« Jean-Jacques Marcel » : différence entre les versions
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'''Jean-Jacques Marcel''' est un [[football]]eur puis [[Entraîneur de football|entraîneur]] [[France|français]] né le {{Date|13|juin|1931|en football}} à [[Brignoles]] dans le département du [[Var (département)|Var]] et mort le {{date|3|10|2014}}. Il évolue aux postes de [[Défenseur (football)|défenseur central]] et de [[Milieu de terrain|milieu défensif]] du début des [[années 1950]] jusqu'au milieu des [[années 1960]]. |
'''Jean-Jacques Marcel''' est un [[football]]eur [[Équipe de France de football|international]] puis [[Entraîneur de football|entraîneur]] [[France|français]] né le {{Date|13|juin|1931|en football}} à [[Brignoles]] dans le département du [[Var (département)|Var]] et mort le {{date|3|10|2014}} dans le [[13e arrondissement de Marseille]]<ref>[https://deces.matchid.io/id/nxpb7ir5K-uI État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970]</ref>. Il évolue aux postes de [[Défenseur (football)|défenseur central]] et de [[Milieu de terrain|milieu défensif]] du début des [[années 1950]] jusqu'au milieu des [[années 1960]]. |
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Formé à l'AS Brignoles, il joue de 1949 à 1954 au [[Football Club Sochaux-Montbéliard|FC Sochaux]], de 1954 à 1959 à l'[[Olympique de Marseille]], de 1959 à 1960 au [[ |
Formé à l'AS Brignoles, il joue de 1949 à 1954 au [[Football Club Sochaux-Montbéliard|FC Sochaux]], de 1954 à 1959 à l'[[Olympique de Marseille]], de 1959 à 1960 au [[Sporting Club de Toulon]] et de 1960 à 1964 au [[Racing Club de Paris]]. |
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En [[Équipe de France masculine de football|équipe de France]], il joue 44 matchs et marque 3 buts. Il participe à la [[Coupe du monde de football de 1954|Coupe du monde 1954]] puis à celle de [[Coupe du monde de football de 1958|1958]], où la France termine {{3e}}, ainsi qu'au premier [[Championnat d'Europe de football 1960|championnat d'Europe des Nations]] en 1960. À quatre reprises, il est [[Capitaine (football)|capitaine]] de l'équipe de France. |
En [[Équipe de France masculine de football|équipe de France]], il joue 44 matchs et marque 3 buts. Il participe à la [[Coupe du monde de football de 1954|Coupe du monde 1954]] puis à celle de [[Coupe du monde de football de 1958|1958]], où la France termine {{3e}}, ainsi qu'au premier [[Championnat d'Europe de football 1960|championnat d'Europe des Nations]] en 1960. À quatre reprises, il est [[Capitaine (football)|capitaine]] de l'équipe de France. |
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== Biographie == |
== Biographie == |
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Jean-Jacques Marcel est né dans une famille de négociants en vin. Son père était le maire de [[Brignoles]]<ref>{{ |
Jean-Jacques Marcel est né dans une famille de négociants en vin. Son père était le maire de [[Brignoles]]<ref>{{Ouvrage|prénom1=Lucien|nom1=Grimaud|prénom2=Alain|nom2=Pécheral|titre=La grande histoire de l'OM|lieu=Paris|éditeur=[[Éditions Robert Laffont|R. Laffont]]|année=1984|pages totales=331|passage=155|isbn=2-916400-07-9|consulté le=6 mars 2010}}</ref>. |
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Il commence le football dans le club de sa ville l'AS Brignoles, club de Division d'Honneur. Sous la direction de Frantz Olej<ref name="marcel">{{lien web|url=http://www.om4ever.com/ListeJoueurs/ParoleMarcel.htm | titre=Portrait de Jean-Jacques Marcel |site=[http://www.om4ever.com www.om4ever.com] | consulté le = {{1er}} avril 2011}}</ref>, un ancien de l'OM, il atteint avec son club les {{32es}} de finale de la Coupe de France en 1949 (défaite contre l'[[Valenciennes Football Club|US Valenciennes]] 3-2). |
Il commence le football dans le club de sa ville l'AS Brignoles, club de Division d'Honneur. Sous la direction de Frantz Olej<ref name="marcel">{{lien web|url=http://www.om4ever.com/ListeJoueurs/ParoleMarcel.htm | titre=Portrait de Jean-Jacques Marcel |site=[http://www.om4ever.com www.om4ever.com] | consulté le = {{1er}} avril 2011}}</ref>, un ancien de l'OM, il atteint avec son club les {{32es}} de finale de la Coupe de France en 1949 (défaite contre l'[[Valenciennes Football Club|US Valenciennes]] 3-2). |
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Il fait partie de l'''[[Centre de formation aux métiers du football Roland Peugeot#Les prémices de la formation : l'opération Lionceaux dès 1949|Opération Lionceaux]]'' lancée par le président de Sochaux, qui consiste à recruter partout en France des jeunes talents<ref>{{lien web|url=http://www.fcsochaux.fr/fr/index.php?option=com_content&task=view&id=1321&Itemid=106 |titre=La solution Lionceaux|site=[http://www.fcsochaux.fr www.fcsochaux.fr] | consulté le = {{1er}} avril 2011}}</ref>. Il joue 3 matchs en [[Championnat de France de football|Division 1]] la première année et s'impose rapidement dès l'année suivante dans le onze de départ. |
Il fait partie de l'''[[Centre de formation aux métiers du football Roland Peugeot#Les prémices de la formation : l'opération Lionceaux dès 1949|Opération Lionceaux]]'' lancée par le président de Sochaux, qui consiste à recruter partout en France des jeunes talents<ref>{{lien web|url=http://www.fcsochaux.fr/fr/index.php?option=com_content&task=view&id=1321&Itemid=106 |titre=La solution Lionceaux|site=[http://www.fcsochaux.fr www.fcsochaux.fr] | consulté le = {{1er}} avril 2011}}</ref>. Il joue 3 matchs en [[Championnat de France de football|Division 1]] la première année et s'impose rapidement dès l'année suivante dans le onze de départ. |
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En 1953, il gagne avec Sochaux la [[Coupe Charles Drago 1953|Coupe Drago]] contre le [[Toulouse FC (1937)|Toulouse FC]] marquant un but sur penalty. En Championnat, Sochaux finit {{2e}} |
En 1953, il gagne avec Sochaux la [[Coupe Charles Drago 1953|Coupe Drago]] contre le [[Toulouse FC (1937)|Toulouse FC]] marquant un but sur penalty. En Championnat, Sochaux finit {{2e}} pour échouer à quatre points du [[Stade de Reims]] malgré une belle fin de saison. |
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=== Olympique de Marseille (1954-1959) === |
=== Olympique de Marseille (1954-1959) === |
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À 23 ans et dix sélections en [[Équipe de France masculine de football|équipe de France]], il est recruté par l'[[Olympique de Marseille]] en 1954 pour {{formatnum:160000}} [[Franc français|francs]] (16 millions d'anciens francs d'avant 1960), somme considérable à l'époque<ref>{{ |
À 23 ans et dix sélections en [[Équipe de France masculine de football|équipe de France]], il est recruté par l'[[Olympique de Marseille]] en 1954 pour {{formatnum:160000}} [[Franc français|francs]] (16 millions d'anciens francs d'avant 1960), somme considérable à l'époque<ref>{{Ouvrage|prénom1=Pierre|nom1=Delaunay|prénom2=Jacques|nom2=De Ryswick|prénom3=Jean|nom3=Cornu|prénom4=Dominique|nom4=Vermand|titre=100 ans de Football en France|lieu=Paris|éditeur=éditions Atlas|année=1989|mois=juillet|pages totales=376|passage=206|isbn=2-7312-0108-8|consulté le=2 avril 2011}}</ref>. |
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Cette année-là, l'OM fait un début de saison tonitruant et prend la tête du championnat. Mais une défaite à [[Toulouse FC (1937)|Toulouse FC]] suivi d'une défaite au Stade Vélodrome contre le [[Stade de Reims]] fait glisser le club dans le ventre mou du Championnat ({{10e}}). |
Cette année-là, l'OM fait un début de saison tonitruant et prend la tête du championnat. Mais une défaite à [[Toulouse FC (1937)|Toulouse FC]] suivi d'une défaite au Stade Vélodrome contre le [[Stade de Reims]] fait glisser le club dans le ventre mou du Championnat ({{10e}}). |
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Il atteint avec ses coéquipiers la finale de la [[Coupe Charles Drago 1960|Coupe Drago]], perdue contre le [[Racing Club de Lens]] 3-2 mais en championnat, le club finit {{19e}} sur 20 et redescend en deuxième division. |
Il atteint avec ses coéquipiers la finale de la [[Coupe Charles Drago 1960|Coupe Drago]], perdue contre le [[Racing Club de Lens]] 3-2 mais en championnat, le club finit {{19e}} sur 20 et redescend en deuxième division. |
