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« Francolin somali » : différence entre les versions

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== Description ==
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Ce francolin est un oiseau gros et rond, mesurant environ {{unité|35|cm}} de long pour un poids de {{unité|940|g}}<ref name="BL"/>{{,}}<ref name="MC"/>. Il est gris-brun avec des rayures et des stries blanches sur ses parties inférieures, qui deviennent plus fines vers les parties supérieures et la tête<ref name="BL"/> ; le plumage est plus foncé sur le dos que sur la face inférieure. La nuque a une nuance fauve, tandis que le sommet de la tête est gris<ref name="BL"/>. Le front, les [[Lore (anatomie)|lores]] et le trait oculaire forment un masque noir ; le menton et la gorge sont blanchâtres<ref name="MC"/>. Les yeux sont bruns<ref name="Urban66"/>. Les plumes sur le corps et le cou sont de couleur dorée ou paille en leur centre, avec du brun foncé entourant cette zone et enfin du blanc suivant le bord externe de la plume<ref name="MC"/>. La queue est courte. Le bec est noir avec un peu de jaune sur la mandibule inférieure, et les pattes du Francolin somali sont jaune verdâtre<ref name="BL"/>.


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Version du 9 décembre 2012 à 12:01

Pternistis ochropectus

Pternistis ochropectus
Description de cette image, également commentée ci-après
Schéma du Francolin somali.
Classification COI
Règne Animalia
Embranchement Chordata
Sous-embr. Vertebrata
Classe Aves
Ordre Galliformes
Famille Phasianidae
Genre Pternistis

Espèce

Pternistis ochropectus
Dorst & Jouanin, 1952

Statut de conservation UICN

( CR )
CR B1ab(i,ii,iii,v) :
En danger critique

Statut CITES

Sur l'annexe II de la CITES Annexe II , Rév. du 01/07/75

Le Francolin somali (Pternistis ochropectus) est une espèce d'oiseaux de la famille des Phasianidae. Son plumage est globalement brun-gris, avec des rayures et des stries blanches sur ses parties inférieures, qui deviennent plus fines vers les parties supérieures. L'oiseau a des marques noires sur la tête et une couronne grise. Il mesure 35 cm de long, avec une courte queue, et pèse 940 g. Il peut être trouvé en petits groupes et est extrêmement farouche. Il se nourrit de baies, de graines et de termites, et se reproduit entre décembre et février.

Cet oiseau n'est connu que dans deux sites de Djibouti, dont l'un est en grande partie non étudié. Son habitat naturel est constitué des forêts sèches subtropicales ou tropicales de haute altitude, composées principalement de Genévrier d'Afrique. Ces forêts de genévriers sont en voie de disparaître, et l'oiseau peut être trouvé dans d'autres habitats comme les forêts de buis. Le Francolin somali est considéré comme une espèce « en danger critique d'extinction », ayant subi un déclin de sa population de 90 % en vingt ans. La dégradation de son habitat par les perturbations anthropiques telles que le surpâturage, constitue une grave menace pour la survie de ce francolin. Des efforts sont entrepris pour sa conservation, comme la restauration d'une forêt de genévriers, et des enquêtes de terrain sont faites pour obtenir des chiffres précis de sa population et pour la sensibilisation du public.

Description

Ce francolin est un oiseau gros et rond, mesurant environ 35 cm de long pour un poids de 940 g[1],[2]. Il est gris-brun avec des rayures et des stries blanches sur ses parties inférieures, qui deviennent plus fines vers les parties supérieures et la tête[1] ; le plumage est plus foncé sur le dos que sur la face inférieure. La nuque a une nuance fauve, tandis que le sommet de la tête est gris[1]. Le front, les lores et le trait oculaire forment un masque noir ; le menton et la gorge sont blanchâtres[2]. Les yeux sont bruns[3]. Les plumes sur le corps et le cou sont de couleur dorée ou paille en leur centre, avec du brun foncé entourant cette zone et enfin du blanc suivant le bord externe de la plume[2]. La queue est courte. Le bec est noir avec un peu de jaune sur la mandibule inférieure, et les pattes du Francolin somali sont jaune verdâtre[1].

Les sexes sont semblables, mais les mâles sont en moyenne légèrement plus grands que les femelles et ils possèdent deux ergots proéminents sur les jambes, tandis que la femelle n'en a pratiquement pas[4]. Les femelles ont également plus de roux dans les plumes de leur queue[3]. Le juvénile ressemble aux adultes, mais il est plus terne et barré de chamois plutôt que strié sur les parties inférieures[4].

Aucun autre francolin ne vit dans la région où se trouve le Francolin somali même si le Francolin à cou jaune (Pternistis leucoscepus) vit également à Djibouti. Aussi il ne peut être confondu avec aucun autre oiseau[4].

