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Mgr '''Paul Guérin''', né à [[Buzançais]] le {{Date|8|mars|1830}} et mort à Lanzac, hameau de Cieurac, le {{Date|23|juin|1908}}, est un prêtre, professeur de philosophie, écrivain et [[camérier]] de [[Léon XIII]]<ref>M<sup>gr</sup> Paul Guérin, ''Les Petits Bollandistes : vie des Saints'', [http://www.marc-hallet.be/bolland.html page de garde de la {{7e|édition}}], 1880, Bloud et Barral</ref>. Il est surtout connu pour être l'auteur de la série ''[[Les Petits Bollandistes|Les Petits Bollandistes : vie des Saints]]'' dont les quinze volumes (1866-1869) furent plusieurs fois réédités.
'''Paul Guérin''', né le {{Date de naissance|8|mars|1830}} à [[Buzançais]] et mort le {{Date de décès|23|juin|1908}} à Lanzac, hameau de Cieurac, est un prêtre, professeur de philosophie, écrivain et [[camérier]] de [[Léon XIII]] <ref>Paul Guérin, ''Les Petits Bollandistes: vie des Saints'', [http://www.marc-hallet.be/bolland.html page de garde de la {{7e|édition}}], 1880, Bloud et Barral.</ref>. Doué pour le travail de [[Compilation (littérature)|compilation]], il est surtout connu pour être l'auteur de la série ''[[Les Petits Bollandistes|Les Petits Bollandistes : vie des saints]]'' dont les quinze volumes (1866-1869) furent plusieurs fois réédités.


== Biographie ==
== Biographie ==
Les parents de Paul Guérin sont de condition modeste. Paul est élève à Buzançais, à l'école supérieure communale<ref>{{Ouvrage|langue=|auteur1=Justin Fèvre, (1829-1907).|titre=Mgr Paul Guérin, camérier du pape et protonotaire apostolique , 88 p., portr.|passage=|lieu=Paris|éditeur=A. Savaète|date=|pages totales=88|isbn=|lire en ligne=}}</ref>. En [[1842]] il entre au petit séminaire de [[Saint-Gaultier|Saint Gaultier]], puis, vers [[1849]], au grand séminaire de [[Bourges]]. À l'issue de ses études il retourne à Saint-Gaultier, comme professeur de quatrième. Nommé ensuite au collège Saint-Dizier de [[Paris]] il y enseigne durant 13 ans. Parallèlement à son enseignement il écrit et traduit (en [[1857|1857,]] Paradis perdu de [[John Milton]]). En 1858-1859 il publie, par souscription, 4 volumes de la ''Vie des saints'' de Giry.
Les parents de Paul Guérin sont de condition modeste. Paul est élève à Buzançais, à l'école supérieure communale<ref>{{Ouvrage|auteur1=Justin Fèvre, (1829-1907).|titre=Mgr Paul Guérin, camérier du pape et protonotaire apostolique , 88 p., portr.|lieu=Paris|éditeur=A. Savaète|année=|pages totales=88|isbn=}}</ref>. En [[1842]], il entre au [[Séminaire (catholicisme)|petit séminaire]] de [[Saint-Gaultier|Saint Gaultier]], puis, vers [[1849]], au grand séminaire de [[Archidiocèse de Bourges|Bourges]]. À l'issue de ses études, il retourne à Saint-Gaultier, comme professeur de quatrième. Nommé ensuite au collège Saint-Dizier, il y enseigne durant 13 ans. Parallèlement à son enseignement, il écrit et traduit des œuvres étrangères: ainsi, en [[1857]], ''[[Le Paradis perdu (John Milton)|Le Paradis perdu]]'' de [[John Milton]]. En 1858-1859, il publie, par souscription, 4 volumes de la ''Vie des saints'' de Giry.


== Le ''Dictionnaire des dictionnaires'' ==
== Le ''Dictionnaire des dictionnaires'' ==
Paul Guérin dirigea la publication et signa, sous son nom [[wikt:laïcisé|laïcisé]], les six volumes du ''Dictionnaire des dictionnaires. Lettres, sciences, arts, encyclopédie universelle'' (1884-1890), édition refondue en 1892 et comprenant 6 volumes, à laquelle s'ajoutera un important ''Supplément illustré'' en 1895<ref>François Gaudin, ''Lettre sur la lexicographie militante'', dans Henri Béjoint et François Maniez, ''De la mesure dans les termes : hommage à Philippe Thoiron'', Presses Universitaires de Lyon, 2005, p. 82</ref>.
Paul Guérin dirigea la publication et signa, sous son nom [[wikt:laïcisé|laïcisé]], les six volumes du ''Dictionnaire des dictionnaires. Lettres, sciences, arts, encyclopédie universelle'' (1884-1890), édition refondue en 1892, à laquelle s'ajoutera un important ''Supplément illustré'' en 1895<ref>François Gaudin, ''Lettre sur la lexicographie militante'', dans Henri Béjoint et François Maniez, ''De la mesure dans les termes : hommage à Philippe Thoiron'', Presses Universitaires de Lyon, 2005, p. 82</ref>.


