« Allain Leprest » : différence entre les versions
m correction de lien |
m correction de lien |
||
Ligne 34 : | Ligne 34 : | ||
=== Les débuts <ref>[http://www.youtube.com/watch?v=fe41CZBxY38 Une interview] d'Allain Leprest (janvier 2003)</ref> === |
=== Les débuts <ref>[http://www.youtube.com/watch?v=fe41CZBxY38 Une interview] d'Allain Leprest (janvier 2003)</ref> === |
||
Né dans une famille modeste (son père est charpentier) où l'on aimait la chanson, Allain Leprest passe une enfance heureuse avec un frère et une soeur. A l'école, il prépare un CAP de peintre en bâtiment essentiellement pour rassurer ses parents, car il sait déjà qu'il se destinera à la chanson. Il écrit des textes dès son adolescence et commence à chanter dans les [[Années 1970 en France|années 1970]] dans des petits lieux de Normandie. En 1978-1979, il monte à Paris dans l'espoir de devenir parolier. Ne trouvant pas d'interprète pour ses chansons, il les chante lui-même à l'occasion de débuts dans des conditions difficiles tout en publiant un ouvrage de poésie intitulé "Tralahurlette" en 1981 (préfacé par |
Né dans une famille modeste (son père est charpentier) où l'on aimait la chanson, Allain Leprest passe une enfance heureuse avec un frère et une soeur. A l'école, il prépare un CAP de peintre en bâtiment essentiellement pour rassurer ses parents, car il sait déjà qu'il se destinera à la chanson. Il écrit des textes dès son adolescence et commence à chanter dans les [[Années 1970 en France|années 1970]] dans des petits lieux de Normandie. En 1978-1979, il monte à Paris dans l'espoir de devenir parolier. Ne trouvant pas d'interprète pour ses chansons, il les chante lui-même à l'occasion de débuts dans des conditions difficiles tout en publiant un ouvrage de poésie intitulé "Tralahurlette" en 1981 (préfacé par Henri [[Tachan]]). |
||
Il éclate lors du printemps de Bourges 1985. Il tourne ensuite dans de nombreuses petites salles, salles qu'ils n'abandonnera jamais durant sa carrière. |
Il éclate lors du printemps de Bourges 1985. Il tourne ensuite dans de nombreuses petites salles, salles qu'ils n'abandonnera jamais durant sa carrière. |
Version du 24 septembre 2012 à 20:32
Naissance | Lestre (Manche) |
---|---|
Décès | Antraigues-sur-Volane (Ardèche) |
Activité principale |
Chanteur Parolier |
Activités annexes | Compositeur, dessinateur |
Genre musical | Chanson française |
Années actives | 1981-2011 |
Labels | TACET |
Influences |
Jean Ferrat Léo Ferré Maurice Fanon |
Allain Leprest, né le dans le Cotentin à Lestre (Manche) et mort le à Antraigues-sur-Volane (Ardèche)[1], est un poète-parolier et chanteur français.
Biographie
Allain Leprest a passé son enfance à Mont-Saint-Aignan près de Rouen ainsi qu'il l'a chanté dans l'une de ses chansons. C'est à Ivry-sur-Seine, où il arrive grâce à Jean Ferrat, qu'il a vécu l'essentiel de sa vie, familiale et artistique. Il est un des premiers invités de Leïla Cukierman qui a créé les « résidences chanson » au théâtre Jean Vilar d'Ivry. De 2000 à 2011, il vit à Ménilmontant.
Auteur de grande qualité, dans la lignée de la chanson poétique de tradition française, souvent comparé à Jacques Brel, il écrit et interprète ses propres chansons, souvent mises en musique par Romain Didier. Accompagné pendant près de 10 ans par le pianiste Jean-Louis Beydon, Leprest sillonne France et alentours. Il est ensuite accompagné au piano par Nathalie Miravette, de 2000 à 2011, ou par Léo Nissim, de 2004 à 2011.
Les débuts [2]
Né dans une famille modeste (son père est charpentier) où l'on aimait la chanson, Allain Leprest passe une enfance heureuse avec un frère et une soeur. A l'école, il prépare un CAP de peintre en bâtiment essentiellement pour rassurer ses parents, car il sait déjà qu'il se destinera à la chanson. Il écrit des textes dès son adolescence et commence à chanter dans les années 1970 dans des petits lieux de Normandie. En 1978-1979, il monte à Paris dans l'espoir de devenir parolier. Ne trouvant pas d'interprète pour ses chansons, il les chante lui-même à l'occasion de débuts dans des conditions difficiles tout en publiant un ouvrage de poésie intitulé "Tralahurlette" en 1981 (préfacé par Henri Tachan).
