« Filles de la charité du Sacré-Cœur de Jésus » : différence entre les versions

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Les '''Filles{{note|groupe=alpha|« Filles » prend une majuscule initiale pour désigner l’ensemble de l'ordre dans la locution « les Filles de la charité… » ; pour désigner une sœur individuellement ou un groupe restreint de sœurs, on écrit « une sœur », « une fille de la charité », « des filles de la charité »{{etc}} Source : [[Wikipédia:Conventions typographiques#MAJUSCULES-ORDRES|Conventions typographiques]].}} de la charité du Sacré-Cœur de Jésus''' forment une [[congrégation religieuse]] féminine enseignante et hospitalière de [[Institut religieux de droit pontifical|droit pontifical]].
Les '''Filles{{note|groupe=alpha|« Filles » prend une majuscule initiale pour désigner l’ensemble de l'ordre dans la locution « les Filles de la charité… » ; pour désigner une sœur individuellement ou un groupe restreint de sœurs, on écrit « une sœur », « une fille de la charité », « des filles de la charité »{{etc.}} Source : [[Wikipédia:Conventions typographiques#MAJUSCULES-ORDRES|Conventions typographiques]].}} de la charité du Sacré-Cœur de Jésus''' forment une [[congrégation religieuse]] féminine enseignante et hospitalière de [[Institut religieux de droit pontifical|droit pontifical]].


