Aller au contenu

« À la Maison-Blanche » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
Iniți (discuter | contributions)
rien d'autre qu'une mauvaise traduction non mise en forme, en doublon et dont unegrosse partie n'a pas sa place en introduction
Rajout de 2 sections, une sur la representation du reel de la serie, et une sur les effets de la serie sur son public.
Ligne 27 : Ligne 27 :
Les grands sujets de société comme: le racisme, l'éducation, la santé, le droit à la vie (right to life), la vente des armes y sont largement abordés au même titre que les problèmes de politique intérieure et extérieure, d'économie, ou que la vie privée de chacun des personnages.
Les grands sujets de société comme: le racisme, l'éducation, la santé, le droit à la vie (right to life), la vente des armes y sont largement abordés au même titre que les problèmes de politique intérieure et extérieure, d'économie, ou que la vie privée de chacun des personnages.


== Représentation ==

=== Représentation des Médias Politiques ===
La presse politique et les médias sont dans la série sont, comme en politique, un aspect majeur des opérations dans la [[Maison-Blanche|Maison Blanche]]. Cependant, pas tout ce qui est présenté est vrais, et certains aspects de la relation entre politiques et médias sont mal représentés, parfois le réalisme est mis de cote pour faire place à un récit plus intéressant pour le public<ref>{{Article |prénom1=Elizabeth A. |nom1=Skewes |titre=Presidential Candidates and the Press on The West Wing and in the Real World |périodique=Quarterly Review of Film and Video |volume=26 |numéro=2 |date=2009-03-09 |issn=1050-9208 |doi=10.1080/10509200600737796 |lire en ligne=https://doi.org/10.1080/10509200600737796 |consulté le=2019-12-16 |pages=131–142 }}</ref>. La romance mène à des trous dans le protocol professionnel durant certaines pratiques et échanges d’informations<ref>{{Article |langue=en |prénom1=Elizabeth A. |nom1=Skewes |titre=Presidential Candidates and the Press on The West Wing and in the Real World |périodique=Quarterly Review of Film and Video |volume=26 |numéro=2 |date=2009-03-09 |issn=1050-9208 |issn2=1543-5326 |doi=10.1080/10509200600737796 |lire en ligne=http://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/10509200600737796 |consulté le=2019-12-16 |pages=131–142 }}</ref>. 

=== Representation des Politiciens et de la Vie Politique ===
Malgré des nombreux applaudissements sur sa manière de fermer l’écart entre la la vie de politiciens qu’on voit dans les médias et les opérations invisibles au public, là aussi le récit prend le dessus par rapport au réalisme. La série traite un vaste nombre de crises, d’opérations et de rencontres politiques, mais en se concentrant que sur la Maison Blanche, omettant régulièrement les actions d’autres acteurs majeurs dans le monde de la politique Américaine<ref>{{Lien web|langue=en-US|nom1=Rosenberg|prénom1=Yair|titre=Why 'The West Wing' Is a Terrible Guide to American Democracy|url=https://www.theatlantic.com/politics/archive/2012/10/why-the-west-wing-is-a-terrible-guide-to-american-democracy/263084/|site=The Atlantic|date=2012-10-01|consulté le=2019-12-16}}</ref>. Pour l’intérêt du récit, les opérations et décisions politiques sont plus basées sur les personnages et leurs capacités a sur vaincre leurs obstacles, une romantisation de la réalité avec pour but une série plus divertissante<ref>{{Lien web|langue=en-US|nom1=Rosenberg|prénom1=Yair|titre=Why 'The West Wing' Is a Terrible Guide to American Democracy|url=https://www.theatlantic.com/politics/archive/2012/10/why-the-west-wing-is-a-terrible-guide-to-american-democracy/263084/|site=The Atlantic|date=2012-10-01|consulté le=2019-12-16}}</ref>, technique très courante à Hollywood. A la Maison Blanche reste une série fictive et les actions vues à l’écran ne sont pas une représentation parfaite de la vie dans la Maison Blanche.