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Jean-Jacques Marcel se relance au [[Racing |
Jean-Jacques Marcel se relance au [[Racing Club de Paris]], [[Pierre Pibarot]] prône un football offensif et il joue milieu offensif et même attaquant, marquant 15 buts en 1961 puis 16 en 1962. |
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Le club ne remporte pas le championnat, échouant de justesse à deux reprises. |
Le club ne remporte pas le championnat, échouant de justesse à deux reprises. |
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=== Création de l'UNFP === |
=== Création de l'UNFP === |
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En 1961, Jean-Jacques Marcel fait partie des rares joueurs avec [[Just Fontaine]], [[Raymond Kopa]], [[Henri Biancheri]] à soutenir l'idée d'[[Eugène N'Jo Léa]] de créer un syndicat de footballeurs. Le 16 novembre de cette année-là naissait l'[[Union nationale des footballeurs professionnels|UNFP]] avec comme premier président Just Fontaine<ref>{{lien web |url=http://www.unfp.org/unfp/le-syndicat-des-joueurs-pro/notre-histoire.html |titre=Histoire de l'UNFP |site=[http://www.unfp.org www.unfp.org] |consulté le={{1er}} avril 2011 |brisé le= }}</ref>. Jean-Jacques Marcel en devient un des vice-présidents. |
En 1961, Jean-Jacques Marcel fait partie des rares joueurs avec [[Just Fontaine]], [[Raymond Kopa]], [[Henri Biancheri]] à soutenir l'idée d'[[Eugène N'Jo Léa]] de créer un syndicat de footballeurs. Le {{date-|16 novembre}} de cette année-là naissait l'[[Union nationale des footballeurs professionnels|UNFP]] avec comme premier président Just Fontaine<ref>{{lien web |url=http://www.unfp.org/unfp/le-syndicat-des-joueurs-pro/notre-histoire.html |titre=Histoire de l'UNFP |site=[http://www.unfp.org www.unfp.org] |consulté le={{1er}} avril 2011 |brisé le= }}</ref>. Jean-Jacques Marcel en devient un des vice-présidents. |
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== Équipe de France == |
== Équipe de France == |
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International militaire lors de son séjour au [[Bataillon de Joinville]], il dispute le [[Challenge Kentish]] en mai 1952 et s'incline avec l'[[Équipe de France de football militaire|équipe de France]] contre la [[Équipe de Grande-Bretagne olympique de football|Grande-Bretagne]] 1-0. |
International militaire lors de son séjour au [[Bataillon de Joinville]], il dispute le [[Challenge Kentish]] en {{date-|mai 1952}} et s'incline avec l'[[Équipe de France de football militaire|équipe de France]] contre la [[Équipe de Grande-Bretagne olympique de football|Grande-Bretagne]] 1-0. |
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Il connait sa première sélection en mai 1953 à l'âge de 22 ans. Il joue en défense centrale aux côtés de [[Roger Marche]], la [[Équipe de France |
Il connait sa première sélection en {{date-|mai 1953}} à l'âge de 22 ans. Il joue en défense centrale aux côtés de [[Roger Marche]], la [[Équipe de France de football|France]] bat à Colombes le [[Équipe du pays de Galles de football|pays de Galles]] 6-1. |
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En octobre 1953, il marque son premier but pour l'équipe de France contre la [[Équipe de Yougoslavie de football|Yougoslavie]] (défaite 3-1) sur un coup |
En {{date-|octobre 1953}}, il marque son premier but pour l'équipe de France contre la [[Équipe de Yougoslavie de football|Yougoslavie]] (défaite 3-1) sur un coup franc tiré par [[Joseph Ujlaki]]. |
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Il participe à la [[Coupe du monde de football 1954|Coupe du monde 1954]] mais n'est plus rappelé jusqu'en octobre 1955 contre la [[Équipe de Suisse de football|Suisse]]. Il devient ensuite un titulaire de l'équipe de France, au poste de demi-centre gauche, jusqu'en 1961. Il forme à 20 reprises avec [[Armand Penverne]] la paire de demi-centre de l'équipe de France. |
Il participe à la [[Coupe du monde de football 1954|Coupe du monde 1954]] mais n'est plus rappelé jusqu'en {{date-|octobre 1955}} contre la [[Équipe de Suisse de football|Suisse]]. Il devient ensuite un titulaire de l'équipe de France, au poste de demi-centre gauche, jusqu'en 1961. Il forme à 20 reprises avec [[Armand Penverne]] la paire de demi-centre de l'équipe de France. |
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=== Coupe du monde 1958 === |
=== Coupe du monde 1958 === |
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Jean-Jacques Marcel joue le premier match contre le [[Équipe du Paraguay de football|Paraguay]] (7-3) mais blessé, il doit laisser sa place à Roger Marche pour le second match disputé et perdu contre la [[Équipe de Yougoslavie de football|Yougoslavie]] (2-3). Il redevient titulaire contre l'[[Équipe d'Écosse de football|Écosse]] puis l'[[Équipe d'Irlande du Nord de football|Irlande du Nord]]. |
Jean-Jacques Marcel joue le premier match contre le [[Équipe du Paraguay de football|Paraguay]] (7-3) mais blessé, il doit laisser sa place à [[Roger Marche]] pour le second match disputé et perdu contre la [[Équipe de Yougoslavie de football|Yougoslavie]] (2-3). Il redevient titulaire contre l'[[Équipe d'Écosse de football|Écosse]] puis l'[[Équipe d'Irlande du Nord de football|Irlande du Nord]]. |
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Contre le [[Équipe du Brésil de football|Brésil]] en demi-finale, [[Robert Jonquet]] se brise le péroné dans un choc avec [[Edvaldo Izídio Neto|Vavá]] ({{26e|minute}}) alors que le score n'est que de 2-1 pour le Brésil. Jonquet reste sur le terrain (pas de remplacements de permis) et se positionne sur l'aile, et Jean-Jacques Marcel qui surveillait [[Didi]] le remplace alors en défense centrale. La défense centrale Penverne-Marcel joue en zone pour contrer la paire Vavá-[[Pelé]] et [[Jean Vincent]] recule pour marquer Didi mais à 11 contre 10 valides, le Brésil est le plus fort et s'impose 5-2<ref>{{ |
Contre le [[Équipe du Brésil de football|Brésil]] en demi-finale, [[Robert Jonquet]] se brise le péroné dans un choc avec [[Edvaldo Izídio Neto|Vavá]] ({{26e|minute}}) alors que le score n'est que de 2-1 pour le Brésil. Jonquet reste sur le terrain (pas de remplacements de permis) et se positionne sur l'aile, et Jean-Jacques Marcel qui surveillait [[Didi]] le remplace alors en défense centrale. La défense centrale Penverne-Marcel joue en zone pour contrer la paire Vavá-[[Pelé]] et [[Jean Vincent]] recule pour marquer Didi mais à 11 contre 10 valides, le Brésil est le plus fort et s'impose 5-2<ref>{{FFF match|1680-france-bresil|France - Brésil|24 juin 1958}}</ref>. Il joue ensuite le match de la troisième place, remporté 6-3, contre l'Allemagne. |
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=== Championnat d'Europe 1960 === |
=== Championnat d'Europe 1960 === |
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Les premiers [[Championnat d'Europe de football 1960|Championnats d'Europe de football]] sont organisés en 1960, la phase finale à quatre équipes se déroule en France. |
Les premiers [[Championnat d'Europe de football 1960|Championnats d'Europe de football]] sont organisés en 1960, la phase finale à quatre équipes se déroule en France. |
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La France passe facilement les huitièmes de finale contre la Grèce (8-2 sur les deux matchs) et les quarts contre l'Autriche (9-4 sur les deux matchs), Jean-Jacques Marcel marquant au match aller le but de l'égalisation sur un tir de {{unité|15|mètres}} après une passe redoublée avec [[Pierre Grillet]]<ref>{{ |
La France passe facilement les huitièmes de finale contre la Grèce (8-2 sur les deux matchs) et les quarts contre l'Autriche (9-4 sur les deux matchs), Jean-Jacques Marcel marquant au match aller le but de l'égalisation sur un tir de {{unité|15|mètres}} après une passe redoublée avec [[Pierre Grillet (football)|Pierre Grillet]]<ref>{{FFF match|690-autriche-france|Autriche - France|27 mars 1960}}</ref>. |
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L'équipe de France se présente comme favorite de la phase finale. Cependant, la sélection ne s'y présente pas avec tous ses atouts : [[Roger Marche]] et [[Armand Penverne]] ont pris leur retraite, [[Raymond Kopa]], [[Roger Piantoni]] et [[Just Fontaine]] sont blessés, [[Robert Jonquet]] n'est plus que réserviste. Des héros de Suède, il ne reste que Jean-Jacques Marcel, [[Jean Vincent]] et [[Maryan Wisnieski]]. |
