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« Jules Hardouin-Mansart » : différence entre les versions

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[[Fichier:Jules Hardouin-Mansart Lemoyne Louvre MR2640.jpg|vignette|redresse|[[Jean-Louis Lemoyne]], ''Jules Hardouin-Mansart'' (1703), [[Paris]], [[musée du Louvre]].]]
[[Fichier:Jules Hardouin-Mansart Lemoyne Louvre MR2640.jpg|vignette|redresse|[[Jean-Louis Lemoyne]], ''Jules Hardouin-Mansart'' (1703), [[Paris]], [[musée du Louvre]].]]
[[Fichier:Versailles Statue Mansart.JPG|vignette|redresse|<!-- Sculpteur à identifier -->''Monument à Jules Hardouin-Mansart'' ({{s-|XIX}}), [[Versailles]], place Alexandre {{Ier}} de Yougoslavie.]]
[[Fichier:Versailles Statue Mansart.JPG|vignette|redresse|<!-- Sculpteur à identifier -->''Monument à Jules Hardouin-Mansart'' ({{s-|XIX}}), [[Versailles]], place Alexandre {{Ier}} de Yougoslavie.]]
[[Fichier:0 Jules Hardouin Mansart - Hôtel des Invalides à Paris.JPG|vignette|redresse|[[Ernest Henri Dubois ]], Monument à ''Jules Hardouin-Mansart'', [[Paris]], [[Hôtel des Invalides|Jardin de l'Intendant de l'Hôtel des Invalides]].]]
[[Fichier:0 Jules Hardouin Mansart - Hôtel des Invalides à Paris.JPG|vignette|redresse|[[Ernest Henri Dubois ]], ''[[Statue de Jules Hardouin-Mansart]]'', [[Paris]], [[Jardin de l'Intendant]] de l'[[Hôtel des Invalides]].]]
Jules Hardouin-Mansart est formé par [[Libéral Bruant]]. Il commence à se faire connaître en 1674 par la construction du petit château de Val et sa participation aux aménagements de Chantilly. Il semble particulièrement apprécié du duc d'Enghien, fils du Grand Condé<ref>{{Article |auteur=Bertrand Jestaz |titre=Documents sur l'œuvre de Jules Hardouin-Mansart à Chantilly. |périodique=Bulletin Monumental |volume=149 |numéro=1 |date=1991 |url texte=https://www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_1991_num_149_1_3204 |pages=7-75 }}.</ref>.
Jules Hardouin-Mansart est formé par [[Libéral Bruand]]. Il commence à se faire connaître en 1674 par la construction du petit [[château de Val]] et sa participation aux aménagements de Chantilly. Il semble particulièrement apprécié du duc d'Enghien, fils du Grand Condé<ref>{{Article |auteur=Bertrand Jestaz |titre=Documents sur l'œuvre de Jules Hardouin-Mansart à Chantilly. |périodique=Bulletin Monumental |volume=149 |numéro=1 |date=1991 |url texte=https://www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_1991_num_149_1_3204 |pages=7-75 }}.</ref>.


Il gagne l'estime du roi [[Louis XIV de France|Louis XIV]] après avoir dessiné les plans du [[château de Clagny]], destiné à la maîtresse favorite du roi, [[Madame de Montespan]]. Il devient architecte ordinaire en 1675 et entre à l'[[Académie royale d'architecture]].
Il gagne l'estime du roi [[Louis XIV]] après avoir dessiné les plans du [[château de Clagny]], destiné à la maîtresse favorite du roi, [[Madame de Montespan]]. Il devient architecte ordinaire en 1675 et entre à l'[[Académie royale d'architecture]].

À la demande de l'évêque [[Michel Tubeuf]], Mansart réalise les plans du [[palais épiscopal de Castres]] en 1677 intégrant la tour médiévale Saint-Benoît.


[[Premier architecte du roi]] en 1681, il est nommé intendant général des [[Bâtiments du roi]] en 1685.
[[Premier architecte du roi]] en 1681, il est nommé intendant général des [[Bâtiments du roi]] en 1685.


À la mort de [[Charles Le Brun]] en 1690, Jules Hardouin-Mansart, qui venait d’achever le dôme de l'[[hôtel des Invalides]], devient inspecteur général des Bâtiments du roi en 1691. Il appela auprès de lui [[Charles de La Fosse]] en 1692, le logea dans sa maison, et lui demanda des esquisses pour la décoration des Invalides. Celui-ci peignit à fresque l’intérieur du dôme de 1702 à 1706.
En 1691, Jules Hardouin-Mansart, qui venait d’achever le dôme de l'[[hôtel des Invalides]], devient inspecteur général des Bâtiments du roi. Il appela auprès de lui [[Charles de La Fosse]] en 1692, le logea dans sa maison, et lui demanda des esquisses pour la décoration des Invalides. Celui-ci peignit à fresque l’intérieur du dôme de 1702 à 1706.


