Jean Anouilh

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Jean Anouilh
Jean Anouilh en 1940.
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 77 ans)
LausanneVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Cimetière de Pully (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
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Domicile
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Conjoints
Enfants
Catherine Anouilh
Caroline Anouilh (d)
Colombe Anouilh d'Harcourt (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
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Association des amis de Robert Brasillach (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Genre artistique
Distinction
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Œuvres principales
signature de Jean Anouilh
Signature
Vue de la sépulture.

ocureur qui a requis, après la guerre, contre tous les collaborateurs ou ainsi présumés[2].

Anouilh dénonce ainsi à nouveau, sous la figure des excès de la Terreur, ceux de l'épuration d'après-guerre, dans un contexte français de montée de la violence en Algérie. Il règle ses comptes, en quelque sorte, avec ceux qui, dix ans plus tôt, l'accusaient d'avoir collaboré. Au-delà, la pièce est un manifeste contre tous les exercices abusifs du pouvoir, quels qu'ils soient, et les critiques contemporains s'accordent sur une vision plus intemporelle de la pièce que celle qui a prévalu à sa création[3].

Tandis que la générale laisse supposer un échec (silence tout au long de la pièce, quelques applaudissements à la fin, un timide rappel, fureur et bagarres à la sortie), la pièce connut un réel succès auprès du public (308 représentations)[3]. De même, dès le lendemain les critiques se déchaînent, accablant Anouilh et voyant notamment dans Pauvre Bitos un pamphlet contre la Résistance[4]. Des voix contraires s'élèvent (notamment dans la presse d'extrême-droite, mais pas seulement), certains autres journaux « comptant les points » et recensant les pour et les contre[3].

Le triomphe de Becket (1959-1961)

Enluminure du XIIIe siècle représentant le meurtre de Thomas Becket.

L'année 1959 est une année importante dans la carrière de Jean Anouilh. Il reçoit le prix Dominique de la mise en scène et fait monter trois nouvelles pièces : L'Hurluberlu ou le Réactionnaire amoureux, La Petite Molière et Becket ou l'Honneur de Dieu. Fidèle à son habitude, Anouilh change plusieurs fois d'avis dans le choix des comédiens pour L'Hurluberlu et fait finalement appel à Paul Meurisse[5]. Les trois pièces remportent l'adhésion du public et de la critique.

Écrite en 1959, Becket ou l'Honneur de Dieu est créée au théâtre Montparnasse-Gaston Baty le , toujours dans une mise en scène de Roland Piétri et de l'auteur lui-même, et toujours également avec des décors de Jean-Denis Malclès. Daniel Ivernel y joue le rôle de Henri II et Bruno Cremer celui de Thomas Becket. La pièce reste presque deux ans à l'affiche et fait immédiatement l'objet de reprises et de tournées. Très rapidement, elle est créée à l'étranger, notamment au Royaume-Uni et aux États-Unis, avec le même succès. En 1964, elle fait l'objet d'une adaptation cinématographique avec Peter O'Toole et Richard Burton dans les rôles principaux, avant de rentrer au répertoire de la Comédie-Française en 1971. Louée quasi-unanimement par la critique, Becket restera comme l'un des plus grands succès de Jean Anouilh[6].

Adaptateur et metteur en scène (1961-1967)

La création de la pièce suivante, La Grotte, est vécue comme un échec par Anouilh. Bien qu'ayant tenu l'affiche quatre mois, elle reçut en effet un accueil plutôt négatif de la critique.

Pendant les six années qui suivent, Anouilh n'écrira plus[7] ou presque. Du moins, aucune des pièces qu'il commencera pendant cette période ne sera montée, les deux pièces qui sont créées en à la comédie des Champs-Élysées, L'Orchestre et La Foire d'empoigne, ayant été écrites les années précédentes. Il se consacre principalement à la mise en scène et à des traductions et adaptations de pièces étrangères.

Ainsi, en 1960, il monte Tartuffe avec, en lever de rideau, un impromptu de sa composition, Le Songe du critique. En 1962, il adapte L'Amant complaisant de Graham Greene avec sa femme Nicole. La même année, il met en scène au théâtre de l'Ambigu Victor ou les Enfants au pouvoir de Roger Vitrac, créé en 1929 par Antonin Artaud et qui rencontre enfin le succès, alors que la pièce n'en avait pas réellement eu jusque-là. En 1963, c'est L'Acheteuse de Stève Passeur qu'Anouilh monte à la comédie des Champs-Élysées. Puis, en 1964, Richard III de Shakespeare au théâtre Montparnasse-Gaston Baty. À cette époque, Pauvre Bitos est montée à l'étranger avec des fortunes diverses : succès en Angleterre, seulement 17 représentations aux États-Unis[3].