Comme son titre l'indique, cet ouvrage a pour ambition de réunir « la substance de tous les dictionnaires [...] le résumé des connaissances humaines<ref name=DicoV>''Dictionnaire des dictionnaires'', Avertissement, p. V.</ref>. L'auteur annonce que la rédaction des articles a été confiée « à des hommes spéciaux, à la fois savants et vulgarisateurs<ref name=DicoV></ref>». De fait, Paul Guérin sut s'entourer de brillants spécialistes, comme [[Camille Saint-Saëns]] pour la musique ou [[Frédéric Godefroy]] pour la lexicographie. {{refsou|Le responsable de la rédaction, Frédéric Loliée, littérateur qui avait assisté son oncle Frédéric Godefroy dans ses travaux lexicographiques, fit bénéficier Paul Guérin de son expérience et rédigea une introduction très intéressante.}}<ref>{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Jean Pruvost, « Du Dictionnaire des dictionnaires à L'Encyclopédie universelle du XXe siècle »|titre=dans F. Gaudin (dir) La lexicographie militante|lieu=Paris|éditeur=Champion|année=2013|pages totales=|isbn=|lire en ligne=|passage=}}</ref> La partie scientifique de l'œuvre contrebalance par endroits la vision traditionnelle des articles religieux et théologiques<ref>Francis Laplanche, ''Les sciences religieuses: le XIXe siècle, 1800-1914'', volume 9, page 304-305, de ''Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine'', Éditions Beauchesne, 1996</ref>.
Comme son titre l'indique, cet ouvrage a pour ambition de réunir {{cita|la substance de tous les dictionnaires [] le résumé des connaissances humaines}}<ref name=DicoV>''Dictionnaire des dictionnaires'', Avertissement, p. V.</ref>. L'auteur annonce que la rédaction des articles a été confiée {{cita|à des hommes spéciaux, à la fois savants et vulgarisateurs<ref name=DicoV/>}}. De fait, Paul Guérin sut s'entourer de brillants spécialistes, comme [[Camille Saint-Saëns]] pour la musique ou [[Frédéric Godefroy]] pour la lexicographie. Le responsable de la rédaction, Frédéric Loliée, littérateur, rédigea l'introduction<ref>{{Ouvrage|langue=fr|auteur1=Jean Pruvost, « Du Dictionnaire des dictionnaires à L'Encyclopédie universelle du XXe siècle »|titre=Dans F. Gaudin (dir) La lexicographie militante|lieu=Paris|éditeur=Champion|année=2013|isbn=}}</ref>. La partie scientifique de l'œuvre contrebalance par endroits la vision traditionnelle des articles religieux et théologiques<ref>Francis Laplanche, ''Les sciences religieuses: le XIXe siècle, 1800-1914'', volume 9, page 304-305, de ''Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine'', Éditions Beauchesne, 1996</ref>. Au lieu de se limiter comme ses prédécesseurs aux formes en usage en France, ce dictionnaire entrouvre la description de la langue française aux parlers de la [[Belgique]], de la [[Suisse romande]] et particulièrement du [[Québec]]<ref>Monique Catherine Cormier, Jean-Claude Boulanger et Aline Francoeur, ''Les dictionnaires ''Le Robert'' : genèse et évolution'', PUM, 2003, PUM, {{p.|198}}</ref>.

Particulièrement soigné au plan [[Lexicographie|lexicographique]], cet ouvrage offre « un répertoire exhaustif, enrichi de nombreux exemples, malheureusement présentés sans références, de la langue de la fin du {{s-|XIX}}<ref>{{Ouvrage |nom1=Matoré |prénom1=Georges |lien auteur1=Georges Matoré|titre=Histoire des dictionnaires français |lieu=Paris |éditeur=Larousse |année=1968 |id=Matoré}}, {{p.|131}}</ref>». Au lieu de se limiter comme ses prédécesseurs aux formes en usage en France, ce dictionnaire entrouvre la description de la langue française aux parlers de la [[Belgique]], de la [[Suisse romande]] et particulièrement du [[Québec]]<ref>Monique Catherine Cormier, Jean-Claude Boulanger et Aline Francoeur, ''Les dictionnaires ''Le Robert'' : genèse et évolution'', PUM, 2003, PUM, {{p.|198}}</ref>.