Il devient surintendant des Bâtiments du roi en 1699. Il avait été anobli par Louis XIV en 1682, mais il n'avait pour tout titre que celui d'[[Écuyer (gentilhomme)|écuyer]] car il n'avait pas de terre titrée. En 1699, il peut acquérir le comté de [[Sagonne]] en [[Duché de Bourbon|Bourbonnais]] (pour {{unité|130000|livres}}) et faire valoir son titre de comte.
Il devient surintendant des Bâtiments du roi en 1699. Il avait été anobli par Louis XIV en 1682, mais il n'avait pour tout titre que celui d'[[Écuyer (gentilhomme)|écuyer]] car il n'avait pas de terre titrée. En 1699, il peut acquérir le comté de [[Sagonne]] en [[Duché de Bourbon|Bourbonnais]] (pour {{unité|130000|livres}}) et faire valoir son titre de comte.


Jules Hardouin-Mansart épousa le {{date-|3|février|1668}} Anne Bodin (1646-1738) dont il eut cinq enfants :
Jules Hardouin-Mansart épousa le {{date-|3|février|1668}} Anne Bodin (1646-1738) dont il eut cinq enfants :
* Catherine Henriette (1673-1748), qui épousa en 1693 [[Claude Lebas de Montargis]] (1659-1741), marquis du Boucher-Valgrand, riche trésorier de l'extraordinaire des guerres ;
* Catherine Henriette (1673-1748), qui épousa en 1693 [[Claude Le Bas de Montargis]] (1659-1741), riche trésorier de l'[[extraordinaire des guerres]], devenu secrétaire des [[Ordre du roi|Ordres du Roi]] et marquis du [[Vert-le-Petit|Bouchet-Valgrand]] ;
* Louis (1674-1681) ;
* Louis (1674-1681) ;
* Julie Andrée Anne (1676-1677) ;
* Julie Andrée Anne (1676-1677) ;
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* Jacques (1677-1762), comte de Sagonne, qui épousa Madeleine Bernard (1684-1716), fille du financier [[Samuel Bernard]]. Il se remaria en 1726 avec Guillemette dite Madeleine d'Hugueny<ref>Ou Du Quesny.</ref>, avec qui il avait eu cinq enfants doublement adultérins {{incise|elle était elle-même mariée}} dont les deux architectes : [[Jean Mansart de Jouy]] (1705-1783) et [[Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne]] (1711-1778).
* Jacques (1677-1762), comte de Sagonne, qui épousa Madeleine Bernard (1684-1716), fille du financier [[Samuel Bernard]]. Il se remaria en 1726 avec Guillemette dite Madeleine d'Hugueny<ref>Ou Du Quesny.</ref>, avec qui il avait eu cinq enfants doublement adultérins {{incise|elle était elle-même mariée}} dont les deux architectes : [[Jean Mansart de Jouy]] (1705-1783) et [[Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne]] (1711-1778).


Jules Hardouin-Mansart meurt à [[Marly-le-Roi]] le {{date-|11 mai 1708}}. Il fut inhumé à Paris dans l'[[Ancienne église Saint-Paul-des-Champs|église Saint-Paul-des-Champs]] (rasée en 1796-1799, ainsi que son monument funéraire en marbre qu'y avait érigé [[Antoine Coysevox]]). Ses restes furent déposés aux [[catacombes de Paris]]{{quand}}.
Mort à [[Marly-le-Roi]] le {{date-|11 mai 1708}}, Jules Hardouin-Mansart fut inhumé à Paris dans l'[[Ancienne église Saint-Paul-des-Champs|église Saint-Paul-des-Champs]] (rasée en 1796-1799, ainsi que son monument funéraire en marbre qu'y avait érigé [[Antoine Coysevox]]). Ses restes furent déposés aux [[catacombes de Paris]]{{quand}}.


== Réalisations ==
== Réalisations ==
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{{sources de section|Dossier de presse ''Construire pour le roi, Jules Hardouin-Mansart'', [[Paris]], [[musée Carnavalet]], du 3 avril au {{date-|28 juin 2009}}<ref>{{pdf}} [http://www.carnavalet.paris.fr/sites/default/files/dossier_de_presse_expo_jules_hardouin-mansart.pdf Dossier de presse ''Construire pour le roi, Jules Hardouin-Mansart''] sur carnavalet.paris.fr.</ref>}}
{{sources de section|Dossier de presse ''Construire pour le roi, Jules Hardouin-Mansart'', [[Paris]], [[musée Carnavalet]], du 3 avril au {{date-|28 juin 2009}}<ref>{{pdf}} [http://www.carnavalet.paris.fr/sites/default/files/dossier_de_presse_expo_jules_hardouin-mansart.pdf Dossier de presse ''Construire pour le roi, Jules Hardouin-Mansart''] sur carnavalet.paris.fr.</ref>}}


