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* En Angleterre, parution du premier numéro de la revue ''Contemporary poetry and prose'', première revue à publier des textes de surréalistes anglais<ref>{{Ouvrage|auteur1=[[Adam Biro]]|auteur2=[[René Passeron]]|titre=Dictionnaire général du surréalisme et de ses environs|édition=Office du livre/Presses universitaires de France|date=1982|isbn=2-13-037280-5}}, {{p.|103}}.</ref>. |
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Cet article présente les faits marquants de l'année 1936 en dadaïsme et surréalisme.
Dada et Surréalisme
Artistes Dadas et personnalités liées au mouvement |
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1916 • 1917 • 1918 • 1919 • 1920 • 1921 • 1922 • 1923 • 1924 • 1925 • 1926 • 1927 • 1928 • 1929 • 1930 • 1931 • 1932 • 1933 • 1934 • 1935 • 1936 • 1937 • 1938 • 1939 • 1940 • 1941 • 1942 • 1943 • 1944 • 1945 • 1946 • 1947 • 1948 • 1949 • 1950 • 1951 • 1952 • 1953 • 1954 • 1955 • 1956 • 1957 • 1958 • 1959 • 1960 • 1961 • 1962 • 1963 • 1964 • 1965 • 1966 • 1967 • 1968 • 1969 |
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Éphémérides
Janvier
Antonin Artaud embarque pour le Mexique : « C'est pour moi une véritable aventure et c'est d'ailleurs ce qui me plaît, là-dedans, puisque je pars avec des fonds très réduits. Et que je dois à toute force compter sur ce qui se présentera là-bas pour vivre. Et le destin, il me semble, ne peut pas ne pas parler[1]. »
Publication du tract Le Domestique zélé, dans lequel le Groupe surréaliste en Belgique prononce l'exclusion d'André Souris, coupable d'avoir dirigé une messe à la mémoire d'Henry Le Bœuf, l'un des fondateurs du Palais des Beaux-Arts de Bruxelles[2].
Février
À l'occasion d'une rétrospective Pablo Picasso, en Espagne, Paul Eluard donne une conférence à l'Institut français de Madrid sur le thème Pablo Picasso, peintre et poète[3].- Eluard présente Dora Maar à Picasso.
Mars
Artaud achève une série de conférences dont Surréalisme et Révolution, L'Homme contre le destin et Le Théâtre et les dieux[4].- Exposition des collages originaux d'Une semaine de bonté de Max Ernst au Musée d'Art moderne de Madrid, à l'initiative de Paul Eluard.
Avril
- À New York, l'historien de l'art Alfred H. Barr organise l'exposition Fantastic Art, Dada, Surrealism au Museum of Modern Art (MOMA) réunissant près de 700 œuvres dans un esprit éclectique[5].
Mai
André Breton et Paul Eluard, Notes sur la poésie[6].
Exposition surréaliste d'objets[7] à Paris, galerie Charles Ratton. Œuvres exposées[8] :- Claude Cahun Objets à fonctionnement symbolique[9],
- Max Ernst Objet mobile recommandé aux familles[10],
- Leonor Fini Couverture d'un livre ayant séjourné dans la mer[11],
- Maurice Henry Hommage à Paganini,
- Marcel Jean Le Spectre de Gardénia,
- Dora Maar Portrait d'Ubu, photographie[12],
- René Magritte Ceci est un morceau de fromage[13],
- Meret Oppenheim Le Déjeuner en fourrure[14].
Georges Hugnet, La Septième face du dé, écrits et collages, la couverture est de Marcel Duchamp[6].
- Le groupe Contre-attaque ne surmontant pas ses divisions se dissout et rompt toutes relations avec les surréalistes[15].
- En Angleterre, parution du premier numéro de la revue Contemporary poetry and prose, première revue à publier des textes de surréalistes anglais[16].
Juin
À Londres, première exposition internationale du surréalisme organisée par les peintres David Gascoyne et Roland Penrose, avec la collaboration de Breton, Eluard et Messens[17] et qui rassemble plus de soixante artistes[18]. Un journaliste, Alexander Watt, dans The Studio Magazine attribue l'arrivée tardive du mouvement en Grande-Bretagne à « la lenteur du public à prêter l'oreille aux nouvelles tendances artistiques qui marquent le continent[19]. »
Lors de cette exposition Salvador Dalí présente le fantôme du sex appeal : performance de la poétesse Sheila Legge qui déambule solennellement dans Trafalgar square, vêtue d'une robe blanche et de longs gants de soirée, portant une jambe de mannequin dans une main et une côtelette de porc dans l'autre, le visage couvert d'un masque de roses[20].
