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Sa résidence principale d'alors n'est probablement pas à Nîmes, comme le note Barbey, mais bien Montpellier{{sfn|Barbey|1979|p=XC|loc=note 26}}. C'est un libraire d'une certaine surface dans le métier{{sfn|Barbey|1979|p=XC}}.
Sa résidence principale d'alors n'est probablement pas à Nîmes, comme le note Barbey, mais bien Montpellier{{sfn|Barbey|1979|p=XC|loc=note 26}}. C'est un libraire d'une certaine surface dans le métier{{sfn|Barbey|1979|p=XC}}.


Bonaud se lamentant de l'interruption des cours de l'Université, le libraire l'ayant entendu vient à lui et lui propose l'examen et la correction des Tractatus de Terrevermeille moyennant une intéressante rétribution{{sfn|Barbey|1979|p=XCI}}{{,}}<ref>''Epistola Bonaudi'' : "... affatus Fradinus amicus mihi charus... (inquit)... etiam cum utilitate (si vis) procurabo. Est mihi namque (ait) perceleber antea nusque impressus prelo tamen dignissimus ut a viris peritissimis (quibus illum ostendi legendum) acceptum habeo quem (dixit) dabo tibi videndum et fort scribarum transcriptione aut alis corruptam corrigendum et dein postillandum, tuis pro laboribus bona et comptetenti mercede...</ref>{{,}}{{sfn|Bonaud|1526|p=[III]r° |ps=''affatus Fradinus amicus mihi admodum charus : me animum ad literas refipifce Te ferit.Omnibus ( inquit ) omiffis voluptatibus : cüctifos poft terga pofitis terrenis nes gotiis : quietum literarum otium tibi : etiam cum vtilitate ( fi vis ) procurabo . Eft mihina ( ait ) perceleber antea nufö impreffus : pzelo tamen digniffimus : vt a viris peritiffimis ( quibus illum oftendi legendum acceptum habeo quem ( dirit ) dabo tibi videndum'' }}. Il n'accepte que sur les prières réitérées de Fradin et de ses amis de l'Université.{{sfn|Barbey|1979|p=XCI}}{{,}}<ref>''Epistola Bonaudi'' : "... lectores dilectissimi exixtametis partim crebis pulsatus precibus jam dicti Fradini aliorum ac multorum scholarium mihi familiarum..."</ref>. Mais, c'est aussi le prix offert qui le décida à entreprendre ce travail ; et manquant de livres, la générosité de Fradin les lui fournit{{sfn|Barbey|1979|p=XCI}}{{,}}<ref>Dans sa note 32 p. XCI, Barbey fait référence à sa note 24, mais c'est en fait la note 23, p. XVII qui est visée</ref>{{,}}<ref>''Epistola Bonaudi'' : "Hercle omnibus morem plurimum genere vellem partim autem pretio mihi (ut verum fatear) pauperi et egenti in laboris solatium consignatio egim quidem libris..."</ref>.
Bonaud se lamentant de l'interruption des cours de l'Université, le libraire l'ayant entendu vient à lui et lui propose l'examen et la correction des Tractatus de Terrevermeille moyennant une intéressante rétribution{{sfn|Barbey|1979|p=XCI}}{{,}}<ref>''Epistola Bonaudi'' : "... affatus Fradinus amicus mihi charus... (inquit)... etiam cum utilitate (si vis) procurabo. Est mihi namque (ait) perceleber antea nusque impressus prelo tamen dignissimus ut a viris peritissimis (quibus illum ostendi legendum) acceptum habeo quem (dixit) dabo tibi videndum et fort scribarum transcriptione aut alis corruptam corrigendum et dein postillandum, tuis pro laboribus bona et comptetenti mercede...</ref>{{,}}{{sfn|Bonaud|1526|p=[III] r° |ps=''affatus Fradinus amicus mihi admodum charus : me animum ad literas refipifce Te ferit.Omnibus ( inquit ) omiffis voluptatibus : cüctifos poft terga pofitis terrenis nes gotiis : quietum literarum otium tibi : etiam cum vtilitate ( fi vis ) procurabo . Eft mihina ( ait ) perceleber antea nufö impreffus : pzelo tamen digniffimus : vt a viris peritiffimis ( quibus illum oftendi legendum acceptum habeo quem ( dirit ) dabo tibi videndum'' }}. Il n'accepte que sur les prières réitérées de Fradin et de ses amis de l'Université.{{sfn|Barbey|1979|p=XCI}}{{,}}<ref>''Epistola Bonaudi'' : "... lectores dilectissimi exixtametis partim crebis pulsatus precibus jam dicti Fradini aliorum ac multorum scholarium mihi familiarum..."</ref>{{,}}{{sfn|Bonaud|1526|p=[III] r° |ps=''lectores dilectissimi existimetis partim crebris pulsatus precibus iam dicti Fradini : aliorum ac multorum scholartum mihi familiarium'' }}. Mais, c'est aussi le prix offert qui le décida à entreprendre ce travail ; et manquant de livres, la générosité de Fradin les lui fournit{{sfn|Barbey|1979|p=XCI}}{{,}}<ref>Dans sa note 32 p. XCI, Barbey fait référence à sa note 24, mais c'est en fait la note 23, p. XVII qui est visée</ref>{{,}}<ref>''Epistola Bonaudi'' : "Hercle omnibus morem plurimum genere vellem partim autem pretio mihi (ut verum fatear) pauperi et egenti in laboris solatium consignatio egim quidem libris..."</ref>.


