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Le premier [[canal de Beauharnois]] est creusé entre 1842 et 1845 pour faciliter la [[Navigation maritime|navigation]] sur le fleuve entre les lacs Saint-Louis et Saint-François<ref name="CTQ Ancien canal de Beauharnois">{{Article |nom1=CTQ |lien auteur1=Commission de toponymie |auteur institutionnel=Commission de toponymie |titre=Site patrimonial de l'Entrée-Supérieure-de-l'Ancien-Canal-de-Beauharnois |périodique=Banque de noms de lieux du Québec |lien périodique= |numéro=416857 |éditeur=Gouvernement du Québec |lien éditeur=Gouvernement du Québec |mois=7 |année=2017 |issn= |lire en ligne=http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/ToposWeb/Fiche.aspx?no_seq=416857 |consulté le=7 août 2017}}.</ref>.. Il permet le développement de l'hydro-motricité, et l'essor des industries qui y sont associées comme le papier, le textile, le commerce du bois et la mouture du grain. La construction du deuxième canal de Beauharnois en [[1932 au Québec|1932]], permet l'implantation de la [[Centrale de Beauharnois|centrale hydroélectrique de Beauharnois]], alors propriété de la Beauharnois Light, Heat & Power<ref>{{Lien web |id= |auteur=MRC de Beauharnois-Salaberry |url=http://www.mrc-beauharnois-salaberry.com/fr/territoire/faitssaillantshistoriques |titre=Faits saillants historiques |consulté le=23 juillet 2013}}.</ref>.
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Marquant le développement économique du territoire, la Montreal Cotton Co. est fondée à Salaberry-de-Valleyfield en 1874<ref>{{Ouvrage|langue=Français|auteur1=Musée de société des Deux-Rives (MUSO)|titre=L'étoffe d'une ville, l'histoire de de la Montreal Cotton Company en images|passage=4-5|lieu=Salaberry-de-Valleyfield|date=2019|pages totales=112|isbn=978-2-9808981-5-0|consulté le=26 octobre 2023}}</ref>. Du côté de Beauharnois, le fabricant de meubles Kilgour, construit une grande usine qui demeura prospère jusqu'en 1970<ref>{{Ouvrage|langue=Français|auteur1=Ville de Beauharnois|titre=Les circuits patrimoniaux de Beauharnois|passage=6|lieu=Beauharnois|date=2021|pages totales=20|lire en ligne=https://ville.beauharnois.qc.ca/wp-content/uploads/2021/07/Circuits_patrimoniaux.pdf|consulté le=26 octobre 2023}}</ref>.
La MRC est créée en [[1982 au Québec|1982]], succédant au [[comté de Beauharnois]]. Elle est nommée en l'honneur de [[Charles de Beauharnois]], [[gouverneur de la Nouvelle-France]], et de [[Charles-Michel d'Irumberry de Salaberry]], officier canadien vainqueur de la [[bataille de la Châteauguay]]. Elle reprend les [[Toponymie|toponymes]] des deux principales villes sur son territoire<ref name="CTQ Beauharnois-Salaberry" />.

La MRC est créée en [[1982 au Québec|1982]], succédant au [[comté de Beauharnois]].
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== Toponymie ==
La MRC de Beauharnois-Salaberry reprend les [[Toponymie|toponymes]] des deux principales villes sur son territoire<ref name="CTQ Beauharnois-Salaberry" />. L'une est nommée en l'honneur de [[Charles de Beauharnois]], [[gouverneur de la Nouvelle-France]], l'autre en l'honneur de de [[Charles-Michel d'Irumberry de Salaberry]], officier canadien vainqueur de la [[bataille de la Châteauguay]].


