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* [[1963 au cinéma|1963]] : ''[[La Porteuse de pain (film, 1963)|La Porteuse de pain]]'', de [[Maurice Cloche]] - (Le premier policier aux ordres du préfet de police)
* [[1963 au cinéma|1963]] : ''[[La Porteuse de pain (film, 1963)|La Porteuse de pain]]'', de [[Maurice Cloche]] - (Le premier policier aux ordres du préfet de police)
* [[1963 au cinéma|1963]] : ''[[Les Tontons flingueurs]]'', de [[Georges Lautner]] - rôle du tailleur de Fernand Naudin à la fin du film. On retrouve son propre frère, Jean-Louis, dans la même séquence dans le rôle du photographe. Jean-Louis Castelli était d'ailleurs le photographe du plateau.
* [[1963 au cinéma|1963]] : ''[[Les Tontons flingueurs]]'', de [[Georges Lautner]] - (rôle du tailleur de Fernand Naudin à la fin du film. On retrouve son propre frère, Jean-Louis, dans la même séquence dans le rôle du photographe. Jean-Louis Castelli était d'ailleurs le photographe du plateau.)
* [[1964 au cinéma|1964]] : ''[[Une ravissante idiote]]'', d'[[Édouard Molinaro]] - (Le client du restaurant)
* [[1964 au cinéma|1964]] : ''[[Une ravissante idiote]]'', d'[[Édouard Molinaro]] - (Le client du restaurant)
* [[1964 au cinéma|1964]] : ''[[Des pissenlits par la racine]]'', de [[Georges Lautner]] - (L'interne)
* [[1964 au cinéma|1964]] : ''[[Des pissenlits par la racine]]'', de [[Georges Lautner]] - (L'interne)
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* [[1965 au cinéma|1965]] : ''[[Les Enquiquineurs]]'' de [[Roland Quignon]]
* [[1965 au cinéma|1965]] : ''[[Les Enquiquineurs]]'' de [[Roland Quignon]]
* [[1965 au cinéma|1965]] : ''[[Quand passent les faisans]]'' de [[Édouard Molinaro]] - (le barman)
* [[1965 au cinéma|1965]] : ''[[Quand passent les faisans]]'' de [[Édouard Molinaro]] - (le barman)
* [[1965 au cinéma|1965]] : ''[[Les Bons Vivants]]'', de [[Gilles Grangier]] et [[Georges Lautner]] (segment ''Les Bons vivants'') - (Boudu, un membre de l'association sportive). Sur tout le film : Narrateur. Etonnement, il n'est pas crédité dans le film contraairement à d'autres participants aux rôles plus modestes, alors qu'il a un véritable "second rôle important" avec un bon nombre de répliques avec Louis de Funès, personnage principal du segment et est le narrateur sur tout le film.
* [[1965 au cinéma|1965]] : ''[[Les Bons Vivants]]'', de [[Gilles Grangier]] et [[Georges Lautner]] (segment ''Les Bons vivants'') - (Boudu, un membre de l'association sportive). (Sur tout le film : Narrateur. Etonnement, il n'est pas crédité dans le film contrairement à d'autres participants aux rôles plus modestes, alors qu'il a un véritable "second rôle important" avec un bon nombre de répliques avec Louis de Funès, personnage principal du segment et est le narrateur sur tout le film.)
* [[1965 au cinéma|1965]] : ''[[Fantomas se déchaîne]]'', d'[[André Hunebelle]] - rôle du policier qui arrive en retard lors du briefing de Juve.
* [[1965 au cinéma|1965]] : ''[[Fantomas se déchaîne]]'', d'[[André Hunebelle]] - rôle du policier qui arrive en retard lors du briefing de Juve.
* [[1965 au cinéma|1965]] : ''[[La Communale]]'' de [[Jean L'Hôte]]
* [[1965 au cinéma|1965]] : ''[[La Communale]]'' de [[Jean L'Hôte]]

Version du 14 mai 2024 à 20:15

Philippe Castelli
Nom de naissance Philippe Charles Louis Castelli
Naissance
Chaville, Seine (France)
Nationalité Drapeau de la France Française
Décès (à 80 ans)
15e arrondissement de Paris (France)
Profession Acteur
Films notables Les Barbouzes
Les Tontons flingueurs
Le Caporal épinglé

Philippe Charles Louis Castelli est un acteur français, né le à Chaville et mort le à Paris 15e[1].

