« Implementation Force » : différence entre les versions
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La [[SFOR]] dépendant également de l'OTAN la remplace et reprendra une partie des unités sur place mais avec seulement au départ {{formatnum:31000}} personnels à sa création en décembre 1996, avec un effectif en baisse régulière avec {{formatnum:18000}} personnels en mars 2002<ref>Edmund Jan Osmańczyk, Anthony Mango, ''Encyclopedia of the United Nations and international agreements'', New York, 2003, {{ISBN|0415939216}}</ref>. Le {{date|2|décembre|2004}}, l'[[EUFOR Althea]] de l'[[Union européenne]] succède à celle-ci. |
La [[SFOR]] dépendant également de l'OTAN la remplace et reprendra une partie des unités sur place mais avec seulement au départ {{formatnum:31000}} personnels à sa création en {{date-|décembre 1996}}, avec un effectif en baisse régulière avec {{formatnum:18000}} personnels en {{date-|mars 2002}}<ref>Edmund Jan Osmańczyk, Anthony Mango, ''Encyclopedia of the United Nations and international agreements'', New York, 2003, {{ISBN|0415939216}}</ref>. Le {{date|2|décembre|2004}}, l'[[EUFOR Althea]] de l'[[Union européenne]] succède à celle-ci. |
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== Notes et références == |
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Version du 25 janvier 2020 à 13:59
Implementation Force | |
Insigne de l'IFOR | |
Création | 1995 |
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Dissolution | 1997 |
Allégeance | OTAN |
Type | Force multinationale |
Rôle | Maintien de la paix en Bosnie-Herzégovine |
Effectif | 55 000 |
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L’IFOR (de l'anglais Implementation Force) a été une force opérationnelle de l'OTAN qui était chargée du maintien de la paix en Bosnie-Herzégovine et avait succédé à la FORPRONU, le , après les accords de Dayton. Elle a été remplacée par la SFOR le .
Explication
Le nom de baptême de l'opération était Joint Endeavour, soit "Effort concerté"[1].
Son effectif initialement prévu était de 60 000 militaires mais cette force aura un maximum de 55 000 personnels provenant de 32 nations (15 de l'OTAN et 17 non-OTAN); 80 000 en comptant les soutiens installés dans d'autres pays d'Europe.
Parmi les formations engagés se trouve la 1re division blindée des États-Unis (13 000 des 18 000 militaires de la Task Force Eagle avec 100 chars M1, 250 véhicules de combat d'infanterie et 50 AH-64 Apache)[2],[3], et la 3e division de l'Armée de terre britannique (alors 3 (UK) Armoured Division) intégrant une brigade d'un millier de soldats canadiens comportant elle-même un groupement de l'armée tchèque; parmi les 7 500 militaires français engagés[4], des unités du 13e régiment de dragons parachutistes français participent également à l'opération[5].
Suite
La SFOR dépendant également de l'OTAN la remplace et reprendra une partie des unités sur place mais avec seulement au départ 31 000 personnels à sa création en , avec un effectif en baisse régulière avec 18 000 personnels en [6]. Le , l'EUFOR Althea de l'Union européenne succède à celle-ci.
Notes et références
- http://archives.lesoir.be/l-operation-effort-concerte-de-l-otan-est-prete_t-19951128-Z0ACC4.html
- (en) 93056: Bosnia: U.S. Military Operations, Congressional Research Service, 16 décembre 1996
- SUBJECT: ARMY SUPERIOR UNIT AWARD FOR TASK FORCE EAGLE, janvier 1999
- « Projet de loi autorisant l'approbation de l'accord entre le Gouvernement de la République française et la Bosnie-Herzégovine sur l'encouragement et la protection réciproques des investissements II. LA FRANCE APPUIE L'ÉMERGENCE DE CE NOUVEL ÉTAT SUR LA SCÈNE INTERNATIONALE », sur Sénat français, (consulté le ).
- Lieutenant-colonel Robert S. Williams, MSM, CD et le major Jim D. Godefroy, CD, « L'évolution du soutien du renseignement au sein de l'IFORL », sur http://www.army.forces.gc.ca/caj, (consulté le )
- Edmund Jan Osmańczyk, Anthony Mango, Encyclopedia of the United Nations and international agreements, New York, 2003, (ISBN 0415939216)