=== Representation du Partie Liberal ===
Aaron Sorkin, le créateur de la série, est d’un penchant ouvertement libéral<ref>{{Article |langue=en |prénom1=Rachel |nom1=Gans-Boriskin |prénom2=Russ |nom2=Tisinger |titre=The Bushlet Administration:Terrorism and War on The West Wing |périodique=The Journal of American Culture |volume=28 |numéro=1 |date=2005-03 |issn=1542-7331 |issn2=1542-734X |doi=10.1111/j.1542-734X.2005.00157.x |lire en ligne=http://doi.wiley.com/10.1111/j.1542-734X.2005.00157.x |consulté le=2019-12-16 |pages=100–113 }}</ref> et ceci est ressenti à travers les 7 saisons de la série. Ceci n’est pas surprenant, la série est sortie à peu près au même moment ou George Bush s’est fait élire en 2000, donnant au public Liberal un monde politique fictif plus comportant que la réalité Républicaine. Elle est aujourd’hui critiquée pour son monde un peu trop parfait, une vision de partie Liberal qui est reste dans les années ‘90, pas du tout la même qu’aujourd’hui. Depuis que la série est sortie, le parti Liberal Américain a transité plus vers la gauche, rendant la série dépassée et loin d’être pertinente dans le monde présent<ref>{{Lien web|langue=en|nom1=VanDerWerff|prénom1=Emily Todd|titre=Did The West Wing break the Democratic Party?|url=https://www.vox.com/culture/2019/9/16/20857281/the-west-wing-20-anniversary-primetime-podcast-episode-bartlet-biden|site=Vox|date=2019-09-16|consulté le=2019-12-16}}</ref>, avec la série trop centriste pour le parti Liberal de 2019. Le monde idéal présenté, un monde ou la parole et la rhétorique peu résoudre tout problèmes et débats, est loin d’être la vérité d’aujourd’hui, avec un partie Liberal plus convaincu que jamais que les Républicains sont incapables de compromettre<ref>{{Lien web|langue=en|nom1=VanDerWerff|prénom1=Emily Todd|titre=Did The West Wing break the Democratic Party?|url=https://www.vox.com/culture/2019/9/16/20857281/the-west-wing-20-anniversary-primetime-podcast-episode-bartlet-biden|site=Vox|date=2019-09-16|consulté le=2019-12-16}}</ref>. Les problèmes économiques et sociaux ont évolué depuis la sortie de la série, tout comme le point de vus du Partie Liberal a évolué, avec la partie réelle aujourd’hui moins axes sur le capitalisme, et des débats sur l’acceptation social de certaines communautés tel que les LGBT<ref>{{Lien web|langue=en|nom1=VanDerWerff|prénom1=Emily Todd|titre=Did The West Wing break the Democratic Party?|url=https://www.vox.com/culture/2019/9/16/20857281/the-west-wing-20-anniversary-primetime-podcast-episode-bartlet-biden|site=Vox|date=2019-09-16|consulté le=2019-12-16}}</ref>. La série représente mal le partie Liberal d’aujourd’hui, et a perdu sa pertinence politique, autrefois fortement présente et importante.

== Influences sur le Public ==
A la Maison Blanche, une des séries politiques les populaires, a une certaine influence sur son public et leurs penchants politiques. D’après [[:en:Cultivation_theory|l’hypothèse de cultivation]], plus des personnes consomment des films et séries, et plus ils verront un rapprochement entre la vie réel et les univers fictifs auxquels ils s’attachent<ref>{{Article |langue=Anglais |auteur1=George Gerbner |titre=Living with Television: The Dynamics of the CuItivation Process |périodique=Perspectives on Media Effects |date=1986 |issn= |lire en ligne= |pages=17-40 }}</ref>[9]. La série a pour pouvoir d’affecter les orientations politiques de son audience et ce qu’elle trouve important dans un chef de pays. La personnalité des personnages est l’élément clef dans les opérations de la Maison Blanche d’après la série, ce qui pourrait orienter un membre du publique vers certains acteurs politiques plus que vers d’autres s’il reconnait des caractéristiques de ses personnages préfères dans des réels politiciens. De plus, les créateurs de A la Maison Blanche demandent régulièrement conseil a des personnes.
<br />
== Épisodes ==
== Épisodes ==
{{Article détaillé|Liste des épisodes de À la Maison-Blanche{{!}}Liste des épisodes de ''À la Maison-Blanche''}}
{{Article détaillé|Liste des épisodes de À la Maison-Blanche{{!}}Liste des épisodes de ''À la Maison-Blanche''}}

Version du 16 décembre 2019 à 04:14

À la Maison-Blanche

Titre original The West Wing
Genre Série politique
Création Aaron Sorkin
Musique W.G. Snuffy Walden
Pays d'origine Drapeau des États-Unis États-Unis
Chaîne d'origine NBC
Nb. de saisons 7
Nb. d'épisodes 155
Durée 42 minutes
Diff. originale

À la Maison-Blanche (The West Wing) est une série télévisée américaine en 155 épisodes de 42 minutes, créée par Aaron Sorkin et diffusée entre le et le sur le réseau NBC.