== Économie ==
== Économie ==
L'[[Développement local|économie régionale]] s'appuie sur l'[[Industrie manufacturière|industrie de fabrication]], notamment de composés du [[fer]], de [[Substance chimique|produits chimiques]], de [[lingot]]s d'[[aluminium]], du [[textile]], de [[Pneumatique (véhicule)|pneus]], d'[[explosif]]s, d'[[Éthanol|alcool]]s. L'activité industrielle se concentre à Beauharnois et à Salaberry-de-Valleyfield<ref name="CTQ Beauharnois-Salaberry" />. L'[[agriculture]] demeure vigoureuse dans les autres municipalités, ainsi qu'à Salaberry-de-Valleyfield ou une grande partie du territoire est cultivé.
L'[[Développement local|économie régionale]] s'appuie sur l'[[Industrie manufacturière|industrie de fabrication]], notamment de composés de [[Métal|métaux]], de [[Substance chimique|produits chimiques]], de [[lingot]]s d'[[aluminium]], du [[textile]], de [[Pneumatique (véhicule)|pneus]], d'[[explosif]]s, d'[[Éthanol|alcool]]s. Elle compte aussi des entreprises de [[Techniques de pointe|haute technologie]], tels que des [[Serveur informatique|serveurs]].

L'activité industrielle se concentre à Beauharnois et à Salaberry-de-Valleyfield<ref name="CTQ Beauharnois-Salaberry" />. Elle profite de la proximité des marchés montréalais et états-uniens ainsi que de la présence d'infrastructures telles que les voies ferrées de [[CSX Transportation]] et du [[Canadien National]], le [[port de Valleyfield]] et la [[Centrale de Beauharnois]]<ref>{{Ouvrage|langue=Français|auteur1=MRC de Beauharnois-Salaberry|titre=Portait socioéconomique MRC de Beauharnois-Salaberry|passage=10 à 14|lieu=Beauharnois|date=2020|pages totales=84|lire en ligne=https://d12oqns8b3bfa8.cloudfront.net/mrc-bhs/content/Portrait-socioeconomique_final_LOWRES.pdf?v=1636842495|consulté le=26 octobre 2023}}</ref>.

L'[[agriculture]] demeure vigoureuse dans les municipalités rurales, ainsi qu'à Salaberry-de-Valleyfield ou une grande partie du territoire est cultivé.


La présence du Centre hospitalier régional du Suroît ainsi que de nombreux autres organismes connexes, fait en sorte que le secteur des soins de santé et de l'assistance sociale est le secteur employant le plus de personnes dans la région, le commerce de détail et la construction suivent ensuite<ref>Statistique Canada, recensement de la population 2016</ref>.
La MRC est traversée par les voies ferrées de [[CSX Transportation]] et du [[Canadien National]].


== Urbanisme ==
== Urbanisme ==

Version du 26 octobre 2023 à 18:14

Beauharnois-Salaberry
Drapeau de Beauharnois-Salaberry
Drapeau
Carte
Municipalités de la MRC.
Administration
Pays Drapeau du Canada Canada
Province Drapeau du Québec Québec[1]
Région Montérégie
Statut municipal MRC
Chef-lieu Beauharnois
Constitution 1er janvier 1982
Démographie
Population 68 322 hab. ()
Densité 146 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 19′ 00″ nord, 73° 53′ 00″ ouest
Superficie 46 810 ha = 468,1 km2
Divers
Fuseau horaire Heure de l'Est (UTC-5)
Indicatif +1 450
Code géographique 2470
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Canada
Voir sur la carte topographique du Canada
Beauharnois-Salaberry
Géolocalisation sur la carte : Canada
Voir sur la carte administrative du Canada
Beauharnois-Salaberry
Géolocalisation sur la carte : Québec
Voir sur la carte administrative du Québec
Beauharnois-Salaberry
Liens
Site web Site officielVoir et modifier les données sur Wikidata

Beauharnois-Salaberry est une municipalité régionale de comté du Québec (Canada) située au centre du Suroît dans la région administrative de la Montérégie. Son chef-lieu est Beauharnois[2] et Salaberry-de-Valleyfield est la ville la plus peuplée[3].

Géographie

Carte
Dans la région : Montérégie.