À l'occasion du procès de Jacques Laurent en 1965, condamné pour offense au chef de l'État (Charles de Gaulle) en raison de son pamphlet Mauriac sous de Gaulle, Anouilh signe avec une vingtaine d'écrivains, parmi lesquels Jules Roy, Emmanuel Berl, Jean-François Revel ou son ami Marcel Aymé, une pétition contre son inculpation. L'Ordalie ou la Petite Catherine de Heilbronn de Heinrich von Kleist, qu'Anouilh traduit et monte en 1966 au théâtre Montparnasse, est un échec, qui signera la fin des adaptations et de la mise en scène des pièces des autres. Anouilh se consacrera de nouveau à l'écriture et à la mise en scène de ses propres pièces pour l'essentiel.

L'année suivante, au cours de l'été, Anouilh écrit 47 fables, dans l'esprit de celles de La Fontaine, dont certaines seront montées sous forme de spectacle de marionnettes au théâtre de la Gaité-Montparnasse en 1968, sous le titre de Chansons Bêtes[8]. Jean Anouilh se sépare de Nicole à cette époque[9].

Retour au théâtre : douze ans de succès (1968-1980)

Le est créée à la comédie des Champs-Élysées Le Boulanger, la Boulangère et le Petit Mitron. Tous les partenaires des succès passés (et futurs) sont là : Roland Piétri pour la mise en scène, Jean-Denis Malclès pour les décors et les costumes, Michel Bouquet dans le rôle principal (dont ce sera toutefois le dernier rôle dans une création d'Anouilh). Comme cela aura fréquemment été le cas avec Anouilh, la critique est partagée, mais l'accueil du public est favorable[10].

En 1969, sa nouvelle compagne, Ursula Wetzel, une jeune femme suisse, donne à Jean Anouilh son cinquième enfant : une fille, Anouk[11],[12].

Les pièces se succèdent : Cher Antoine ou l'Amour raté en 1969 (avec Jacques François et Hubert Deschamps), Les Poissons rouges ou Mon père ce héros en 1970 (avec Jean-Pierre Marielle et Michel Galabru). En l'espace de deux ans, Anouilh reçoit le prix de la Critique dramatique pour la meilleure création française (Les Poissons rouges), le prix mondial Cino del Duca pour son message « d'humanisme moderne » et le prix du Brigadier de l'Association des régisseurs de théâtre[13]. Toujours en 1971, Anouilh entre au répertoire de la Comédie-Française à l'initiative de Pierre Dux avec Becket, jouée par Robert Hirsch et Georges Descrières[6]. Comblé et malgré les approches de ses confrères, Anouilh refusera l'idée d'entrer à l'Académie française[14].

Les succès se poursuivent avec Ne réveillez pas Madame en 1971, qui tient l'affiche à la comédie des Champs-Élysées pendant presque deux ans (600 représentations)[15] ou Le Directeur de l'Opéra en 1972 avec Paul Meurisse. Créations et reprises alternent au théâtre Antoine, au théâtre des Mathurins et à la comédie des Champs-Élysées. En 1973, il remonte sur le nom de Louis de Funès La Valse des toréadors, une pièce en laquelle il croit beaucoup mais qui avait été assassinée par la critique en 1952[16]. Ayant beaucoup apprécié son Machetu dans Ornifle en 1956, il avait tenté vainement d'écrire une pièce pour de Funès pendant plusieurs années[16]. La manière dont Anouilh met en scène sa pièce déroute l'acteur : il dirige les répétitions de façon trop distante, avec peu d'indications, données une fois la pièce entière jouée, alors que le comédien préfère la méthode de Raymond Rouleau de reprendre chaque réplique[16]. Par ses inventions, qui plaisent au dramaturge, Louis de Funès allonge la durée de pièce[16]. La pièce est un triomphe critique et commercial et tient 198 représentations, jusqu'à ce que le comédien, épuisé, soit rattrapé par des problèmes de santé[16].

