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Version du 10 mai 2024 à 15:47

Constantin Fradin
marque d'imprimeur
Biographie
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Activité
Période d'activité
Fratrie

Constantin Fradin (né vers 1475 – décédé après le 16 juillet 1536), est un imprimeur-libraire français du premier tiers du XVIe siècle, actif à Lyon de 1501 à 1536 et frère de François Fradin.

Éléments biographiques

Le frère de François Fradin

Constantin Fradin est le frère de l'imprimeur lyonnais François Fradin chez qui il semble avoir habité jusqu'en 1515[1]. Il commence sa carrière dans cette ville, travaillant probablement aux côtés de son frère[2],[3]. Il aurait été imprimeur avant 1500 puis seulement libraire[1].

Lyon

À Lyon, il demeure Rue Mercière, près de Notre-Dame de Confort entre 1512 vraisemblablement et 1536[1].

Paris

Le libraire Jean de La Caille le mentionne à tort à Paris puisqu'il dit dans son Histoire de l'imprimerie de 1689 qu'il y imprima en 1513 Ioannis Iaristeriensis Cursus Philosophorum in octavo[4]. L'erreur est reprise en 1789 par Auguste-Martin Lottin puisqu'un Constant Fradin est mentionné comme "Libraire & Imprimeur" en 1513 qui "exerçoit" en 1521 [5],[6].

Montpellier

Il tient également une librairie à Montpellier à partir de 1501[3]. On ne sait pas exactement dans quelle mesure il résidait à Montpellier[3]. Il y a été jurat en 1501 et 1520[1]. Cela impliquait normalement une résidence, mais n'a publié un seul ouvrage dans cette ville en 1515, les autres avec son adresse à Lyon[3]. Il pourrait donc s'agir d'un stratagème commercial[3]. De 1501 à 1536, il possède en tout cas un dépôt de livres, devant Notre-Dame des Tables[1].

Avignon

Il a également loué une boutique à Avignon en 1516 pour trois ans et y a acheté les livres de Pierre Eymar en 1519[3].

Il faut dire que Lyon inonde le Comtat Venaissain de ses produits[7].

La présence de Fradin en Avignon est documentée au début du XVIe siècle par Pierre Pansier qui le nomme "Constant Fradin"[8].

Le , Fradin est chargé par le libraire Pierre Brochard, habitant Avignon depuis 1485, de recouvrer une créance[9]. Le bibliopole Sant Alamanno figure comme témoin sur l'acte de procuration[10].

Le , le libraire Paul Ernst, originaire d'Allemagne et habitant Avignon avant 1506 prête à Jean Martini, de Strasbourg, 23 écus remboursables à Lyon entre les mains de François Fradin, libraire ou de son frère Constantin[11].

Il achète le 7 octobre 1516, pour trois ans, la jouissance d'une maison avec boutique place Saint-Didier, à côté de la maison de Brancas[8]. Il y installe une boutique qu'il gère ou fait gérer[8].

Le , le libraire relieur Pierre Eymar, à la suite de la mort de son frère Claude également libraire, vend à Constantin Fradin, libraire de Lyon, pour 200 livres les livres qui lui restent en magasin[12].

Il dut ensuite vendre sa boutique à Pierre Armandi, qu'on trouve installé avant 1523 dans la maison précédemment louée par Fradin[8]. Ce libraire, Pierre Armandi, achète des livres à Constant Fradin, libraire de Lyon, le [13].

Il fréquente notamment les foires de Beaucaire et d'Aix-en-Provence[3]. Il semble avoir joué un rôle important dans la diffusion des livres lyonnais dans le sud-est de la France[3].

Marque typographique

Constantin Fradin, imprimeur connu de 1515 a 1525, a pour marque typographique : une sirène et un guerrier antique soutenant un écusson appuyé contre un arbre couvert de fleurs[14],[15]. Au centre de l'écusson, on voit le le monogramme C. F. Au dessus de l'écu, on lit : Constantine, in hoc signo vinces ! Au dessous le nom du propriétaire, imprimeur et non empereur, quoique Constantin[14],[15].

Activité éditoriale

Constantin Fradin a une activité éditoriale non négligeable entre 1501 et 1536, et semble avoir abandonné la typographie dès 1500, pour s'adonner exclusivement au commerce du livre[2].

François Fradin a imprimé l'ouvrage suivant : Infortiatum, Lugduni, opera Francisci Fradin, 1511, in-folio[16].