Dans le cadre de l'exposition surréaliste de Londres, Paul Eluard donne une conférence intitulée L'Évidence poétique : « Les poèmes ont toujours de grandes marges blanches, de grandes marges de silence où la mémoire ardente se consume pour recréer un délire sans passé[21]. »
Septembre
André Breton, La Vérité sur les procès de Moscou- Artaud se rend chez les Tarahumaras. Il assiste à leurs fêtes rituelles et s'initie au culte du peyotl[22].
Octobre
Paul Eluard, Les Yeux fertiles, avec un portrait et quatre illustrations de Pablo Picasso- André Breton, Le Merveilleux contre le mystère
Novembre
- Achille Chavée part en Espagne et s'engage dans les Brigades internationales (Bataillon Dombrowski)[23].
- La revue Contemporary poetry and prose publie une Déclaration sur l'Espagne signée du groupe surréaliste anglais[24].
Décembre
- Artaud est de retour en France[25].
- À New York, Alfred H. Barr organise une seconde exposition Fantastic Art, Dada, Surrealism toujours au Museum of Modern Art (MOMA)[26].
Cette année-là
- La peintre anglaise Eileen Agar adhère au surréalisme.
- Rencontre à Londres de Leonora Carrington et Max Ernst.
- Après le déclenchement de la rébellion militaire en Espagne, Wifredo Lam prend un poste de direction dans une usine de munitions[27]
- André Masson se réconcilie avec Breton.
- Première exposition personnelle de Meret Oppenheim à Berne. Le texte du carton d'invitation est écrit par Max Ernst[28].
- Benjamin Péret rejoint le POUM (Parti ouvrier d'unification marxiste) à Barcelone. Il s'engage dans une unité de la colonne Durruti[29] qui combat sur le front de Terruel[30]. Il rencontre l'artiste-peintre Remedios Varo.
- Faillite des éditions et de la librairie Au Sans Pareil fondées et dirigées par René Hilsum.
Œuvres
- Jean Arp
- Couronne de bourgeons II, plâtre poncé, enduit et stéariné[31]
- Maurice Blanchard
- Sartrouville, poèmes[32]
- Victor Brauner
- Anatomie du désir, cycle de dessins, au crayon, à la plume, réhaussés de lavis ou d'aquarelle[33]
- André Breton
- Au Lavoir noir, avec une « fenêtre » par Marcel Duchamp[34]
- Le Merveilleux contre le mystère
- André Breton & Paul Eluard
- Notes sur la poésie, avec des illustrations de Salvador Dalí[35]
- André Breton et Jacqueline Lamba
- Le Petit mimétique, boîte-objet : insecte ailé (libellule ?) sur amas de feuilles mortes séchées dans un écrin de bois tapissé d'un papier translucide couleur de miel[36]
- Max Bucaille
- Images concrètes de l'insolite, collage et poèmes[37]
- Claude Cahun
- Alexander Calder
- Achille Chavée
- Le Cendrier de chair, poèmes : « Jouons l'inconnu sur l'image connue / je vous explique le mécanisme de la pureté / fermons les yeux / pour attraper au vol / les cent mouches qui brûlent leurs ailes / qui brûlent nos pupilles de cristal / mon cher soleil / mon cher criminel endurci de bonté »
- Salvador Dalí
- La Cité des tiroirs, dessin à l'encre de Chine[41]
- Construction molle avec haricots bouillis (Prémonition de la guerre civile), huile sur toile[42]
- La Girafe en feu, huile sur toile[43]
- Mae West, gouache[44]
- Téléphone aphrodisiaque blanc, objet[45]
- Vénus de Milo aux tiroirs, moulage en bronze avec plâtre et pompons en fourrure[46]
- Le Veston aphrodisiaque, objet : veston de smoking recouvert de verres à liqueur contenant du pippermint[47]
- Paul Delvaux
- Óscar Domínguez
- Paul Eluard
- Les Yeux fertiles, avec un portrait et quatre illustrations de Pablo Picasso
- Max Ernst
- Leonor Fini
- Wilhelm Freddie
- Alberto Giacometti
- Femme qui marche, bronze, commencé en 1932[58]
- Stanley William Hayter
- Sadegh Hedayat
- La Chouette aveugle, roman[61]
- Maurice Henry
- Jacques Hérold
- La Rencontre, huile sur toile[63]
- Georges Hugnet
- La Septième face du dé, écrits et collages, la couverture est de Marcel Duchamp
- Marcel Jean
- Moraine, huile sur toile[64]
- Le Spectre de Gardénia, objet : tête en plâtre, fermeture à glissière sur base en bois recouverte de velours et pellicule tirée d'un film de Louis Chavance et dans lequel apparaît Dora Maar[65]
- Rita Kernn-Larsen
- La Promenade dangereuse, huile sur toile[66]
- Gilbert Lely
- Dora Maar
- Pierre Mabille
- La Construction de l'homme
- René Magritte
- Ceci est un morceau de fromage[69]
- La Clef des champs, huile sur toile[70]
- La Découverte du feu, huile sur panneau[71]
- Éloge de la dialectique, gouache sur papier[72]
- La Magie noire, huile sur toile[73]
- La Vengeance, huile sur toile[74]
- André Masson
- L'Acéphale, dessin pour la couverture de la première parution de la revue du même nom créée par Georges Bataille[75]
- Reuben Mednikoff
- Le Cochon volant, huile sur toile
- Joan Miró
- Henry Moore
- Forme carrée, sculpture
- Richard Oelze
- Le Dangereux désir[77]
- Meret Oppenheim
- Le Déjeuner en fourrure, objet : tasse, soucoupe et petite cuillère recouvertes de cuir et de fourrure[78].