Quels que soient les motifs de l'acceptation de Jacques Bonaud, sa collaboration est acquise en 1525 probablement{{sfn|Barbey|1979|p=XCII}}. Dès le 17 novembre de cette même année, Constantin Fradin obtient le privilège de la régente Louise de Savoie, mère de François I{{er}} alors captif{{sfn|Barbey|1979|p=XCII}}.
Quels que soient les motifs de l'acceptation de Jacques Bonaud, sa collaboration est acquise en 1525 probablement{{sfn|Barbey|1979|p=XCII}}. Dès le 17 novembre de cette même année, Constantin Fradin obtient le privilège de la régente Louise de Savoie, mère de François I{{er}} alors captif{{sfn|Barbey|1979|p=XCII}}.

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Constantin Fradin
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Biographie
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Fratrie

Constantin Fradin (né vers 1475 – décédé après le 16 juillet 1536), est un imprimeur-libraire français du premier tiers du XVIe siècle, actif à Lyon de 1501 à 1536 et frère de François Fradin.

Éléments biographiques

Le frère de François Fradin

Constantin Fradin est le frère de l'imprimeur lyonnais François Fradin chez qui il semble avoir habité jusqu'en 1515[1]. Il commence sa carrière dans cette ville, travaillant probablement aux côtés de son frère[2],[3]. Il aurait été imprimeur avant 1500 puis seulement libraire[1].

Paris

Le libraire Jean de La Caille le mentionne à tort à Paris puisqu'il dit dans son Histoire de l'imprimerie de 1689 qu'il y imprima en 1513 Ioannis Iaristeriensis Cursus Philosophorum in octavo[4]. L'erreur est reprise en 1789 par Auguste-Martin Lottin puisqu'un Constant Fradin est mentionné comme "Libraire & Imprimeur" en 1513 qui "exerçoit" en 1521 [5],[6].

Lyon

À Lyon, il demeure Rue Mercière, près de Notre-Dame de Confort entre 1512 vraisemblablement et 1536[1].

Montpellier

Il tient également une librairie à Montpellier à partir de 1501[3]. On ne sait pas exactement dans quelle mesure il résidait à Montpellier[3]. Il y a été jurat en 1501 et 1520[1]. Cela impliquait normalement une résidence, mais n'a publié un seul ouvrage dans cette ville en 1515, les autres avec son adresse à Lyon[3]. Il pourrait donc s'agir d'un stratagème commercial[3]. De 1501 à 1536, il possède en tout cas un dépôt de livres, devant Notre-Dame des Tables[1].

