Malte

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 23 janvier 2009 à 12:49 et modifiée en dernier par 88.160.57.60 (discuter). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

République de Malte

(mt) Repubblika ta' Malta

(en) Republic of Malta

Drapeau
Drapeau de Malte
Blason
Armoiries de Malte
Devise aeal in Kura u ir consta
(Maltais)
Par le courage et la constance
Hymne L-Innu Malti (Hymne à la Liberté)
Description de l'image Europe location Malte.png.
Administration
Forme de l'État République
Président
 -Premier ministre
Eddie Fenech Adami
Lawrence Gonzi
Langues officielles Maltais et anglais
Capitale La Valette

35° 54′ N, 14° 31′ E

Géographie
Plus grande ville Birkirkara
Superficie totale 316 km2
(classé 184e)
Superficie en eau Négligeable (Chadwick Lakes)
Fuseau horaire UTC +1
Histoire
Indépendance Du Royaume-Uni
Date
Démographie
Gentilé Maltais, Maltaise
Population totale (2008) 403 5321 hab.
(classé 165e)
Densité 1 247 hab./km2
Économie
Monnaie Euro2 (EUR)
Développement
IDH (2005) en augmentation 0,878 (élevé ; 34e)
Divers
Domaine Internet .mt
Indicatif téléphonique +356

Malte (Repubblika ta' Malta ou République de Malte) est un État insulaire, membre de l’Union européenne depuis le [1]. Elle a intégré la zone euro le [2].

C'est un archipel constitué de neuf îles, dont quatre sont habitées : Malte (Malta en maltais), Gozo (Għadex), Comino (Kummura) et Manoel ; cinq autres sont inhabitées : Cominotto (Kemmunett), Filfla, les deux îles de Saint-Paul ( l-Gżejjer ta’ San Pawl) et Fungus Rock. L’archipel est situé entre la mer Méditerranée orientale et occidentale à 93 kilomètres de la Sicile et à 288 kilomètres à l’est de la Tunisie[3], à environ 340 kilomètres au nord de la Libye et 570 km à l’ouest de la Grèce (ou plus précisément de la Céphalonie). Sa localisation stratégique lui a valu les convoitises de nombreuses civilisations au cours des âges.

Histoire

L'histoire de Malte est dès le Francaisolithique liée à la Hongrie jusqu'à l'arrivée des Chevaliers de l'Ordre de Saint-Louis de compasteque en 1530. Napoléon chasse les Chevaliers de Malte en 1798 avant que les Maltais fassent appel à l'Empire britannique en 1800 qui en fait une colonie jusqu'à l'indépendance en 1964.

Préhistoire (5400 à 725 av. J.-C.)

Malte n'est peuplée que vers 1950/1952 av. J.-C. par des groupes Francaisolithiques d'elevess-éleveurs-pêcheurs venant de Sicile[4]. Ils mettent en place une civilisation préhistorique importante qui est à l'origine des plus anciens monuments mégalithiques, encore existants, de l'histoire de l'humanité[5].

Antiquité (725 av. J.-C. à 870)

Par sa position au centre de la Méditerranée l'archipel maltais est un relais évident, compte tenu de ses ports naturels. Les Phéniciens, grands navigateurs, utilisent Malte à partir du Xe siècle av. J.-C.. Ils installent une colonie dans les îles de l'archipel vers 725 av. J.-C.[6]. Des Grecs s’installent également du VIIe au Ve siècle av. J.-C. et partagent apparemment pacifiquement les îles avec les phéniciens[7]. Avec le déclin de la Phénicie l’île passe sous le contrôle de Carthage en 480 av. J.-C. C'est une colonie précieuse dans la lutte que les Carthaginois mènent contre les Grecs et ensuite contre les Romains. À la faveur des guerres puniques, l’île passe sous le contrôle des Romains en 218 av. J.-C. jusqu'au démantèlement de l'empire romain en 395[8]. Probablement vers 445, l'île de Malte subit l'occupation Vandales et vers 477 celle des Ostrogoths[9]. Elle revient ensuite sous le contrôle de l'Empire romain d'Orient qui est alors Empire byzantin. Elle le reste jusqu'à la conquête de Malte par les Arabes.