* 1669-1679 : [[Hôtel de L'Averdy]], ancien Petit hôtel de Guénégaud, dit de Conti, dans l'enceinte l'[[Hôtel de la Monnaie (Paris)|hôtel de la Monnaie]] à [[Paris]], sa première œuvre connue<ref>{{Article |auteur=Bertrand Jestaz |titre=La première œuvre connue de Jules Hardouin-Mansart : le petit hôtel de Guénégaud, dit de Conti. |périodique=Bulletin Monumental |volume=158 |numéro=3 |date=2000 |url texte=https://www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_2000_num_158_3_8438 |pages=217-237 }}.</ref>.
* 1669-1679 : [[Hôtel de L'Averdy]], ancien Petit hôtel de Guénégaud, dit de Conti, dans l'enceinte de l'[[Hôtel de la Monnaie (Paris)|hôtel de la Monnaie]] à [[Paris]], sa première œuvre connue<ref>{{Article |auteur=Bertrand Jestaz |titre=La première œuvre connue de Jules Hardouin-Mansart : le petit hôtel de Guénégaud, dit de Conti. |périodique=Bulletin Monumental |volume=158 |numéro=3 |date=2000 |url texte=https://www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_2000_num_158_3_8438 |pages=217-237 }}.</ref>.
* 1669 : [[Hôtel de Ville de Nemours]], ancien couvent de la congrégation Notre-Dame<ref>[http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/dapamer_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=TOUT&VALUE_1=&FIELD_2=cmer1&VALUE_2=nemours&FIELD_3=cmer6&VALUE_3=&FIELD_4=cmer2&VALUE_4=&FIELD_5=cmer3&VALUE_5=&FIELD_6=cmer4&VALUE_6=&FIELD_7=Appellation&VALUE_7=&FIELD_8=Date%20protection&VALUE_8=&NUMBER=5&GRP=0&REQ=%28%28nemours%29%20%3aLOCA%2cPLOC%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=50&DOM=MH Culture.gouv.fr].</ref>.
* 1669 : [[Hôtel de ville de Nemours]], ancien couvent de la congrégation Notre-Dame<ref>[http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/dapamer_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=TOUT&VALUE_1=&FIELD_2=cmer1&VALUE_2=nemours&FIELD_3=cmer6&VALUE_3=&FIELD_4=cmer2&VALUE_4=&FIELD_5=cmer3&VALUE_5=&FIELD_6=cmer4&VALUE_6=&FIELD_7=Appellation&VALUE_7=&FIELD_8=Date%20protection&VALUE_8=&NUMBER=5&GRP=0&REQ=%28%28nemours%29%20%3aLOCA%2cPLOC%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=50&DOM=MH Culture.gouv.fr].</ref>.
* 1670-1672 : Hôtels, [[Place d'Armes (Versailles)|place d'Armes]] à [[Versailles]].
* 1670-1672 : Hôtels, [[Place d'Armes (Versailles)|place d'Armes]] à [[Versailles]].
* 1671-1674 : reconstruction du château de Magny (aujourd'hui [[Guiscard]]), pour la [[Claire Charlotte Eugénie d'Ailly|maréchale de Chaulnes]]<ref>{{Ouvrage|auteur1=Philippe Seydoux|titre=Châteaux et gentilhommières des Pays de l'Oise, tome 2|lieu=Paris|éditeur=Editions de La Morande|année=2009|passage=216-218|isbn=978-2-9020-9139-3}}</ref> ;
* 1673 : Chapelle de la Communion à l'[[église Saint-Séverin]], [[Paris]].
* 1673 : Chapelle de la Communion à l'[[église Saint-Séverin]], [[Paris]].
* 1673-1676 : [[Hôtel de ville d'Arles]].
* 1673-1676 : [[Hôtel de ville d'Arles]].
* 1674-1677 : [[Château du Val (Saint-Germain-en-Laye)|Château de Val]], à [[Saint-Germain-en-Laye]].
* 1674-1677 : [[Château du Val (Saint-Germain-en-Laye)|Château de Val]], à [[Saint-Germain-en-Laye]].
* 1674-1685 : [[Hôtel de Sagonne]] au 28, [[rue des Tournelles]] à Paris (également en 1690).
* 1674-1685 : [[Hôtel de Sagonne]] au 28, [[rue des Tournelles]] à Paris (également en 1690) ;
* 1675 : embellissement et réaménagement du [[Château de Chaulnes (Chaulnes)|château de Chaulnes]], pour le [[Charles d'Albert d'Ailly|3e duc de Chaulnes]]<ref>{{Ouvrage|auteur1=Philippe Seydoux|titre=Gentilhommières en Picardie, tome1, Amiénois et Santerre|lieu=Paris|éditeur=Editions de La Morande|année=2002|passage=182-184|isbn=2-902091-32-X}}</ref> ;
* 1675-1683 : [[Château de Clagny]], à [[Versailles]].
* 1675-1683 : [[Château de Clagny]], à [[Versailles]].
* 1676 : [[Château de la Chaize (Odenas)|Château de la Chaize]], à [[Odenas]].
* 1676 : [[Château de la Chaize (Odenas)|Château de la Chaize]], à [[Odenas]].
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* 1676-1706 : Une partie de l'[[hôtel des Invalides]] à Paris, en particulier l'[[Hôtel des Invalides#Le dôme des Invalides|église du Dôme]] et l'[[Hôtel des Invalides#La cathédrale Saint-Louis-des-Invalides|église Saint-Louis-des-Invalides]].
* 1676-1706 : Une partie de l'[[hôtel des Invalides]] à Paris, en particulier l'[[Hôtel des Invalides#Le dôme des Invalides|église du Dôme]] et l'[[Hôtel des Invalides#La cathédrale Saint-Louis-des-Invalides|église Saint-Louis-des-Invalides]].
* 1677-1679 : [[Palais épiscopal de Castres]].
* 1677-1679 : [[Palais épiscopal de Castres]].
* 1677 : L'aile sur cour de l'[[hôtel de Chaulnes]] au 9, [[place des Vosges]] à Paris.
* 1677 : L'aile sur cour de l'[[hôtel de Chaulnes]] au 9, [[place des Vosges]] à Paris, pour le [[Charles d'Albert d'Ailly|3e duc de Chaulnes]] ;
* 1678 : [[Hôtel de Fieubet]], [[Quai des Célestins (Paris)|quai des Célestins]] à Paris.