La municipalité régionale de comté (MRC) de Beauharnois-Salaberry est située le long du fleuve Saint-Laurent entre les lacs lac Saint-François et Saint-Louis, par le face au confluent de la rivière des Outaouais. Les MRC limitrophes sont Roussillon au nord-est, Les Jardins-de-Napierville à l'est, Le Haut-Saint-Laurent au sud. Au nord-ouest, sur la rive opposée du Saint-Laurent se trouve Vaudreuil-Soulanges. La dénivellation du Saint-Laurent est importante entre le lac Saint-François, à une altitude de 46 mètres, et le lac Saint-Louis, lequel est à une altitude de 21 m. Le fleuve est ponctué de plusieurs rapides et cascades[4], dont les rapides des Cèdres[5]. Le territoire de la MRC est traversé par le canal de Beauharnois[3]. Le territoire couvre une superficie totale de 522 km2[2], dont 468 km2 terrestres. La rivière Châteauguay arrose le sud du territoire.

Subdivisions limitrophes

Municipalités

Sept municipalités font partie de la municipalité régionale de comté de Beauharnois-Salaberry.

Municipalités de la MRC de Beauharnois-Salaberry[6]
Code Nom Statut Date de constitution Superficie (km2) Population 2019 Densité (hab./km2) 2016
Total Eau Terre
70005 Saint-Urbain-Premier Municipalité 1855-07-01 53,59 0,01 53,58 1 294 23,9
70012 Sainte-Martine Municipalité 1999-09-08 64,51 1,41 63,10 5 640 87,0
70022 Beauharnois Ville 2002-01-01 83,40 16,23 67,17 13 374 191,8
70030 Saint-Étienne-de-Beauharnois Municipalité 1867-01-01 41,45 0,47 40,98 957 19,8
70035 Saint-Louis-de-Gonzague Paroisse 1855-07-01 89,15 10,86 78,29 1 669 19,4
70040 Saint-Stanislas-de-Kostka Municipalité 1855-07-01 62,37 4,63 57,74 1 745 27,5
70052 Salaberry-de-Valleyfield Ville 2002-04-24 126,99 19,78 107,21 42 410 338,0
700 Beauharnois-Salaberry MRC 1982-01-01 521,46 53,39 468,07 67 089 137,7

Histoire

Statue de Michel de Salaberry à l'Assemblée nationale du Québec
Rébellion des Patriotes à Beauharnois en 1838

Après les événements de 1837, des Patriotes fondent la société secrète des Frères Chasseurs qui recrutent des membres en Montérégie, y compris dans la seigneurie de Beauharnois où ils construisent les camps de Beauharnois et Baker à Sainte-Martine. Dans la nuit du 3 au 4 novembre 1838, 400 Frères Chasseurs convergent vers Beauharnois, désarment et font prisonniers un grand nombre de Loyalistes et s'emparent du manoir seignaurial et du bateau à vapeur. Le 9 novembre, avec le renfort de 500 Patriotes, ils vainquent 800 hommes de Colborne, remportant leur seule victoire de la campagne de 1838[7].

Le premier canal de Beauharnois est creusé entre 1842 et 1845 pour faciliter la navigation sur le fleuve entre les lacs Saint-Louis et Saint-François[8].. Il permet le développement de l'hydro-motricité, et l'essor des industries qui y sont associées comme le papier, le textile, le commerce du bois et la mouture du grain. La construction du deuxième canal de Beauharnois en 1932, permet l'implantation de la centrale hydroélectrique de Beauharnois, alors propriété de la Beauharnois Light, Heat & Power[9].

Marquant le développement économique du territoire, la Montreal Cotton Co. est fondée à Salaberry-de-Valleyfield en 1874[10]. Du côté de Beauharnois, le fabricant de meubles Kilgour, construit une grande usine qui demeura prospère jusqu'en 1970[11].

La MRC est créée en 1982, succédant au comté de Beauharnois.

Toponymie

La MRC de Beauharnois-Salaberry reprend les toponymes des deux principales villes sur son territoire[3]. L'une est nommée en l'honneur de Charles de Beauharnois, gouverneur de la Nouvelle-France, l'autre en l'honneur de de Charles-Michel d'Irumberry de Salaberry, officier canadien vainqueur de la bataille de la Châteauguay.

