Conseil de presse du Québec

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La version imprimable n’est plus prise en charge et peut comporter des erreurs de génération. Veuillez mettre à jour les signets de votre navigateur et utiliser à la place la fonction d’impression par défaut de celui-ci.

Le Conseil de presse du Québec (CPQ), fondé en 1973, cherche à défendre la liberté de presse et le droit à l'information au Québec. Le conseil est un organisme privé qui ne relève pas du gouvernement québécois.

Le Conseil de presse agit comme tribunal d'honneur des médias québécois et entend les plaintes de citoyens à leur encontre. Ses décisions sont publiques mais ne sont pas restrictives.

Il est financé à 43 % par les médias qui en sont membres[1].

Histoire

Le Conseil est établi à Montréal depuis 1997.

En mai 2009, son président et son vice-président ont remis leur démission à la suite de conflits avec les groupes représentés[2].

Le fonds d'archives du Conseil de presse du Québec est conservé au centre d'archives de Montréal de Bibliothèque et Archives nationales du Québec[3].

Constitution

Il y a 22 membres dans le conseil d'administration. Les membres sont issus de la profession journalistique, du public et des entreprises de presse.

Le conseil peut juger les plaintes de journalistes qui se sentent lésés dans leur liberté d'expression et rendre une décision morale.

Notes et références

  1. Radio-Canada. 2023-02-17. « Le Conseil de presse du Québec gagne son bras de fer juridique face à Québecor ». En ligne. Page consultée le 2023-02-18
  2. Paul Cauchon, « La crise s'aggrave au Conseil de presse du Québec », Le Devoir,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. Fonds Conseil de presse du Québec (P711) - Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ).

Article connexe

Lien externe