* 1678 : [[Hôtel de Fieubet]], [[Quai des Célestins (Paris)|quai des Célestins]] à Paris.
* 1679 : [[Hôtel de Noailles]]<ref>{{Base Mérimée|PA00087618|source=non}}.</ref>, à [[Saint-Germain-en-Laye]].
* 1679 : [[Hôtel de Noailles]]<ref>{{Base Mérimée|PA00087618|source=non}}.</ref>, à [[Saint-Germain-en-Laye]].
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* 1692 : Orangerie du [[château des ducs de La Trémoille]], à [[Thouars]].
* 1692 : Orangerie du [[château des ducs de La Trémoille]], à [[Thouars]].
* 1694 : Plans du [[château de L'Isle]], dans le canton de [[Vaud]].
* 1694 : Plans du [[château de L'Isle]], dans le canton de [[Vaud]].
* 1695-1700 : [[Château de l'Étang (Audigny)|Château de l'Étang]] à [[Audigny]] pour le marquis [[Louis-François-Marie Le Tellier de Barbezieux]] (1668-1701)<ref>Fabienne Seillan, « Le château de l'Étang du temps de Saint-Simon », ''Cahiers Saint Simon'', {{n°|33}}, Palais et Châteaux, 2005, {{pp.|39-48}} ([https://www.persee.fr/doc/simon_0409-8846_2005_num_33_1_1393 en ligne]).</ref>.
* 1695-1700 : [[Château de l'Étang (Marnes-la-Coquette)|Château de l'Étang]] à [[Marnes-la-Coquette]] pour [[Louis-François-Marie Le Tellier de Barbezieux]], secrétaire d'Etat du Roi [[Louis XIV]]<ref>Fabienne Seillan, « Le château de l'Étang du temps de Saint-Simon », ''Cahiers Saint Simon'', {{n°|33}}, Palais et Châteaux, 2005, {{pp.|39-48}} ([https://www.persee.fr/doc/simon_0409-8846_2005_num_33_1_1393 en ligne]).</ref>.
* 1695-1708 : Reconstruction en style gothique, à [[Poissy]], de l'[[Prieuré Saint-Louis de Poissy#.C3.89glise Saint-Louis|église Saint-Louis]], frappée par la foudre.
* 1695-1708 : Reconstruction en style gothique, à [[Poissy]], de l'[[Prieuré Saint-Louis de Poissy#L'église Saint-Louis|église Saint-Louis]], frappée par la foudre.
* 1696 : Transformations du parc du [[château d'Écouen]], esplanade à l'arrière du château et allées.
* 1696 : Transformations du parc du [[château d'Écouen]], esplanade à l'arrière du château et allées.
* 1697-1698 : [[Hôtel de Lorge]], à Paris<ref>[https://www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_1971_num_129_3_5093 Jestaz Bertrand]. L'hôtel de Lorge et sa place dans l'œuvre de Jules Hardouin-Mansart. In: Bulletin Monumental, tome 129, n°3, année 1971. pp. 161-181.</ref>.
* 1697-1698 : [[Hôtel de Lorge]], à Paris<ref>[https://www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_1971_num_129_3_5093 Jestaz Bertrand]. L'hôtel de Lorge et sa place dans l'œuvre de Jules Hardouin-Mansart. In: Bulletin Monumental, tome 129, n°3, année 1971. pp. 161-181.</ref>.
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Fichier:Chateau-decouen.jpg|Parc du [[Château d'Écouen]]
Fichier:Chateau-decouen.jpg|Parc du [[Château d'Écouen]]
Fichier:Paris Place Vendôme 8.jpg|[[Place Vendôme]] à Paris.
Fichier:Paris Place Vendôme 8.jpg|[[Place Vendôme]] à Paris.
Fichier:Chateau de Blois aile Gaston d Orleans.jpg|Aile Gaston d'Orléans du [[château de Blois]].
Fichier:P1390063 Paris IV quai Celestins Hotel Fiebet rwk.jpg|[[Hôtel Fieubet|Hôtel Fiebet]]
Fichier:P1390063 Paris IV quai Celestins Hotel Fiebet rwk.jpg|[[Hôtel Fieubet|Hôtel Fiebet]]
Fichier:Palais des ducs de Bourgogne2.JPG|[[Palais des ducs de Bourgogne]] à Dijon.
Fichier:Palais des ducs de Bourgogne2.JPG|[[Palais des ducs de Bourgogne]] à Dijon.
Fichier:Château de Boury 1.JPG|[[Château de Boury]]
Fichier:Château de Boury 1.JPG|[[Château de Boury]]
Fichier:Guermantes château 1.jpg|[[Château de Guermantes|Château de Germantes]].
Fichier:Guermantes château 1.jpg|[[Château de Guermantes]].
Fichier:Chateau neuf a partir de 1709 herve gregoire et franck devedjian.jpg|[[Château de Meudon|Château-Neuf]] de Meudon (reconstitution).
Fichier:Chateau neuf a partir de 1709 herve gregoire et franck devedjian.jpg|[[Château de Meudon|Château-Neuf]] de Meudon (reconstitution).
Fichier:P1090351 Paris Ier VI pont-Royal rwk.JPG|[[Pont Royal (Paris)|Pont Royal]] à Paris.
Fichier:P1090351 Paris Ier VI pont-Royal rwk.JPG|[[Pont Royal (Paris)|Pont Royal]] à Paris.
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Fichier:Versailles eglise notre-dame.jpg|[[Église Notre-Dame de Versailles]] (1698-1710).
Fichier:Versailles eglise notre-dame.jpg|[[Église Notre-Dame de Versailles]] (1698-1710).
Fichier:P1000338 Paris I Eglise Saint-Roch façade reductwk.JPG|[[Église Saint-Roch de Paris|Église Saint-Roch]] à Paris (1701-1722).
Fichier:P1000338 Paris I Eglise Saint-Roch façade reductwk.JPG|[[Église Saint-Roch de Paris|Église Saint-Roch]] à Paris (1701-1722).
Fichier:Evêché et berges sur l'Agout.JPG|Palais de l'Évêché de Castres (1777-1779).
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== Généalogie simplifiée ==
== Généalogie simplifiée ==