Avignon

Il a également loué une boutique à Avignon en 1516 pour trois ans et y a acheté les livres de Pierre Eymar en 1519[3].

Il faut dire que Lyon inonde le Comtat Venaissain de ses produits[7].

La présence de Fradin en Avignon est documentée au début du XVIe siècle par Pierre Pansier qui le nomme "Constant Fradin"[8].

Le , Fradin est chargé par le libraire Pierre Brochard, habitant Avignon depuis 1485, de recouvrer une créance[9]. Le bibliopole Sant Alamanno figure comme témoin sur l'acte de procuration[10].

Le , le libraire Paul Ernst, originaire d'Allemagne et habitant Avignon avant 1506 prête à Jean Martini, de Strasbourg, 23 écus remboursables à Lyon entre les mains de François Fradin, libraire ou de son frère Constantin[11].

Il achète le 7 octobre 1516, pour trois ans, la jouissance d'une maison avec boutique place Saint-Didier, à côté de la maison de Brancas[8]. Il y installe une boutique qu'il gère ou fait gérer[8].

Le , le libraire relieur Pierre Eymar, à la suite de la mort de son frère Claude également libraire, vend à Constantin Fradin, libraire de Lyon, pour 200 livres les livres qui lui restent en magasin[12].

Il dut ensuite vendre sa boutique à Pierre Armandi, qu'on trouve installé avant 1523 dans la maison précédemment louée par Fradin[8]. Ce libraire, Pierre Armandi, achète des livres à Constant Fradin, libraire de Lyon, le [13].

Il fréquente notamment les foires de Beaucaire et d'Aix-en-Provence[3]. Il semble avoir joué un rôle important dans la diffusion des livres lyonnais dans le sud-est de la France[3].

Marque typographique

Constantin Fradin, imprimeur connu de 1515 a 1525, a pour marque typographique : une sirène et un guerrier antique soutenant un écusson appuyé contre un arbre couvert de fleurs[14],[15]. Au centre de l'écusson, on voit le le monogramme C. F. Au dessus de l'écu, on lit : Constantine, in hoc signo vinces ! Au dessous le nom du propriétaire, imprimeur et non empereur, quoique Constantin[14],[15].

Activité éditoriale

Constantin Fradin a une activité éditoriale non négligeable entre 1501 et 1536, et semble avoir abandonné la typographie dès 1500, pour s'adonner exclusivement au commerce du livre[2].

François Fradin a imprimé l'ouvrage suivant : Infortiatum, Lugduni, opera Francisci Fradin, 1511, in-folio[16].

Imprimeur

Constantin Fradin réalise en 1520 l’édition du traité d'Estienne de La Roche, L’arismethique nouellement composee, premier livre sur l'algèbre publié en français. Parmi les autres ouvrages publiés par Constantin Fradin au cours de sa carrière, on peut citer :

  • Johannis Saresberiensis Policraticus de nugis curialium et vestigiis philosophorum, continens libros octo... de Jean de Salisbury en 1513 ;
  • Opus aureum et legende insignes sanctorum sanctarumque cum Hystoria lombardica,… de Jacques de Voragine en 1519 ;
  • Missale ad usum sancte narbonensis ecclesie en 1528.

Éditeur commercial

L'édition de 1526 des Tractatus

Le manuscrit de Terrevermeille

Les Tractatus contra rebelles suorum regum sont rédigés vers 1419-1420 par le docteur en droit Jean de Terrevermeille, en défense du principe monarchique menacé, au moment où les villes des bords du Rhône se déclarent pour le parti Bourguignon contre la royauté française[16]. Cet ouvrage, composé pour la défense des droits du Dauphin, demeure longtemps en manuscrit, même après l'invention de l'imprimerie[17].

Il finit par être imprimé vers le commencement du seizième siècle[18]. Le manuscrit est tombé entre les mains de Constantin Fradin, imprimeur de Lyon, qui le fait voir à diverses personnes versées dans la connaissance du droit, car c'est proprement un ouvrage de jurisprudence[17]. Tous l'assurent de la bonté de cet écrit, ce qui lui fait prendre la résolution de le publier[17]. Il veut toutefois auparavant y faire joindre des notes, afin d'éclaircir les endroits qui peuvent en avoir besoin[19].