== Historique ==
== Historique ==
La congrégation est fondée le 18 décembre 1823 à [[La Salle-de-Vihiers]] par [[Jean-Maurice Catroux]] (1794-1863) et Rose Giet (1784-1848)<ref>{{Lien web|url=https://www.paroissebienheureuxnoelpinot-cande49.fr/territoire/communaute1/|titre=Filles de la charité du Sacré-Cœur de Jésus|site=https://www.paroissebienheureuxnoelpinot-cande49.fr|consulté le=3 décembre 2019}}</ref>. Les sœurs sont reconnues par l'État par une ordonnance du 14 mai 1828 de [[Charles X]]. Ses [[constitutions religieuses|constitutions]] sont approuvées par l'[[Liste des évêques d'Angers|évêque d'Angers]] en 1837. Une nouvelle reconnaissance légale est donnée le 2 avril 1852 par [[Napoléon III|Louis-Napoléon Bonaparte]], président de la République française<ref>{{Ouvrage |auteur1=Blanche Legendre |titre=Porte ouverte sur la vie |sous-titre=religieuses dans les cités |éditeur=Éditions de l'Atelier |année=2010 |pages totales=191 |passage=185 |isbn= |consulté le=3 décembre 2019}}</ref>.
La congrégation est fondée le 18 décembre 1823 à [[La Salle-de-Vihiers]] par [[Jean-Maurice Catroux]] (1794-1863) et Rose Giet (1784-1848)<ref>{{Lien web|url=https://www.paroissebienheureuxnoelpinot-cande49.fr/territoire/communaute1/|titre=Filles de la charité du Sacré-Cœur de Jésus|site=paroissebienheureuxnoelpinot-cande49.fr|consulté le=3 décembre 2019}}.</ref>. Les sœurs sont reconnues par l'État par une ordonnance du 14 mai 1828 de [[Charles X]]. Ses [[constitutions religieuses|constitutions]] sont approuvées par l'[[Liste des évêques d'Angers|évêque d'Angers]] en 1837. Une nouvelle reconnaissance légale est donnée le 2 avril 1852 par [[Napoléon III|Louis-Napoléon Bonaparte]], président de la République française<ref>{{Ouvrage |auteur1=Blanche Legendre |titre=Porte ouverte sur la vie |sous-titre=religieuses dans les cités |éditeur=Éditions de l'Atelier |année=2010 |pages totales=191 |passage=185 |isbn= |consulté le=3 décembre 2019}}</ref>.
[[File:Couvent des Filles de la Charité du Sacré-Coeur-de-Jésus.jpg|left|thumb|Couvent des Filles de la Charité du Sacré-Coeur-de-Jésus, Sherbrooke<ref>https://www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/rpcq/detail.do?methode=consulter&id=158135&type=bien</ref>.]]
[[File:Couvent des Filles de la Charité du Sacré-Coeur-de-Jésus.jpg|left|thumb|Couvent des Filles de la charité du Sacré-Cœur de Jésus, [[Sherbrooke]]<ref>{{lien web |titre=Couvent des Filles de la Charité du Sacré-Coeur-de-Jésus<!-- Vérifiez ce titre --> |url=https://www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/rpcq/detail.do?methode=consulter&id=158135&type=bien |site=gouv.qc.ca |consulté le=25-04-2023}}.</ref>.]]
Dédiées principalement à l’éducation, après la promulgation des [[Expulsion des congrégations (1902-1903)|lois anti-congrégations en France]], les religieuses doivent fermer leurs écoles, beaucoup obtiennent leur diplôme d’infirmière et commencent à se consacrer à des œuvres caritatives. En 1905, quatre religieuses s'exilent vers le nord des États-Unis pour élire domicile à [[Newport (Vermont)|Newport]] dans le [[Vermont]]. Deux ans plus tard, en 1907, elles essaiment au [[Canada]] pour s'établir à [[Magog]]. Quelques semaines plus tard, elles aménagent à la Crèche qui n’est pas encore terminée. En 1909, elles s'occupent du couvent de Magog et, la même année, elles ouvrent un autre couvent à [[Valcourt (Québec)|Valcourt]]. Afin d’assurer une relève, elles fondent un noviciat à Sherbrooke, en 1911 dans la maison qui appartient à la veuve de [[William Bullock Ives]] situé en face de l'[[Hôtel-Dieu (Sherbrooke)]] dont elles seront responsables<ref>http://fcscj.net/fr/les-premieres-annees</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|url=https://www.histoiremagog.com/filles-de-la-charite-du-sacre-coeur-de-jesus/|titre=Histoire Magog|site=https://www.histoiremagog.com|consulté le=3 décembre 2019}}</ref>. En [[1935]], des sœurs canadiennes partent au [[Basutoland]] ([[Lesotho]]), c'est ensuite le pays Zoulou en [[Afrique du Sud]] (1946), le [[République du Dahomey|Dahomey]], l'actuel [[Bénin]] (1960), puis le [[Togo]] (1962) ; En 1963, des sœurs canadiennes fondent au Brésil et en 1972 à Tahiti<ref>{{Lien web|url=http://www.autremontreal.com/en/expansion-missionnaire|titre=Un souffle nouveau|site=http://www.autremontreal.com|consulté le=3 décembre 2019}}</ref>.
Dédiées principalement à l’éducation, après la promulgation des [[Expulsion des congrégations (1902-1903)|lois anti-congrégations en France]], les religieuses doivent fermer leurs écoles, beaucoup obtiennent leur diplôme d’infirmière et commencent à se consacrer à des œuvres caritatives. En 1905, quatre religieuses s'exilent vers le nord des États-Unis pour élire domicile à [[Newport (Vermont)|Newport]] dans le [[Vermont]]. Deux ans plus tard, en 1907, elles essaiment au [[Canada]] pour s'établir à [[Magog]]. Quelques semaines plus tard, elles aménagent à la Crèche qui n’est pas encore terminée. En 1909, elles s'occupent du couvent de Magog et, la même année, elles ouvrent un autre couvent à [[Valcourt (Québec)|Valcourt]]. Afin d’assurer une relève, elles fondent un noviciat à Sherbrooke, en 1911 dans la maison qui appartient à la veuve de [[William Bullock Ives]] situé en face de l'[[Hôtel-Dieu (Sherbrooke)]] dont elles seront responsables<ref>{{lien web |titre=Les premières années - Les Filles de la Charité de Sacré-Coeur de Jésus au Canada |url=http://fcscj.net/fr/les-premieres-annees |site=Les Filles de la Charité de Sacré-Coeur… |date=01-02-2015 |consulté le=25-04-2023}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|url=https://www.histoiremagog.com/filles-de-la-charite-du-sacre-coeur-de-jesus/|titre=Histoire Magog|site=histoiremagog.com|consulté le=3 décembre 2019}}.</ref>. En [[1935]], des sœurs canadiennes partent au [[Basutoland]] ([[Lesotho]]), c'est ensuite le pays Zoulou en [[Afrique du Sud]] (1946), le [[République du Dahomey|Dahomey]], l'actuel [[Bénin]] (1960), puis le [[Togo]] (1962) ; En 1963, des sœurs canadiennes fondent au Brésil et en 1972 à Tahiti<ref>{{Lien web|url=http://www.autremontreal.com/en/expansion-missionnaire|titre=Un souffle nouveau|site=autremontreal.com|consulté le=3 décembre 2019}}.</ref>.
L'institut reçoit le [[decretum laudis|décret de louange]] le 27 janvier 1930 ; ses constitutions sont définitivement approuvées par le [[Saint-Siège]] le 7 juillet 1940.
L'institut reçoit le [[decretum laudis|décret de louange]] le 27 janvier 1930 ; ses constitutions sont définitivement approuvées par le [[Saint-Siège]] le 7 juillet 1940.
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== Fusion ==
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*[[1856]] : Sœurs de la Providence fondées à [[La Jumellière]] en 1803 par le père Clément Charuau<ref>{{Lien web|url=http://www.congregation.fr/home/maine-et-loire-diocse-dangers/surs-de-la-providence-de-la-jumellire|titre=Sœurs de la Providence de La Jumellière|site=http://www.congregation.fr|consulté le=3 décembre 2019}}</ref>.
*[[1856]] : Sœurs de la Providence fondées à [[La Jumellière]] en 1803 par le père Clément Charuau<ref>{{Lien web|url=http://www.congregation.fr/home/maine-et-loire-diocse-dangers/surs-de-la-providence-de-la-jumellire|titre=Sœurs de la Providence de La Jumellière|site=congregation.fr|consulté le=3 décembre 2019}}.</ref>.
*[[1963]] : Franciscaines des Récollets fondées en 1838 à [[Doué-la-Fontaine]] par le père Charles-Joseph Guépin (1782-1844) et Mère Célestine Besson (1807-1879)<ref>{{Lien web|url=http://www.congregation.fr/home/maine-et-loire-diocse-dangers/franciscaines-des-recollets-de-dou-la-fontaine|titre=Franciscaines des Recollets de Doué la Fontaine|site=congregation.fr|consulté le=3 décembre 2019}}.</ref>. En 1942, les sœurs hospitalières de Saint-Nicolas de Doué-la-Fontaine fusionnent avec les franciscaines des Recollets.