La famille Hardouin est originaire de [[Beauvais]]. Les Hardouin sont connus grâces aux actes notariés. Ils sont menuisiers, maçons, tombiers et peintres. Un Jean Hardouin apparaît dans un rôle de don de {{Nombre|3000|livres}} au roi, en 1522. Jules Hardouin-Mansart est le descendant de Scipion I Hardouin, cité en 1552 et 1564, travaille sur la [[cathédrale de Beauvais]]. Scipion II Hardouin est cité dans un contrat de vente du {{date-|23 mai 1574}}. Scipion III Hardouin est peintre et sculpteur et exécute divers travaux dans l'église Saint-Martin de Beauvais, en 1586 et 1592, marié à Adrienne Granger dont il a eu cinq enfants : Bertin, Marie, Scipion IV, Sébastienne, Anne. Bertin Hardouin, né à Beauvais, est peintre, s'installe à Paris et se marie avec Antoinette Desjardins dont il a eu quatre enfants : Marie, Charles (1605-1635), Nicolas (1609- ), Raphaël, né à Paris le {{date-|27 juin 1612}}, marié à Marie Gaultier, père de Jules-Hardouin-Mansart, Michel Hardouin (1647-1687), Marguerite, Jean et Joseph, ces derniers morts avant leur père<ref>{{Harvsp| Abbé Louis Meister | 1925 |page=120-125}}</ref>.
La famille Hardouin est originaire de [[Beauvais]]. Les Hardouin sont connus grâces aux actes notariés. Ils sont menuisiers, maçons, tombiers et peintres. Un Jean Hardouin apparaît dans un rôle de don de {{Nombre|3000|livres}} au roi, en 1522. Jules Hardouin-Mansart est le descendant de Scipion I Hardouin, cité en 1552 et 1564, travaille sur la [[cathédrale de Beauvais]]. Scipion II Hardouin est cité dans un contrat de vente du {{date-|23 mai 1574}}. Scipion III Hardouin est peintre et sculpteur et exécute divers travaux dans l'église Saint-Martin de Beauvais, en 1586 et 1592, marié à Adrienne Granger dont il a eu cinq enfants : Bertin, Marie, Scipion IV, Sébastienne, Anne. Bertin Hardouin, né à Beauvais, est peintre, s'installe à Paris et se marie avec Antoinette Desjardins dont il a eu quatre enfants : Marie, Charles (1605-1635), Nicolas (1609- ), Raphaël, né à Paris le {{date-|27 juin 1612}}, marié à Marie Gaultier, père de Jules-Hardouin-Mansart, Michel Hardouin (1647-1687), Marguerite, Jean et Joseph, ces derniers morts avant leur père<ref>{{Harvsp| Abbé Louis Meister | 1925 |page=120-125}}</ref>.
<div style="width: 80%; font-size:90%;">
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{{Arbre généalogique/début}}
{{Arbre généalogique/début}}
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* {{article | auteur=[[Henri Bourde de la Rogerie]] | titre=Germain Gaultier, architecte et sculpteur (1571-1624) et les premiers projets du Palais du Parlement de Bretagne | périodique=Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine | année=1928 | tome=LV | passage=23-78 | lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1220744/f103.item }}
* {{article | auteur=[[Henri Bourde de la Rogerie]] | titre=Germain Gaultier, architecte et sculpteur (1571-1624) et les premiers projets du Palais du Parlement de Bretagne | périodique=Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine | année=1928 | tome=LV | passage=23-78 | lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1220744/f103.item }}
* Philippe Cachau, ''Les Mansart. Trois générations de génies de l'architecture'', 2021, lire en ligne http://philippecachau.e-monsite.com/pages/mes-etudes.html.
* Philippe Cachau, ''Les Mansart. Trois générations de génies de l'architecture'', 2021, lire en ligne http://philippecachau.e-monsite.com/pages/mes-etudes.html.
* {{article | auteur=[[Alexandre Gady]] | titre=Le contrat de mariage de Jules Hardouin-Mansart (1668) | périodique=Bulletin de la Société de l'histoire de Paris et de l'Ile-de-France. 2007-2008 | date=2009 | tome=134-135 | passage=95-102 | lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9627486w/f110.item }}
* {{Ouvrage|langue=fr|auteur=[[Alexandre Gady]]|titre=Jules Hardouin-Mansart - 1646-1708|lieu=Paris|éditeur=Éditions de la Maison des sciences de l'homme|année=2010|isbn=978-2-7351-1187-9|isbn2=2-7351-1187-3}}.
* {{Ouvrage|langue=fr|auteur=[[Alexandre Gady]]|titre=Jules Hardouin-Mansart - 1646-1708|lieu=Paris|éditeur=Éditions de la Maison des sciences de l'homme|année=2010|isbn=978-2-7351-1187-9|isbn2=2-7351-1187-3}}.
* {{article | auteur=Louis de Grandmaison | titre=Essai d'armorial des artistes français. Lettres de noblesse. Preuves pour l'ordre de Saint-Michel | passage=300-305 | périodique=Réunion des sociétés savantes des départements à la Sorbonne. Section des beaux-arts. Ministère de l'instruction publique | volume={{27e|session}} | année=1903 | lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65810888/f378.item.zoom }}.
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* {{en}} [http://www.artcyclopedia.com/artists/mansart_jules_hardouin.html « Jules Hardouin-Mansart »] dans ''Artcyclopedia''.
* {{en}} [http://www.artcyclopedia.com/artists/mansart_jules_hardouin.html « Jules Hardouin-Mansart »] dans ''Artcyclopedia''.

