« Yves-Marie Maurin » : différence entre les versions

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Fils de la comédienne [[Mado Maurin]] (1915-2013) et du [[baryton (voix)|baryton]] Pierre-Marie Bourdeaux, il fait très tôt partie d'une sorte de troupe familiale baptisée par le métier les « petits Maurin », comprenant ses autres frères<ref>Nés de pères différents (à l'exception de Jean-Pierre), ils sont de fait demi-frères et sœur.</ref> [[Jean-Pierre Maurin]] (1941-1996), [[Patrick Dewaere]] (1947-1982) et [[Dominique Collignon-Maurin]] (né en 1949), auxquels s'adjoindront plus tard [[Jean-François Vlérick]] (né en 1957) et [[Marie-Véronique Maurin]] (née en 1960).
Fils de la comédienne [[Mado Maurin]] (1915-2013) et du [[baryton (voix)|baryton]] [[Pierre-Marie Bourdeaux]], il fait très tôt partie d'une sorte de troupe familiale baptisée par le métier les « petits Maurin », comprenant ses autres frères<ref>Nés de pères différents (à l'exception de Jean-Pierre), ils sont de fait demi-frères et sœur.</ref> [[Jean-Pierre Maurin]] (1941-1996), [[Patrick Dewaere]] (1947-1982) et [[Dominique Collignon-Maurin]] (né en 1949), auxquels s'adjoindront plus tard [[Jean-François Vlérick]] (né en 1957) et [[Marie-Véronique Maurin]] (née en 1960).


Enfant, il joue dès 1951 dans ''[[Le plus joli péché du monde (film, 1951)|Le plus joli péché du monde]]'' de [[Gilles Grangier]], puis dans ''[[Dortoir des grandes (film, 1953)|Dortoir des grandes]]'' (1953), ''[[Les Diaboliques]]'' (1955), ''[[Chiens perdus sans collier]]'' (1955) ou encore ''[[En effeuillant la marguerite]]'' (1956).
Enfant, il joue dès 1951 dans ''[[Le plus joli péché du monde (film, 1951)|Le plus joli péché du monde]]'' de [[Gilles Grangier]], puis dans ''[[Dortoir des grandes (film, 1953)|Dortoir des grandes]]'' (1953), ''[[Les Diaboliques]]'' (1955), ''[[Chiens perdus sans collier]]'' (1955) ou encore ''[[En effeuillant la marguerite]]'' (1956).
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Il est mort le [[14 juin]] [[2009]] à l'âge de 65 ans et repose au cimetière d'[[Esmans]], en [[Seine-et-Marne]].


== Théâtre ==
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Pour les articles homonymes, voir Maurin.

Yves-Marie Maurin
Description de l'image Yves-marie-maurin.jpg.
Nom de naissance Yves-Marie Bourdeaux
Naissance
Toulouse (Haute-Garonne)
Nationalité France Française
Décès (à 65 ans)
Paris
Profession Acteur
Metteur en scène
Films notables Salut l'artiste (1973)
La Révolution française (1989)

modifier Consultez la documentation du modèle

Yves-Marie Maurin, de son vrai nom Yves-Marie Bourdeaux-Maurin[1], est un acteur et metteur en scène français né le à Toulouse (Haute-Garonne), et mort le à Paris[2].

Biographie

Fils de la comédienne Mado Maurin (1915-2013) et du baryton Pierre-Marie Bourdeaux, il fait très tôt partie d'une sorte de troupe familiale baptisée par le métier les « petits Maurin », comprenant ses autres frères[3] Jean-Pierre Maurin (1941-1996), Patrick Dewaere (1947-1982) et Dominique Collignon-Maurin (né en 1949), auxquels s'adjoindront plus tard Jean-François Vlérick (né en 1957) et Marie-Véronique Maurin (née en 1960).

Enfant, il joue dès 1951 dans Le plus joli péché du monde de Gilles Grangier, puis dans Dortoir des grandes (1953), Les Diaboliques (1955), Chiens perdus sans collier (1955) ou encore En effeuillant la marguerite (1956).

Doté d'un physique et d'une voix de jeune premier rappelant Gérard Philipe, il tient par la suite des rôles importants dans de nombreux feuilletons télévisés, comme l'officier de la Marine nationale Hervé Lanoé dans La mer est grande (1973) ou le mari d'Anicée Alvina dans Les 400 Coups de Virginie (1979). ll ne fait en revanche que quelques incursions au cinéma. Il est ainsi en 1975 la vedette du film Les Onze Mille Verges ou les Amours d'un hospodar, tiré du livre homonyme de Guillaume Apollinaire.

Depuis lors il s'était principalement consacré au doublage, prêtant entre autres sa voix à David Hasselhoff dans Alerte à Malibu et K 2000.

Il est mort le 14 juin 2009 à l'âge de 65 ans et repose au cimetière d'Esmans, en Seine-et-Marne.

Théâtre

Comédien

Metteur en scène

  • Pollufission d'Éric Westphal
  • Une vilaine femme brune de Sacha Guitry, théâtre de Nesles
  • Ne te promène donc pas toute nue ! de Georges Feydeau, théâtre de Nesles
  • Le Tigre de Murray Schisgal, Le Gerpil
  • Trois minutes pour exister d'Yves-Marie Maurin de Kerguelen, Guichet Montparnasse
  • 1999 : Entre le chocolat et les œufs brouillés d'Yves-Marie Maurin de Kerguelen, Guichet-Montparnasse
  • 2005 : Indépendance de Lee Blessing
  • 2007 : Auto-psy de Gérald Gruhn - théâtre Darius-Milhaud
  • 2009 : Beaurepaire de Claire Marin (projet)

Filmographie

Cinéma

Télévision

Doublage

Cinéma

Télévision

Téléfilms

Séries télévisées

Séries animées

Documentaires

  • 1995 : commentaire du pré-show d'Image Studio pour le Futuroscope
  • 1998 : Frédéric Chopin
  • 1999 : Giuseppe Verdi
  • 2005 : Histoire du karaté, de la Chine à la France
  • 2009 : Alésia, victoire d'une défaite

Jeux vidéo

Direction artistique

Bibliographie

  • Yves-Marie Maurin de Kerguelen, Trois minutes pour exister, Édilivre, 2009.

Notes et références

  1. ↑ Nom figurant sur l’extrait de naissance no 117-1947 de l’état-civil de Saint-Brieuc. Bourdeaux est le nom d’épouse de Mado Maurin. Le patronyme du père officiel, Pierre-Marie Bourdeaux est également publié par Mado Maurin dans Patrick Dewaere mon fils, ma vérité (Le Cherche Midi, 2006), page 18.
  2. ↑ « Yves-Marie Maurin (1944-2009) » sur Objectif Cinéma.
  3. ↑ Nés de pères différents (à l'exception de Jean-Pierre), ils sont de fait demi-frères et sœur.
  4. ↑ Extrait sur le site de l'INA.
  5. ↑ 2e doublage de 2004.
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