L'équipe de France se présente comme favorite de la phase finale. Cependant, la sélection ne s'y présente pas avec tous ses atouts : [[Roger Marche]] et [[Armand Penverne]] ont pris leur retraite, [[Raymond Kopa]], [[Roger Piantoni]] et [[Just Fontaine]] sont blessés, [[Robert Jonquet]] n'est plus que réserviste. Des héros de Suède, il ne reste que Jean-Jacques Marcel, [[Jean Vincent]] et [[Maryan Wisnieski]]. |
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Jean-Jacques Marcel et ses coéquipiers mènent 4-2 contre la Yougoslavie à la {{62e|minute}} mais l'équipe de France explose dans le dernier quart d'heure et s'incline 5-4<ref>{{article|titre=Le roman de l'équipe de France|périodique=France Football|numéro=2907|jour=25|mois=décembre|année=2001|pages=29|issn=0015-9557|consulté le=2 avril 2011}}</ref>. |
Jean-Jacques Marcel et ses coéquipiers mènent 4-2 contre la Yougoslavie à la {{62e|minute}} mais l'équipe de France explose dans le dernier quart d'heure et s'incline 5-4<ref>{{article|titre=Le roman de l'équipe de France|périodique=France Football|numéro=2907|jour=25|mois=décembre|année=2001|pages=29|issn=0015-9557|consulté le=2 avril 2011}}</ref>. |
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Lors du match pour la |
Lors du match pour la troisième place contre la Tchécoslovaquie, Marcel est positionné milieu défensif, la défense centrale étant assurée par [[Robert Jonquet]], rappelé pour ce match, et [[Robert Siatka]]. Blessé à la {{70e|minute}}, il s'exile à l'aile droite et son rôle est repris par Vincent. La France s'incline 2-0 au Vélodrome dans un match très médiocre. |
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=== Fin de l'aventure en bleu === |
=== Fin de l'aventure en bleu === |
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[[Georges Verriest]] fait de lui en novembre 1960 le capitaine de l'équipe de France contre la [[Équipe de Bulgarie de football|Bulgarie]] (3-0) en qualification de la [[Coupe du monde de football |
[[Georges Verriest]] fait de lui en {{date-|novembre 1960}} le capitaine de l'équipe de France contre la [[Équipe de Bulgarie de football|Bulgarie]] (3-0) en qualification de la [[Coupe du monde de football 1962|Coupe du monde 1962]]. Il marque le but du 2-0 de la tête à la {{58e|minute}}. |
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Il déclare après ce match {{Citation|Nous avons fait un grand pas vers la qualification au Chili. Je n'ai que vingt-neuf ans, et j'espère bien être là en 1962. Mais de toute façon, je pose ma candidature, même comme remplaçant, même comme porteur de valise}}<ref>{{article|titre=Le roman de l'équipe de France|périodique=France Football|numéro=2907|jour=25|mois=décembre|année=2001|pages=31|issn=0015-9557|consulté le=2 avril 2011}}</ref>. |
Il déclare après ce match {{Citation|Nous avons fait un grand pas vers la qualification au Chili. Je n'ai que vingt-neuf ans, et j'espère bien être là en 1962. Mais de toute façon, je pose ma candidature, même comme remplaçant, même comme porteur de valise}}<ref>{{article|titre=Le roman de l'équipe de France|périodique=France Football|numéro=2907|jour=25|mois=décembre|année=2001|pages=31|issn=0015-9557|consulté le=2 avril 2011}}</ref>. |
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Il a encore l'honneur de porter le brassard contre la Belgique (1-1), match où il occupe un poste d'avant<ref>{{ |
Il a encore l'honneur de porter le brassard contre la Belgique (1-1), match où il occupe un poste d'avant<ref>{{FFF match|2755-france-belgique|France - Belgique|15 mars 1961}}</ref> puis contre la Finlande (5-1) et lors de son dernier match en équipe de France le {{date-|18 octobre 1961}} contre la Belgique (0-3) où il joue défenseur central. |
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Il apparait encore sur la feuille de match en tant que réserviste lors des matchs contre l'Espagne (1-1) et lors du match d'appui décisif pour la qualification à la Coupe du monde contre la Bulgarie, le {{date|16|décembre|1961}} (0-1). Ce match joué à [[Stadio Giuseppe Meazza|San Siro]] devant {{ |
Il apparait encore sur la feuille de match en tant que réserviste lors des matchs contre l'Espagne (1-1) et lors du match d'appui décisif pour la qualification à la Coupe du monde contre la Bulgarie, le {{date|16|décembre|1961}} (0-1). Ce match joué à [[Stadio Giuseppe Meazza|San Siro]] devant {{unité|34740|spectateurs}} spectateurs met fin aux espoirs de la France de jouer la Coupe du monde 1962 au Chili. |
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== Statistiques == |
== Statistiques == |
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=== En club === |
=== En club === |
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Le tableau ci-dessous résume les statistiques en match officiel de Jean-Jacques Marcel durant sa carrière de joueur professionnel<ref>{{Lien web |
Le tableau ci-dessous résume les statistiques en match officiel de Jean-Jacques Marcel durant sa carrière de joueur professionnel<ref>{{Footballdatabase|31976}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |
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|url=http://www.footballdatabase.eu/football.joueurs.jean-jacques.marcel.31976.fr.html |
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|titre=Jean-Jacques Marcel |
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|consulté le=6 mars 2010 |
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}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |
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|url=http://www.pari-et-gagne.com/joueur/jeanjacques_marcel.html |
|url=http://www.pari-et-gagne.com/joueur/jeanjacques_marcel.html |
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|titre=Jean-Jacques Marcel |
|titre=Jean-Jacques Marcel |
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|align="center" | '''1951 - [[1952 en football|1952]]''' |
|align="center" | '''1951 - [[1952 en football|1952]]''' |
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Ligne 177 : | Ligne 172 : | ||
|align="center"|28 |
|align="center"|28 |
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|align="center"|3 |
|align="center"|3 |
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⚫ | |||
|align="center"|1 |
|align="center"|1 |
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⚫ | |||
|align="center"|- |
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|align="center"|- |
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|align="center"| |
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|align="center"| |
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|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
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|align="center" | '''1952 - [[1953 en football|1953]]''' |
|align="center" | '''1952 - [[1953 en football|1953]]''' |
||
Ligne 191 : | Ligne 186 : | ||
|align="center"|28 |
|align="center"|28 |
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|align="center"|4 |
|align="center"|4 |
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|align="center"| |
|align="center"|5 |
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|align="center"|1 |
|align="center"|1 |
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|align="center"|- |
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Ligne 205 : | Ligne 200 : | ||
|align="center"|29 |
|align="center"|29 |
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|align="center"|2 |
|align="center"|2 |
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|align="center"| |
|align="center"|4 |
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|align="center"|0 |
|align="center"|0 |
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Ligne 224 : | Ligne 219 : | ||
|align="center"|- |
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|align="center"| |
|align="center"|- |
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|align="center"| |
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|- |
|- |
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|align="center" | '''1955 - [[1956 en football|1956]]''' |
|align="center" | '''1955 - [[1956 en football|1956]]''' |
||
Ligne 316 : | Ligne 311 : | ||