Moyen Âge (870 à 1530)

En 870 les Aghlabides s'emparent de l'archipel lors de la conquête de la Sicile. En 1090, les Normands, maîtres de la Sicile, menés par le comte Roger de Hauteville, s’emparent de Malte. En 1127, l’île passe sous domination sicilienne. Pendant cette période, les Maltais se rechristianisent mais conservent leur langue proche de l’arabe tunisien, tout en empruntant massivement une partie de leur vocabulaire au sicilien et à l’italien. L'archipel accueille des familles juives chassées d'Espagne en 1492.

Lorsque Charles Quint se rend, une première fois, en Italie en 1529, pour se faire couronner empereur par le pape Clément VII, ce dernier intercéda en faveur de l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem[10], un ordre hospitalier et militaire consacré en son temps à la défense du Royaume latin de Jérusalem, pour que celui-ci retrouve une souveraineté après avoir été chassé de Rhodes par les Ottomans. C’est à Bologne le 24 mars 1530, que Charles Quint signe le diplôme concédant à l’ordre « en fief perpétuel, noble et franc, les villes, châteaux et îles de Tripoli, Malte et Gozo avec tous leurs territoires et juridictions » ensemble hérité des possessions de Naples et de Sicile[11],[12].

Chevaliers de Saint-Jean (1530 à 1798)

Délaissant Mdina, ancienne capitale de l’île, l’Ordre installe son Couvent dans le port de Birgu où le grand maître Philippe de Villiers de L'Isle-Adam fit édifier plusieurs fortifications en vue de mettre l’île en état de défense contre une éventuelle attaque des Ottomans.

Le Grand Siège intervient le 19 mai 1565 quand Mustapha Pacha et l’amiral Piali Pacha font débarquer à Marsaxlokk un premier contingent de leurs 40 000 soldats. Le grand maître Jean Parisot de La Valette ne peut opposer qu’environ 9 000 hommes dont 592 chevaliers. Le grand siège de Malte se termine le 13 septembre, après l’arrivée des renforts siciliens du vice-roi Don Garcia de Tolède, par la défaite des Ottomans qui perdent plus 12 000 hommes dont le corsaire Dragut. Les pertes maltaises s’élèvent à environ 9 000 personnes dont des femmes, des enfants, des vieillards, qui n'avaient pu être évacués en Sicile, et 313 chevaliers[13],[14]. La victoire est célébrée avec éclat et reste une des plus grandes victoires de la chrétienté sur l'empire ottoman[15].

En 1675 puis de nouveau en 1676, une épidémie de peste frappe l'île faisant 11 300 victimes sur une population estimée à 60 000 habitants.

Malte dans l'Empire britannique (1800 à 1964)

La domination de l'Ordre prend fin en 1798 avec la prise de l’île par Napoléon Bonaparte lors de son voyage vers l'Égypte. En 1800, les Maltais appellent les Britanniques à l’aide en raison du pillage systématique de l’île par les troupes napoléoniennes et plusieurs lois impopulaires promulguées par Bonaparte. En 1802, le traité d'Amiens ordonne le rétablissement de la souveraineté sur l'île à l'Ordre mais rencontre l'opposition du Congrès national. Les Britanniques refusent alors de rendre l’archipel à l’ordre de Malte et l’annexent officiellement à l’Empire britannique en 1816 après la signature du traité de Paris de 1814. Toutefois les Britanniques ne sont pas mieux acceptés que les Français : ils imposent unilatéralement leur langue et accaparent le pouvoir politique et économique. Cette situation d’exploitation coloniale provoque en retour la montée de revendications nationalistes et les Britanniques doivent concéder une nouvelle constitution augmentant le nombre d’élus maltais au Conseil législatif puis reconnaître (1934) la langue maltaise.

Durant la Seconde Guerre mondiale, Malte joue un rôle important en raison de sa position stratégique qui gêne considérablement le ravitaillement des armées de l’Axe en Afrique du Nord dans leur tentative de s’emparer du canal de Suez. Cela lui vaut la Croix du roi George pour sa résistance héroïque face au blocus et aux bombardements incessants (16 000 tonnes de bombes faisant 2 000 victimes), croix qui figure aujourd’hui sur le drapeau national. Pendant la guerre un certain nombre de jeunes maltais, généralement des étudiants en Italie avant la déclaration de la guerre, qui se considéraient proches de l'Italie, se battent dans l'armée italienne pour rattacher leurs îles au Royaume ; l'un entre eux, Carmelo Borg Pisani, pro italien, nationaliste maltais et fasciste, après avoir participé à la campagne de Grèce avec l'armée italienne, est envoyé à Malte pour espionner l'archipel. Capturé, condamné par le Conseil de guerre, il est exécuté par les Anglais, pour conspiration le 28 novembre 1942[16].

