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'''Frederic George Stephens''', né à [[Londres]] le {{date|10|octobre|1827}} et mort dans la même ville le {{date|9|mars|1907}}, est un [[critique d'art]] membre de la [[confrérie préraphaélite]].
'''Frederic George Stephens''', né à [[Londres]] le {{date|10|octobre|1827}} et mort dans la même ville le {{date|9|mars|1907}}, est un [[critique d'art]] membre de la [[Préraphaélisme|confrérie préraphaélite]].


== Biographie ==
== Biographie ==
Frederic George Stephens étudie à la [[Royal Academy]] durant les années 1840, avant de devenir critique d'art. Avec l'écrivain [[William Michael Rossetti]], il est l'un des deux membres non artistes de la [[confrérie préraphaélite]], qu'il rejoint en 1848<ref name="Npg.org.uk bio"/>.
Frederic George Stephens étudie à la [[Royal Academy]] durant les années 1840, avant de devenir critique d'art. Avec l'écrivain [[William Michael Rossetti]], il est l'un des deux membres non artistes de la [[Préraphaélisme|confrérie préraphaélite]], qu'il rejoint en 1848<ref name="Npg.org.uk bio"/>.


Ses articles sont notamment publiés par ''{{Lien|fr=Dublin University Magazine|lang=en}}'', ''[[Fraser's Magazine]]'' et ''{{Lien|fr=Macmillan's Magazine|lang=en}}''. Entre 1861 et 1901, Stephens est [[critique d'art]] pour la revue littéraire ''[[Athenaeum (1828)|Athenaeum]]''. Il écrit également en freelance pour des périodiques de l'ère victorienne comme ''{{Lien|fr=The Art Journal|lang=en}}'' et ''{{Lien|fr=The Germ|trad=The Germ (periodical)|lang=en}}'', la revue de la confrérie préraphaélite<ref name="Brake-Demoor p.601"/>.
Ses articles sont notamment publiés par ''{{Lien|fr=Dublin University Magazine|lang=en}}'', ''[[Fraser's Magazine]]'' et ''{{Lien|fr=Macmillan's Magazine|lang=en}}''. Entre 1861 et 1901, Stephens est [[critique d'art]] pour la revue littéraire ''[[Athenaeum (1828)|Athenaeum]]''. Il écrit également en freelance pour des périodiques de l'ère victorienne comme ''{{Lien|fr=The Art Journal|lang=en}}'' et ''{{Lien|fr=The Germ|trad=The Germ (periodical)|lang=en}}'', la revue de la confrérie préraphaélite<ref name="Brake-Demoor p.601"/>. Au cours des années 1860, Stephens publie des ouvrages d'histoire de l'art et consacre des monographies aux peintres {{Lien|fr=William Mulready|lang=en}} et [[Edwin Landseer]]<ref name="Dictionaryofarthistorians.org bio"/>.

== Bibliographie ==
* {{Article|langue=en|auteur1=Dianne Sachko Macleod|titre=Stephens, Frederic George (1827-1907)|périodique=Oxford Dictionary of National Biography|lien périodique=Dictionary of National Biography|année=2004|doi=10.1093/ref:odnb/36272|url texte=http://www.oxforddnb.com/index/101036272/Frederic-Stephens}} {{inscription nécessaire}}


== Notes et références ==
== Notes et références ==
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<ref name="Npg.org.uk bio">{{Lien web|langue=en|url=http://www.npg.org.uk/collections/search/personExtended/mp04284/frederic-george-stephens?tab=biography|titre=Frederic George Stephens (1828-1907), Pre-Raphaelite painter and art critic|auteur=Jan Marsh|éditeur=[[National Portrait Gallery (Royaume-Uni)|National Portrait Gallery]]}}</ref>
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Version du 15 juillet 2015 à 07:30

Frederic George Stephens
Image illustrative de l’article Frederic George Stephens
Frederic G. Stephens, dessin de John Everett Millais.

Naissance
Londres
Décès (à 79 ans)
Londres
Nationalité britannique
Profession journaliste
Spécialité critique d'art
Médias actuels
Pays Royaume-Uni
Média presse écrite
Historique
Presse écrite Athenaeum

Frederic George Stephens, né à Londres le et mort dans la même ville le , est un critique d'art membre de la confrérie préraphaélite.

Biographie

Frederic George Stephens étudie à la Royal Academy durant les années 1840, avant de devenir critique d'art. Avec l'écrivain William Michael Rossetti, il est l'un des deux membres non artistes de la confrérie préraphaélite, qu'il rejoint en 1848[1].

Ses articles sont notamment publiés par Dublin University Magazine (en), Fraser's Magazine et Macmillan's Magazine (en). Entre 1861 et 1901, Stephens est critique d'art pour la revue littéraire Athenaeum. Il écrit également en freelance pour des périodiques de l'ère victorienne comme The Art Journal et The Germ (en), la revue de la confrérie préraphaélite[2]. Au cours des années 1860, Stephens publie des ouvrages d'histoire de l'art et consacre des monographies aux peintres William Mulready et Edwin Landseer[3].

Bibliographie

Notes et références

  1. (en) Jan Marsh, « Frederic George Stephens (1828-1907), Pre-Raphaelite painter and art critic », National Portrait Gallery
  2. (en) Laurel Brake et Marysa Demoor, Dictionary of Nineteenth-century Journalism in Great Britain and Ireland, Academia Press, , 1014 p. (ISBN 9789038213408, lire en ligne), p. 601
  3. (en) « Stephens, Frederic George », Dictionary of Art Historians

Liens externes