|align="center"|[[Championnat de France de football D1 1961-1962|Division 1]] |
|align="center"|[[Championnat de France de football D1 1961-1962|Division 1]] |
||
|align="center"|35 |
|align="center"|35 |
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|align="center"| |
|align="center"|15 |
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|align="center"| |
|align="center"|4 |
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|align="center"|0 |
|align="center"|0 |
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Ligne 336 : | Ligne 331 : | ||
|align="center"|- |
|align="center"|- |
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|align="center"|- |
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|align="center"| |
|align="center"|- |
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|align="center"| |
|align="center"|- |
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|- |
|- |
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|align="center" | '''1963 - [[1964 en football|1964]]''' |
|align="center" | '''1963 - [[1964 en football|1964]]''' |
||
Ligne 344 : | Ligne 339 : | ||
|align="center"|[[Championnat de France de football D1 1963-1964|Division 1]] |
|align="center"|[[Championnat de France de football D1 1963-1964|Division 1]] |
||
|align="center"|21 |
|align="center"|21 |
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|align="center"| |
|align="center"|3 |
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|align="center"|3 |
|align="center"|3 |
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|align="center"|0 |
|align="center"|0 |
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Ligne 350 : | Ligne 345 : | ||
|align="center"|2 |
|align="center"|2 |
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|align="center"|0 |
|align="center"|0 |
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|align="center"|0 |
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|align="center"|0 |
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|-bgcolor="#EBF5FF" |
|||
|align="center" | '''1964 - [[1965 en football|1965]]''' |
|||
|RC Paris |
|||
|{{FRA-d}} France |
|||
|align="center"|[[Championnat de France de football D2 1964-1965|Division 2]] |
|||
|align="center"|18 |
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|align="center"|5 |
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|align="center"|? |
|||
|align="center"|? |
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|align="center"|- |
|align="center"|- |
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|align="center"|- |
|align="center"|- |
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|align="center"|- |
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|align="center"|0 |
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|align="center"|0 |
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|- |
|- |
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|colspan="4" align="center"| '''Total''' |
|colspan="4" align="center"| '''Total''' |
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|align="center"|''' |
|align="center"|'''426''' |
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|align="center"|''' |
|align="center"|'''73''' |
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|align="center"|''' |
|align="center"|'''53''' |
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|align="center"|''' |
|align="center"|'''10''' |
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|align="center"|'''-''' |
|align="center"|'''-''' |
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|align="center"|'''2''' |
|align="center"|'''2''' |
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Ligne 380 : | Ligne 361 : | ||
=== En équipe de France === |
=== En équipe de France === |
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Ce tableau ci-dessous résume les apparitions de Jean-Jacques Marcel sous le maillot de l'équipe de France A<ref>{{FFF| |
Ce tableau ci-dessous résume les apparitions de Jean-Jacques Marcel sous le maillot de l'équipe de France A<ref>{{FFF|8748-marcel-jean-jacques}}</ref>. |
||
{| width="80%" bgcolor="#f7f8ff" cellpadding="3" cellspacing="0" border="1" style="font-size: 90%; border: gray solid 1px; border-collapse: collapse;" |
{| width="80%" bgcolor="#f7f8ff" cellpadding="3" cellspacing="0" border="1" style="font-size: 90%; border: gray solid 1px; border-collapse: collapse;" |
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Ligne 395 : | Ligne 376 : | ||
|- |
|- |
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|1 |
|1 |
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|align="center"|{{date|14|mai|1953 |
|align="center"|{{date-|14|mai|1953}} |
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|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
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|align="center"|Colombes |
|align="center"|Colombes |
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Ligne 405 : | Ligne 386 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
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|2 |
|2 |
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|align="center"|{{date|11|juin|1953 |
|align="center"|{{date-|11|juin|1953}} |
||
|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Rasunda Stadium (Solna) |
|align="center"|Rasunda Stadium (Solna) |
||
Ligne 416 : | Ligne 397 : | ||
|- |
|- |
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|3 |
|3 |
||
|align="center"|{{date|4|octobre|1953 |
|align="center"|{{date-|4|octobre|1953}} |
||
|align="center"|Qualification <br /> Coupe du monde |
|align="center"|Qualification <br /> Coupe du monde |
||
|align="center"|Dalymount Park (Dublin) |
|align="center"|Dalymount Park (Dublin) |
||
Ligne 426 : | Ligne 407 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
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|4 |
|4 |
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|align="center"|{{date|18|octobre|1953 |
|align="center"|{{date-|18|octobre|1953}} |
||
|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Dynamo (Zagreb) |
|align="center"|Dynamo (Zagreb) |
||
Ligne 437 : | Ligne 418 : | ||
|- |
|- |
||
|5 |
|5 |
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|align="center"|{{date|11|novembre|1953 |
|align="center"|{{date-|11|novembre|1953}} |
||
|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Colombes |
|align="center"|Colombes |
||
Ligne 447 : | Ligne 428 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
||
|6 |
|6 |
||
|align="center"|{{date|25|novembre|1953 |
|align="center"|{{date-|25|novembre|1953}} |
||
|align="center"|Qualification <br /> Coupe du monde |
|align="center"|Qualification <br /> Coupe du monde |
||
|align="center"|Parc des Princes |
|align="center"|Parc des Princes |
||
Ligne 458 : | Ligne 439 : | ||
|- |
|- |
||
|7 |
|7 |
||
|align="center"|{{date|11|avril|1954 |
|align="center"|{{date-|11|avril|1954}} |
||
|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Colombes |
|align="center"|Colombes |
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Ligne 468 : | Ligne 449 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
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|8 |
|8 |
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|align="center"|{{date|30|mai|1954 |
|align="center"|{{date-|30|mai|1954}} |
||
|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Heysel (Bruxelles) |
|align="center"|Heysel (Bruxelles) |
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Ligne 479 : | Ligne 460 : | ||
|- |
|- |
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|9 |
|9 |
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|align="center"|{{date|16|juin|1954 |
|align="center"|{{date-|16|juin|1954}} |
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|align="center"|Coupe du monde |
|align="center"|Coupe du monde |
||
|align="center"|La Pontaise (Lausanne) |
|align="center"|La Pontaise (Lausanne) |
||
Ligne 489 : | Ligne 470 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
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|10 |
|10 |
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|align="center"|{{date|19|juin|1954 |
|align="center"|{{date-|19|juin|1954}} |
||
|align="center"|Coupe du monde |
|align="center"|Coupe du monde |
||
|align="center"|Charmilles (Genève) |