Économie

L'économie régionale s'appuie sur l'industrie de fabrication, notamment de composés de métaux, de produits chimiques, de lingots d'aluminium, du textile, de pneus, d'explosifs, d'alcools. Elle compte aussi des entreprises de haute technologie, tels que des serveurs.

L'activité industrielle se concentre à Beauharnois et à Salaberry-de-Valleyfield[3]. Elle profite de la proximité des marchés montréalais et états-uniens ainsi que de la présence d'infrastructures telles que les voies ferrées de CSX Transportation et du Canadien National, le port de Valleyfield et la Centrale de Beauharnois[12].

L'agriculture demeure vigoureuse dans les municipalités rurales, ainsi qu'à Salaberry-de-Valleyfield ou une grande partie du territoire est cultivé.

La présence du Centre hospitalier régional du Suroît ainsi que de nombreux autres organismes connexes, fait en sorte que le secteur des soins de santé et de l'assistance sociale est le secteur employant le plus de personnes dans la région, le commerce de détail et la construction suivent ensuite[13].

Urbanisme

Centrale de Beauharnois

La Centrale de Beauharnois est au 4e rang en ce qui a trait à la production hydroélectrique au Québec[3]. Le parc régional de Beauharnois-Salaberry, inauguré en 1996, longe les deux rives du canal de Beauharnois sur une distance de quelque 50 kilomètres[14].

L'Autoroute de l'Acier (Autoroute 30) relie Salaberry-de-Valleyfield à Vaudreuil-Dorion au nord-ouest, et Beauharnois à Candiac et Sorel-Tracy au nord-est. Cette voie relie les différentes parties de la Montérégie et remplit le rôle de ceinture périphérique sud de Montréal. Le réseau routier supérieur comprend trois routes principales : la route 132 relie les collectivités le long du fleuve Saint-Laurent; la route 138 longe la rivière Châteauguay et relie Sainte-Martine à Montréal et à Ormstown; la route 201, de classe nationale et régionale, relie Salaberry-de-Valleyfield à l'Autoroute du Souvenir (Autoroute 20) et à Rigaud au nord, de même qu'à Ormstown au sud. La présence de plusieurs cours d'eau et plans d'eau majeurs amène plusieurs ponts et liens fluviaux. Deux ponts traversent le fleuve Saint-Laurent entre Salaberry-de-Valleyfield et Vaudreuil-Soulanges, soit les ponts Monseigneur-Langlois (Route 201) et Serge-Marcil (Autoroute 30)[15]. Trois services de navette fluviale assurent des liaisons l'été entre Vaudreuil-Soulanges et Beauharnois-Salaberry, soit Les Coteaux/Salaberry-de-Valleyfield, Les Cèdres/Salaberry-de-Valleyfield et Beauharnois/Notre-Dame-de-l'Île-Perrot[16].

Politique

La population de Beauharnois-Salaberry est représentée à l'Assemblée nationale du Québec par la circonscription de Beauharnois[17]. Le territoire de la municipalité régionale de comté est compris dans la circonscription fédérale de Salaberry—Suroît[18].

Les députés actuels sont Claude Reid (provincial) et Claude DeBellefeuille (fédéral).

Démographie

La population de Beauharnois-Salaberry est largement urbaine et francophone[3].

Évolution démographique
1991 1996 2001 2006 2011 2016 2021
59 78559 76959 13760 80261 95064 32068 322
(Sources : [19],[20])

Culture

La MRC de Beauharnois-Salaberry fait la gestion d'un site internet touristique qui regroupe plusieurs éléments culturel de la région tel que le musée d'archéologique de la Pointe-du-Buisson, la Basilique Cathédrale (l'Arrondissement institutionnel de la paroisse de Sainte-Cécile). Pour plus d'informations visité le site internet : beauharnoissalaberry.com

Société

Le Centre de services scolaire de la Vallée-des-Tisserands gère l'éducation francophone préscolaire, primaire et secondaire tandis que la Commission scolaire New Frontiers gère l'éducation anglophone préscolaire, primaire et secondaire.