Imprimeur

Constantin Fradin réalise en 1520 l’édition du traité d'Estienne de La Roche, L’arismethique nouellement composee, premier livre sur l'algèbre publié en français. Parmi les autres ouvrages publiés par Constantin Fradin au cours de sa carrière, on peut citer :

  • Johannis Saresberiensis Policraticus de nugis curialium et vestigiis philosophorum, continens libros octo... de Jean de Salisbury en 1513 ;
  • Opus aureum et legende insignes sanctorum sanctarumque cum Hystoria lombardica,… de Jacques de Voragine en 1519 ;
  • Missale ad usum sancte narbonensis ecclesie en 1528.

Éditeur commercial

L'édition de 1526 des Tractatus

Le manuscrit de Terrevermeille

Les Tractatus contra rebelles suorum regum sont rédigés vers 1419-1420 par le docteur en droit Jean de Terrevermeille, en défense du principe monarchique menacé, au moment où les villes des bords du Rhône se déclaraient pour le parti Bourguignon contre la royauté française[16].

L'édition commentée de Bonaud

Le traité de l'avocat de la sénéchaussée, après être resté longtemps en manuscrit, finit par être imprimé vers le commencement du seizième siècle[17]. Une copie en étant tombée entre les mains de Constantin Fradin, imprimeur de Lyon, celui-ci le montra à plusieurs jurisconsultes qui, frappés du mérite de cet ouvrage, lui conseillèrent de le publier, et comme il crut que des notes seraient nécessaires pour l'intelligence d'un écrit composé depuis près d'un siècle, Fradin chargea de ce travail un de ses amis, licencié en droit de la faculté de Montpellier et compatriote de l'auteur : c'était Jacques Bonnaud, qui était de Sauzet, village aux environs d'Uzès[18].

Jacques Bonnaud avait toutes les qualités, mais aussi tous les défauts des érudits du seizième siècle[19]. L' ouvrage de Jean de Terre-Vermeille se distinguait par la précision, la netteté et la vigueur de la pensée et de l'expression ; son commentateur, peu frappé de ces mérites qu'il regardait plutôt comme des défauts, s'efforça de les faire oublier par un luxe assez ridicule d'érudition[19]. Il ne toucha pas au texte ; mais il crut du moins devoir changer le titre de ce traité, et à la place de ces mots simples et énergiques : Jean de Terre-Vermeille contre les rebelles à leurs rois, il substitua un titre emphatique et prétentieux qui n'a pas moins de vingt-sept lignes et qui est trop curieux et trop propre à faire connaître et celui qui l'a conçu et l'esprit de cette époque, pour que nous ne le rapportions pas ici en entier [19]:

« Aureum singulareque opus Joannis de Terra-rubea jurius utriusque doctoris celeberrimi, regii quondam apud Nemausum advocati meritissimi, accuratissime castigatum, nuperrimeque prelo commissum, in se tres continens tractatus ; quorum quidem unus, que jura quasve preeminentias gloriosissimus delphinus Francie primogenitus, ac etiam alii primogeniti aliorum regnorum ubi succedunt, pre ceteris in regno principibus habeant, amplectitur ; secundus vero tractatus ad quem, rege agente humanitus per amentiam, aut alias regere impedito, regni regimen attineat, continet ; tertius denique tractatus, an eo casu, alteri obedientes quam dicto domino delphino regi, ac ipsi rebelles dicantur ; quibus et penis dein jure sic devii plectendi veniant, eleganti stylo concludit ; cum postillis Jacobi Bonaudi de Sauseto, in utroque jure licenciati inter omnes minimi, ad opus suis locis opportune additis : item panegyricus ejusdem Jacobi ad Franciam Francieque regem : addita est tabula rerum scitu dignarum in hoc opere contentarum. »

— Jacques Bonaud de Sauset, Tractatus contra rebelles suorum regum

[20]

