« Parc des Chutes-de-Sainte-Ursule » : différence entre les versions
m →Historique : répétition |
Aucun résumé des modifications |
||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{ébauche|Mauricie|réserve ou zone protégée}} |
{{ébauche|Mauricie|réserve ou zone protégée}} |
||
{{Infobox Aire protégée |
{{Infobox Aire protégée |
||
| nom = Parc des |
| nom = Parc des chutes de Sainte-Ursule |
||
| catégorie iucn = III |
| catégorie iucn = III |
||
| wdpa =307067 |
| wdpa =307067 |
||
Ligne 16 : | Ligne 16 : | ||
| longitude = -73.09528 |
| longitude = -73.09528 |
||
| échelle = |
| échelle = |
||
| référence = <ref>{{Lien web |url=http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/ToposWeb/Fiche.aspx?no_seq=291607 |titre=Parc des |
| référence = <ref>{{Lien web |url=http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/ToposWeb/Fiche.aspx?no_seq=291607 |titre=Parc des chutes de Sainte-Ursule |série=Banque de noms de lieux du Québec |site=Commission de toponymie |consulté le=2 octobre 2011 }}</ref> |
||
| superficie = {{unité|35|ha}} |
| superficie = {{unité|35|ha}} |
||
| création = 1971 |
| création = 1971 |
||
Ligne 27 : | Ligne 27 : | ||
}} |
}} |
||
Le ''' |
Le '''Parc des chutes de Sainte-Ursule''' est un site de randonnée pédestre aménagé situé sur la [[rivière Maskinongé]]. |
||
== Historique == |
== Historique == |
||
Ligne 47 : | Ligne 47 : | ||
{{Portail|Mauricie|Conservation de la nature|Mycologie}} |
{{Portail|Mauricie|Conservation de la nature|Mycologie}} |
||
{{DEFAULTSORT: |
{{DEFAULTSORT:chutes de Sainte-Ursule, Parc des}} |
||
[[Catégorie:Aire protégée du Québec]] |
[[Catégorie:Aire protégée du Québec]] |
||
[[Catégorie:Mauricie]] |
[[Catégorie:Mauricie]] |
Version du 2 avril 2012 à 04:02
Pays | |
---|---|
Province | |
Municipalité régionale de comté | |
Coordonnées | |
Ville proche | |
Superficie |
35 ha |
Type | |
---|---|
Catégorie UICN |
III |
WDPA | |
Création |
1971 |
Site web |
Le Parc des chutes de Sainte-Ursule est un site de randonnée pédestre aménagé situé sur la rivière Maskinongé.
Historique
En 1811 s'établissaient à cet endroit un moulin à scie et une pulperie qui y a été en opération de 1882 à 1907. On y voit maintenant encore les vestiges sur une île située près de l'ancien lit de la rivière. Il y avait de plus des moulins à scie et à pâtes de bois qui furent en activité de 1850 à 1898.
En juillet 2011, le conseil municipal de Sainte-Ursule dévoile son projet de construction d'une centrale hydroélectrique de 1,8 MW sur les chutes[2]. Ce projet a reçu une certaine opposition, dont Julien Mineau, le chanteur de Malajube, qui est résident de la municipalité[3]. Le président du Cercle des mycologues de Montréal, Raymond McNeil, affirme que le site des chutes contient plusieurs espèces rares de champignons et que l'assèchement partielles des chutes pourrait leur nuire[4]. Le conseil abandonne finalement le projet suite à la suite d'un registre empêchant la municipalité à la municipalité l'emprunt du 10 millions $CA. Le registre contenait 383 signatures soit environ 29% de la population de la municipalité[5].
Le site
La rivière se dérobe pour former sept chutes sur une distance de quelques mètres. Se suivent donc: fosse, cascade, gorge et paysage géologique impressionnant dû à l'érosion. Elle a été jadis le lieu d'une activité forestière importante pour la municipalité. Ces sept chutes ont une dénivellation totale de 72 mètres, et la chute la plus importante possède une inclinaison de 45° et a une hauteur de 30 mètres.
-
Pont suspendu au dessus des chutes
-
Vu des chutes le long d'un sentier
Notes et références
- « Parc des chutes de Sainte-Ursule », Banque de noms de lieux du Québec, sur Commission de toponymie (consulté le )
- Guillaume Jacob, « Emprunt de 10 millions $ pour une centrale hydroélectrique », Le Nouvelliste, (lire en ligne)
- Vincent Gauthier, « Le chanteur de Malajube veut sauver les chutes de Sainte-Ursule », Le Nouvelliste, (lire en ligne)
- Louis-Gilles Francoeur, « Un projet de mini-centrale hydroélectrique menace un rare site mycologique », Le Devoir, (lire en ligne)
- Martin Lafrenière, « Pas de centrale à Sainte-Ursule », Le Nouvelliste, (lire en ligne)