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== Musées et collections publiques ==
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* Collection d'œuvres d'art, Université de Montréal<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Francesco Iacurto |url=https://www.centre-expo-udem.com/francesco-lacurto |site=Centre expo UdeM |consulté le=2021-01-19}}</ref>
* [[Musée Beaulne]]
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* [[Musée d'art de Joliette]]
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* [[Musée de Charlevoix]]
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Version du 19 janvier 2021 à 20:15

Francesco Iacurto
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Naissance
Décès
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Sainte-FoyVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Formation
Distinctions

Francesco Iacurto est un peintre canadien né à Montréal (Québec) le 1er septembre 1908 et mort le 7 juillet 2001 à Québec.

Biographie

Francesco Iacurto, décédé à l’âge de 92 ans d’une défaillance cardiaque, consacrait encore quelques heures par jour à son art, dans le studio de sa résidence de Sainte-Foy. La veille, il devait être reçu Chevalier de l'ordre de la Pléiade[1]. Son père Joseph Iacurto, est un photographe italien arrivé à Montréal en 1898[2]. Il a épousé Laurette Asselin.

À 15 ans, premier et plus jeune élève de la nouvelle École des beaux-arts de Montréal, il en recevra un diplôme de professeur de dessin en 1928 et sera reconnu pour ses paysages et ses portraits. Il poursuit ses études à Paris d’où il revient en 1929 pour enseigner à l’École des beaux-arts de Montréal. Il a immortalisé les personnalités connues tel les Maurice Duplessis, Jean Lesage, Antonio Barrette, et des artistes comme René Richard[1],[3] .

Un regard limpide sur l’humain et son environnement, imprégné d’une lumière subtile, donne un sentiment de calme et de sérénité à chaque peinture, que ce soit dans les jardins du Vatican, à Venise, dans Charlevoix ou dans le Vieux-Québec. Ses portraits témoignent d’une sensibilité exceptionnelle qui saura toujours charmer, séduire et émouvoir[2].

Selon Hugues de Jouvencourt, « depuis qu’il habite la très pittoresque ville de Québec, Francesco Iacurto n’a cessé de lui prouver son attachement, sa passion. Mieux que tout autre peintre, il a su saisir le cachet particulier de la vieille cité et en exprimer tout le charme; un peu comme Utrillo le fit pour Montmartre… »[3],[4].

Il est exposé à la Musée des beaux-arts du Canada, au parlement de Québec, au Sénat du Canada, à Rideau Hall et au Musée national des beaux-arts du Québec[1],[2], où il laisse désormais toute la place à son œuvre[3].

Musées et collections publiques

Honneurs

Références

  1. a b et c Claudette Samson, « Francesco Iacurto meurt à 92 ans », Le Soleil, Coup d'oeil sur les régions,‎
  2. a b et c Éric Etter, « Hommage à Francesco Iacurto », Revue Prestige, Culture,‎
  3. a b et c Régis Tremblay, « Iacurto a tenu le pinceau jusqu'à la fin », Le Soleil, Extra, Arts et Spectacles,‎
  4. Hugues de Jouvencourt, « Biographie », Biographie de Francesco iacurto,‎
  5. « Francesco Iacurto », sur Centre expo UdeM (consulté le )
  6. « Francesco Iacurto | Collection Musée de la civilisation », sur collections.mcq.org (consulté le )
  7. « Francesco Iacurto | Collection Musée national des beaux-arts du Québec », sur collections.mnbaq.org (consulté le )

Liens externes