En 1974, Anouilh soutient la création de la première (et unique) pièce de son gendre, Franck Hamon de Kirlavos (mari de Caroline)[17]. Bien qu'il ne vive plus à leurs côtés, Anouilh conserve des relations aussi bien avec Monelle Valentin (dont il se préoccupera de la santé jusqu'à sa mort) qu'avec Nicole Lançon, à qui il confie les mises en scène de Monsieur Barnett[18] et de Vive Henri IV ! ou la Galigaï en 1977. Chers zoiseaux, Le Scénario et Le Nombril seront ses trois derniers grands succès à la fin des années 1970 et au début des années 1980.

Anouilh est à nouveau récompensé, par le Grand prix du théâtre de l'Académie française en 1980 et par le Grand prix de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques en 1981.

Dernières années (1980-1987)

En 1980, Anouilh est atteint d'une maladie virale qui lui détruit la thyroïde[19]. En 1983, il est victime d'une crise cardiaque. Très affaibli, il se retire de manière définitive en Suisse, où il vit auprès d'Ursula. Ses pièces continuent à être jouées à Paris, mais Jean Anouilh ne peut plus participer à leur mise en scène. Il écrit jusqu'en 1986 ses souvenirs dans un récit autobiographique, La vicomtesse d'Eristal n'a pas reçu son balai mécanique. En 1987, il reprend son scénario de Thomas More ou l'Homme libre, qui sera publié quelques mois après sa mort. Au début du mois d', il entre à l'hôpital de Lausanne pour une transfusion et renoue avec son fils Nicolas, avec qui il s'était brouillé[20], avant de mourir le .

Œuvres

Théâtre

Il a écrit 47 pièces de théâtre.

À partir de 1942[note 1], Jean Anouilh a classé la majeure partie de son œuvre dramatique par qualificatifs : Pièces roses, Pièces noires, Pièces brillantes, Pièces grinçantes, Pièces costumées, Pièces baroques, Pièces secrètes et Pièces farceuses.

L'auteur traite presque toujours les mêmes thèmes : la révolte contre la richesse et contre le privilège de la naissance, le refus d'un monde fondé sur l'hypocrisie et le mensonge, le désir d'absolu, la nostalgie du paradis perdu de l'enfance, l'impossibilité de l'amour, l'aboutissement dans la mort.
Anouilh ne verse pas dans la pièce à thèse, mais diversifie ses créations depuis la fresque jusqu'à la satire en passant par la tragédie. Il place avant toute chose le jeu théâtral
[réf. nécessaire].

Note: Les dates suivantes sont celles de publication ou à défaut de rédaction.

Pièces roses (1942)

En 1942, Anouilh étrenne ses séries « thématiques » avec les Pièces roses qu'il fait alterner avec les Pièces noires. Ce sont des comédies savoureuses, où l'auteur se laisse aller à sa fantaisie.

Dans l'univers « rose » d'Anouilh, il y a deux catégories de personnages : « les marionnettes », qui sont pour la plupart des vieux ridicules et inconsistants et « les amoureux », des jeunes gens sincères qui croient à leur amour.

Pièces noires (1942)

Nouvelles pièces noires (1946)

Dans l'univers noir d'Anouilh, il y a deux sortes d'hommes qui s'affrontent, « les gens pour tous les jours » et « les héros ».

La race nombreuse des « gens pour tous les jours » comprend deux catégories assez distinctes. D'abord les fantoches, égoïstes et mesquins, plats et vulgaires, vicieux et méchants, contents d'eux-mêmes et de la vie ; ce sont, dans la plupart des cas, les pères et les mères des héros. Ensuite, il y a le groupe des gens dignes et intelligents, mais incapables de grandes aspirations, faits pour une vie tranquille, sans complications.

Les « héros », jeunes pour la plupart, s'opposent également à ces deux groupes nombreux, en rejetant le bonheur commun où ceux-ci se complaisent ; mais ils ne constituent pas une catégorie unitaire. Deux types peuvent être distingués : ceux qui ont un passé chargé, auquel ils cherchent à échapper et ceux pour qui le passé s'identifie au monde pur de l'enfance, qu'ils s'efforcent de conserver intact. Les héros d'Anouilh sont incapables de se débarrasser de leur passé. Ils sont « maudits », ils appartiennent à ce passé. Prisonniers de leur passé, de leur position sociale, de leur pauvreté, ils ne trouvent autre issue que la fuite ou la mort, surtout la mort.

Les Pièces noires Eurydice, Antigone et Médée sont des reprises des mythes connus, mais Anouilh en fait des œuvres modernes, où l'histoire ne joue plus le premier rôle.