La rencontre entre Fradin et Bonaud

La genèse de l'edtio princeps exposée par Jacques Bonaud dans son épître introductive, met en relief, non sans quelque flagornerie le rôle du libraire Constatin Fradin[20]. Sa résidence principale d'alors n'est probablement pas à Nîmes, comme le note Barbey, mais bien Montpellier[21]. C'est un libraire d'une certaine surface dans le métier[20].

Bonaud se lamentant de l'interruption des cours de l'Université, le libraire l'ayant entendu vient à lui et lui propose l'examen et la correction des Tractatus de Terrevermeille moyennant une intéressante rétribution[22],[23],[24]. Il n'accepte que sur les prières réitérées de Fradin et de ses amis de l'Université.[22],[25],[26]. Mais, c'est aussi le prix offert qui le décida à entreprendre ce travail ; et manquant de livres, la générosité de Fradin les lui fournit[22],[27],[28].

Quels que soient les motifs de l'acceptation de Jacques Bonaud, sa collaboration est acquise en 1525 probablement[29]. Dès le 17 novembre de cette même année, Constantin Fradin obtient le privilège de la régente Louise de Savoie, mère de François Ier alors captif[29].

La version de Ménard est plus enthousiaste[22]. Fradin aurait montré la copie du manuscrit à diverses personnes expertes en droit qui toutes l'assurent de la qualité de l'écrit[22]. L'éditeur, résolu dès lors à le publier mais voulant y a adjoindre des annotations pour faciliter l'intelligence du traité, se serait adressé à Jacques Bonaud[22],[30]. Pourtant à lire ce dernier, son rôle apparaît plus important, bien que Fradin s'adressant à lui pour l'inviter à collaborer et affirmant : Est mihi namque... perceleber antea nusque impressus prelo tamen dignissimus...[31] , ait montré qu'il avait déja eu vent de l'excellence de Tractatus[22].

Une copie en étant tombée entre les mains de Constantin Fradin, imprimeur de Lyon, celui-ci le montre à plusieurs jurisconsultes qui, frappés du mérite de cet ouvrage, lui conseillent de le publier, et comme il croit que des notes seraient nécessaires pour l'intelligence d'un écrit composé depuis près d'un siècle, Fradin charge de ce travail un de ses amis, licencié en droit de la faculté de Montpellier et compatriote de l'auteur : c'est Jacques Bonnaud, qui était de Sauzet, village aux environs d'Uzès[32].

Il s'adresse pour cela à un licencié en droit de l'université de Montpellier, nommé Jacques Bonaud, du lieu de Sauset au diocèse d'Uzès, avec qui il est lié d'amitié[33]. Celui-ci acquiesce à sa prière, revoit l'ouvrage, et y ajoute un commentaire de sa façon[33]. Fradin l'imprime donc, après en avoir obtenu le privilège de la reine Louise, mère de François Ier, qui est régente du royaume depuis que ce prince a été fait prisonnier au siège de Pavie[33]. Le privilège est daté de Saint Just sur Lyon, le 17 novembre 1515. L'impression est achevée le 3 décembre de l'année suivante[33].

C'est à Constatin Fradin que Louise de Savoie, mère de François Ier, accorde, le 17 novembre 1525, en passant à Lyon, l'autorisation d'imprimer certains ouvrages, dont le fameux Joannes de terra rubea contra rebelles suorum regum[16]. Le privilège est daté de Sainct-Just sur Lyon, le dix-huitième jour de novembre 1525 et signé de la régente du royaume[16]. Le frontispice porte la marque de Constantin Fradin avec le labarum[16].

L'impression de Jean Crespin

Après 1526

Il a également travaillé en association avec le libraire lyonnais Jean Mareschal[1]. Il figure comme associé dès 1530 dans une compagnie de libraires lyonnais composée d'Henri Savore et de Jean Mareschal.