En France, la série a été diffusée à partir du sur France 2, de 2003 sur Série Club et de 2005 sur France 4. Au Canada, la série a été diffusée sur Radio-Canada.

Synopsis

Cette série met en scène la vie quotidienne d'un Président démocrate des États-Unis et de son équipe de collaborateurs, installés dans l'aile Ouest (The West Wing) de la Maison-Blanche.

Les grands sujets de société comme: le racisme, l'éducation, la santé, le droit à la vie (right to life), la vente des armes y sont largement abordés au même titre que les problèmes de politique intérieure et extérieure, d'économie, ou que la vie privée de chacun des personnages.

Représentation

Représentation des Médias Politiques

La presse politique et les médias sont dans la série sont, comme en politique, un aspect majeur des opérations dans la Maison Blanche. Cependant, pas tout ce qui est présenté est vrais, et certains aspects de la relation entre politiques et médias sont mal représentés, parfois le réalisme est mis de cote pour faire place à un récit plus intéressant pour le public[1]. La romance mène à des trous dans le protocol professionnel durant certaines pratiques et échanges d’informations[2]

Representation des Politiciens et de la Vie Politique

Malgré des nombreux applaudissements sur sa manière de fermer l’écart entre la la vie de politiciens qu’on voit dans les médias et les opérations invisibles au public, là aussi le récit prend le dessus par rapport au réalisme. La série traite un vaste nombre de crises, d’opérations et de rencontres politiques, mais en se concentrant que sur la Maison Blanche, omettant régulièrement les actions d’autres acteurs majeurs dans le monde de la politique Américaine[3]. Pour l’intérêt du récit, les opérations et décisions politiques sont plus basées sur les personnages et leurs capacités a sur vaincre leurs obstacles, une romantisation de la réalité avec pour but une série plus divertissante[4], technique très courante à Hollywood. A la Maison Blanche reste une série fictive et les actions vues à l’écran ne sont pas une représentation parfaite de la vie dans la Maison Blanche.

Representation du Partie Liberal

Aaron Sorkin, le créateur de la série, est d’un penchant ouvertement libéral[5] et ceci est ressenti à travers les 7 saisons de la série. Ceci n’est pas surprenant, la série est sortie à peu près au même moment ou George Bush s’est fait élire en 2000, donnant au public Liberal un monde politique fictif plus comportant que la réalité Républicaine. Elle est aujourd’hui critiquée pour son monde un peu trop parfait, une vision de partie Liberal qui est reste dans les années ‘90, pas du tout la même qu’aujourd’hui. Depuis que la série est sortie, le parti Liberal Américain a transité plus vers la gauche, rendant la série dépassée et loin d’être pertinente dans le monde présent[6], avec la série trop centriste pour le parti Liberal de 2019. Le monde idéal présenté, un monde ou la parole et la rhétorique peu résoudre tout problèmes et débats, est loin d’être la vérité d’aujourd’hui, avec un partie Liberal plus convaincu que jamais que les Républicains sont incapables de compromettre[7]. Les problèmes économiques et sociaux ont évolué depuis la sortie de la série, tout comme le point de vus du Partie Liberal a évolué, avec la partie réelle aujourd’hui moins axes sur le capitalisme, et des débats sur l’acceptation social de certaines communautés tel que les LGBT[8]. La série représente mal le partie Liberal d’aujourd’hui, et a perdu sa pertinence politique, autrefois fortement présente et importante.