Il éclate lors du printemps de Bourges 1985. Il tourne ensuite dans de nombreuses petites salles, salles qu'ils n'abandonnera jamais durant sa carrière.
De Saravah à l'Olympia
Allain Leprest fait ensuite un bout de chemin avec Saravah, la plus ancienne maison française de production musicale en activité, créée par Pierre Barouh. Deux albums studio sortiront de cette collaboration. En 1992 tout d'abord, Leprest et Richard Galliano collaborent pour un album, Voce a mano, d'une qualité rarement égalée dans la chanson francophone depuis l'album Les Marquises de Brel. Minimaliste, l'album repose sur le concept "une voix - un accordéon" et est enregistré en prise directe, sans filet. Le talent et la personnalité de Leprest transparaissent dans chacune des chansons. En 1994, nouvel opus, 4e album avec, entre autres, Sur les pointes, Il pleut sur la mer. Ce dernier titre donne son nom à l'album de l'année suivante, témoin de son passage à l'Olympia. Il est alors accompagné par Jean-Louis Beydon au piano, Pascal Le Pennec à l'accordéon, et Olivier Moret à la contrebasse. Le tour de chant débute par Je viens vous voir qui s'achève sur ces mots : « C'est pour l'amour, pas pour la gloire, je viens vous voir… ». Le livret de ce livre-disque de 60 pages est illustré par le photographe Manuel Gipouloux. Parallèlement, Leprest écrit des textes pour d'autres artistes comme Juliette Gréco, Francesca Solleville ou Enzo Enzo.
En 2005, il rejoint le label Tacet de Didier Pascalis, qui produit Donne-moi de mes nouvelles puis les deux albums Chez Leprest hommage de ses amis auteurs et chanteurs, avec, lors de la sortie du premier album, en mars 2007, une soirée au Bataclan et, pour le second, en 2008, une soirée au Casino de Paris. Cantate pour un cœur bleu, ode à la Méditerrannée sur des musiques de Romain Didier avec Enzo Enzo, Romain Didier et Jean-Louis Trintignant sort la même année.
Le dernier album, Quand auront fondu les banquises, arrive en 2009. Eté 2011, un Leprest symphonique était en cours de réalisation quand celui-ci se suicide. Les chansons qu'il n'avait pas enregistrées seront gravées par Enzo-Enzo, Kent, Sanseverino, Christophe, Daniel Lavoie et Romain Didier sous la direction musicale de ce dernier. L'album sort fin 2011.
Quelques mois avant sa mort, Allain Leprest a mis ses affaires en ordre, en confiant à Didier Pascalis par acte notarié, les droits moraux et matériels de son œuvre, en accord avec Sally, Mathieu et Fantine.
Notoriété
Allain Leprest n'a pas bénéficié d'une large reconnaissance des médias télévisés, même s'il passa à plusieurs reprises dans les émissions de Pascal Sevran ainsi que dans l'émission Des mots de minuit[3] de Philippe Lefait. En revanche, dès ses débuts, il a été très régulièrment invité par Jean-Louis Foulquier, dans ses émissions Pollen, et par Isabelle Dhordain, dans Le Pont des artistes (France Inter).
Méconnu du grand public, Leprest est reconnu et admiré par ses pairs et par ses aînés, dont Jean Ferrat, Juliette Gréco, Henri Salvador, Francesca Solleville, Anne Sylvestre, Claude Nougaro. Ce dernier dira de lui :
« C'est bien simple, je considère Allain Leprest comme un des plus foudroyants auteurs de chansons que j'ai entendus au ciel de la chanson française[4]. »
Allain Leprest aura été un auteur prolixe avec plus de 1 000 chansons écrites (mais beaucoup moins d'éditées).
Thèmes de prédilection
Trois thèmes souvent imbriqués, qui font surface dans presque chacun de ses textes, sont au cœur de l'œuvre de Leprest : l'enfance (La Gitane, J'étais un gamin laid, Good bye Gagarine, Nu, etc.), l'amour (Sur les pointes, Arrose les fleurs, Une valse pour rien, On leur dira, etc.) et les gens simples parfois marginalisés (La Dame du dixième, Je viens vous voir, SDF, etc.). Il en résulte des textes à la fois très personnels et très réalistes souvent organisés autour de la narration d'une histoire quotidienne au caractère parfois mélancolique ou nostalgique. Cependant, Leprest lui-même, assure qu'aucune de ses chansons, fût-elle sombre, ne ferme la porte au bonheur.