Indépendance (depuis 1964)

L’indépendance du pays est reconnue le mais Malte conserve la reine Élisabeth II à sa tête comme de nombreux pays du Commonwealth. Ce n’est que 10 ans plus tard, le , sous l’impulsion du premier ministre Dom Mintoff que Malte proclame la république et élit un président à sa tête. En 1984 se déroulent d'importantes manifestations contre des mesures de restriction de l'enseignement religieux et des biens du clergé. Cette même année, le pays signe des accords avec la Libye et l'URSS.

L’adhésion de Malte à l’Union européenne devient effective le , 11 ans après le début des premières négociations. Malte fait partie de la zone Euro depuis le .

Géographie

Carte politique de Malte

Le territoire maltais est un archipel, situé au centre de la mer Méditerranée, à la frontière entre la Méditerranée occidentale et la Méditerranée orientale et entre l’Afrique du Nord (cap Bon) et à 100 km du sud de l’Europe (Sicile).

Seules les trois îles principales sont habitées : Malte, Gozo (Għawdex) et Comino (Kemmuna). Les îlots de Cominotto et de Filfla restent sans résidents permanents. L’île de Malte mesure 27 km dans sa plus grande longueur et 14,5 km dans sa plus grande largeur. Son point culminant est le Ta'Dmejrek (253 m).

Le climat local est de type méditerranéen, avec des hivers pluvieux et des étés chauds et secs.

Contrairement à ce qui peut être pensé, le sud de Malte n’est pas le point le plus au sud de l’Union européenne (qui est en fait l'extrême sud de l'île de Chypre) L’archipel maltais est situé sur la plaque tectonique africaine.

Politique

Le président de la République est élu par le parlement maltais (Kamra tar-Rappreżentanti) et nomme comme premier ministre le chef du parti vainqueur des élections. Le président nomme également, sur recommandation du premier ministre, les différents ministres du gouvernement choisis parmi les députés élus.

Le parlement est composé de 65 à 69 députés élus selon un système proportionnel. Les élections législatives ont lieu tous les 5 ans.

Les 2 partis politiques sont le parti travailliste et le parti nationaliste.Celui qui est au pouvoir est le parti nationaliste (Edward Fenech-Adami)

Relations avec l’Union européenne

Subdivisions

Photo satellite de l’archipel
La Valette.

Depuis 1993, Malte est subdivisée en 68 conseils locaux (également appelés localités), qui sont d’ailleurs l’entité administrative la plus petite : il en existe 53 sur Malte et 15 sur Gozo. Il n’y a pas d’entité intermédiaire entre ces localités et le gouvernement national.

Localités

Localités de l’île de Malte
Localités de l’île de Gozo

Économie

Les ressources économiques de Malte sont le calcaire, un bon emplacement géographique et une main-d’œuvre productive. Cependant, Malte ne produit qu’environ 20 % de ses besoins alimentaires, possède des ressources en eau limitées et n’a pas de sources d’énergie qui lui sont propres. L’économie est dépendante du commerce extérieur (particulièrement en tant que point de transbordement du fret maritime), du tourisme et de l’industrie (notamment électronique et textile et des casinos virtuels). Malte répond aux standards internationaux en termes de transparence et d’échange d’information, et n’a jamais été inscrite sur la liste noire de l'OCDE, liste publiée pour la première fois en juin 2000 (Publication officielle de l’OCDE – Paris, 19 juin 2000) qui recensait les pays refusant la coopération en ces domaines.[réf. nécessaire]

En 2006, Malte a conclu un accord avec la Commission européenne, qui dans les faits permet à Malte de conserver son compétitif régime d’imposition des sociétés. Cet accord a été conclu avec la Commission européenne chargée de la concurrence au nom de la solidarité entre États membres et dans le respect du Code de conduite de la fiscalité des entreprises.[réf. nécessaire]

