« Philippe Volter » : différence entre les versions
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Fils du [[metteur en scène]] [[Claude Volter]] et de la comédienne [[Jacqueline Bir]]<ref name="lalibre042005">{{Lien web |langue=fr |titre=Philippe Volter meurt à 45 ans|url=https://www.lalibre.be/culture/cinema/2005/04/14/philippe-volter-meurt-a-45-ans-HFNZFMC2KBG6FNKQ7YDXH2TP5M/ |site=La Libre |date=2005-04-13 |consulté le=mai 2024}}</ref>, Philippe Volter a fait ses premiers pas sur une scène à quatre ans<ref name="lalibre042005"/>. |
Fils du [[metteur en scène]] [[Claude Volter]] et de la comédienne [[Jacqueline Bir]]<ref name="lalibre042005">{{Lien web |langue=fr |titre=Philippe Volter meurt à 45 ans|url=https://www.lalibre.be/culture/cinema/2005/04/14/philippe-volter-meurt-a-45-ans-HFNZFMC2KBG6FNKQ7YDXH2TP5M/ |site=La Libre |date=2005-04-13 |consulté le=mai 2024}}</ref>, Philippe Volter a fait ses premiers pas sur une scène à quatre ans<ref name="lalibre042005"/>. Il étudie un temps au [[Conservatoire de Bruxelles]]<ref name="lalibre0420052">{{Lien web |auteur=Philippe Tirard|titre=Philippe Volter, comme un météore|url=https://www.lalibre.be/culture/scenes/2005/04/15/philippe-volter-comme-un-meteore-3G7JUPPWM5DKFKLWVNVEIRCA7I/|site=La Libre |date=2005-04-15 |consulté le=mai 2024}}</ref>. |
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Il reçoit l'[[Ève du Théâtre]] en [[1984]]<ref name="lesoir042005"/> pour ses rôles dans les pièces ''La Nuit juste avant les forêts'', de [[Bernard-Marie Koltès]], et ''Six personnages en quête d'auteur'', de [[Luigi Pirandello]]<ref name="lesoir051990">{{Lien web |auteur=Fabienne Bradfer |titre= Philippe Volter, le Belge de Bergerac |url=https://www.lesoir.be/art/philippe-volter-le-belge-de-bergerac_t-19900516-Z02P2N.html |site=Le Soir |date=16 mai 1990 |consulté le=mai 2024}}</ref>. Il s'installe ensuite à Paris en 1985<ref name="lalibre0420052"/>, où il fait carrière au cinéma, et tourne son premier film la même année. |
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En 1989 il joue le {{citation|rôle de mari violent aux côtés de [[Béatrice Dalle]] dans ''[[Les Bois noirs]]'' de [[Jacques Deray]]<ref name="lalibre042005"/>}}, prestation qui lui vaut une nomination pour le [[César de la meilleure révélation masculine|César du Meilleur espoir]] en 1990<ref name="lalibre042005"/>{{,}}<ref name="leparisien042005"/>. |
En 1989 il joue le {{citation|rôle de mari violent aux côtés de [[Béatrice Dalle]] dans ''[[Les Bois noirs]]'' de [[Jacques Deray]]<ref name="lalibre042005"/>}}, prestation qui lui vaut une nomination pour le [[César de la meilleure révélation masculine|César du Meilleur espoir]] en 1990<ref name="lalibre042005"/>{{,}}<ref name="leparisien042005"/>. |
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{{citation|En 1991, il est également le héros de ''[[Simple Mortel]]'', audacieuse incursion de [[Pierre Jolivet]] dans la Sience-fiction<ref name="lalibre042005"/>}}. |
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{{citation|Au fil de la décennie, son physique se marque ; mélomane, il souffre de troubles de l'ouïe<ref name="lalibre0420052"/>}}. |
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En 2002, après le décès de son père, il reprend la direction du théâtre bruxellois fondé par ce dernier, la [[Comédie Claude Volter]]. Il en démissionne deux ans plus tard, en juin 2004<ref name="lalibre042005"/>, à la suite d'un conflit avec le comédien [[Michel de Warzée]] qui co-dirige le théâtre avec lui<ref name="lesoir042005">{{Lien web |langue=fr |titre=Décès - Le comédien belge Philippe Volter avait joué au théâtre, au cinéma et à la télévision Un acteur aux pieds d'argile Le cinéma lui a souri... mais pas assez ! « C'était un chevalier à l'écharpe blanche » |url=https://www.lesoir.be/art/deces-le-comedien-belge-philippe-volter-avait-joue-au_t-20050415-Z0QGXZ.html |site=Le Soir |date=2005-04-15 |consulté le=2023-07-05}}</ref>. Ce dernier reste seul à la direction. |
En 2002, après le décès de son père, il reprend la direction du théâtre bruxellois fondé par ce dernier, la [[Comédie Claude Volter]]. Il en démissionne deux ans plus tard, en juin 2004<ref name="lalibre042005"/>, à la suite d'un conflit avec le comédien [[Michel de Warzée]] qui co-dirige le théâtre avec lui<ref name="lesoir042005">{{Lien web |langue=fr |titre=Décès - Le comédien belge Philippe Volter avait joué au théâtre, au cinéma et à la télévision Un acteur aux pieds d'argile Le cinéma lui a souri... mais pas assez ! « C'était un chevalier à l'écharpe blanche » |url=https://www.lesoir.be/art/deces-le-comedien-belge-philippe-volter-avait-joue-au_t-20050415-Z0QGXZ.html |site=Le Soir |date=2005-04-15 |consulté le=2023-07-05}}</ref>. Ce dernier reste seul à la direction. |
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Philippe Volter réalise aussi des mises en scène<ref name="lalibre0420052"/>. |