Vie privée
Allain Leprest a eu deux enfants, Mathieu et Fantine, avec son ex-femme, Sally Diallo, d'origine sénégalo-mauritanienne[5] qu'il a rencontré à la fin des années 1970 à la Fête de l'Humanité.
Engagement politique
Elevé par un père rétif à la hiérarchie et une mère catholique, Allain Leprest a choisi de devenir membre du PCF[6]. Cela ne l'empêche pas de rendre hommage à un personnage comme Antoine Blondin dans une chanson éponyme.
Il a participé, lors de la Fête de l'Humanité 2010, à l'hommage rendu à Jean Ferrat ainsi qu'à l'inauguration, en 2011, de la place portant son nom à Ivry.
Disparition
Atteint d'un cancer des poumons, en rémission, Allain Leprest se suicide le 15 août 2011 à Antraigues-sur-Volane où il était en vacances[7].
Il est inhumé le au cimetière Monmousseau à Ivry-sur-Seine[8].
Hommages littéraires
Leprest et ses chansons sont évoqués dans quatre romans noirs de Roger Martin parus aux Éditions du Seuil et au Cherche Midi pour le dernier titre :
- Le G.A.L., l'égout
- Une affaire pas très catholique
- Un chien de sa chienne
- Les Ombres du souvenir
Son avant-dernier roman, Jusqu'à ce que mort s'ensuive, est dédié à Allain Leprest ainsi qu'à Romain Didier.
Prix et distinctions
Prix
- 1985 : Révélation du Printemps de Bourges
- 1993 :
- Grand Prix de l'académie Charles Cros[9] pour l'album Voce a mano
- Prix spécial de la SACEM aux Francofolies de La Rochelle
- 1996 : Prix Raoul-Breton de la SACEM
- 1999 : Grand Prix national de la musique
- 2008 : Grand Prix de l'académie Charles Cros pour l'ensemble de son œuvre
- 2010 : Grand Prix de poésie de la SACEM[10]
Distinctions
- Chevalier de l'ordre national du Mérite
Discographie
Albums studio
- Mec
- Bilou
- J'ai peur
- Edith
- Good Bye Gagarine
- Dans le sac de la putain
- Y a rien qui s'passe
- La Retraite
- On était pas riches
- Hölderlin Strasse
- Le Bateau espagnol
- La Kermesse
- La Dame du dixième
- Reverras-tu le Sénégal
- Ton cul est rond
- Mont Saint-Aignan
- Le Café littéraire
- Rimbaud
- Fini les baloches
- Saint-Max
- Joséphine et Séraphin
- Y'a quelqu'chos' qui nous manque
- J'étais un gamin laid
- Martainville
- La Java Saravah
- La Gitane
- La Meilleure de mes copains
- Le P'tit Ivry
- Rue Blondin
- Le Cotentin
- Vas-y molo Quasimodo
- Combien ça coûte ?
- Ma puce
- Vingt ans
- Amoureux
- Chanter des fois
- Je viens vous voir
- Mon abat-jour
- C'est peut-être
- Le Copain de mon père
- L'Horloger
- Le Ferrailleur
- Il pleut sur la mer
- Je hais les gosses
- Sur les pointes
- Le Père de la pouille
- Entre Nicole et Nicolas
- Mon zippo
- Joyeux Noël
- Chien d'ivrogne
- D'Osaka à Tokyo
- Frederico
- Je ne te salue pas
- Canal Saint-Martin
- Sacré coco
- Nu
- Rouen
- La Courneuve
- S.D.F.
- Nos statues
- Tu penses à lui
- La colère
- Le poing de mon pote
- Madame
- Mélocoton
- Le dico de grand-mère
- Quand j'ai vu, j'bois double
- Garde-moi la mer
- Qu'a dit le feu qu'elle a dit l'eau
- Donne-moi de mes nouvelles
- Les P'tits Enfants de verre
- Quel con a dit ?
- La Chagrin
- C'est à la fin du bal
- Avenue Louise Michel
- Êtes-vous là ?