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Jules Hardouin-Mansart
Hyacinthe Rigaud, Portrait de Jules Hardouin-Mansart (1685),
Louvre-Lens.
Fonction
Surintendant des Bâtiments
Titre de noblesse
Comte
Biographie
Naissance
Décès
(à 62 ans)
Marly-le-Roi
Nationalité
Activité
Famille
Fratrie
Enfant
Parentèle
François Mansart (grand-oncle)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Mouvement
Maîtres
Élève
Distinction
Chevalier de l'ordre de Saint-Michel
Œuvres principales

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Jules Hardouin-Mansart, comte de Sagonne (1699), né le à Paris et mort le à Marly-le-Roi, est un architecte français. Il fut Premier architecte du roi Louis XIV et surintendant des Bâtiments du roi.

Il est le petit-neveu de l'architecte François Mansart.

Biographie[modifier | modifier le code]

François de Troy, Jules Hardouin-Mansart (1699), château de Versailles.
Jean-Louis Lemoyne, Jules Hardouin-Mansart (1703), Paris, musée du Louvre.
Monument à Jules Hardouin-Mansart (XIXe siècle), Versailles, place Alexandre Ier de Yougoslavie.
Ernest Henri Dubois , Statue de Jules Hardouin-Mansart, Paris, Jardin de l'Intendant de l'Hôtel des Invalides.