Influences sur le Public

A la Maison Blanche, une des séries politiques les populaires, a une certaine influence sur son public et leurs penchants politiques. D’après l’hypothèse de cultivation, plus des personnes consomment des films et séries, et plus ils verront un rapprochement entre la vie réel et les univers fictifs auxquels ils s’attachent[9][9]. La série a pour pouvoir d’affecter les orientations politiques de son audience et ce qu’elle trouve important dans un chef de pays. La personnalité des personnages est l’élément clef dans les opérations de la Maison Blanche d’après la série, ce qui pourrait orienter un membre du publique vers certains acteurs politiques plus que vers d’autres s’il reconnait des caractéristiques de ses personnages préfères dans des réels politiciens. De plus, les créateurs de A la Maison Blanche demandent régulièrement conseil a des personnes.

Épisodes

Distribution

  • Bradley Whitford (V. F. : Daniel Lafourcade) : Josh Lyman
    • Chef de cabinet adjoint de la Maison-Blanche (saisons 1 à 6)
    • Directeur de campagne de Matt Santos (saisons 6 et 7)
    • Chef de cabinet de la Maison-Blanche (dernier épisode)
  • Rob Lowe (V. F. : Bruno Choël) : Sam Seaborn
    • Directeur adjoint de la communication de la Maison-Blanche (saisons 1 à 4)
    • Candidat démocrate au Congrès en Californie (saison 4)
    • Chef de cabinet adjoint de la Maison-Blanche (dernier épisode)
  • Dulé Hill (V. F. : Lucien Jean-Baptiste) : Charlie Young
    • Assistant personnel du Président des États-Unis (saisons 1 à 6)
    • Assistant spécial adjoint de la Chef de cabinet de la Maison-Blanche (saisons 6 et 7)
  • Janel Moloney (V. F. : Natacha Muller) : Donna Moss
    • Assistante du Chef de cabinet adjoint de la Maison-Blanche (saisons 1 à 6)
    • Attachée de presse de Bob Russell lors des primaires du Parti démocrate (saison 6)
    • Attachée de presse de Matt Santos, candidat du Parti démocrate à l'élection présidentielle (saison 7)
    • Chef de cabinet de la Première dame des États-Unis (dernier épisode)
  • Joshua Malina (V. F. : Patrice Baudrier) : Will Bailey
    • Directeur de campagne du candidat démocrate Wilde à Orange County (saison 4)
    • Directeur adjoint de la communication de la Maison-Blanche (saisons 4 et 5)
    • Chef de cabinet du Vice-Président Bob Russell (saisons 5 et 6)
    • Directeur de campagne de Bob Russell lors des primaires du Parti démocrate (saison 6)
    • Directeur de la communication et porte-parole de la Maison-Blanche (saison 7)
  • Kristin Chenoweth (V. F. : Patricia Legrand) : Annabeth Schott
    • Porte-parole adjointe de la Maison-Blanche pour la relation avec les médias (saison 6)
    • Conseillère en communication de Leo McGarry, candidat à la vice-présidence (saison 7)
    • Porte-parole d'Helen Santos, Première dame des États-Unis (dernier épisode)
  • Mary McCormack (V. F. : Nathalie Spitzer) : Kate Harper
    • Conseillère adjointe à la sécurité nationale (saisons 5 à 7)
  • Mary-Louise Parker (V. F. : Julie Dumas) : Amy Gardner
    • Conseillère politique (récurrente saisons 3 et 4)
    • Chef de cabinet d'Abbey Bartlet, première dame des États-Unis (saisons 4 et 5)
  • Moira Kelly (V. F. : Cathy Diraison) : Mandy Hampton
    • Conseillère en gestion médiatique (saison 1)
  • Terry O'Quinn (V. F. : Hervé Jolly) : Général Nicholas Alexander
    • Chef d'état-major des armées, successeur de l'Amiral Fitzwallace
  • Lisa Edelstein (V. F. : Laurence Bréheret) : Laurie
    • Petite amie de Sam Seaborn