C'est Breton qui a trouvé le titre de l'œuvre en contractant celui du Déjeuner sur l'herbe d'Édouard Manet et La Vénus en fourrure de Sacher-Masoch. « Je ne cherchais pas si loin, précise Meret. J'avais donné comme titre : Assiette, tasse et cuillère recouvertes de fourrure. »[79] - Ma gouvernante, objet : paire de chaussures de femme posées sur un plat d'argent et ficelées comme un gigot : « [Cette œuvre] évoque pour moi une paire de cuisses serrées dans le plaisir. »[80]
- Le Déjeuner en fourrure, objet : tasse, soucoupe et petite cuillère recouvertes de cuir et de fourrure[78].
- Wolfgang Paalen
- La Housse en feuillage, objet[81]
- Pays interdit
- Roland Penrose
- Le Dernier voyage du capitaine Cook, sculpture
- The Dew machine (La Machine à faire la rosée), objet
- Le Paradis aux alouettes, objet : bois, verre, métal[82]
- Valentine Penrose
- Le Nouveau Candide, avec un frontispice de Wolfgang Paalen[83]
- Benjamin Péret
- Je ne mange pas de ce pain-là, anthologie de poèmes publiés depuis 1926 ainsi que des inédits[84]
- Je sublime
- Trois cerises et une sardine, illustré d'un dessin d'Yves Tanguy[85]
- Gisèle Prassinos
- Quand le bruit travaille
- Une demande en mariage
- Alice Rahon-Paalen
- À même la terre, illustré d'une eau-forte d'Yves Tanguy, la maquette est de Benjamin Péret. On la surnommera « l'abeille noire » en référence à l'un de ses poèmes : « Le nord bâtit l'hiver avec des abeilles noires et des ailes blanches[86]. »
- Yves Tanguy
- Raoul Ubac
- Penthésilées, série de photomontages, en hommage à l'œuvre d'Heinrich von Kleist[89].
- Gérard Vulliamy
- La Salamandre pompéïenne[90]
Notes et références
- Lettre au docteur René Allendy. Antonin Artaud (édition établie, présentée et annotée par Évelyne Grossman), Œuvres, Gallimard, coll. « Quarto », (ISBN 978-2-07-076507-2), p. 1745.
- Xavier Canonne, Le Surréalisme en Belgique. 1924-2000, éditions Actes Sud, Arles, 2007, p. 33.
- Paul Eluard, Poésies complètes, Bibliothèque de la Pléiade, Éditions Gallimard, Paris, 1968. Appareil critique de Marcelle Dumas et Lucien Scheler, p. LXVIII.
- Artaud, p. 1746.
- Alexandrian, p. 162 et Marc Dachy, Archives Dada. Chroniques, éditions Hazan, Paris, 2005 (ISBN 2-7541-0009-1), p. 541.
- Eluard, p. LXVIII.
- Titre voulu par André Breton plutôt que exposition d'objets surréalistes, voir la description de l’exposition dans [Ottinger 2013] Didier Ottinger (dir.), Dictionnaire de l'objet surréaliste (exposition, Paris, Musée national d'art moderne, Centre Pompidou, 30 octobre 2013-3 mars 2014), Gallimard, Centre Pompidou, (ISBN 978-2-07-014181-4), p. 72-80 — « Dossier pédagogique », sur mediation.centrepompidou.fr.
- Voir aussi le catalogue Exposition surréaliste d'objets, (SUDOC 138020027, lire en ligne)
- Ottinger, p. 34.
- Ottinger, p. 61.