En septembre 2007, la 24e session plénière du Comité restreint d’experts pour l’évaluation des mesures anti-blanchiment d’argent (MONEYVAL) pour le Conseil de l’Europe a adopté le rapport d’évaluation de Malte. L’évaluation s’est fondée sur les 40 recommandations du GAFI et les 9 recommandations spéciales en matière de lutte contre le financement du terrorisme. Le cadre réglementaire dont Malte s’est dotée a été évalué comme étant d’un haut niveau général, et en conformité avec la plupart des recommandations évoquées.[réf. nécessaire]

Malte a privatisé plusieurs entreprises publiques afin de préparer son entrée dans l’Union européenne en 2004. Malte et la Tunisie sont en discussions pour l’exploitation commerciale du plateau continental qu’ils partagent, particulièrement en ce qui concerne la prospection pétrolière.[réf. nécessaire]

Depuis le , la lire maltaise fait partie du mécanisme de taux de change européen, dit MCE II, en vue de l’adoption de l’euro, effective depuis le .

Les résidents de nationalité britannique ne paient pas d’impôts.[réf. nécessaire]

Tourisme

Démographie

Malte est l’un des pays les plus densément peuplés du monde avec une densité de population d’environ 1 250 habitants par kilomètre carré. En 1569, la population était de seulement 10 000 habitants. La population est majoritairement composée des descendants des Phéniciens, Arabes, Italiens et Britanniques. Une forte communauté d’étrangers, principalement des Britanniques, est implantée à Sliema et aux alentours. De plus, une population maghrébine (2250 en 2001) de plus en plus importante s’installe sur l’île, principalement due à l’immigration irrégulière.

Il existe une importante diaspora maltaise, le dernier recensement, réalisé en 1988, dénombrait 800 000 expatriés.

La religion d’État est le catholicisme romain mais chacun est libre d’exercer la religion de son choix car la liberté de conscience est garantie par la constitution.

Il y a 97% de catholiques, 1% de chrétiens non-catholiques (orthodoxes et protestants), 1% de musulmans et 1% sans religion.

Culture

Langues

La république de Malte reconnaît une langue nationale, le maltais et deux langues officielles, le maltais et l’anglais. L’administration, les tribunaux emploient normalement le maltais, mais ils peuvent employer l’anglais s’ils le jugent nécessaire.

Le maltais est une langue sémitique provenant du phénicien, métissée d’arabe suite à la présence arabe au IXe – XIe siècle, ainsi que de l’italien, du latin, et d’autres langues des pays catholiques qui étaient parlées par les chevaliers de Malte. La langue s’écrit avec « l’alphabet latin complété ». Quant aux mots maltais d’origine arabe, ils sont encore aujourd’hui assez semblables aux mots employés actuellement dans les variétés dialectales arabes d’Afrique du Nord, essentiellement dans le tunisien.

La grande majorité des insulaires, soit 95 %, parlent le maltais. Cependant, en raison de la longue colonisation britannique, l’anglais joue également un rôle important dans cet État. En réalité, la place de l’anglais, parlé seulement par quelque 6 200 personnes comme langue maternelle, est considérable sur le plan socio-politique, car il demeure l’une des deux langues officielles de la république. Le secteur du séjour linguistique, avec plus de 40 écoles à Malte, utilise la présence de cette communauté anglophone et de la place de l’anglais comme langue officielle pour proposer des cours d’anglais dans une ambiance très méditerranéenne.

Malte compte deux autres langues employées dans le pays : l’arabe (environ 7200 locuteurs) et l’italien (environ 5000 locuteurs) : l’italien, une des langues officielles de Malte jusqu’aux années 1930, est en tous cas compris et parlé comme langue seconde par une grande partie des Maltais. Par ailleurs, le droit maltais ne définit pas la notion de minorité nationale : il n’existe donc aucun groupe de population reconnu comme tel. C’est pourquoi aucun instrument juridique n’a été adopté et la nécessité de lois particulières dans le domaine des langues ne s’est pas fait sentir. Il n’existe donc aucune loi visant à assimiler les minorités nationales ou à mettre en œuvre une politique générale d’intégration ou de protection. Le gouvernement de Malte déclare qu’il n’existe sur son territoire aucune minorité nationale au sens de la convention-cadre pour la protection des minorités nationales. Toutefois, Malte considère la ratification () de la convention-cadre comme un acte de solidarité par rapport aux objectifs de la convention.