Il décède après le [1].

Notes et références

  1. a b c d e f et g BnF 2019, p. 592.
  2. a et b Baudrier 1914, p. 112.
  3. a b c d e f g et h Walsby 2021, p. 371.
  4. La Caille 1689, p. 85.
  5. Lottin 1789, vol. I, p. 17.
  6. Lottin 1789, vol. II, p. 66 et 182.
  7. Pansier 1922, p. 24.
  8. a b c et d Pansier 1922, p. 45.
  9. Pansier 1922, p. 39.
  10. Pansier 1922, p. 49.
  11. Pansier 1922, p. 43.
  12. Pansier 1922, p. 44.
  13. Pansier 1922, p. 36.
  14. a et b Monfalcon 1856, p. XXIV.
  15. a et b Vingtrinier 1894, p. 157.
  16. a b c d et e Vingtrinier 1894, p. 158.
  17. a b et c Ménard 1752, p. 174.
  18. Nicolas 1854, p. 184.
  19. Ménard 1752, p. 174-175.
  20. a et b Barbey 1979, p. XC.
  21. Barbey 1979, note 26, p. XC.
  22. a b c d e f et g Barbey 1979, p. XCI.
  23. Epistola Bonaudi : "... affatus Fradinus amicus mihi charus... (inquit)... etiam cum utilitate (si vis) procurabo. Est mihi namque (ait) perceleber antea nusque impressus prelo tamen dignissimus ut a viris peritissimis (quibus illum ostendi legendum) acceptum habeo quem (dixit) dabo tibi videndum et fort scribarum transcriptione aut alis corruptam corrigendum et dein postillandum, tuis pro laboribus bona et comptetenti mercede...
  24. Bonaud 1526, p. [III] r°. affatus Fradinus amicus mihi admodum charus : me animum ad literas refipifce Te ferit.Omnibus ( inquit ) omiffis voluptatibus : cüctifos poft terga pofitis terrenis nes gotiis : quietum literarum otium tibi : etiam cum vtilitate ( fi vis ) procurabo . Eft mihina ( ait ) perceleber antea nufö impreffus : pzelo tamen digniffimus : vt a viris peritiffimis ( quibus illum oftendi legendum acceptum habeo quem ( dirit ) dabo tibi videndum
  25. Epistola Bonaudi : "... lectores dilectissimi exixtametis partim crebis pulsatus precibus jam dicti Fradini aliorum ac multorum scholarium mihi familiarum..."
  26. Bonaud 1526, p. [III] r°. lectores dilectissimi existimetis partim crebris pulsatus precibus iam dicti Fradini : aliorum ac multorum scholartum mihi familiarium
  27. Dans sa note 32 p. XCI, Barbey fait référence à sa note 24, mais c'est en fait la note 23, p. XVII qui est visée
  28. Epistola Bonaudi : "Hercle omnibus morem plurimum genere vellem partim autem pretio mihi (ut verum fatear) pauperi et egenti in laboris solatium consignatio egim quidem libris..."
  29. a et b Barbey 1979, p. XCII.
  30. Dans sa note 33 p. XCI, Barbey fait référence à la page 103 de Michel Nicolas (1854), mais c'est en fait la note 184 qui est visée
  31. Dans sa note 33 p. XCI, Barbey fait référence à chap. I, note 30 mais il faut lire chap. II, note 30
  32. Nicolas 1854, p. 184-185.
  33. a b c et d Ménard 1752, p. 175.