|align="center"|Charmilles (Genève) |
||
Ligne 500 : | Ligne 481 : | ||
|- |
|- |
||
|11 |
|11 |
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|align="center"|{{date|9|octobre|1955 |
|align="center"|{{date-|9|octobre|1955}} |
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|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Saint-Jacob (Bâle) |
|align="center"|Saint-Jacob (Bâle) |
||
Ligne 510 : | Ligne 491 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
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|12 |
|12 |
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|align="center"|{{date|23|octobre|1955 |
|align="center"|{{date-|23|octobre|1955}} |
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|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Dynamo (Moscou) |
|align="center"|Dynamo (Moscou) |
||
Ligne 521 : | Ligne 502 : | ||
|- |
|- |
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|13 |
|13 |
||
|align="center"|{{date|11|novembre|1955 |
|align="center"|{{date-|11|novembre|1955}} |
||
|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Colombes |
|align="center"|Colombes |
||
Ligne 531 : | Ligne 512 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
||
|14 |
|14 |
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|align="center"|{{date|25|décembre|1955 |
|align="center"|{{date-|25|décembre|1955}} |
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|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Heysel (Bruxelles) |
|align="center"|Heysel (Bruxelles) |
||
Ligne 542 : | Ligne 523 : | ||
|- |
|- |
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|15 |
|15 |
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|align="center"|{{date|15|février|1956 |
|align="center"|{{date-|15|février|1956}} |
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|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Comunale (Bologne) |
|align="center"|Comunale (Bologne) |
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Ligne 552 : | Ligne 533 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
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|16 |
|16 |
||
|align="center"|{{date|25|mars|1956 |
|align="center"|{{date-|25|mars|1956}} |
||
|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Colombes |
|align="center"|Colombes |
||
Ligne 563 : | Ligne 544 : | ||
|- |
|- |
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|17 |
|17 |
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|align="center"|{{date|7|octobre|1956 |
|align="center"|{{date-|7|octobre|1956}} |
||
|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Colombes |
|align="center"|Colombes |
||
Ligne 573 : | Ligne 554 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
||
|18 |
|18 |
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|align="center"|{{date|21|octobre|1956 |
|align="center"|{{date-|21|octobre|1956}} |
||
|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Colombes |
|align="center"|Colombes |
||
Ligne 584 : | Ligne 565 : | ||
|- |
|- |
||
|19 |
|19 |
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|align="center"|{{date|11|novembre|1956 |
|align="center"|{{date-|11|novembre|1956}} |
||
|align="center"|Qualification <br /> Coupe du monde |
|align="center"|Qualification <br /> Coupe du monde |
||
|align="center"|Colombes |
|align="center"|Colombes |
||
Ligne 594 : | Ligne 575 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
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|20 |
|20 |
||
|align="center"|{{date|24|mars|1957 |
|align="center"|{{date-|24|mars|1957}} |
||
|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Estadio Nacional (Lisbonne) |
|align="center"|Estadio Nacional (Lisbonne) |
||
Ligne 605 : | Ligne 586 : | ||
|- |
|- |
||
|21 |
|21 |
||
|align="center"|{{date|2|juin|1957 |
|align="center"|{{date-|2|juin|1957}} |
||
|align="center"|Qualification <br /> Coupe du monde |
|align="center"|Qualification <br /> Coupe du monde |
||
|align="center"|Marcel Saupin (Nantes) |
|align="center"|Marcel Saupin (Nantes) |
||
Ligne 615 : | Ligne 596 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
||
|22 |
|22 |
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|align="center"|{{date|1|septembre|1957 |
|align="center"|{{date-|1|septembre|1957}} |
||
|align="center"|Qualification <br /> Coupe du monde |
|align="center"|Qualification <br /> Coupe du monde |
||
|align="center"|Laugardalsvöllur (Reykjavik) |
|align="center"|Laugardalsvöllur (Reykjavik) |
||
Ligne 626 : | Ligne 607 : | ||
|- |
|- |
||
|23 |
|23 |
||
|align="center"|{{date|27|octobre|1957 |
|align="center"|{{date-|27|octobre|1957}} |
||
|align="center"|Qualification <br /> Coupe du monde |
|align="center"|Qualification <br /> Coupe du monde |
||
|align="center"|Heysel (Bruxelles) |
|align="center"|Heysel (Bruxelles) |
||
Ligne 636 : | Ligne 617 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
||
|24 |
|24 |
||
|align="center"|{{date|13|mars|1958 |
|align="center"|{{date-|13|mars|1958}} |
||
|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Parc des Princes |
|align="center"|Parc des Princes |
||
Ligne 647 : | Ligne 628 : | ||
|- |
|- |
||
|25 |
|25 |
||
|align="center"|{{date|16|avril|1958 |
|align="center"|{{date-|16|avril|1958}} |
||
|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Parc des Princes |
|align="center"|Parc des Princes |
||
Ligne 657 : | Ligne 638 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
||
|26 |
|26 |
||
|align="center"|{{date|8|juin|1958 |
|align="center"|{{date-|8|juin|1958}} |
||
|align="center"|Coupe du monde |
|align="center"|Coupe du monde |
||
|align="center"|Idrottsparken (Norrköping) |
|align="center"|Idrottsparken (Norrköping) |
||
Ligne 668 : | Ligne 649 : | ||
|- |
|- |
||
|27 |
|27 |
||
|align="center"|{{date|15|juin|1958 |
|align="center"|{{date-|15|juin|1958}} |
||
|align="center"|Coupe du monde |
|align="center"|Coupe du monde |
||
|align="center"|Eyravallen (Örebro) |
|align="center"|Eyravallen (Örebro) |
||
Ligne 678 : | Ligne 659 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
||
|28 |
|28 |
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|align="center"|{{date|19|juin|1958 |
|align="center"|{{date-|19|juin|1958}} |
||
|align="center"|Coupe du monde |
|align="center"|Coupe du monde |
||
|align="center"|Idrottsparken (Norrköping) |
|align="center"|Idrottsparken (Norrköping) |
||
Ligne 689 : | Ligne 670 : | ||
|- |
|- |
||
|29 |
|29 |
||
|align="center"|{{date|24|juin|1958 |
|align="center"|{{date-|24|juin|1958}} |
||
|align="center"|Coupe du monde |
|align="center"|Coupe du monde |
||
|align="center"|Råsunda Stadium (Solna) |
|align="center"|Råsunda Stadium (Solna) |
||
Ligne 699 : | Ligne 680 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
||
|30 |
|30 |
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|align="center"|{{date|28|juin|1958 |
|align="center"|{{date-|28|juin|1958}} |
||
|align="center"|Coupe du monde |
|align="center"|Coupe du monde |
||
|align="center"|Ullevi (Göteborg) |
|align="center"|Ullevi (Göteborg) |
||
Ligne 710 : | Ligne 691 : | ||
|- |
|- |
||
|31 |
|31 |
||
|align="center"|{{date|1|octobre|1958 |
|align="center"|{{date-|1|octobre|1958}} |
||
|align="center"|Qualification <br /> Championnat d'Europe |
|align="center"|Qualification <br /> Championnat d'Europe |
||
|align="center"|Parc des Princes |
|align="center"|Parc des Princes |
||
Ligne 720 : | Ligne 701 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
||
|32 |
|32 |
||
|align="center"|{{date|5|octobre|1958 |
|align="center"|{{date-|5|octobre|1958}} |
||
|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Prater (Vienne) |
|align="center"|Prater (Vienne) |
||
Ligne 731 : | Ligne 712 : | ||
|- |
|- |
||
|33 |
|33 |
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|align="center"|{{date|26|octobre|1958 |
|align="center"|{{date-|26|octobre|1958}} |
||
|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Colombes |
|align="center"|Colombes |
||
Ligne 741 : | Ligne 722 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
||
|34 |
|34 |
||
|align="center"|{{date|1|mars|1959 |
|align="center"|{{date-|1|mars|1959}} |
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|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Colombes |
|align="center"|Colombes |
||
Ligne 752 : | Ligne 733 : | ||
|- |
|- |
||
|35 |
|35 |