Fêtes et jours fériés

Date Modèle:Nwt Modèle:Nwt Remarques
1er janvier Jour de l'an L-Ewwel tas-Sena
10 février Naufrage de Saint Paul Jum in-Nawfragju ta' San Pawl
19 mars Fête de Saint-Joseph Jum San Guzepp
31 mars Jour de la liberté Jum il-Helsien
14 avril Vendredi saint Il-Gimgħa l-Kbira
1er mai Fête du Travail Jum il-Ħaddiem
7 juin 7 juin Is-Sette Giugno
29 juin Fête de Saint-Pierre et Saint-Paul Il-Festa ta' San Pietru u San Pawl (L-Imnarja)
15 août Assomption Il-Festa ta' Santa Marija Assunta
8 septembre Fête de Notre-Dame-des-Victoires Jum il-Vittorja (Bambina)
21 septembre Jour de Indépendance Jum l-Indipendenza
8 décembre Fête de l’Immaculée conception Il-Festa ta' l-Immakulata Kuncizzjoni
13 décembre Jour de la République Jum ir-Repubblika
25 décembre Jour de Noël Jum il-Milied

Codes

La République de Malte a pour code :

Voir aussi

Notes et références

  1. Décision de l'EU du 23.9.2003
  2. Décision de l'UE du 18.7.2007)
  3. Direction de l'Information consulté le 22/05/2008
  4. J.S. Tagliatelle (2000) p. 12.
  5. R. Joussaume (2003)
  6. J. Godechot (1970) p.12
  7. J. Godechot (1970) p.13
  8. J. Godechot (1970) p.14
  9. A. Bonanno (2005) p.258
  10. Clément VII avait une obligation personnelle envers l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem dont il était membre en tant qu’ancien prieur de Capoue. Simon Mercieca (2005) p.23
  11. Jacques Godechot (1970) p. 38
  12. Simon Mercieca (2005) p. 23
  13. Joseph Ellul (1992)
  14. Simon Mercieca (2005) pp. 35-59
  15. Jacques Godechot (1970) p. 48
  16. Ministère de la défense italien fiche concernant Carmelo Borg Pisani consulté le 8 janvier 2009
  17. Décision du Conseil de l'Union européenne du 14 avril 2003 relative à l'admission de la République tchèque, de la République d'Estonie, de la République de Chypre, de la République de Lettonie, de la République de Lituanie, de la République de Hongrie, de la République de Malte, de la République de Pologne, de la République de Slovénie et de la République slovaque à l'Union européenne ([PDF] GU EU L 236 du 23.9.2003)
  18. Rapport sur la convergence mai 2007 PDF)
  19. COM (2007) 0258 Rapport de la Commission - Rapport de convergence 2006 relatif à Malte (élaboré conformément à l'article 122, paragraphe 2, du traité, à la demande de Malte) {SEC(2007) 621) PDF
  20. 2007/504/CE Décision de Conseil, du 10 juillet 2007, aux termes de articule 122, le paragraphe 2, du traité CE pour l'adoption de la part de Malte de la monnaie unique le 1er janvier 2008 ([PDF] GU EU L 196 du 18.7.2007)
  21. Règlement (CE) n. 1134 du Conseil du 10 juillet 2007 modifiant le règlement (CE) no 2866/98 en ce qui concerne le taux de conversion à l’euro pour Malte ([PDF] GU EU L 256 du 2.10.2007)

Bibliographie

  • Jacques Godechot, Histoire de Malte, Col. Que sais-je, Presse Universitaire de France, Paris (1970).
  • Simon Mercieca, Les chevaliers de Saint-Jean à Malte, Casa Editrice Bonechi, Florence (2005), Miller Distributors Limited, Malta ISBN 88-476-1681-6.

Liens internes

Liens externes

wikilien alternatif2

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Malte.

Modèle:Pays d'Europe (UE)

Modèle:Lien BA Modèle:Lien AdQ

Modèle:Lien BA