- Le Temps de finir la bouteille
- Une valse pour rien
- Les Filles de 60 ans
- Le Mime
- Chanson plouf
- Les Tilleuls
- Nananère
- Pauvre Lelian
- Quand j'étais mort
- Quand auront fondu les banquises
- Arrose les fleurs
- En joue
- Amante ma jolie
- Bow Window
- J'habite tant de voyages
- SOS
- Ménilmanouch'
- Qu'a dit le feu qu'elle a dit l'eau
- On leur dira
- Il pleut sur la mer
- Donne-moi de mes nouvelles
- Le Temps de finir la bouteille
- La Gitane
- Où vont les chevaux quand ils dorment ?
- C'est peut-être
- Martainville
- D'Osaka à Tokyo
- Nu
- Arrose les fleurs
- SDF
- Good Bye Gagarine
- Une valse pour rien
Albums en public
- Introduction
- Je viens vous voir
- Bilou
- Il pleut sur la mer
- Le Père La Pouille
- La retraite
- Mont Saint Aignan
- La Gitane
- Ton cul est rond
- D'Osaka à Tokyo
- Dans le sac à main de la putain
- Le café littéraire
- Y'a rien qui s'passe
- Chien d'ivrogne
- C'est peut-être
- Sacré coco
- Sur les pointes
- Le ferrailleur
- Gens que j'aime
- Nu 3'07
- Mont-Saint-Aignan 3'27
- Saint-Max 4'01
- Edith 3'35
- Bilou 4'19
- Good-bye Gagarine 3'54
- Combien ça coute 3'47
- S.D.F. 4'06
- La Kermesse 4'27
- J'étais un gamin laid 3'03
- J'ai peur 5'09
- C'est peut-être 4'17
- La retraite 4'38
- Tout'c'qu'est degueulasse porte un joli nom 3'14 (interprété par Jean-Louis Foulquier)
Collaborations
- 1992 : Voce a mano, avec Richard Galliano
- 1998 : Pantin Pantine[11], avec Romain Didier et Jean-Louis Trintignant (Le Chant du Monde)
- 2001 : Chez nous aut' à Wazemmes (L'Hymne à Wazemmes), paroles d’Allain Leprest et musique d’Omar Yagoubi, Gorgone Productions, Lille
- 2007 : Chez Leprest, vol. 1[12] : chansons reprises par Olivia Ruiz, Daniel Lavoie, Sanseverino, Michel Fugain, Nilda Fernandez, Jacques Higelin, Enzo Enzo, Loïc Lantoine, Hervé Vilard, Yves Jamait, Mon Côté Punk, Jean Guidoni, Jehan, Fantine Leprest, Agnès Bihl. Accompagné de Romain Didier au piano et d'autres musiciens comme le guitariste Thierry Garcia, Allain Leprest y fait deux apparitions.
- 2009 : Parol' de Manchot, avec François Lemonnier (Le Chant du monde)
- 2009 : Chez Leprest, vol. 2, avec Anne Sylvestre, Amélie-les-Crayons, Adamo, Alexis HK, la Rue Kétanou, Isabelle Mayereau, Francesca Solleville, Gilbert Laffaille, Kent, Gérard Pierron, Claire-Lise, Flow, Gérard Morel, Bruno Putzulu, Clarika, Jean-Louis Foulquier, Romain Didier et Olivia Ruiz qui interprète la chanson qu'elle avait choisie pour le premier album (dans lequel elle chante Tout c'qui est dégueulasse a un joli nom).
- 2009 : Les Bourgeois, accompagné par Jean Corti sur l'album Fiorina de Jean Corti (Mon slip)
Dans Quand auront fondu les banquises (2008), Leprest chante seul sur des mélodies de Romain Didier, Jehan, Hervé Legeay, Daniel Lavoie, Lionel Suarez, Nathalie Miravette et Dominic Cravic. Le titre J'habite tant de voyages est en duo avec Yves Jamait.