Biographie

Sa carrière

Il a tourné exclusivement des rôles de second plan (ou de « troisième couteau », comme son ami acteur Dominique Zardi), ou fait de la figuration, dans 86 films, mais aussi au théâtre et dans des téléfilms. Son physique longiligne, sa démarche flegmatique et son accent parigot mais empreint d'une certaine préciosité, lui ont valu de nombreux rôles de garçon de café, de maître d'hôtel, de portier et de valet de chambre. Le public l'a vu dans des scènes courtes, dans divers films qui ont eu la faveur du public. Parmi les films où sa présence est particulièrement marquante, on peut citer : Le Caporal épinglé de Jean Renoir, Landru de Claude Chabrol, et ces films de Georges Lautner : Les Barbouzes, Les Tontons flingueurs, Les Seins de glace, Quelques messieurs trop tranquilles, Les Bons vivants, Flic ou voyou, Laisse aller... c'est une valse, Le Guignolo. Le film Ça va pas être triste, de Pierre Sisser, lui octroie un rôle assez important.

Cependant, sa notoriété est due principalement, à partir de 1982, à son long passage aux Grosses Têtes, émission radiophonique animée sur RTL par Philippe Bouvard, parfois télévisée. La nonchalance de sa voix, son débit assez lent, ses histoires à cent sous (généralement précédées par l'expression « Ah, j'ai une histoire !… ») lui ont valu les (amicales) railleries des sociétaires de cette émission. Il a fait des apparitions dans l'émission L'Académie des neuf, au milieu des années 1980, sur Antenne 2. Il a dit : « Sans Philippe Bouvard, qui m'a imposé dans les Grosses têtes, je ne serais rien, ou alors un humble comédien, le plus souvent en quête d'un théâtre. »

Tombe de Philippe Castelli au cimetière de Montmartre (division 25).

Avant 1959, il avait participé au Petit conservatoire de la chanson, célèbre émission de Mireille.

Mort

Philippe Castelli meurt à l'âge de 80 ans à l'hôpital Georges-Pompidou à Paris 15e, de problèmes cardio-respiratoires[2],[1],[3],[4]. Il est inhumé au cimetière de Montmartre (25e division), dans le 18e arrondissement de la même ville.

Filmographie

Cinéma

Longs métrages

Courts métrages

Télévision

Théâtre

Chansons

  • 1981 : La Madelon des parachutistes
  • 1981 : Zim boum
  • 1982 : Merde, merde, merde (ça va pas être triste)
  • 1982 : Quel panard d'être un loubard'
  • 1984 : Grosse comme une baleine
  • 1987 : Toutes, je les veux toutes
  • 1987 : Y'a des Papous de Marie Dauphin : Le Général

Publicités

Philippe Castelli, cependant, jouait des premiers rôles dans de nombreuses publicités radiophoniques et télévisées, que ce soit dans les années 60 jusqu'à la fin des années 80 : Par exemples La Samaritaine, Peugeot, Canigou, le bonbon Polo, le Rhum Saint-Gilles, ...

Premières parties de spectacles, animations, ...

Philippe Castelli assurait des premières parties ou/et des intermèdes de tournées de chanteurs comme par exemple, pour Pierre Bachelet en 1982.

Citations

  • Philippe Bouvard a dit de lui : « Je fus séduit par son regard de chien battu, ses oreilles de cocker, la loupe qu'il arbore sur le crâne en plus de ses lunettes et par son manque de mémoire » et également, en forme d'hommage : « Il faut être très intelligent pour savoir jouer aussi bien les imbéciles ». Cette dernière citation a été dîte du vivant de l'acteur, en sa présence et plusieurs fois lors de son décés.

Notes et références

  1. a et b Insee, « Acte de décès de Philippe Charles Louis Castelli », sur MatchID (consulté le )
  2. Mort du comédien Philippe Castelli
  3. Les gens du cinéma
  4. Extrait de décès no 15/992/2006

Liens externes