Jules Hardouin-Mansart est formé par Libéral Bruand. Il commence à se faire connaître en 1674 par la construction du petit château de Val et sa participation aux aménagements de Chantilly. Il semble particulièrement apprécié du duc d'Enghien, fils du Grand Condé[1].

Il gagne l'estime du roi Louis XIV après avoir dessiné les plans du château de Clagny, destiné à la maîtresse favorite du roi, Madame de Montespan. Il devient architecte ordinaire en 1675 et entre à l'Académie royale d'architecture.

À la demande de l'évêque Michel Tubeuf, Mansart réalise les plans du palais épiscopal de Castres en 1677 intégrant la tour médiévale Saint-Benoît.

Premier architecte du roi en 1681, il est nommé intendant général des Bâtiments du roi en 1685.

En 1691, Jules Hardouin-Mansart, qui venait d’achever le dôme de l'hôtel des Invalides, devient inspecteur général des Bâtiments du roi. Il appela auprès de lui Charles de La Fosse en 1692, le logea dans sa maison, et lui demanda des esquisses pour la décoration des Invalides. Celui-ci peignit à fresque l’intérieur du dôme de 1702 à 1706.

Il devient surintendant des Bâtiments du roi en 1699. Il avait été anobli par Louis XIV en 1682, mais il n'avait pour tout titre que celui d'écuyer car il n'avait pas de terre titrée. En 1699, il peut acquérir le comté de Sagonne en Bourbonnais (pour 130 000 livres) et faire valoir son titre de comte.

Jules Hardouin-Mansart épousa le Anne Bodin (1646-1738) dont il eut cinq enfants :

Mort à Marly-le-Roi le , Jules Hardouin-Mansart fut inhumé à Paris dans l'église Saint-Paul-des-Champs (rasée en 1796-1799, ainsi que son monument funéraire en marbre qu'y avait érigé Antoine Coysevox). Ses restes furent déposés aux catacombes de Paris[Quand ?].

Réalisations[modifier | modifier le code]

Les informations suivantes proviennent principalement de : Dossier de presse Construire pour le roi, Jules Hardouin-Mansart, Paris, musée Carnavalet, du 3 avril au [3].

Galerie[modifier | modifier le code]

Œuvres civiles[modifier | modifier le code]

Au château de Versailles[modifier | modifier le code]

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

Généalogie simplifiée[modifier | modifier le code]

La famille Hardouin est originaire de Beauvais. Les Hardouin sont connus grâces aux actes notariés. Ils sont menuisiers, maçons, tombiers et peintres. Un Jean Hardouin apparaît dans un rôle de don de 3 000 livres au roi, en 1522. Jules Hardouin-Mansart est le descendant de Scipion I Hardouin, cité en 1552 et 1564, travaille sur la cathédrale de Beauvais. Scipion II Hardouin est cité dans un contrat de vente du . Scipion III Hardouin est peintre et sculpteur et exécute divers travaux dans l'église Saint-Martin de Beauvais, en 1586 et 1592, marié à Adrienne Granger dont il a eu cinq enfants : Bertin, Marie, Scipion IV, Sébastienne, Anne. Bertin Hardouin, né à Beauvais, est peintre, s'installe à Paris et se marie avec Antoinette Desjardins dont il a eu quatre enfants : Marie, Charles (1605-1635), Nicolas (1609- ), Raphaël, né à Paris le , marié à Marie Gaultier, père de Jules-Hardouin-Mansart, Michel Hardouin (1647-1687), Marguerite, Jean et Joseph, ces derniers morts avant leur père[12].

 
 
 
 
 
 
 
 
 
Jehan Mansart (maitre maçon)
 
 
 
Jacques Le Roy
(maitre maçon)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Absalon Mansart (charpentier)
 
 
 
Michelle Le Roy
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Germain Gaultier[13]
(sculpteur et architecte)
 
 
 
Marie Mansart
 
François Mansart
(architecte)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Frémin de Cotte
(ingénieur, architecte du roi)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Edme Delisle
(peintre)
 
Michelle Gaultier
 
 
 
Marie Gaultier
 
 
 
Raphaël Hardouin
(peintre)
 
Nicolas Bodin
(Conseiller du roi, Trésorier de la Prévôté de l'Hôtel)
 
Madeleine Adam
 
Charles de Cotte
 
Anne Du Fay
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Pierre Delisle-Mansart
(architecte)
 
Marie Delisle
 
Jacques IV Gabriel
(architecte)
 
Michel Hardouin
(architecte)
 
Jules Hardouin-Mansart
(architecte)
 
Anne
Bodin
 
Catherine Bodin
 
Robert de Cotte
(architecte)
 
Louis de Cotte
(architecte)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Jacques V Gabriel
(architecte)
 