*[[1963]] : Franciscaines des Récollets fondées en 1838 à [[Doué-la-Fontaine]] par le père Charles-Joseph Guépin (1782-1844) et Mère Célestine Besson (1807-1879)<ref>{{Lien web|url=http://www.congregation.fr/home/maine-et-loire-diocse-dangers/franciscaines-des-recollets-de-dou-la-fontaine|titre=Franciscaines des Recollets de Doué la Fontaine|site=http://www.congregation.fr|consulté le=3 décembre 2019}}</ref>. En 1942, les sœurs hospitalières de Saint-Nicolas de Doué-la-Fontaine fusionnent avec les franciscaines des Recollets.
**Sœurs hospitalières de Saint-Nicolas de Doué-la-Fontaine appelées également dames de Saint Nicolas, fondée en 1714 par Marie Chauvin<ref>{{Lien web|url=http://www.congregation.fr/home/maine-et-loire-diocse-dangers/surs-hospitalires-de-saint-nicolas-de-dou-la-fontaine|titre=Sœurs hospitalières de Saint-Nicolas de Doué-la-Fontaine|site=congregation.fr|consulté le=3 décembre 2019}}.</ref>.
**Sœurs hospitalières de Saint-Nicolas de Doué-la-Fontaine appelées également dames de Saint Nicolas, fondée en 1714 par Marie Chauvin<ref>{{Lien web|url=http://www.congregation.fr/home/maine-et-loire-diocse-dangers/surs-hospitalires-de-saint-nicolas-de-dou-la-fontaine|titre=Sœurs hospitalières de Saint-Nicolas de Doué-la-Fontaine|site=http://www.congregation.fr|consulté le=3 décembre 2019}}</ref>.
*[[1970]] : Sœurs du Sacré-Cœur fondées à [[Valence-d'Albigeois]] par l’abbé Valentin Déjean (1793-1882) en 1831<ref>{{Lien web|url=http://www.congregation.fr/home/tarn-diocse-dalbi/soeurs-du-sacr-coeur-de-valence-dalbigeois|titre=Sœurs du Sacré Coeur de Valence d'Albigeois|site=congregation.fr|consulté le=3 décembre 2019}}.</ref>.
*[[1970]] : Sœurs du Sacré-Cœur fondées à [[Valence-d'Albigeois]] par l’abbé Valentin Déjean (1793-1882) en 1831<ref>{{Lien web|url=http://www.congregation.fr/home/tarn-diocse-dalbi/soeurs-du-sacr-coeur-de-valence-dalbigeois|titre=Sœurs du Sacré Coeur de Valence d'Albigeois|site=http://www.congregation.fr|consulté le=3 décembre 2019}}</ref>.


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Filles de la charité du Sacré-Cœur de Jésus
Ordre de droit pontifical
Approbation diocésaine 1837
par Montault-Désilles
Approbation pontificale 27 janvier 1930
par Pie XI
Institut congrégation religieuse
Type apostolique
But œuvre de charité
Structure et histoire
Fondation 18 décembre 1823
La Salle-de-Vihiers
Fondateur Jean-Maurice Catroux
& Rose Giet
Abréviation F.C.S.C.J.
Site web Site officiel
Liste des ordres religieux

Les Filles[a] de la charité du Sacré-Cœur de Jésus forment une congrégation religieuse féminine enseignante et hospitalière de droit pontifical.