Écologie et comportement

Le cri d'appel du Francolin somali est une crécelle en erk erk erk-kkkkkkkk qui décroît en un gargouillement[1]. Les oiseaux qui se nourrissent en groupe émettent de petits gloussements[4].

Cette espèce vit en petits groupes et est très farouche, restant souvent dans la végétation dense pour éviter d'être repérée[5], et son écologie est donc très peu étudiée[6]. On pense que le Francolin somali peut migrer des altitudes plus basses aux plus élevées des forêts de genévriers pendant les mois les plus chauds[7]. Son principal prédateur est la Genette commune (Genetta genetta)[3]. L'oiseau est le plus actif entre 6 et 9 heures du matin, et il est le plus susceptible d'être entendu à ce moment de la journée[6]. Après cela, il peut passer la plupart de la journée perché immobile dans un arbre[3], à des hauteurs de 5 à 8 mètres[2]. Il se nourrit de baies, de graines, de termites et de figues. Il gratte le sol pour recueillir les graines et, quand il trouve une zone retournée par les phacochères, retourne un peu la terre pour dénicher les termites[3].

Le Francolin somali est monogame et se reproduit entre décembre et février[8]. Un seul nid est connu, il était situé sur une corniche de montagne et était une dépression peu profonde dans la terre et tapissée d'herbe. Les populations locales disent que la ponte compte généralement 7 à 9 œufs, mais ce chiffre n'est pas confirmé[4].

Répartition et habitat

Répartition du Francolin somali à Djibouti. Les monts Goda sont dans la zone le plus au Sud, à l'Ouest ; les monts Mabla sont au Nord-Est.

Le Francolin somali est endémique de Djibouti, un pays d'Afrique de l'Est, et n'a été vu qu'en deux sites seulement. Le premier se trouve dans les monts Goda de la forêt de Day, à environ 25 km au nord du golfe de Tadjourah[7]. Ce site couvre seulement 14-15 km2 et son habitat est en train de changer[9]. L'autre site est situé dans les monts Mabla, à 80 km au nord de la forêt de Day et reste non étudié[7],[8]. Ce site a davantage été exposé aux perturbations des activités humaines que la forêt de Day, et il est donc considéré moins viable[6]. L'aire répartition totale du Francolin somali est estimée à 58 km2[1].

Ce francolin préfère les bois denses de Genévriers d'Afrique (Juniperus procera), avec une canopée fermée, se trouvant entre 700 et 1 780 m d'altitude[6],[10],[5], de préférence sur un plateau[1]. Cet habitat forestier est mêlé de buis Buxus hildebrandtii et d'oliviers africains (Olea europaea africana)[6]. Ce francolin a été trouvé dans les forêts secondaires, les forêts de buis Buxus hildebrandtii, et dans les boisements d'acacias Acacia seyal[7],[11]. Le Francolin somali peut aussi s'aventurer dans des zones boisées plus ouvertes et dans les oueds après la saison de reproduction[12],[13].

Une grande partie des forêts de genévriers africains a été endommagée ou détruite à cause de l'Homme ; la capacité de ces forêts mortes à abriter le Francolin somali reste inconnue, bien que certains jeunes ont été observés dans ces zones[1]. On pense que les oiseaux réagissent à la destruction de leur habitat en essayant de trouver un habitat aussi proche de lui que possible[13]. Les genévriers disparaissant, c'est le buis Buxus hildebrandtii qui est maintenant l'arbre dominant des zones les plus fréquemment habitées par le Francolin somali[6].

Taxinomie et systématique

Le type du Francolin somali est collecté le 22 février 1952 par le capitaine Max Albospeyre, le commandant militaire du cercle de Tadjourah, dans la Forêt de Day. Celui-ci donne le spécimen au colonel Chédeville, qui l'envoie au Muséum d'histoire naturelle de Paris, où les ornithologues français Jean Dorst et Christian Jouanin décrivent cette nouvelle espèce plus tard dans l'année sous le protonyme de Francolinus ochropectus dans la revue L'Oiseau et la Revue française d'Ornithologie[10]. En juin et septembre 1953, Chédeville collecte quatre autres spécimens, et quelques informations sur l'habitat de l'espèce, que Dorst et Jouanin publient dans un second papier en 1954. Hubert Gillet collecte encore deux Francolins somalis en 1970, et les envoie lui aussi à Paris[14].