||
|align="center"|{{date|27|mars|1960 |
|align="center"|{{date-|27|mars|1960}} |
||
|align="center"|Qualification <br /> Championnat d'Europe |
|align="center"|Qualification <br /> Championnat d'Europe |
||
|align="center"|Prater (Vienne) |
|align="center"|Prater (Vienne) |
||
Ligne 762 : | Ligne 743 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
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|36 |
|36 |
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|align="center"|{{date|6|juillet|1960 |
|align="center"|{{date-|6|juillet|1960}} |
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|align="center"|Championnat d'Europe |
|align="center"|Championnat d'Europe |
||
|align="center"|Parc des Princes |
|align="center"|Parc des Princes |
||
Ligne 773 : | Ligne 754 : | ||
|- |
|- |
||
|37 |
|37 |
||
|align="center"|{{date|6|juillet|1960 |
|align="center"|{{date-|6|juillet|1960}} |
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|align="center"|Championnat d'Europe |
|align="center"|Championnat d'Europe |
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|align="center"|Vélodrome (Marseille) |
|align="center"|Vélodrome (Marseille) |
||
Ligne 783 : | Ligne 764 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
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|38 |
|38 |
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|align="center"|{{date|12|octobre|1960 |
|align="center"|{{date-|12|octobre|1960}} |
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|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|St-Jakob (Bâle) |
|align="center"|St-Jakob (Bâle) |
||
Ligne 794 : | Ligne 775 : | ||
|- |
|- |
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|39 |
|39 |
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|align="center"|{{date|30|octobre|1960 |
|align="center"|{{date-|30|octobre|1960}} |
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|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Rasunda (Solna) |
|align="center"|Rasunda (Solna) |
||
Ligne 804 : | Ligne 785 : | ||
|-bgcolor="#EBF5FF" |
|-bgcolor="#EBF5FF" |
||
|40 |
|40 |
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|align="center"|{{date|11|décembre|1960 |
|align="center"|{{date-|11|décembre|1960}} |
||
|align="center"|Qualification <br /> Coupe du monde |
|align="center"|Qualification <br /> Coupe du monde |
||
|align="center"|Colombes |
|align="center"|Colombes |
||
Ligne 815 : | Ligne 796 : | ||
|- |
|- |
||
|41 |
|41 |
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|align="center"|{{date|15|mars|1961 |
|align="center"|{{date-|15|mars|1961}} |
||
|align="center"|Match amical |
|align="center"|Match amical |
||
|align="center"|Parc des Princes |
|align="center"|Parc des Princes |
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Dernière version du 18 novembre 2022 à 11:34
Jean-Jacques Marcel | ||
Jean-Jacques Marcel en 1954. | ||
Biographie | ||
---|---|---|
Nom | Jean-Jacques Lucien Élie Antoine Marcel | |
Nationalité | Français | |
Naissance | Brignoles (France) |
|
Décès | (à 83 ans) Marseille 13e (France) |
|
Taille | 1,81 m (5′ 11″) | |
Poste | Milieu défensif, défenseur central puis entraîneur | |
Parcours junior | ||
Années | Club | |
1949 | -AS Brignoles | |
Parcours senior1 | ||
Années | Club | M. (B.) |
1949-1954 | FC Sochaux-Montbéliard | 130 (12) |
1954-1959 | Olympique de Marseille | 175 (27) |
1959-1960 | SC Toulon | 38 (5) |
1960-1964 | RC Paris | 138 (39) |
1949-1964 | Total | 481 (83) |
Sélections en équipe nationale2 | ||
Années | Équipe | M. (B.) |
1951 | France B | |
1953-1961 | France | 44 (3) |
1 Compétitions officielles nationales et internationales. 2 Matchs officiels (amicaux validés par la FIFA compris). |
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Jean-Jacques Marcel est un footballeur international puis entraîneur français né le à Brignoles dans le département du Var et mort le dans le 13e arrondissement de Marseille[1]. Il évolue aux postes de défenseur central et de milieu défensif du début des années 1950 jusqu'au milieu des années 1960.
Formé à l'AS Brignoles, il joue de 1949 à 1954 au FC Sochaux, de 1954 à 1959 à l'Olympique de Marseille, de 1959 à 1960 au Sporting Club de Toulon et de 1960 à 1964 au Racing Club de Paris.
En équipe de France, il joue 44 matchs et marque 3 buts. Il participe à la Coupe du monde 1954 puis à celle de 1958, où la France termine 3e, ainsi qu'au premier championnat d'Europe des Nations en 1960. À quatre reprises, il est capitaine de l'équipe de France.
Biographie[modifier | modifier le code]
Jean-Jacques Marcel est né dans une famille de négociants en vin. Son père était le maire de Brignoles[2]. Il commence le football dans le club de sa ville l'AS Brignoles, club de Division d'Honneur. Sous la direction de Frantz Olej[3], un ancien de l'OM, il atteint avec son club les 32es de finale de la Coupe de France en 1949 (défaite contre l'US Valenciennes 3-2).
Doté de belles qualités physiques, d'un bon jeu de tête et d'une lourde frappe, il est l'un des premiers défenseurs à se tourner vers l'avant et peut jouer au poste de demi avec la même classe.
FC Sochaux (1949-1954)[modifier | modifier le code]
Proposé à l'Olympique de Marseille par son entraîneur, il dispute un match d'essai mais les dirigeants de l'OM le trouvent trop juste pour s'imposer au club. Jean-Jacques Marcel est alors repéré par Paul Wartel, l'entraîneur du FC Sochaux et signe dans ce club à 18 ans.
Il fait partie de l'Opération Lionceaux lancée par le président de Sochaux, qui consiste à recruter partout en France des jeunes talents[4]. Il joue 3 matchs en Division 1 la première année et s'impose rapidement dès l'année suivante dans le onze de départ.
En 1953, il gagne avec Sochaux la Coupe Drago contre le Toulouse FC marquant un but sur penalty. En Championnat, Sochaux finit 2e pour échouer à quatre points du Stade de Reims malgré une belle fin de saison.
Olympique de Marseille (1954-1959)[modifier | modifier le code]
À 23 ans et dix sélections en équipe de France, il est recruté par l'Olympique de Marseille en 1954 pour 160 000 francs (16 millions d'anciens francs d'avant 1960), somme considérable à l'époque[5]. Cette année-là, l'OM fait un début de saison tonitruant et prend la tête du championnat. Mais une défaite à Toulouse FC suivi d'une défaite au Stade Vélodrome contre le Stade de Reims fait glisser le club dans le ventre mou du Championnat (10e).
En 1956-1957, il gagne avec l'OM la Coupe Drago battant en finale le Racing Club de Lens 3-1[6]. En 1957-1958, Marseille frôle la descente et ne reste en division 1 qu'en raison d'un goal-average favorable sur le FC Metz[7].
En 1958-1959, Marseille ne souhaitant pas connaître les mêmes difficultés en championnat se renforce considérablement en recrutant Célestin Oliver, Norbert Eschmann, Pierre Tillon, Camille Fischbach et Jean Hédiart et en prenant un nouvel entraîneur, le suisse Louis Maurer mais l'équipe réalise une mauvaise saison et descend en deuxième division[8]. Jean-Jacques Marcel, capitaine lors de cette saison, marque son dernier but avec l'OM lors de la 33e journée contre l'Olympique lyonnais[9]. C'est sa dernière apparition sous le maillot marseillais car une blessure au ménisque met fin à sa saison.
Sporting Club de Toulon (1959-1960) puis RC Paris (1960-1964)[modifier | modifier le code]
Laissé libre par l'OM, il rejoint le Sporting Club de Toulon qui vient de monter en première division. Il atteint avec ses coéquipiers la finale de la Coupe Drago, perdue contre le Racing Club de Lens 3-2 mais en championnat, le club finit 19e sur 20 et redescend en deuxième division.
Jean-Jacques Marcel se relance au Racing Club de Paris, Pierre Pibarot prône un football offensif et il joue milieu offensif et même attaquant, marquant 15 buts en 1961 puis 16 en 1962. Le club ne remporte pas le championnat, échouant de justesse à deux reprises.
En 1960-1961, les Parisiens sont à la lutte avec l'AS Monaco, les ciel et blancs écrasent les monégasques à quatre journées de la fin (3-0), mais à la dernière journée un nul parisien au Havre (2-2) combiné à une victoire de Monaco à Valenciennes (1-0) offre le titre avec un point d'avance au club de la principauté.
Le titre échappe également aux joueurs du Racing en 1961-1962 pour une différence d'un but au goal-average et Reims est champion[10],[3].