Récompenses

  • Emmy Award 2000 :
    • Meilleure actrice dans un second rôle pour Allison Janney
    • Meilleur acteur dans un second rôle pour Richard Schiff
    • Meilleure série dramatique pour Kristin Harms, Thomas Schlamme, Aaron Sorkin, John Wells et Llewellyn Wells
    • Meilleure direction artistique pour Tony Fanning, Jon Hutman et Ellen Totleben pour le pilote
    • Meilleur casting pour une série dramatique pour John Levey, Barbara Miller et Kevin Scott
    • Meilleur générique musical pour W.G. Snuffy Walden
    • Meilleur Scénario pour Rick Cleveland et Aaron Sorkin pour l'épisode "Au Plus Haut des Cieux (In Excelsis Deo)"
    • Meilleure réalisation pour Thomas Schlamme pour l'Épisode "Les foudres du ciel (Pilot)"
    • Meilleure cinématographie dans une série à caméra unique pour Thomas Del Ruth pour "Les foudres du ciel (Pilot)"
  • Casting Society of America 2000 : Meilleur casting pour un épisode pilote de série télévisée dramatique pour Kevin Scott, John Levey et Barbara Miller (executive)
  • Golden Satellite Awards 2000 : Meilleur acteur dans une série dramatique pour Martin Sheen
  • Golden Satellite Awards 2000 : Meilleure série dramatique
  • Humanitas Prize 2000: décerné à Lawrence O'Donnell Jr., Paul Redford et Aaron Sorkin pour l'épisode "Observe le Jour du Sabbat (Take This Sabbath Day)" (catégorie "60 Minute")
  • Imagen Foundation Awards 2000 : Meilleure série dramatique
  • Television Critics Association Awards 2000 : Meilleur programme dramatique de l'année
  • Television Critics Association Awards 2000 : Meilleur nouveau programme de l'année
  • Television Critics Association Awards 2000 : Meilleur programme de l'année
  • Viewers for Quality Television Awards 2000 : Meilleur acteur de série dramatique pour Martin Sheen
  • Viewers for Quality Television Awards 2000 :
    • Meilleure série dramatique
    • Meilleur second rôle masculin dans une série dramatique pour John Spencer
  • PGA Golden Laurel Awards 2000 : Vision Award pour John Wells
  • PGA Golden Laurel Awards 2000 : Nova Award pour Aaron Sorkin
  • TV Guide Awards 2000 : Meilleur acteur dans une nouvelle série pour Martin Sheen
  • BMI Film & TV Awards 2000: Meilleure musique télévisée pour W.G. Snuffy Walden
  • Family Television Awards 2000: Meilleure série dramatique
  • Emmy Award 2001 :
    • Meilleure actrice dans un second rôle pour Allison Janney
    • Meilleur acteur dans un second rôle pour Bradley Whitford
    • Meilleur casting pour John Levey, Barbara Miller et Kevin Scott
    • Meilleure image caméra pour Bill Johnson pour l'épisode "Deux cathédrales (Two Cathedrals)"
    • Meilleur son pour Dan Hiland, Gary D. Rogers et Mark Weingarten pour l'épisode "Au commencement... - 2e partie (In the Shadow of Two Gunmen: Part II)."
    • Meilleure réalisation pour Thomas Schlamme et Laura Innes pour l'épisode "Au commencement...(In the Shadow of Two Gunmen)", parts I and II
    • Meilleure série dramatique pour Kevin Falls, Kristin Harms, Michael Hissrich, Lawrence O'Donnell Jr., Thomas Schlamme, Aaron Sorkin, John Wells et Llewellyn Wells
    • Meilleure cinématographie dans une série à caméra unique pour Thomas Del Ruth pour l'épisode "Noël (Noël)"
  • Casting Society of America 2001: Meilleur casting pour un épisode de série télévisée dramatique pour Kevin Scott, John Levey et Barbara Miller (executive)
  • American Latino Media Arts Awards (ALMA Award) 2001 : Meilleur acteur de série télévisée pour Martin Sheen
  • Golden Globe 2001 : Meilleur acteur dans une série télévisée pour Martin Sheen
  • Golden Globe 2001 : Meilleure Série dramatique
  • Golden Satellite Awards 2001 :
    • Meilleure série dramatique
    • Meilleure performance dans une série dramatique pour Allison Janney
    • Meilleur projet de télévision (Special Achievement Award)
  • PGA Golden Laurel Awards 2001 : Meilleure série dramatique pour Michael Hissrich, Thomas Schlamme, Aaron Sorkin, John Wells, Llewellyn Wells