Ces pièces frappent dès le début par la familiarité du ton et par le style parlé, parfois vulgaire, très éloigné du style noble et recherché, propre à la tragédie classique. Comme son maître Jean Giraudoux, Anouilh use abondamment de l'anachronisme : on y parle de cartes postales, de café, de bar, de cigarettes, de fusils, de film, de voitures, de courses, etc. De plus, les personnages portent des vêtements du XXe siècle.

.

Pièces brillantes (1951)

Dans Colombe (1951), Anouilh reprend son procédé favori : le « théâtre dans le théâtre ».

Pièces grinçantes (1956)

Après la Libération, la production dramatique d'Anouilh est marquée par les Pièces grinçantes (depuis Ardèle ou la Marguerite jusqu'au Nombril). Son cadre de prédilection y est celui de la comédie satirique, où se meut surtout la race plus ou moins vulgaire des « gens de tous les jours ».

Pièces costumées (1960)

Le meurtre de Thomas Becket (détail du vitrail de la cathédrale de Canterbury).

La race des « héros » réapparaît dans deux Pièces costumées publiées après la Libération, L'Alouette et Becket, ainsi que dans Thomas More ou l'Homme libre sa dernière pièce publiée en 1987, mais on n'y retrouve plus l'univers angoissant de ses premières Pièces noires.

Jeanne d'Arc (L'Alouette), Thomas Becket et Thomas More sont des figures lumineuses qui acceptent de se sacrifier non pas pour des raisons existentielles, mais au nom du devoir : envers la patrie (Jeanne) ou envers Dieu (Becket et More).

Nouvelles pièces grinçantes (1970)

Pièces baroques (1974)

Pièces secrètes (1977)

Pièces farceuses (1984)

Adaptations

Jean Anouilh a adapté et traduit plusieurs pièces d'auteurs étrangers dont :

Mises en scène

Outre son travail d'auteur, Jean Anouilh a aussi travaillé au théâtre comme metteur en scène, le plus souvent en collaboration[21].

Autres œuvres

L'œuvre littéraire de Jean Anouilh comprend un recueil de fables, quelques récits, plusieurs livrets d'opéra ainsi que de nombreux scénarios et adaptations cinématographiques et télévisuelles.

Il est aussi le créateur de la revue La Nouvelle Saison avec Jean-Louis Barrault et René Barjavel en 1939.

Littérature

  • 1962 : Fables
    Anouilh y reprend notamment La Cigale et la Fourmi de Jean de La Fontaine sous le titre La Cigale, mais en renversant le sens.
  • 1987 : La vicomtesse d'Eristal n'a pas reçu son balai mécanique, autobiographie
  • 2000 : En marge du théâtre, recueil d'articles, de préfaces et de présentations de ses œuvres théâtrales, publié de manière posthume, sous la direction d'Efrin Knight.

Cinéma et télévision

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Opéra

  • 1953 : Le Loup, ballet de Henri Dutilleux, argument de Jean Anouilh et Georges Neveux, chorégraphie de Roland Petit, créé au théâtre de l'Empire en
  • 1961 : Colombe, « comédie lyrique » en quatre actes et 6 tableaux de Jean-Michel Damase, livret de Jean Anouilh d'après sa pièce, créée le à l'Opéra de Bordeaux avec Maria Murano, dans une mise en scène de Roger Lalande, décors et des costumes de Jean-Denis Malclès
  • 1970 : Madame de…, « comédie musicale » en deux actes de Jean-Michel Damase, livret de Jean Anouilh, créée le à l'Opéra de Monte-Carlo avec Suzanne Sarroca dans une mise en scène d'André Barsacq
  • 1971 : Eurydice, « drame lyrique » en 3 actes de Jean-Michel Damase, livret de Jean Anouilh d'après sa pièce, créé en 1971 dans le cadre du Festival de mai de Bordeaux puis repris l'année suivante à l'Opéra de Bordeaux
  • 1999 : Antigone, opéra en deux actes de Míkis Theodorákis, livret du compositeur d'après la pièce de Jean Anouilh, créé le à Athènes

Distinctions

Adaptations de l'œuvre

Plusieurs pièces d'Anouilh ont été adaptées au cinéma, notamment :