L'épithète spécifique du francolin somali est dérivée du latin ochra, « ocre », et de pectus, « poitrine ». Après la description originale, d'autres auteurs proposent le déplacement de l'espèce vers d'autres genres, comme Oreocolinus et Pternistis. Ce dernier compte 23 espèces, et correspond à une tentative de réorganiser le genre Francolinus, qui est passé d'une quarantaine d'espèces à seulement cinq[15],[16]. Bien que certaines autorités ne prennent pas en compte cette scission du genre Francolinus[17],[18], celle-ci est de plus en plus répandue[19],[15].

La distinction de cette espèce a été décrite comme faible par certains auteurs, mais son statut d'espèce à part entière a été maintenu[16],[18]. Le Francolin somali forme une super-espèce avec le Francolin de Jackson (P. jacksoni), le Francolin noble (P. nobilis), le Francolin à cou roux (P. castaneicollis), et le Francolin d'Erckel (P. erckelii). Il est étroitement lié à ces deux dernières espèces et est intermédiaire à eux, tant par sa distribution que par ses caractéristiques morphologiques[16]. Le Francolin de Djibouti n'a pas de sous-espèces reconnues[15],[20].

Le Francolin somali et l'Homme

Relations avec les humains

Localement le Francolin somali porte le nom de gogori en somali, ou de kukaace en afar[21]. La majorité des autochtones des zones abritant l'oiseau croient que l'espèce est importante, soit en raison de sa viande, qui peut être consommée par les musulmans, qui constituent le groupe religieux dominant de la région, soit parce qu'il fait partie du patrimoine naturel de la région. Bien que l'espèce soit rarement consommée aujourd'hui en raison de sa rareté, il y a quelques décennies elle était si commune qu'elle était capturée facilement quand elle s'approchait de villages voisins[6].

Le Francolin Djibouti a été représenté sur deux timbres : l'un de Djibouti de 1989, et un autre du Territoire français des Afars et des Issas, nom que portait alors l'actuel Djibouti, en 1972[22].

Menaces et conservation

Un bois d'Acacia semblable à celui où le Francolin somali est parfois aperçu.

Cette espèce est considérée comme « en danger critique d'extinction » (CR) selon l'UICN[23], car sa population a subi un déclin de plus de 90 % en vingt ans[7]. En 1977, on estimait qu'il existait environ 5 600 oiseaux dans la forêt de Day, qui était alors le seul endroit connu pour abriter le francolin somali. En 1986, ce nombre avait chuté à 1 500 individus[8]. L'espèce est découverte dans les monts Mabla en 1986. Alors que la population des monts Mabla n'a pas encore été étudiée, les effectifs de la Forêt de Day n'ont pas cessé de baisser, et 500 à 1 000 Francolins somalis étaient trouvés en 1998, puis seulement 115 à 135 en 2004. La population totale en 2006 était estimée entre 612 et 723 adultes[8]. Le déclin de la population est difficile à estimer, mais les effectifs semblent décroître de 30 à 49 % toutes les trois générations[1].

Cette espèce est menacée par la destruction de son habitat. Dans la forêt de Day, 95 % de l'habitat de genévriers qu'elle privilégie est mort ou mourant, incapable d'abriter l'oiseau[8]. Même si la cause de cette destruction reste inconnue, le surpâturage par le bétail, les chameaux et les chèvres a dû y contribuer de façon significative, avec la pluie, le changement climatique, et une maladie fongique[8]. La chasse, la collecte de bois de chauffage, la collecte des œufs, et en général les perturbations humaines sont également soupçonnées d'être des menaces[5],[11]. Sur les monts Mabla, l'habitat est aussi dégradé par la collecte de bois de chauffage et par le surpâturage[8].

En 1937, une partie du site de la forêt de Day est devenue le parc national de la Forêt de Day ; cette désignation n'est plus valide[24]. Il y a peu d'études dans la région et sur les questions environnementales et économiques impliquées ; très peu de suggestions faites par les enquêtes existantes ont réellement été mises en œuvre, en partie en raison des troubles à Djibouti depuis le début des années 1990[8]. En mai 2008, 1 000 km2 de forêt près du village de Day ont été plantés pour essayer de restaurer certains habitats du Francolin somali endommagés[5]. Des études sont menées pour déterminer la taille des populations et la répartition actuelle, y compris des plans pour étudier si le site, en grande partie inconnu, des monts Mabla et les zones potentiellement favorables existant au milieu des deux sites connus[1]. En 2009, on estimait que 108 Francolins somalis vivaient dans les monts Mabla[25],[26]. Une campagne de sensibilisation dans les écoles locales a eu lieu en 2008[5] ; des brochures sur l'espèce ont été distribuées largement dans les écoles, les offices de tourisme et dans les départements du gouvernement[27].