- Ottinger, p. 43.
- Cité dans Ottinger, p. 229. Reproduction dans (fr + en) Alix Agret (dir.) et Dominique Païni (dir.), Surréalisme au féminin ? (catalogue de l'exposition présentée du 31 mars au 10 septembre 2023 au Musée de Montmartre-Jardins Renoir), In fine/Musée de Montmartre, (ISBN 978-2-38203-116-2), p. 121.
- Ottinger, p. 38.
- Ottinger, p. 51.
- Biro & Passeron, p. 103.
- Adam Biro et René Passeron, Dictionnaire général du surréalisme et de ses environs, Office du livre/Presses universitaires de France, (ISBN 2-13-037280-5), p. 103.
- Agnès Angliviel de la Beaumelle, Yves Tanguy, Centre Pompidou, Paris, 1982, catalogue de l'exposition du Musée national d'art moderne au Centre Georges Pompidou, du au , p. 204 et Biro & Passeron, p. 279 et Eluard, p. LXIX.
- Sarane Alexandrian, L'Art surréaliste, Éditions Hazan, Paris, 1969, p. 139.
- Propos cités dans Agret & Païni, p. 21.
- Description de la performance et reproduction de l'affiche de l'exposition dont la photographie de Sheila Legge affublée du masque est réalisée par Claude Cahun, dans Agret & Païni, p. 21, p. 27 & p. 109.
- Eluard, p. LXIX.
- Artaud, p. 1747.
- Il en reviendra en octobre 1937 et sera soupçonné d'avoir siégé dans des tribunaux révolutionnaires. Canonne, p. 33.
- Biro & Passeron, p. 103.
- Artaud, p. 1748.
- Dachy 2005, p. 541.
- Lam et les poètes, Hazan, Paris, 2005, p. 137.
- Georgiana Colvile, Scandaleusement d'elles : trente-quatre femmes surréalistes, J.-M. Place, (ISBN 2-85893-496-7), p. 218.
- Et non dans les Brigades internationales, selon une lettre de Jean Schuster adressée à La Quinzaine littéraire et publiée dans le numéro 91 du 1er mars 1970, p. 12.
- Biro & Passeron, p. 326.
- 52 × 42,5 × 42 cm. Paris, Centre Pompidou. Description dans Ottinger, p. 307. Reproduction dans José Pierre, L'Univers surréaliste, Somogy, Paris, 1983, p. 187.
- Biro & Passeron, p. 58.
- Cité dans Biro & Passeron, p. 23.
- G.L.M., Paris. NRF no 172 : André Breton et le mouvement surréaliste, 1er avril 1967, Gallimard, re-édition de 1990, (ISBN 2-07-072093-4), p. 383.
- G.L.M., Paris. NRF, p. 383.
- Reproduction dans Vincent Gille & Béatrice Riottot El-Habib (sous la direction de), Le Surréalisme et l'Amour, Gallimard, Paris, 1997, p. 95.
- Biro & Passeron, p. 71.
- Reproduction dans Ottinger, p. 40.
- 15 × 19 cm. Jersey heritage collections. Reproduction dans Agret & Païni, p. 108.
- Ottinger, p. 36.
- Collection Edward James, Angleterre. Reproduction dans Alexandrian, p. 102.
- Museum of Art, Philadelphie. Reproduction dans Gabriele Crepaldi, L'Art moderne 1900-1945, Gründ, 2006, p. 213.
- Reproduction dans Philippe Audoin, Les Surréalistes, p. 74.
- Art Institute, Chicago. Reproduction dans Alexandrian, p. 101.
- Museum Boijmans Van Beuningen, Rotterdam. Reproduction dans L'Œil no 650, octobre 2012, p. 73.
- 98,5 × 32,5 × 34 cm. Düsseldorf, Kunstsammlung Nordrhein Westfalen. Description dans Ottinger, p. 308 et reproduction dans L'Œil no 650, p. 50.
- 88 × 79 × 6 cm. Athènes, the George Economou collection. Reproduction dans Ottinger, p. 272.
- Collection Jean Giron, Bruxelles. Cité dans Alexandrian, p. 125, pour être le tableau qui « inaugura le style » de Paul Delvaux : femmes habillées se dirigeant vers une arc de triomphe.
- 71 × 91,5 cm. Reproduction dans Connaissance des arts no 719, octobre 2013, p. 50.
- Museum of Modern Art, New York. Reproduction dans André Breton, Le Surréalisme et la Peinture, Gallimard, 1928-1965, p. 128 et Pierre 1983, p. 23.