Notes et références

Notes

  1. Date de la première publication des Pièces roses et Pièces noires.
  2. Seulement dans la réédition de 1958.

Références

  1. « http://hdl.handle.net/10079/fa/beinecke.anouilh »
  2. Robert Bourget-Pailleron, « Revue dramatique », Revue des deux Mondes, première quinzaine de novembre 1956.
  3. a b c et d Bernard Beugnot, Notice de Pauvre Bitos ou le Dîner de têtes dans Jean Anouilh, Théâtre vol. 2, op. cit., pp. 1385-1392 (ISBN 9782070115884).
  4. Jean Anouilh, La vicomtesse d'Eristal n'a pas reçu son balai mécanique, op. cit., pp. 188-191.
  5. Bernard Beugnot, Notice de L'Hurluberlu ou le Réactionnaire amoureux dans Jean Anouilh, Théâtre vol. 2, op. cit., pp. 1402-1403.
  6. a et b Bernard Beugnot, Notice de Becket ou l'Honneur de Dieu dans Jean Anouilh, Théâtre vol. 2, op. cit., pp. 1411-1417.
  7. Anca Visdei, Anouilh, un auteur « inconsolable et gai », op. cit., p. 158.
  8. Bernard Beugnot, « Chronologie »" dans Jean Anouilh, Théâtre vol. 2, op. cit., p. XIV.
  9. Anca Visdei, Anouilh, un auteur « inconsolable et gai », op. cit., p. 164.
  10. Bernard Beugnot, Notice du Boulanger, la Boulangère et le Petit Mitron dans Jean Anouilh, Théâtre vol. 2, op. cit., p. 1438.
  11. De son nom complet Veronika Maria Anouk Anouilh.
  12. Biographie de Jean Anouilh sur le site de l'Association de la régie théâtrale
  13. Bernard Beugnot, « Chronologie » dans Jean Anouilh, Théâtre vol. 2, op. cit., pp. XV-XVI.
  14. Anca Visdei, Anouilh, un auteur « inconsolable et gai », op. cit., p. 108.
  15. Bernard Beugnot, Notice de Ne réveillez pas Madame dans Jean Anouilh, Théâtre vol. 2, op. cit., p. 1465.
  16. a b c d et e Bertrand Dicale, Louis de Funès, grimace et gloire, Paris, Grasset, , 528 p. (ISBN 978-2-246-63661-8 et 2-246-63661-2, présentation en ligne), p. 432-440
  17. Caroline Anouilh, Drôle de père, op. cit., p. 101.
  18. Anca Visdei, Anouilh, un auteur « inconsolable et gai », op. cit., p. 171.
  19. Anca Visdei, Anouilh, un auteur « inconsolable et gai », op. cit., p. 174.
  20. Caroline Anouilh, Drôle de père, op. cit., p. 216.
  21. Base de données et catalogue des affiches originales de l'Association de la Régie théâtrale.

Voir aussi

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Bibliographie

  • Paul Ginestier, Anouilh, Paris, Seghers, coll. « Seghers Théâtre », 1971.
  • Pol Vandromme, Jean Anouilh, un auteur et ses personnages, Paris, La Table ronde, 1972.
  • Caroline Anouilh, Drôle de père, Paris, Michel Lafon, 1990.
  • Christophe Mercier, Pour saluer Jean Anouilh, Paris, Bartillat, 1995.
  • Jacqueline Blancart-Cassou, Jean Anouilh : Les Jeux d'un pessimiste, Aix-en-Provence, Publications de l'Université de Provence, coll. « Textuelles », 2007.
  • Bernard Beugnot, « Chronologie », « Notices » et « Répertoire des pièces » dans Jean Anouilh, Théâtre (2 vol.), Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 2007.
  • Jean-Louis Aussibal, Le voyageur sans bagage de Jean Anouilh est-il l'amnésique de Rodez ? La preuve par le texte, Etudes Aveyronnaises 2007, p. 103 à 112, Recueil des travaux de la Société des Lettres,Sciences et Arts de l'Aveyron, ISSN 1271-6081.
  • Anca Visdei, Anouilh, un auteur « inconsolable et gai », Paris, Les Cygnes, 2010.
  • Bernard Beugnot (dir.), « Anouilh aujourd'hui », Études littéraires, vol. 41, no 1, Département des littératures de l'université de Laval, Canada, 2010.
  • Michel Mourlet, « Anouilh l'hurluberlu », Écrivains de France, XXe siècle, réédition augmentée, Paris, France Univers, 2011.
  • Benoît Barut et Élisabeth Le Corre (dir.), Jean Anouilh, artisan du théâtre, Rennes, Presses universitaires de Rennes, coll. « Interférences », 2013.
  • Jacqueline Blancart-Cassou, Anouilh, Paris, Pardès, collection « Qui suis-je ? », 2014.

Articles connexes

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