Compilations
- Reverras-tu le Sénégal ? 3'15
- Ton cul est rond 2'12
- Mont Saint-Aignan 3'08
- Le café littéraire 2'34
- Rimbaud 4'40
- Fini les baloches 3'07
- Saint Max 3'49
- Joséphine et Séraphin 3'41
- Y'a quelqu' chos' qui nous manque 3'25
- J'étais un gamin laid 3'03
- Martainville 3'39
- Mec 4'05
- Bilou 3'10
- J'ai peur 3'05
- Edith 3'25
- Good bye Gagarine 2'49
- Dans le sac à main de la putain 2'50
- Y'a rien qui s'passe 3'50
- La retraite 3'30
- On était pas riche 3'22
- La kermesse 3'30
- La dame du 10ème 2'38
- Ton cul est rond 2'12"
- Le café littéraire 2'34"
- Rimbaud 4'40"
- Fini les baloches 3'07"
- Y'a quelqu'chos'qui nous manque 3'25"
- J'étais un gamin laid 3'03"
- Bilou 3'10"
- La dame du 10ème 2'28"
- Mec 4'05"
- J'ai peur 3'05"
- Edith 3'25"
- Dans le sac à main de la putain 2'50"
- Y'a rien qui s'passe 3'50"
- La kermesse 3'30"
- La retraite 3'30"
Filmographie
- Allain Leprest, chanteur citoyen, un film de Caroline Anne Marthe (2002, 52 min.)[13]
- En décembre 2007, au Théâtre du Renard (Paris), le cinéaste canadien Damian Pettigrew entame avec Allain Leprest les premières prises de vue d’un long-métrage documentaire sur la vie et l’œuvre du poète-chanteur. Le tournage devait se poursuivre jusqu'à fin 2011, mais l'hommage sera rendu à Leprest à partir de plus de 70 heures d’images tournées en quatre ans[14].
Bibliographie
Œuvres d'Allain Leprest
- Allain Leprest (préf. Henri Tachan, ill. Alain-Michel Boucher), Tralahurlette (poèmes), Rouen, François Creignou Éditeur,
- Allain Leprest (préf. Antoine Sénanque), Allain Leprest : Chants du soir (62 textes), Montreuil-sous-Bois, Éditions Folie d'Encre, coll. « Fictions », , 144 p. (ISBN 9782907337519, présentation en ligne)
Sur Allain Leprest
- Thomas Sandoz (photogr. Francis Vernhet, Philippe Martinet, Christian Verrouil), Allain Leprest : Je viens vous voir (biographie), Saint-Cyr-sur-Loire, Christian Pirot Éditeur, coll. « Chanson Plus », , 280 p. (ISBN 286808187[à vérifier : ISBN invalide], présentation en ligne)
- Véronique Olivares et Michel Reynaud (photogr. TiT), Elles et eux et la chanson, Paris, Éditions Tirésias, coll. « Elles et Eux », , 816 p., 24 cm × 24 cm, 1 CD inclus (ISBN 9782915293449, présentation en ligne)
- Véronique Sauger (préf. Gérard Pierron), Portraits croisés : Francesca Solleville, Allain Leprest, Paris, Éditions Les Points sur les İ, , 160 p., 14,8 cm × 21 cm (ISBN 978-2-35930-035-2, présentation en ligne)
- Véronique Olivares (photogr. TiT), Portraits d'humains qui chantent, Paris, Éditions Tirésias, coll. « Elles et Eux », , 120 p., 15 cm × 15 cm (ISBN 9782915293562, présentation en ligne)
Notes et références
- Mort d'Allain Leprest, France 3 Haute-Normandie
- Une interview d'Allain Leprest (janvier 2003)
- Voir sur le site de l'INA : ina.fr.
- Hélène Hazera, « Portrait », Libération, (ISSN 0335-1793, lire en ligne)
- Biographie d'Allain Leprest par RFI.
- Hommage de Pierre Gosnat sur le site de la ville d'Ivry.
- Communiqué de l'AFP du : « Admiré par Jean Ferrat et auteur de chansons pour Juliette Gréco, le chanteur français Allain Leprest s'est donné la mort lundi à 57 ans à Antraigues-sur-Volane (Ardèche), où ce communiste engagé était en vacances, a annoncé son producteur Didier Pascalis à l'AFP. »
- « Le chanteur Allain Leprest sera inhumé mardi », Ouest France, 17 août 2011, consulté le 17 août 2011.
- Site de l'académie.
- Nécrologie sur lemonde.fr.
- Spectacle pour enfants donné à l'Olympia.
- et album est un projet réalisé par Didier Pascalis, sur une idée de Michel Fugain, sorti fin 2007, avec des invités très divers, dont l'enthousiasme a permis le spectacle du Bataclan, le 12 mars 2008 (la vidéo est jointe à l'album Chez Leprest, vol. 2 sorti en 2009).
- Site de Quidam production.
- Sur le site Le Pays.
Lien interne
Liens externes
- Site officiel de l'artiste sur myspace
- Une interview datant de janvier 2003
- Site de Selkirk sur Allain Leprest
- Site de Papakarlos sur Allain Leprest
- Un hommage à Allain Leprest sur Article XI
- La biographie d'Allain Leprest
- Tacet (sa maison de disques)
- allainleprest.com (des liens utiles & un livre d'or)