Fin de carrière[modifier | modifier le code]
Il met fin à sa carrière professionnelle en 1965 et revient dans sa ville natale de Brignoles, il joue une saison au sein de l'équipe de l'US Marignane en division d'honneur puis rejoint l'AS Brignoles en CFA. Il devient ensuite entraîneur joueur de cette équipe de 1971 à 1977 en Division 3. Il vit ensuite à Marseille et participe à l'amicale des anciens de l'OM et aux rassemblements des anciens de la Coupe du monde 1958[3]. Il meurt le des suites d'une longue maladie[11].
Création de l'UNFP[modifier | modifier le code]
En 1961, Jean-Jacques Marcel fait partie des rares joueurs avec Just Fontaine, Raymond Kopa, Henri Biancheri à soutenir l'idée d'Eugène N'Jo Léa de créer un syndicat de footballeurs. Le de cette année-là naissait l'UNFP avec comme premier président Just Fontaine[12]. Jean-Jacques Marcel en devient un des vice-présidents.
Équipe de France[modifier | modifier le code]
International militaire lors de son séjour au Bataillon de Joinville, il dispute le Challenge Kentish en et s'incline avec l'équipe de France contre la Grande-Bretagne 1-0.
Il connait sa première sélection en à l'âge de 22 ans. Il joue en défense centrale aux côtés de Roger Marche, la France bat à Colombes le pays de Galles 6-1. En , il marque son premier but pour l'équipe de France contre la Yougoslavie (défaite 3-1) sur un coup franc tiré par Joseph Ujlaki.
Il participe à la Coupe du monde 1954 mais n'est plus rappelé jusqu'en contre la Suisse. Il devient ensuite un titulaire de l'équipe de France, au poste de demi-centre gauche, jusqu'en 1961. Il forme à 20 reprises avec Armand Penverne la paire de demi-centre de l'équipe de France.
Coupe du monde 1958[modifier | modifier le code]
Jean-Jacques Marcel joue le premier match contre le Paraguay (7-3) mais blessé, il doit laisser sa place à Roger Marche pour le second match disputé et perdu contre la Yougoslavie (2-3). Il redevient titulaire contre l'Écosse puis l'Irlande du Nord.
Contre le Brésil en demi-finale, Robert Jonquet se brise le péroné dans un choc avec Vavá (26e minute) alors que le score n'est que de 2-1 pour le Brésil. Jonquet reste sur le terrain (pas de remplacements de permis) et se positionne sur l'aile, et Jean-Jacques Marcel qui surveillait Didi le remplace alors en défense centrale. La défense centrale Penverne-Marcel joue en zone pour contrer la paire Vavá-Pelé et Jean Vincent recule pour marquer Didi mais à 11 contre 10 valides, le Brésil est le plus fort et s'impose 5-2[13]. Il joue ensuite le match de la troisième place, remporté 6-3, contre l'Allemagne.
Championnat d'Europe 1960[modifier | modifier le code]
Les premiers Championnats d'Europe de football sont organisés en 1960, la phase finale à quatre équipes se déroule en France. La France passe facilement les huitièmes de finale contre la Grèce (8-2 sur les deux matchs) et les quarts contre l'Autriche (9-4 sur les deux matchs), Jean-Jacques Marcel marquant au match aller le but de l'égalisation sur un tir de 15 mètres après une passe redoublée avec Pierre Grillet[14].
L'équipe de France se présente comme favorite de la phase finale. Cependant, la sélection ne s'y présente pas avec tous ses atouts : Roger Marche et Armand Penverne ont pris leur retraite, Raymond Kopa, Roger Piantoni et Just Fontaine sont blessés, Robert Jonquet n'est plus que réserviste. Des héros de Suède, il ne reste que Jean-Jacques Marcel, Jean Vincent et Maryan Wisnieski. Jean-Jacques Marcel et ses coéquipiers mènent 4-2 contre la Yougoslavie à la 62e minute mais l'équipe de France explose dans le dernier quart d'heure et s'incline 5-4[15].
Lors du match pour la troisième place contre la Tchécoslovaquie, Marcel est positionné milieu défensif, la défense centrale étant assurée par Robert Jonquet, rappelé pour ce match, et Robert Siatka. Blessé à la 70e minute, il s'exile à l'aile droite et son rôle est repris par Vincent. La France s'incline 2-0 au Vélodrome dans un match très médiocre.
Fin de l'aventure en bleu[modifier | modifier le code]
Georges Verriest fait de lui en le capitaine de l'équipe de France contre la Bulgarie (3-0) en qualification de la Coupe du monde 1962. Il marque le but du 2-0 de la tête à la 58e minute. Il déclare après ce match « Nous avons fait un grand pas vers la qualification au Chili. Je n'ai que vingt-neuf ans, et j'espère bien être là en 1962. Mais de toute façon, je pose ma candidature, même comme remplaçant, même comme porteur de valise »[16].
Il a encore l'honneur de porter le brassard contre la Belgique (1-1), match où il occupe un poste d'avant[17] puis contre la Finlande (5-1) et lors de son dernier match en équipe de France le contre la Belgique (0-3) où il joue défenseur central.
Il apparait encore sur la feuille de match en tant que réserviste lors des matchs contre l'Espagne (1-1) et lors du match d'appui décisif pour la qualification à la Coupe du monde contre la Bulgarie, le (0-1). Ce match joué à San Siro devant 34 740 spectateurs spectateurs met fin aux espoirs de la France de jouer la Coupe du monde 1962 au Chili.
Statistiques[modifier | modifier le code]
En club[modifier | modifier le code]
Le tableau ci-dessous résume les statistiques en match officiel de Jean-Jacques Marcel durant sa carrière de joueur professionnel[18],[19].
Saison | Club | Pays | Championnat | Coupes nationales | Coupe d'Europe | Sélection | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Division | Matchs | Buts | Matchs | Buts | Type | Matchs | Buts | Matchs | Buts | |||
1949 - 1950 | FC Sochaux | France | Division 1 | 3 | 0 | - | - | - | - | - | - | - |
1950 - 1951 | FC Sochaux | France | Division 1 | 28 | 1 | 1 | 0 | - | - | - | - | - |
1951 - 1952 | FC Sochaux | France | Division 1 | 28 | 3 | 4 | 1 | - | - | - | - | - |
1952 - 1953 | FC Sochaux | France | Division 1 | 28 | 4 | 5 | 1 | - | - | - | 2 | 0 |
1953 - 1954 | FC Sochaux | France | Division 1 | 29 | 2 | 4 | 0 | - | - | - | 8 | 1 |
1954 - 1955 | Olympique de Marseille | France | Division 1 | 32 | 5 | 1 | 0 | - | - | - | - | - |
1955 - 1956 | Olympique de Marseille | France | Division 1 | 33 | 3 | 6 | 1 | - | - | - | 6 | 0 |
1956 - 1957 | Olympique de Marseille | France | Division 1 | 30 | 5 | 7 | 4 | - | - | - | 5 | 0 |
1957 - 1958 | Olympique de Marseille | France | Division 1 | 32 | 4 | 1 | 0 | - | - | - | 9 | 0 |
1958 - 1959 | Olympique de Marseille | France | Division 1 | 31 | 5 | 2 | 0 | - | - | - | 4 | 0 |
1959 - 1960 | SC Toulon | France | Division 1 | 31 | 4 | 7 | 1 | - | - | - | 3 | 1 |
1960 - 1961 | RC Paris | France | Division 1 | 38 | 15 | 5 | 2 | - | - | - | 5 | 1 |
1961 - 1962 | RC Paris | France | Division 1 | 35 | 15 | 4 | 0 | - | - | - | 2 | 0 |
1962 - 1963 | RC Paris | France | Division 1 | 27 | 4 | 3 | 0 | - | - | - | - | - |
1963 - 1964 | RC Paris | France | Division 1 | 21 | 3 | 3 | 0 | C3 | 2 | 0 | - | - |
Total | 426 | 73 | 53 | 10 | - | 2 | 0 | 44 | 3 |
En équipe de France[modifier | modifier le code]
Ce tableau ci-dessous résume les apparitions de Jean-Jacques Marcel sous le maillot de l'équipe de France A[20].