  • Screen Actors Guild Awards 2001 : Meilleure actrice dans une série dramatique pour Allison Janney
  • Screen Actors Guild Awards 2001 :
    • Meilleur acteur dans une série dramatique pour Martin Sheen
    • Meilleure performance d'ensemble dans une série dramatique pour Dule Hill, Allison Janney, Moira Kelly, Rob Lowe, Janel Moloney, Richard Schiff, Martin Sheen, John Spencer et Bradley Whitford
  • Directors Guild of America 2001 : Décerné à Neal Ahern Jr., Andrew Bernstein, Dylan K. Massin et Thomas Schlamme pour l'épisode "Noël (Noël)"
  • GLAAD Media Awards 2001 : Récompense spéciale
  • Television Critics Association Awards 2001 : Meilleur programme dramatique de l'année
  • TV Guide Awards 2001 :
    • Meilleur acteur dans une série dramatique pour Martin Sheen
    • Meilleure série
  • Writers Guild of America 2001 : Meilleur épisode dramatique pour Rick Cleveland et Aaron Sorkin pour "Au plus haut des cieux (In Excelsis Deo)"
  • American Cinema Editors 2001: Meilleur épisode de série télévisée pour Tina Hirsch, pour l'épisode "Une rude journée (What Kind of Day Has It Been)"
  • American Society of Cinematographers 2001: Meilleure cinématographie pour une série télévisée pour Thomas Del Ruth pour l'épisode "Noël (Noël)"
  • BMI Film & TV Awards 2001: Meilleure musique télévisée pour W.G. Snuffy Walden
  • Family Television Awards 2001: Meilleure série dramatique
  • Emmy Award 2002 :
    • Meilleure actrice pour Allison Janney
    • Meilleure actrice dans un second rôle pour Stockard Channing
    • Meilleur acteur dans un second rôle pour John Spencer
    • Meilleure série dramatique
  • American Society of Cinematographers 2002: Meilleure cinématographie pour une série télévisée pour Thomas Del Ruth pour l'épisode "Bartlet, pour l'Amérique (Bartlet for America)"
  • BMI Film & TV Awards 2002: Meilleure musique télévisée pour W.G. Snuffy Walden
  • Humanitas Prize 2002: décerné à Aaron Sorkin pour l'épisode "Deux cathédrales (Two Cathedrals)" (catégorie "60 Minute")
  • PGA Golden Laurel Awards 2002 : Meilleure série dramatique pour Michael Hissrich, Thomas Schlamme, Aaron Sorkin, John Wells, Llewellyn Wells, Chris Misiano et Alex Graves
  • Screen Actors Guild Awards 2002 :
    • Meilleure actrice dans une série dramatique pour Allison Janney
    • Meilleur acteur dans une série dramatique pour Martin Sheen
    • Meilleure performance d'ensemble dans une série dramatique pour Stockard Channing, Dule Hill, Allison Janney, Rob Lowe, Janel Moloney, Richard Schiff, Martin Sheen, John Spencer et Bradley Whitford
  • Emmy Award 2003 :
    • Meilleure série dramatique
    • Meilleur réalisateur pour Chris Misiano pour l'épisode "Le vingt-cinquième amendement (Twenty Five)"
  • BMI Film & TV Awards 2003: Meilleure musique télévisée pour W.G. Snuffy Walden
  • Emmy Award 2004 : Meilleure actrice pour Allison Janney
  • BMI Film & TV Awards 2004: Meilleure musique télévisée pour W.G. Snuffy Walden
  • Directors Guild of America 2004: Décerné à Chris Misiano, Dylan K. Massin, Douglas S. Ornstein, Catherine Bond et Cary Jones pour l'épisode "Le vingt-cinquième amendement (Twenty Five)"
  • Humanitas Prize 2005: décerné à John Wells pour l'épisode "Camp David (NSF Thurmont)" (catégorie "60 Minute")
  • BMI Film & TV Awards 2005: Meilleure musique télévisée pour W.G. Snuffy Walden
  • Imagen Foundation Awards 2005 :
    • Meilleur acteur de télévision pour Jimmy Smits
    • Meilleure épisode de série en Primetime pour "La Palabra (La Palabra)"
  • Writers Guild of America 2005 : Meilleur épisode dramatique pour Debora Cahn pour "Les Suprêmes (The Supremes)"
  • Emmy Award 2006 :
    • Meilleur acteur dans un second rôle pour Alan Alda
    • Meilleur mixage son pour Ed Green et Andy Strauber pour l'épisode "Le grand débat (The Debate)"
  • ALMA Awards 2006 :
    • Meilleur acteur de série télévisée pour Jimmy Smits
    • Meilleure série télévisée
  • Imagen Foundation Awards 2006 : Meilleure série en Primetime
  • Television Critics Association Awards 2006 : Heritage Award