Historique[modifier | modifier le code]

La congrégation est fondée le 18 décembre 1823 à La Salle-de-Vihiers par Jean-Maurice Catroux (1794-1863) et Rose Giet (1784-1848)[1]. Les sœurs sont reconnues par l'État par une ordonnance du 14 mai 1828 de Charles X. Ses constitutions sont approuvées par l'évêque d'Angers en 1837. Une nouvelle reconnaissance légale est donnée le 2 avril 1852 par Louis-Napoléon Bonaparte, président de la République française[2].

Couvent des Filles de la charité du Sacré-Cœur de Jésus, Sherbrooke[3].

Dédiées principalement à l’éducation, après la promulgation des lois anti-congrégations en France, les religieuses doivent fermer leurs écoles, beaucoup obtiennent leur diplôme d’infirmière et commencent à se consacrer à des œuvres caritatives. En 1905, quatre religieuses s'exilent vers le nord des États-Unis pour élire domicile à Newport dans le Vermont. Deux ans plus tard, en 1907, elles essaiment au Canada pour s'établir à Magog. Quelques semaines plus tard, elles aménagent à la Crèche qui n’est pas encore terminée. En 1909, elles s'occupent du couvent de Magog et, la même année, elles ouvrent un autre couvent à Valcourt. Afin d’assurer une relève, elles fondent un noviciat à Sherbrooke, en 1911 dans la maison qui appartient à la veuve de William Bullock Ives situé en face de l'Hôtel-Dieu (Sherbrooke) dont elles seront responsables[4],[5]. En 1935, des sœurs canadiennes partent au Basutoland (Lesotho), c'est ensuite le pays Zoulou en Afrique du Sud (1946), le Dahomey, l'actuel Bénin (1960), puis le Togo (1962) ; En 1963, des sœurs canadiennes fondent au Brésil et en 1972 à Tahiti[6].

L'institut reçoit le décret de louange le 27 janvier 1930 ; ses constitutions sont définitivement approuvées par le Saint-Siège le 7 juillet 1940.

Fusion[modifier | modifier le code]

  • 1856 : Sœurs de la Providence fondées à La Jumellière en 1803 par le père Clément Charuau[7].
  • 1963 : Franciscaines des Récollets fondées en 1838 à Doué-la-Fontaine par le père Charles-Joseph Guépin (1782-1844) et Mère Célestine Besson (1807-1879)[8]. En 1942, les sœurs hospitalières de Saint-Nicolas de Doué-la-Fontaine fusionnent avec les franciscaines des Recollets.
    • Sœurs hospitalières de Saint-Nicolas de Doué-la-Fontaine appelées également dames de Saint Nicolas, fondée en 1714 par Marie Chauvin[9].
  • 1970 : Sœurs du Sacré-Cœur fondées à Valence-d'Albigeois par l’abbé Valentin Déjean (1793-1882) en 1831[10].

Activités et diffusion[modifier | modifier le code]

Les sœurs se consacrent à l'enseignement, aux soins des malades et diverses œuvres de charité.

Elles sont présentes en :

La maison-mère est à Montgeron en France, près de Paris.

En 2017, la congrégation comptait 757 sœurs dans 115 maisons[11].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. « Filles » prend une majuscule initiale pour désigner l’ensemble de l'ordre dans la locution « les Filles de la charité… » ; pour désigner une sœur individuellement ou un groupe restreint de sœurs, on écrit « une sœur », « une fille de la charité », « des filles de la charité », etc. Source : Conventions typographiques.

Références[modifier | modifier le code]

(it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Figlie della carità del Sacro Cuore di Gesù » (voir la liste des auteurs).
  1. « Filles de la charité du Sacré-Cœur de Jésus », sur paroissebienheureuxnoelpinot-cande49.fr (consulté le ).
  2. Blanche Legendre, Porte ouverte sur la vie : religieuses dans les cités, Éditions de l'Atelier, , 191 p., p. 185
  3. « Couvent des Filles de la Charité du Sacré-Coeur-de-Jésus », sur gouv.qc.ca (consulté le ).
  4. « Les premières années - Les Filles de la Charité de Sacré-Coeur de Jésus au Canada », sur Les Filles de la Charité de Sacré-Coeur…, (consulté le ).
  5. « Histoire Magog », sur histoiremagog.com (consulté le ).
  6. « Un souffle nouveau », sur autremontreal.com (consulté le ).
  7. « Sœurs de la Providence de La Jumellière », sur congregation.fr (consulté le ).
  8. « Franciscaines des Recollets de Doué la Fontaine », sur congregation.fr (consulté le ).
  9. « Sœurs hospitalières de Saint-Nicolas de Doué-la-Fontaine », sur congregation.fr (consulté le ).
  10. « Sœurs du Sacré Coeur de Valence d'Albigeois », sur congregation.fr (consulté le ).
  11. (it) Annuaire pontifical, Vatican, Librairie éditrice vaticane, (ISBN 978-88-209-9975-9), p. 1607

Liens externes[modifier | modifier le code]