Les biographies d'auteurs et les articles importants sont accompagnés d'une bibliographie.
Les biographies d'auteurs et les articles importants sont accompagnés d'une bibliographie.


En dépit de tous ces atouts, cette nouvelle encyclopédie se heurte à la concurrence de ''[[La Grande Encyclopédie]]'', lancée en [[1886]] par [[Marcellin Berthelot]], et surtout à celle de la maison [[Grand Larousse du XIXe siècle|Larousse]]. Incapable de s'imposer, cette entreprise a dû réduire ses ambitions et chaque nouveau volume de l'encyclopédie est devenu un peu plus réduit que le précédent.
En dépit de tous ces atouts, cette nouvelle encyclopédie se heurte à la concurrence de ''[[La Grande Encyclopédie]]'', lancée en [[1886]] par [[Marcellin Berthelot]], et surtout à celle de la maison [[Grand Larousse du XIXe siècle|Larousse]]. Incapable de s'imposer, cette entreprise a dû réduire ses ambitions et chaque nouveau volume de l'encyclopédie est devenu un peu plus réduit que le précédent.


Des dictionnaires et encyclopédies postérieures copièrent largement le dictionnaires des dictionnaires, ainsi que le rapporte Alain Rey "lorsque je pris connaissance de l'encyclopédie du xx<sup>e</sup> siècle... à plusieurs éléments près... ces gros volumes pompeux reproduisaient le texte du dictionnaire des dictionnaires, retournant la veste du protonotarie Guérin, dont le nom avait disparu..."<ref>{{Ouvrage|langue=|auteur1=Alain Rey|titre=Dictionnaire amoureux des dictionnaires|passage=498|lieu=Paris|éditeur=Plon|date=2011|pages totales=1002|isbn=|lire en ligne=}}</ref>.
Des dictionnaires et encyclopédies postérieures copièrent largement le dictionnaires des dictionnaires, ainsi que le rapporte Alain Rey {{cita|lorsque je pris connaissance de l'encyclopédie du {{s-|xx}}... à plusieurs éléments près... ces gros volumes pompeux reproduisaient le texte du dictionnaire des dictionnaires, retournant la veste du protonotaire Guérin, dont le nom avait disparu...}}<ref>{{Ouvrage|auteur1=Alain Rey|titre=Dictionnaire amoureux des dictionnaires|lieu=Paris|éditeur=[[Plon]]|année=2011|pages totales=1002|passage=498|isbn=}}</ref>.


Poussé à la faillite puis à des abus de confiance pour financer son dictionnaire, il fut condamné à de la prison et se cacha à la fin de sa vie dans le Lot.
Poussé à la faillite puis à des abus de confiance pour financer son dictionnaire, il fut condamné à de la prison et se cacha à la fin de sa vie dans le [[Lot (département)|Lot]].


== Bibliographie ==
== Écrits ==
* ''Vie des saints d'après Lipoman, Surius, Ribadeneira et autres auteurs'', 1858-1860, 4 volumes
* ''Vie des saints d'après Lipoman, Surius, Ribadeneira et autres auteurs'', 1858-1860, 4 volumes
* ''Les Petits Bollandistes : vie des Saints'', 1866-1869, 15 volumes
* ''Les Petits Bollandistes : vie des Saints'', 1866-1869, 15 volumes
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== Notes et références ==
== Notes et références ==
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== Voir aussi ==
=== Articles connexes ===
=== Articles connexes ===
* ''[[Les Petits Bollandistes]]''
* ''[[Les Petits Bollandistes]]''
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* ''[[Acta Sanctorum]]''
* ''[[Acta Sanctorum]]''


== Liens externes ==
=== Liens externes ===
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[[Catégorie:Décès à Châteauroux]]
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[[Catégorie:Décès à 78 ans]]
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Paul Guérin, né le à Buzançais et mort le à Lanzac, hameau de Cieurac, est un prêtre, professeur de philosophie, écrivain et camérier de Léon XIII [1]. Doué pour le travail de compilation, il est surtout connu pour être l'auteur de la série Les Petits Bollandistes : vie des saints dont les quinze volumes (1866-1869) furent plusieurs fois réédités.