Annexes

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Bibliographie

  • (en) Emil K. Urban, C. Hilary Fry et Stuart Keith, The Birds of Africa Volume II, Londres, Academic Press, (ISBN 0-12-137302-9)
  • (en) J. Blot, « Contribution to our knowledge of the biology and ecology of the pale-bellied Francolin Francolinus ochropectus Dorst and Jouanin », Alauda, vol. 63, no 4,‎ , p. 244-256
  • (en) S.Y. Fisher Zomo, Samantha Cartwright, Clive Bealey, Houssein A. Rayaleh, Philip McGowan et E.J. Milner-Gulland, « The Djibouti francolin and juniper forest in Djibouti: the need for both ecosystem and species-specific conservation », Oryx, vol. 43,‎ , p. 542-551 (DOI 10.1017/S0030605309990214)

Références taxinomiques

Liens externes

Notes et références

  1. a b c d e f g h i et j (en) « Djibouti Francolin - BirdLife Species Factsheet », BirdLife International (consulté le )
  2. a b c et d (en) Marshall Cavendish Cooperation, Endangered Wildlife and Plants of the World, Marshall Cavendish Cooperation, (ISBN 0-7614-7199-5, lire en ligne), p. 582–583
  3. a b c d et e Urban, Fry et Keith (1986), p. 66
  4. a b c d et e (en) Steve Madge et Phil McGowan, Pheasants, Partridges and Grouse, Christopher Helm, (ISBN 0-7136-3966-0), p. 223-224
  5. a b c d et e (en) Erik Hirschfeld, BirdLife International, Rare Birds Yearbook 2009, MagDig Media Lmtd, (ISBN 978-0-9552607-5-9), p. 86
  6. a b c d e f et g (en) The decline of the Djibouti francolin and juniper woodland in the Forêt du Day, Djibouti: A response to climate changes and grazing pressure?, World Pheasant Association, (lire en ligne)
  7. a b c d et e (en) Clive Bealey, Djibouti francolin conservation project report on first phase 2004, World Pheasant Association,
  8. a b c d e f g et h (en) Erik Hirschfeld, BirdLife International, Rare Birds Yearbook 2008, MagDig Media Lmtd, (ISBN 978-0-9552607-3-5), p. 86
  9. (en) P.J.K. McGowan, S.D. Dowell, J.P. Carroll et N.J. Aebischer, Partridges, quails, francolins, snowcocks and guineafowl: status survey and conservation action plan 1995-1999, Cambridge, International Union for Nature Conservation and Natural Resources,
  10. a et b Urban, Fry et Keith (1986), p. 65
  11. a et b (en) « Conservation of the Djibouti Francolin », Conservation des Espèces et des Populations Animales (consulté le )
  12. (en) Clive Bealey, Djibouti francolin conservation project second phase 2006, World Pheasant Association,
  13. a et b (en) « Management planning for the Djibouti francolin », World Pheasant Association, (consulté le )
  14. Modèle:Fr+en « Le Francolin de Djibouti », Direction de l'Aménagement du Territoire et de l'Environnement (consulté le )
  15. a b et c Congrès ornithologique international
  16. a b et c (en) « Djibouti Francolin (Francolinus ochropectus) », The Internet Bird Collection (consulté le )
  17. (en) E.C. Dickinson, The Howard and Moore Complete Checklist of the Birds of the World, , 3e éd. (ISBN 0-7136-6536-X)
  18. a et b (en) J.F. Clements, The Clements Checklist of the Birds of the World, Londres, Christopher Helm, (ISBN 978-0-7136-8695-1)
  19. (en) I. Sinclair et P. Ryan, Birds of Africa south of the Sahara, Le Cap, Struik Publishers, (ISBN 1-86872-857-9)
  20. Alan P. Peterson
  21. (fr) « Le francolin, une espèce menacée », La Nation, no 152,‎ (lire en ligne)
  22. (en) « Djibouti Francolin Stamps », Bird Stamps (consulté le )
  23. Union internationale pour la conservation de la nature
  24. (en) G. Magin, « Djibouti », dans L.D.C. Fishpool et M.I. Evans, Important Bird Areas in Africa and associated islands: Priority sites for conservation, Newbury et Cambridge, Pisces Publications and BirdLife International (BirdLife Conservation Series No.11), , p. 233-239
  25. G. Welch, H. Welch et H.A. Rayaleh, Djibouti Francolin Survey March 2009, (lire en ligne)
  26. G. Welch, H. Welch et H.A. Rayaleh, « Extending our knowledge of the Djibouti Francolin », Annual Review of the World Pheasant Association 2008/2009, vol. 30,‎
  27. (en) H.A. Rayaleh, Djibouti Francolin Francolinus ochropectus in Djibouti as part of BirdLife International Preventing Extinctions Initiatives: Interim Progress Report,

Modèle:Lien BA