 
 
Jules Michel Alexandre Hardouin
(architecte)
 
 
 
Jacques Hardouin-Mansart
(Conseiller au Parlement)
 
 
 
 
 
Jules-Robert de Cotte
(architecte)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Ange-Jacques Gabriel
(architecte)
 
 
 
 
 
 
 
Jean Hardouin-Mansart de Jouy
(architecte)
 
Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne
(architecte )
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Ange-Antoine Gabriel
(architecte)

Élèves[modifier | modifier le code]

Collaborateurs[modifier | modifier le code]

Iconographie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ Bertrand Jestaz, « Documents sur l'œuvre de Jules Hardouin-Mansart à Chantilly. », Bulletin Monumental, vol. 149, no 1,‎ , p. 7-75 (lire en ligne).
  2. ↑ Ou Du Quesny.
  3. ↑ [PDF] Dossier de presse Construire pour le roi, Jules Hardouin-Mansart sur carnavalet.paris.fr.
  4. ↑ Bertrand Jestaz, « La première œuvre connue de Jules Hardouin-Mansart : le petit hôtel de Guénégaud, dit de Conti. », Bulletin Monumental, vol. 158, no 3,‎ , p. 217-237 (lire en ligne).
  5. ↑ Culture.gouv.fr.
  6. ↑ Philippe Seydoux, Châteaux et gentilhommières des Pays de l'Oise, tome 2, Paris, Editions de La Morande, (ISBN 978-2-9020-9139-3), p. 216-218
  7. ↑ Philippe Seydoux, Gentilhommières en Picardie, tome1, Amiénois et Santerre, Paris, Editions de La Morande, (ISBN 2-902091-32-X), p. 182-184
  8. ↑ Notice no PA00087618.
  9. ↑ a b et c [PDF] lire.
  10. ↑ Fabienne Seillan, « Le château de l'Étang du temps de Saint-Simon », Cahiers Saint Simon, no 33, Palais et Châteaux, 2005, pp. 39-48 (en ligne).
  11. ↑ Jestaz Bertrand. L'hôtel de Lorge et sa place dans l'œuvre de Jules Hardouin-Mansart. In: Bulletin Monumental, tome 129, n°3, année 1971. pp. 161-181.
  12. ↑ Abbé Louis Meister 1925, p. 120-125
  13. ↑ Note : Germain Gaultier est un neveu de Germain Pilon.
  14. ↑ [1] (ND 569).
  15. ↑ Notice sur ensba.fr.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Henri Bourde de la Rogerie, « Germain Gaultier, architecte et sculpteur (1571-1624) et les premiers projets du Palais du Parlement de Bretagne », Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine, t. LV,‎ , p. 23-78 (lire en ligne)
  • Philippe Cachau, Les Mansart. Trois générations de génies de l'architecture, 2021, lire en ligne http://philippecachau.e-monsite.com/pages/mes-etudes.html.
  • Alexandre Gady, « Le contrat de mariage de Jules Hardouin-Mansart (1668) », Bulletin de la Société de l'histoire de Paris et de l'Ile-de-France. 2007-2008, t. 134-135,‎ , p. 95-102 (lire en ligne)
  • Alexandre Gady, Jules Hardouin-Mansart - 1646-1708, Paris, Éditions de la Maison des sciences de l'homme, (ISBN 978-2-7351-1187-9 et 2-7351-1187-3).
  • Louis de Grandmaison, « Essai d'armorial des artistes français. Lettres de noblesse. Preuves pour l'ordre de Saint-Michel », Réunion des sociétés savantes des départements à la Sorbonne. Section des beaux-arts. Ministère de l'instruction publique, vol. 27e session,‎ , p. 300-305 (lire en ligne).
  • Jules Guiffrey, « Lettres de noblesse accordées aux artistes au XVIIe et au XVIIIe siècle -II- Mansard, architecte », Revue nobiliaire, héraldique et biographique,‎ , p. 12-1 (lire en ligne).
  • Bertrand Jestaz, Jules Hardouin-Mansart, Paris, Picard, coll. « Librairie de l'architecture et de la ville », , 255 p. (ISBN 978-2-7084-0817-3).
  • Abbé Louis Meister, « Les Origines beauvaisines et la descendance de Jules Hardouin-Mansart », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, t. 25,‎ , p. 115-138 (lire en ligne)
  • Georges Penet, « Les travaux de J. Hardouin-Mansart à Chambord », Mémoires de la Société des sciences et lettres de Loir-et-Cher, vol. 34,‎ , p. 5-37 (lire en ligne)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Bases de données et dictionnaires[modifier | modifier le code]

Voir ce modèle.
Jules Hardouin-Mansart
Précédé par Suivi par
Édouard Colbert de Villacerf
surintendant général
des bâtiments du roi
1699 – 1708
Louis Antoine de Pardaillan de Gondrin, duc d'Antin
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