Biographie[modifier | modifier le code]

Les parents de Paul Guérin sont de condition modeste. Paul est élève à Buzançais, à l'école supérieure communale[2]. En 1842, il entre au petit séminaire de Saint Gaultier, puis, vers 1849, au grand séminaire de Bourges. À l'issue de ses études, il retourne à Saint-Gaultier, comme professeur de quatrième. Nommé ensuite au collège Saint-Dizier, il y enseigne durant 13 ans. Parallèlement à son enseignement, il écrit et traduit des œuvres étrangères: ainsi, en 1857, Le Paradis perdu de John Milton. En 1858-1859, il publie, par souscription, 4 volumes de la Vie des saints de Giry.

Le Dictionnaire des dictionnaires[modifier | modifier le code]

Paul Guérin dirigea la publication et signa, sous son nom laïcisé, les six volumes du Dictionnaire des dictionnaires. Lettres, sciences, arts, encyclopédie universelle (1884-1890), édition refondue en 1892, à laquelle s'ajoutera un important Supplément illustré en 1895[3].

Comme son titre l'indique, cet ouvrage a pour ambition de réunir « la substance de tous les dictionnaires […] le résumé des connaissances humaines »[4]. L'auteur annonce que la rédaction des articles a été confiée « à des hommes spéciaux, à la fois savants et vulgarisateurs[4] ». De fait, Paul Guérin sut s'entourer de brillants spécialistes, comme Camille Saint-Saëns pour la musique ou Frédéric Godefroy pour la lexicographie. Le responsable de la rédaction, Frédéric Loliée, littérateur, rédigea l'introduction[5]. La partie scientifique de l'œuvre contrebalance par endroits la vision traditionnelle des articles religieux et théologiques[6]. Au lieu de se limiter comme ses prédécesseurs aux formes en usage en France, ce dictionnaire entrouvre la description de la langue française aux parlers de la Belgique, de la Suisse romande et particulièrement du Québec[7].

Les biographies d'auteurs et les articles importants sont accompagnés d'une bibliographie.

En dépit de tous ces atouts, cette nouvelle encyclopédie se heurte à la concurrence de La Grande Encyclopédie, lancée en 1886 par Marcellin Berthelot, et surtout à celle de la maison Larousse. Incapable de s'imposer, cette entreprise a dû réduire ses ambitions et chaque nouveau volume de l'encyclopédie est devenu un peu plus réduit que le précédent.

Des dictionnaires et encyclopédies postérieures copièrent largement le dictionnaires des dictionnaires, ainsi que le rapporte Alain Rey « lorsque je pris connaissance de l'encyclopédie du xxe siècle... à plusieurs éléments près... ces gros volumes pompeux reproduisaient le texte du dictionnaire des dictionnaires, retournant la veste du protonotaire Guérin, dont le nom avait disparu... »[8].

Poussé à la faillite puis à des abus de confiance pour financer son dictionnaire, il fut condamné à de la prison et se cacha à la fin de sa vie dans le Lot.

Écrits[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Paul Guérin, Les Petits Bollandistes: vie des Saints, page de garde de la 7e édition, 1880, Bloud et Barral.
  2. Justin Fèvre, (1829-1907)., Mgr Paul Guérin, camérier du pape et protonotaire apostolique , 88 p., portr., Paris, A. Savaète, 88 p.
  3. François Gaudin, Lettre sur la lexicographie militante, dans Henri Béjoint et François Maniez, De la mesure dans les termes : hommage à Philippe Thoiron, Presses Universitaires de Lyon, 2005, p. 82
  4. a et b Dictionnaire des dictionnaires, Avertissement, p. V.
  5. Jean Pruvost, « Du Dictionnaire des dictionnaires à L'Encyclopédie universelle du XXe siècle », Dans F. Gaudin (dir) La lexicographie militante, Paris, Champion,
  6. Francis Laplanche, Les sciences religieuses: le XIXe siècle, 1800-1914, volume 9, page 304-305, de Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine, Éditions Beauchesne, 1996
  7. Monique Catherine Cormier, Jean-Claude Boulanger et Aline Francoeur, Les dictionnaires Le Robert : genèse et évolution, PUM, 2003, PUM, p. 198
  8. Alain Rey, Dictionnaire amoureux des dictionnaires, Paris, Plon, , 1002 p., p. 498

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]