Commentaires

  • La série, qui a connu un immense succès outre-atlantique, se caractérise par une réalisation de grande qualité (casting, décors et qualité d'image particulièrement soignés) et une reconstitution réaliste de l'univers de l'aile ouest, notamment grâce à la présence dans l'équipe d'écriture d'une authentique ancienne porte-parole de la Maison-Blanche, proche collaboratrice de Bill Clinton, Dee Dee Myers.
  • Le premier choix pour le rôle du Président Bartlet était l’acteur Sidney Poitier. Finalement, le rôle a été confié à Martin Sheen. L’acteur américain, héros d’Apocalypse Now, n’avait pas prévu de jouer plus de quatre épisodes. Il a conservé son rôle jusqu’à la passation de pouvoir finale[12].
  • Après les attentats du 11 septembre, un épisode spécial a été produit. Intitulé « Isaac et Ismaël », il met en scène la leçon de civilisations des conseillers du Président à une classe de jeunes élèves. Il a été tourné en deux semaines, après la chute des deux tours du World Trade Center[12].
  • Il y a une erreur dans l'épisode 1 de la saison 6. Lors d'un point presse, C.J. Cregg détaille le repas qui sera servi à Camp David lors du sommet israélo-palestinien. Elle précise que du crabe sera servi lors du repas. Or, cet aliment est contraire à la cacherout. Il est donc fort peu probable que les israéliens aient accepté de manger cet aliment.

DVD

  • L'intégralité des saisons est sortie en coffrets à l'unité [13], ainsi dans un coffret intégral [14].

Notes et références

  1. Elizabeth A. Skewes, « Presidential Candidates and the Press on The West Wing and in the Real World », Quarterly Review of Film and Video, vol. 26, no 2,‎ , p. 131–142 (ISSN 1050-9208, DOI 10.1080/10509200600737796, lire en ligne, consulté le )
  2. (en) Elizabeth A. Skewes, « Presidential Candidates and the Press on The West Wing and in the Real World », Quarterly Review of Film and Video, vol. 26, no 2,‎ , p. 131–142 (ISSN 1050-9208 et 1543-5326, DOI 10.1080/10509200600737796, lire en ligne, consulté le )
  3. (en-US) Yair Rosenberg, « Why 'The West Wing' Is a Terrible Guide to American Democracy », sur The Atlantic, (consulté le )
  4. (en-US) Yair Rosenberg, « Why 'The West Wing' Is a Terrible Guide to American Democracy », sur The Atlantic, (consulté le )
  5. (en) Rachel Gans-Boriskin et Russ Tisinger, « The Bushlet Administration:Terrorism and War on The West Wing », The Journal of American Culture, vol. 28, no 1,‎ , p. 100–113 (ISSN 1542-7331 et 1542-734X, DOI 10.1111/j.1542-734X.2005.00157.x, lire en ligne, consulté le )
  6. (en) Emily Todd VanDerWerff, « Did The West Wing break the Democratic Party? », sur Vox, (consulté le )
  7. (en) Emily Todd VanDerWerff, « Did The West Wing break the Democratic Party? », sur Vox, (consulté le )
  8. (en) Emily Todd VanDerWerff, « Did The West Wing break the Democratic Party? », sur Vox, (consulté le )
  9. (en) George Gerbner, « Living with Television: The Dynamics of the CuItivation Process », Perspectives on Media Effects,‎ , p. 17-40
  10. Pour les saisons 1 à 4. C'est Caroline Pascal qui assurera le doublage pour les saisons 5 à 7
  11. Pour les saisons 3, 4 et 6. C'est José Luccioni qui assurera le doublage pour la saison 7
  12. a et b À la Maison-Blanche - L'Encyclopédie des séries TV, sur Toutelatele.com.
  13. [1]
  14. [2]

Voir aussi

Bibliographie

Liens externes