# | Date | Compétition | Lieu | Adversaire | Score | But(s) | Passes décisives |
Note |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | Match amical | Colombes | Pays de Galles | 6-1 | 0 | 0 | - | |
2 | Match amical | Rasunda Stadium (Solna) | Suède | 0-1 | 0 | 0 | - | |
3 | Qualification Coupe du monde |
Dalymount Park (Dublin) | Irlande | 5-3 | 0 | 1 | - | |
4 | Match amical | Dynamo (Zagreb) | Yougoslavie | 1-3 | 1 | 0 | - | |
5 | Match amical | Colombes | Suisse | 2-4 | 0 | 1 | - | |
6 | Qualification Coupe du monde |
Parc des Princes | Irlande | 1-0 | 0 | 0 | - | |
7 | Match amical | Colombes | Italie | 1-3 | 0 | 0 | - | |
8 | Match amical | Heysel (Bruxelles) | Belgique | 3-3 | 0 | 0 | - | |
9 | Coupe du monde | La Pontaise (Lausanne) | Yougoslavie | 0-1 | 0 | 0 | - | |
10 | Coupe du monde | Charmilles (Genève) | Mexique | 3-2 | 0 | 0 | - | |
11 | Match amical | Saint-Jacob (Bâle) | Suisse | 2-1 | 0 | 0 | - | |
12 | Match amical | Dynamo (Moscou) | U.R.S.S. | 2-2 | 0 | 0 | - | |
13 | Match amical | Colombes | Yougoslavie | 1-1 | 0 | 0 | - | |
14 | Match amical | Heysel (Bruxelles) | Belgique | 1-2 | 0 | 0 | - | |
15 | Match amical | Comunale (Bologne) | Italie | 0-2 | 0 | 0 | - | |
16 | Match amical | Colombes | Autriche | 3-1 | 0 | 0 | - | |
17 | Match amical | Colombes | Hongrie | 1-2 | 0 | 0 | - | |
18 | Match amical | Colombes | U.R.S.S. | 2-1 | 0 | 0 | - | |
19 | Qualification Coupe du monde |
Colombes | Belgique | 6-3 | 0 | 0 | - | |
20 | Match amical | Estadio Nacional (Lisbonne) | Portugal | 1-0 | 0 | 1 | - | |
21 | Qualification Coupe du monde |
Marcel Saupin (Nantes) | Islande | 8-0 | 0 | 0 | - | |
22 | Qualification Coupe du monde |
Laugardalsvöllur (Reykjavik) | Islande | 5-1 | 0 | 0 | - | |
23 | Qualification Coupe du monde |
Heysel (Bruxelles) | Belgique | 0-0 | 0 | 0 | - | |
24 | Match amical | Parc des Princes | Espagne | 2-2 | 0 | 0 | - | |
25 | Match amical | Parc des Princes | Suisse | 0-0 | 0 | 0 | - | |
26 | Coupe du monde | Idrottsparken (Norrköping) | Paraguay | 7-3 | 0 | 0 | - | |
27 | Coupe du monde | Eyravallen (Örebro) | Écosse | 2-1 | 0 | 0 | - | |
28 | Coupe du monde | Idrottsparken (Norrköping) | Irlande du Nord | 4-0 | 0 | 0 | - | |
29 | Coupe du monde | Råsunda Stadium (Solna) | Brésil | 2-5 | 0 | 0 | - | |
30 | Coupe du monde | Ullevi (Göteborg) | R.F.A. | 6-3 | 0 | 0 | - | |
31 | Qualification Championnat d'Europe |
Parc des Princes | Grèce | 7-1 | 0 | 1 | - | |
32 | Match amical | Prater (Vienne) | Autriche | 1-2 | 0 | 0 | - | |
33 | Match amical | Colombes | R.F.A. | 2-2 | 0 | 0 | - | |
34 | Match amical | Colombes | Belgique | 2-2 | 0 | 0 | - | |
35 | Qualification Championnat d'Europe |
Prater (Vienne) | Autriche | 4-2 | 1 | 0 | - | |
36 | Championnat d'Europe | Parc des Princes | Yougoslavie | 4-5 | 0 | 0 | - | |
37 | Championnat d'Europe | Vélodrome (Marseille) | Tchécoslovaquie | 0-2 | 0 | 0 | - | |
38 | Match amical | St-Jakob (Bâle) | Suisse | 2-6 | 0 | 0 | - | |
39 | Match amical | Rasunda (Solna) | Suède | 0-1 | 0 | 0 | - | |
40 | Qualification Coupe du monde |
Colombes | Bulgarie | 3-0 | 1 | 0 | Capitaine | |
41 | Match amical | Parc des Princes | Belgique | 1-1 | 0 | 0 | Capitaine | |
42 | Match amical | Chamartin (Madrid) | Espagne | 0-2 | 0 | 0 | - | |
43 | Qualification Coupe du monde |
Colombes | Finlande | 0-2 | 0 | 1 | Capitaine | |
44 | Match amical | Heysel (Bruxelles) | Belgique | 0-3 | 0 | 0 | Capitaine | |
Total | 3 | 5 | - |
Palmarès[modifier | modifier le code]
- En club
- Vainqueur de la Coupe Charles Drago en 1953 (FC Sochaux) et 1957 (Olympique de Marseille), finaliste en 1960 (SC Toulon).
- Vice-champion de France en 1953 (FC Sochaux), 1961 et 1962 (RC Paris).
- En équipe de France
- Troisième de la Coupe du monde de 1958.
- Quatrième du championnat d'Europe 1960.
- 44 sélections (1953-1961) pour 3 buts marqués.
Références[modifier | modifier le code]
- État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970
- Lucien Grimaud et Alain Pécheral, La grande histoire de l'OM, Paris, R. Laffont, , 331 p. (ISBN 2-916400-07-9), p. 155
- « Portrait de Jean-Jacques Marcel », sur www.om4ever.com (consulté le )
- « La solution Lionceaux », sur www.fcsochaux.fr (consulté le )
- Pierre Delaunay, Jacques De Ryswick, Jean Cornu et Dominique Vermand, 100 ans de Football en France, Paris, éditions Atlas, , 376 p. (ISBN 2-7312-0108-8), p. 206
- « 6 juin 1957 Finale Coupe Drago OM Lens 3 - 1 », sur www.om4ever.com (consulté le )
- « Saison 1957-1958 de l'OM », sur www.om4ever.com (consulté le )
- « Saison 1958-1959 de l'OM », sur www.om4ever.com (consulté le )
- « Lyon-Marseille 1-1 », sur www.om4ever.com (consulté le )
- « historique sur Allez Racing », sur allezracing.foot.free.fr (consulté le )
- « Jean-Jacques Marcel n'est plus », sur lequipe.fr, (consulté le )
- « Histoire de l'UNFP », sur www.unfp.org (consulté le )
- « Feuille du match France - Brésil », sur FFF.fr,
- « Feuille du match Autriche - France », sur FFF.fr,
- « Le roman de l'équipe de France », France Football, no 2907, , p. 29 (ISSN 0015-9557)
- « Le roman de l'équipe de France », France Football, no 2907, , p. 31 (ISSN 0015-9557)
- « Feuille du match France - Belgique », sur FFF.fr,
- « Fiche de Jean-Jacques Marcel », sur footballdatabase.eu
- « Jean-Jacques Marcel », sur www.pari-et-gagne.com (consulté le )
- « Fiche de Jean-Jacques Marcel », sur FFF.fr
Annexes[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Alain Pecheral, La grande histoire de l'OM, L'Équipe, , 504 p. (ISBN 978-2-916400-07-5 et 2-916400-07-9)
- Pierre Delaunay, Jacques de Ryswick et Jean Cornu, 100 ans de football en France, Paris, Atlas, (ISBN 2-7312-0108-8)
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives au sport :