musicienne == |
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Dernière version du 6 mai 2024 à 09:49
Pour les articles homonymes, voir Cissé.
| Naissance | |
|---|---|
| Nom officiel |
Kadiatou Cissé |
| Pseudonyme |
Keyla K |
| Formation | |
| Activités |
Musicienne, activiste |
Keyla K de son vrai nom Kadiatou Cissé née à Conakry, est une activiste et musicienne guinéenne.
Biographie[modifier | modifier le code]
Enfance, formations et débuts[modifier | modifier le code]
Keyla K née à Conakry a grandi entre la Côte d’Ivoire et la Guinée.
Keyla K a commencé ses études à Abidjan de la maternelle au primaire, puis elle rentre en Guinée pour poursuivre le cycle primaire.
Elle a fait le collège et une partie du lycée option sciences expérimentales avant de changer d'option pour la terminal au lycée Mahatma Gandhi et option le BAC en 2011.
En 2012, elle est oriente en journalisme et communication a l'université Mahatma Gandhi à Lambagni d'où elle sort avec une licence en 2014[1].
Parcours musicienne[modifier | modifier le code]
En 2014, elle sort son premier single intitule Appelle Moi Keyla et elle se produit sur scène la première fois lors de la journée culturelle de son université en 2014.
En 2016, elle sort sa première mixtape Come Back composée de 5 titres. En 2019, elle sort son premier album My Story[2],[3], puis femme fatale en 2020.
Engagement[modifier | modifier le code]
Elle est chanteuse et se bat contre les violences faites aux femmes, elle fait de son premier album une sorte de biographie et dénonce l’excision.
Autres activités[modifier | modifier le code]
Diplômée de journalisme, Keyla K fait ses débuts pendant une année à Évasion TV et radio avant de stopper en 2016.
Albums[modifier | modifier le code]
- Intro
- 224 (Remix)
- A boro n'bai
- Kho sobai
- Signaler
- Stop à l'excision feat Marema
- Maschuigui dance feat Takana Zion
- Molo molo
- Fi boubou feat Moussa Mbaye
- My strory
Futuring[modifier | modifier le code]
Keyla K a fait des futurings avec des musiciens guinéens, notamment le reggae man Takana Zion, Khady Diop, Moussa Mbaye, mais aussi avec la Sénégalaise Marema.
Concerts[modifier | modifier le code]
Elle a joué en Guinée lors des concerts de Black M, MHD, Aya Nakamura, puis en Afrique de l'ouest notamment au Sénégal.
Distinctions et reconnaissances[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (en) « Keyla », sur voluncorp.com (consulté le ).
- « My story (feat. Takana Zion, Marema & Moussa Mbaye) par Keyla K », sur apple.com (consulté le ).
- « La chanteuse guinéenne Keyla K déterminée à faire valoir le rap féminin », sur gnakrylive.com. ,%20sur%20le%20plan%20international.&text=La%20nouvelle%20star%20guin%C3%A9enne%2C%20il,cin%C3%A9ma%20et%20aussi%20la%20musique
- Hervé Mandina, « Afro-club, le hit des platines avec Amira Abed, Keyla K et Harmonize », sur rfi.fr, RFI Musique, (consulté le ).