Bibliographie

Chapitres et notices

Sur Constantin Fradin

Les notices sont classées par ordre chronologique

https://archive.org/details/labibliographielyonnaisebau11/page/112/mode/2up

  • [Muller 1970] Jean Muller, « Constantin Fradin, 1512-1535 », dans Dictionnaire abrégé des imprimeurs-éditeurs français du seizième siècle, Baden-Baden, Heitz, coll. « Bibliotheca bibliographica Aureliana / Répertoire bibliographique des livres imprimés en France au seizième siècle » (no XXX), , IX-150 p. (BNF 35267571, SUDOC 00832655X), p. 34
  • [Gültlingen 1995] Sybille von Gültlingen, « CONSTANTIN FRADIN, libraire : 1512-1535 », dans Bibliographie des livres imprimés à Lyon au seizième siècle, t. III, Baden-Baden, Bouxwiller, V. Koerner, coll. « Bibliotheca bibliographica Aureliana / Répertoire bibliographique des livres imprimés en France au seizième siècle » (no CXLVII), , 236 p. (BNF 36687883, SUDOC 003812715), p. 95-101
  • [BnF 2019] Service de l'Inventaire rétrospectif des fonds imprimés de la Bibliothèque nationale de France, « 3800 : Fradin, Constantin (1475-1536?) », dans Répertoire d'imprimeurs-libraires (vers 1470-vers 1830), Paris, Bibliothèque nationale de France, , 1663 p. (BNF 45857931, SUDOC 241543932), p. 592. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Walsby 2021] (en) Malcolm Walsby, « 1099. Fradin, Constantin », dans Booksellers and printers in provincial France 1470-1600, Leiden, Boston, Brill, coll. « The handpress world » (no 68), , 901 p. (BNF 46648565, SUDOC 252908198), p. 371. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Ouvrages

  • [La Caille 1689] Jean de La Caille, Histoire de l'imprimerie et de la librairie, où l'on voit son origine & son progrès, jusqu'en 1689 : divisée en deux livres, Paris, Chez Jean de la Caille, , II-322 p. (BNF 32333466), Livre second, « Paris. 1513. », p. 84-85. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article [lire en ligne sur Gallica]
  • [Lottin 1789, vol. I] Auguste-Martin Lottin, Catalogue chronologique des libraires et des libraires-imprimeurs de Paris, vol. I, Paris, chez Jean-Roch Lottin de S. Germain, , XXIV-284 p. (OCLC 165692060, BNF 30836068), « Régne de LOUIS XII, du 7 Avril 1498 au 1 Janvier 1515 », p. 17. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article [lire en ligne sur Gallica]
  • [Lottin 1789, vol. II] Auguste-Martin Lottin, Catalogue chronologique des libraires et des libraires-imprimeurs de Paris, vol. II : Catalogue alphabétique des libraires et des libraires-imprimeurs de Paris, Paris, chez Jean-Roch Lottin de S. Germain, , 260 p. (OCLC 165692068, BNF 30836068). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article [lire en ligne sur Gallica]
  • [Monfalcon 1856] Jean-Baptiste Monfalcon, Le nouveau Spon ou Manuel du bibliophile et de l'archéologue lyonnais, Lyon, A. Vingtrinier, , XLIV-372 p. (BNF 30962576, SUDOC 014516527) [disponible sur Internet Archive]
  • [Silvestre 1867] Louis-Catherine Silvestre, Marques typographiques ou Recueil des monogrammes, chiffres, [...] des libraires et imprimeurs qui ont exercé en France, depuis l'introduction de l'Imprimerie en 1470, jusqu'à la fin du seizième siècle : à ces marques sont jointes celles des Libraires et Imprimeurs qui pendant la même période ont publié, hors de France, des livres en langue française, Paris, Impr. Renou et Maulde, (1re éd. 1853), 2 vol. (VIII-520, 521-745 p.) (BNF 35781562, SUDOC 008752397) [lire en ligne sur Gallica]

Autres

  • [Pansier 1922] Pierre Pansier, Histoire du livre et de l'imprimerie à Avignon du XIVe au XVIe siècle, t. II : XVIe siècle, Avignon, Aubanel frères, , 190 p. (BNF 31055220, SUDOC 064095908), chap. X (« Libraires de la première moitié du XVIe siècle »), p. 15-51. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Sur Terrevermeille

Ouvrages wikidata

Mémoires et thèses

  • Benoit Soubeyran, Un juriste nîmois du XVIe siècle formé à Montpellier, Jacques Bonaud de Sauzet, (mémoire de master), UPVM, , [lire en ligne]Voir et modifier les données sur Wikidata

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes


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