- Breton verra dans la « décalcomanie sans objet préconçu » ou « décalcomanie du désir », selon les propres termes de Dominguez, le point de départ de « l'automatisme absolu » : « Voici retrouvé à l’état le plus pur le charme sous lequel nous tenaient au sortir de l’enfance, les rochers et les saules d’Arthur Rackham (Illustrateur anglais du XIXe siècle) ».
- Reproduction dans L'Œil no 588, février 2007, p. 94.
- Ottinger, p. 99.
- 49 × 63,9 cm. Musée d'art et d'histoire, Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Reproduction dans Connaissance des arts no 714, avril 2013, p. 64.
- Reproduction dans Ottinger, p. 44.
- Musée de Silkeborg, Danemark. Reproduction dans Alexandrian, p. 134.
- 64,5 × 33 × 22 cm. Aalborg, Kunsten museum of modern art. Description dans Ottinger, p. 309. Reproduction dans Pierre 1983, p. 196.
- 150,3 × 27,7 × 38,4 cm. Paris, Fondation Alberto et Annette Giacometti. Reproduction de la version de 1932 dans Ottinger, p. 23.
- Reproduction dans Pierre 1983, p. 178.
- Cité Biro & Passeron, p. 202.
- Première traduction française en 1954. Breton estimera le livre au même titre que Aurélia de Gérard de Nerval, la Gradiva de Wilhelm Jensen et les Mystères de Knut Hamsun. Biro & Passeron, p. 202.
- 24,5 × 52 × 10 cm. Milan, Archivio Maurice Henry. Reproduction dans Ottinger, p. 43.
- Reproduction dans Gille, p. 81.
- Reproduction dans Connaissance des arts no 651, juillet 2007, p. 34.
- 35 × 18 × 23 cm. Paris, Centre Pompidou. Biro & Passeron, p. 225 et description et reproduction dans Ottinger, p. 250 & p. 310 et Mary Ann Caws, Surréalisme, traduit de l'anglais par Richard Crevier, Phaidon, Paris, 2006, p. 54.
- 25 × 54 cm. Musée national d'art moderne. Reproduction dans Agret & Païni, p. 57.
- Éditions Surréalistes. Cité dans Gilbert Lely, Poésies complètes, tome 1 : chronologie, Mercure de France, Paris, 1990, p. 26.
- Paris, Centre Pompidou, Musée national d'art moderne. Reproduction dans C. Gonnard & E. Lebovici, Femmes artistes/artistes femmes, Hazan, Paris, 2007, p. 174 et Agret & Païni, p. 121.
- Ottinger, p. 38.
- Reproduction dans Crepaldi, p. 21.
- 22 × 16 cm. Collection particulière. Reproduction dans Beaux Arts Magazine no 108, janvier 1993, p. 15.
- 38 × 32 cm. Musée d'Ixelles, Bruxelles. Reproduction dans Connaissance des arts no 714, avril 2013, p. 40.
- Reproduction dans Crepaldi, p. 211.
- 53,5 × 65 cm. Collection Francis Gross, Paris. Reproduction dans Beaux Arts Magazine no 445, juillet 2021, p. 172.
- Biro & Passeron, p. 11 et reproduction dans Artpress 2 no 9, mai 2008, p. 11.
- Jacques Dupin, Joan Miró, Flammarion, Paris, 1961. Reproduction dans Beaux Arts Magazine no 290, août 2008, p. 113.
- Reproduction dans Pierre 1983, p. 175.
- Diam. 24 cm, cuillère 20 cm. New York, Museum of Modern Art. Reproduction dans Pierre 1983, p. 182 et Colvile, p. 222.
- Reproduction dans Alexandrian, p. 136.
- 14 × 21 × 33 cm. Reproduction dans Colvile, p. 223.
- Reproduction dans Alexandrian, p. 145.
- Collection particulière. Reproduction dans Ottinger, p. 220.
- Colvile, p. 234.
- Éditions Syllepse, Paris, 2010.
- Angliviel de la Beaumelle, 2007, p. 204.
- La Quinzaine littéraire no 1074, 16 décembre 2012, p. 30.
- 12 × 21 × 47 cm, collection Morten G. Newman. Reproduction dans Beaux Arts Magazine no 90, mai 1991, {{p.[59}}.
- Reproduction dans Angliviel de la Beaumelle, p. 114.
- Canonne, p. 41. : « Le photomontage n'est ici qu'une étape intermédiaire dans ce long travail de manipulation qui voit l'image d'origine se perdre dans les inversions ou les solarisations, pour conduire à ces grands combats qui évoquent le relief, un monde pétrifié que déjouent les courbes du corps féminin. »
- Collection Streichenberg. Reproduction dans Biro & Passeron, p. 425.