Tout ce qu'ajouta Bonnaud à l'ouvrage de Jean de Terre-Vermeille était dans le même goût[21]. Il le fit précéder d'une préface qui dut passer dans ce temps pour une pièce d'éloquence et qui n'exciterait pas aujourd'hui une bien vive admiration[21]. Elle est consacrée presque tout entière à faire l'éloge de l'auteur dont il publie l'écrit[21]. Bonnaud fait ressortir la beauté de son nom et en applique chacune des merveilleuses qualités à celui qui le portait[21]. Il rappelle d'abord combien le nom de Jean est remarquable et quel grand nombre d'hommes éminents il a servi à désigner ; il fait voir ensuite quelles sont les innombrables propriétés et les admirables vertus que possède la terre ; enfin il fait remarquer que la couleur rouge ou vermeille est la plus éclatante de toutes les couleurs[22]. Il termine en félicitant la ville de Nimes d'avoir donné naissance à cet illustre magistrat, et ses concitoyens de l'avoir possédé parmi eux[23]. Cette singulière préface est suivie de l'écrit de Jean de Terre-Vermeille ; vient ensuite un traité de Bonnaud, espèce de panégyrique de la France et de ses rois, et destiné, comme il nous l'apprend lui-même, à donner plus de développement à ce que Jean de Terre-Vermeille avait dit sur ce sujet en divers passages de son ouvrage[21].

C'est à Constatin Fradin que Louise de Savoie, mère de François Ier, accorda, le 17 novembre 1525, en passant à Lyon, l'autorisation d'imprimer certains ouvrages, dont le fameux Joannes de terra rubea contra rebelles suorum regum[16]. Le privilège est daté de Sainct-Just sur Lyon, le dix-huitième jour de novembre 1525 et signé de la régente du royaume[16]. Le frontispice porte la marque de Constantin Fradin avec le labarum[16].

L'impression de Jean Crespin

Après 1526

Il a également travaillé en association avec le libraire lyonnais Jean Mareschal[1]. Il figure comme associé dès 1530 dans une compagnie de libraires lyonnais composée d'Henri Savore et de Jean Mareschal.

Il décède après le [1].

Notes et références

  1. a b c d e f et g BnF 2019, p. 592.
  2. a et b Baudrier 1914, p. 112.
  3. a b c d e f g et h Walsby 2021, p. 371.
  4. La Caille 1689, p. 85.
  5. Lottin 1789, vol. I, p. 17.
  6. Lottin 1789, vol. II, p. 66 et 182.
  7. Pansier 1922, p. 24.
  8. a b c et d Pansier 1922, p. 45.
  9. Pansier 1922, p. 39.
  10. Pansier 1922, p. 49.
  11. Pansier 1922, p. 43.
  12. Pansier 1922, p. 44.
  13. Pansier 1922, p. 36.
  14. a et b Monfalcon 1856, p. XXIV.
  15. a et b Vingtrinier 1894, p. 157.
  16. a b c d et e Vingtrinier 1894, p. 158.
  17. Nicolas 1854, p. 184.
  18. Nicolas 1854, p. 184-185.
  19. a b et c Nicolas 1854, p. 185.
  20. Nicolas 1854, p. 185-186.
  21. a b c d et e Nicolas 1854, p. 186.
  22. Nicolas 1854, p. 186-187.
  23. Nicolas 1854, p. 187.

Bibliographie

Chapitres et notices

Sur Constantin Fradin

Les notices sont classées par ordre chronologique

  • [Vingtrinier 1894] Aimé Vingtrinier, « Constantin FRADIN », dans Histoire de l'imprimerie à Lyon, de l'origine jusqu'à nos jours, Lyon, A. Storck, , 440 p. (BNF 31588880, SUDOC 098261452, lire sur Wikisource, lire en ligne), p. 157-158. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Baudrier 1914] Henri Baudrier, « FRADIN, CONSTANTIN », dans Henri Baudrier, Julien Baudrier (continuateur), Bibliographie lyonnaise : recherches sur les imprimeurs, libraires, relieurs et fondeurs de lettres de Lyon au XVIe siècle, vol. 11, Lyon, Paris, L. Brun, A. Picard, , 540 p. (BNF 31775333, SUDOC 084863080), p. 112-138. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Muller 1970] Jean Muller, « Constantin Fradin, 1512-1535 », dans Dictionnaire abrégé des imprimeurs-éditeurs français du seizième siècle, Baden-Baden, Heitz, coll. « Bibliotheca bibliographica Aureliana / Répertoire bibliographique des livres imprimés en France au seizième siècle » (no XXX), , IX-150 p. (BNF 35267571, SUDOC 00832655X), p. 34
  • [Gültlingen 1995] Sybille von Gültlingen, « CONSTANTIN FRADIN, libraire : 1512-1535 », dans Bibliographie des livres imprimés à Lyon au seizième siècle, t. III, Baden-Baden, Bouxwiller, V. Koerner, coll. « Bibliotheca bibliographica Aureliana / Répertoire bibliographique des livres imprimés en France au seizième siècle » (no CXLVII), , 236 p. (BNF 36687883, SUDOC 003812715), p. 95-101
  • [BnF 2019] Service de l'Inventaire rétrospectif des fonds imprimés de la Bibliothèque nationale de France, « 3800 : Fradin, Constantin (1475-1536?) », dans Répertoire d'imprimeurs-libraires (vers 1470-vers 1830), Paris, Bibliothèque nationale de France, , 1663 p. (BNF 45857931, SUDOC 241543932), p. 592. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Walsby 2021] (en) Malcolm Walsby, « 1099. Fradin, Constantin », dans Booksellers and printers in provincial France 1470-1600, Leiden, Boston, Brill, coll. « The handpress world » (no 68), , 901 p. (BNF 46648565, SUDOC 252908198), p. 371. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Ouvrages