Notes et références

Signes conventionnels : - Néant ou non significatif . Non disponible ...Calcul sans objet x Confidentiel
Note : Les totaux peuvent être légèrement différents des sommes des composantes en raison des arrondissements.

  1. Les informations de la fiche proviennent de MAMH, Ministère des Affaires municipales et de l'Habitation, « Beauharnois-Salaberry », Répertoire des municipalités, Gouvernement du Québec, no 700,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. a et b MAMH auteur institutionnel=Ministère des Affaires municipales et de l'Occupation du Territoire, « Beauharnois-Salaberry », Répertoire des municipalités, Gouvernement du Québec, no 700,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. a b c d e et f CTQ, Commission de toponymie, « Beauharnois-Salaberry (Municipalité régionale de comté) », Banque de noms de lieux du Québec, Gouvernement du Québec, no 141118,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. Mario Filion, Jean-Charles Fortin, Roland Viau et Pierre Lambert, Histoire du Haut-Saint-Laurent, Québec, Presses de l'Université Laval, , 441 p. (ISBN 2-89224-302-5), p. 21.
  5. CTQ, Commission de toponymie, « Salaberry-de-Valleyfield (Ville) », Banque de noms de lieux du Québec, Gouvernement du Québec, no 125037,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. MAMH, Ministère des Affaires municipales et de l'Occupation du territoire, « Beauharnois-Salaberry », Répertoire des municipalités, Gouvernement du Québec, no 700,‎ (lire en ligne, consulté le ), Municipalités : no 70005 - Saint-Urbain-Premier, no 70012 - Sainte-Martine, no 70022 - Beauharnois, no 70030 - Saint-Étienne-de-Beauharnois, no 70035 - Saint-Louis-de-Gonzague, no 70040 - Saint-Stanislas-de-Kostka, no 70052 - Salaberry-de-Valleyfield.
  7. Filion et al. 2000, p. 172-175..
  8. CTQ, Commission de toponymie, « Site patrimonial de l'Entrée-Supérieure-de-l'Ancien-Canal-de-Beauharnois », Banque de noms de lieux du Québec, Gouvernement du Québec, no 416857,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  9. MRC de Beauharnois-Salaberry, « Faits saillants historiques » (consulté le ).
  10. Musée de société des Deux-Rives (MUSO), L'étoffe d'une ville, l'histoire de de la Montreal Cotton Company en images, Salaberry-de-Valleyfield, , 112 p. (ISBN 978-2-9808981-5-0), p. 4-5
  11. Ville de Beauharnois, Les circuits patrimoniaux de Beauharnois, Beauharnois, , 20 p. (lire en ligne), p. 6
  12. MRC de Beauharnois-Salaberry, Portait socioéconomique MRC de Beauharnois-Salaberry, Beauharnois, , 84 p. (lire en ligne), p. 10 à 14
  13. Statistique Canada, recensement de la population 2016
  14. MRC de Beauharnois-Salaberry, « À propos du parc régional » (consulté le ).
  15. MTQ, Ministère des Transports du Québec, La carte routière officielle du Québec : Montérégie (Ouest), Québec, Gouvernement du Québec, (lire en ligne), carte.
  16. Comité local de développement de Vaudreuil-Soulanges, Carte touristique : Vaudreuil-Soulanges, , carte.
  17. Commission de la représentation électorale du Québec, « La carte électorale du Québec : Les 125 circonscriptions électorales 2011 », sur Directeur général des élections du Québec (consulté le ).
  18. Gouvernement du Canada, « Proclamation donnant force de loi au décret de représentation électorale à compter de la première dissolution du Parlement postérieure au 25 août 2004 (TR/2003-154), Annexe: Loi sur la révision des limites des circonscriptions électorales - Décret de représentation », sur Ministère de la Justice du Canada (consulté le ).
  19. « Statistique Canada - Profils des communautés de 2006 - Beauharnois-Salaberry, MRC » (consulté le )
  20. « Statistique Canada - Profils des communautés de 2016 - Beauharnois-Salaberry, MRC » (consulté le )

Annexes

Articles connexes

Liens externes