  • [La Caille 1689] Jean de La Caille, Histoire de l'imprimerie et de la librairie, où l'on voit son origine & son progrès, jusqu'en 1689 : divisée en deux livres, Paris, Chez Jean de la Caille, , II-322-[26] (BNF 32333466, lire en ligne), Livre second, « Paris. 1513. », p. 84-85. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Lottin 1789, vol. I] Auguste-Martin Lottin, Catalogue chronologique des libraires et des libraires-imprimeurs de Paris, vol. I, Paris, chez Jean-Roch Lottin de S. Germain, , [8]-XXIV-284 (OCLC 165692060, BNF 30836068, lire en ligne), « Régne de LOUIS XII, du 7 Avril 1498 au 1 Janvier 1515 », p. 17. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Lottin 1789, vol. II] Auguste-Martin Lottin, Catalogue chronologique des libraires et des libraires-imprimeurs de Paris, vol. II : Catalogue alphabétique des libraires et des libraires-imprimeurs de Paris, Paris, chez Jean-Roch Lottin de S. Germain, , [4]-260 (OCLC 165692068, BNF 30836068, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Monfalcon 1856] Jean-Baptiste Monfalcon, Le nouveau Spon ou Manuel du bibliophile et de l'archéologue lyonnais, Lyon, A. Vingtrinier, , XLIV-372 p. (BNF 30962576, SUDOC 014516527) disponible sur Internet Archive
  • [Silvestre 1867] Louis-Catherine Silvestre, Marques typographiques ou Recueil des monogrammes, chiffres, [...] des libraires et imprimeurs qui ont exercé en France, depuis l'introduction de l'Imprimerie en 1470, jusqu'à la fin du seizième siècle : à ces marques sont jointes celles des Libraires et Imprimeurs qui pendant la même période ont publié, hors de France, des livres en langue française, Paris, Impr. Renou et Maulde, (1re éd. 1853), 2 vol. (VIII-520, 521-745 p.) (BNF 35781562, SUDOC 008752397, lire en ligne).

Autres

  • [Pansier 1922] Pierre Pansier, chapitre=Libraires de la première moitié du XVIe siècle, t. II : XVIe siècle, Avignon, Aubanel frères, , 190 p. (BNF 31055220, SUDOC 064095908), chap. X., p. 15-51. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Ménard 1752] Léon Ménard, « XCVI. Mort de Jean de Terre-vermeille, avocat du roi de la sénéchaussée, natif de Nismes », dans Histoire civile, ecclésiastique et littéraire de la ville de Nismes avec les preuves, t. 3, Paris, H. D. Chaubert, (BNF 30924311, SUDOC 10010813X, lire en ligne), p. 172-176. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Nicolas 1854] Michel Nicolas, « JEAN DE TERRE-VERMEILLE », dans Histoire littéraire de Nîmes et des localités voisines qui forment actuellement le département du Gard, t. 1, Nîmes, Ballivet et Fabre, , 430 p. (BNF 31015881, SUDOC 10103010X, lire en ligne), p. 182-187. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Ouvrages wikidata

Mémoires et thèses

  • Benoit Soubeyran, Un juriste nîmois du XVIe siècle formé à Montpellier, Jacques Bonaud de Sauzet, (mémoire de master), UPVM, , [lire en ligne]Voir et modifier les données sur Wikidata

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes


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