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Son dernier rôle au cinéma est en [[2004 au cinéma|2004]] pour le film ''[[Les gens honnêtes vivent en France]]'' de [[Bob Decout]]<ref name="lalibre042005"/>. |
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Il rentre à Paris après cette expérience décevante à Bruxelles. Il entre en dépression. Ses ambitions d'évolution professionnelle ne se concrétisent pas. De plus, des difficultés personnelles pèsent sur son moral<ref name="lesoir042005"/>. Il se suicide en 2005<ref name="lesoir042005"/> dans son domicile près de Paris<ref name="lalibre042005"/>. |
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* 1981 : ''Têtes rondes têtes pointues'' d'après [[Bertolt Brecht]], mise en scène Philippe Van Kessel |
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* 1983 : ''La Ronde'' d'après [[Arthur Schnitzler]], mise en scène Jacky Franquin* 1983 : ''Six personnages en quête d'auteur'', de Pirandello |
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* 1984 : ''[[La Nuit juste avant les forêts]]'' de [[Bernard-Marie Koltès]]<ref name="lalibre0420052"/> |
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* 1984 : ''Hamlet'' de [[William Shakespeare]]<ref name="lalibre0420052"/> |
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* 1987 : ''Le Mariage de Figaro'' de Beaumarchais, mise en scène par Jean-Pierre Vincent<ref name="lalibre0420052"/> |
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* [[1988 au théâtre|1988]] : ''Nuit d’amour'' de [[Patrick Delperdange]] et [[Anita Van Belle]], mise en scène [[Gabriel Garran]], {{nobr|[[théâtre 13]]}} |
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* 1993 : ''La Plaie et le Couteau'' d’[[Enzo Cormann]], mise en scène Hervé Tougeron |
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* 1999 : ''Trahisons'' de [[Harold Pinter]], mise en scène David Leveaux |
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* [[2000 au théâtre|2000]] : ''[[Trahisons (Pinter)|Trahisons]]'' d’[[Harold Pinter]], mise en scène [[David Leveaux]], [[Théâtre de l'Atelier|théâtre de l’Atelier]] |
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Version du 2 mai 2024 à 18:29
Nom de naissance | Philippe Wolter |
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Naissance |
Uccle (Belgique) |
Nationalité | Belge |
Décès |
(à 46 ans) Neuilly-sur-Marne (France) |
Profession | Acteur |
Films notables | Le Maître de musique (1988) - La Double vie de Véronique (1991) |
Philippe Volter, né le à Uccle et mort le à Neuilly-sur-Marne[1], est un acteur belge.
Biographie
Fils du metteur en scène Claude Volter et de la comédienne Jacqueline Bir[2], Philippe Volter a fait ses premiers pas sur une scène à quatre ans[2]. Il étudie un temps au Conservatoire de Bruxelles[3].
Il reçoit l'Ève du Théâtre en 1984[4] pour ses rôles dans les pièces La Nuit juste avant les forêts, de Bernard-Marie Koltès, et Six personnages en quête d'auteur, de Luigi Pirandello[5]. Il s'installe ensuite à Paris en 1985[3], où il fait carrière au cinéma, et tourne son premier film la même année.
En 1989 il joue le « rôle de mari violent aux côtés de Béatrice Dalle dans Les Bois noirs de Jacques Deray[2] », prestation qui lui vaut une nomination pour le César du Meilleur espoir en 1990[2],[6].
En 1990, « Ses qualités de bretteur font merveille face à (la doublure de) Gérard Depardieu dans leCyrano de Bergerac de Jean-Paul Rappeneau[3] » selon La Libre.
Selon La Libre également : « il avait notamment été remarqué dans La Double vie de Véronique de Krzysztof Kieslowski et Le Maître de musique de Gérard Corbiau[2] ».
« En 1991, il est également le héros de Simple Mortel, audacieuse incursion de Pierre Jolivet dans la Sience-fiction[2] ».
« Au fil de la décennie, son physique se marque ; mélomane, il souffre de troubles de l'ouïe[3] ».
En 2002, après le décès de son père, il reprend la direction du théâtre bruxellois fondé par ce dernier, la Comédie Claude Volter. Il en démissionne deux ans plus tard, en juin 2004[2], à la suite d'un conflit avec le comédien Michel de Warzée qui co-dirige le théâtre avec lui[4]. Ce dernier reste seul à la direction.
Philippe Volter réalise aussi des mises en scène[3].
« C'est à la télévision qu'il trouvera ses rôles les plus marquants, travaillant sous la direction d'Yves Boisset, ou de Philippe de Broca dans Madame Sans-Gêne[6] ».
Son dernier rôle au cinéma est en 2004 pour le film Les gens honnêtes vivent en France de Bob Decout[2].
Il rentre à Paris après cette expérience décevante à Bruxelles. Il entre en dépression[3]. Ses ambitions d'évolution professionnelle ne se concrétisent pas. De plus, des difficultés personnelles pèsent sur son moral[4]. Il se suicide en 2005[4] dans son domicile près de Paris[2].
Filmographie
Cinéma
Longs métrages
- 1985 : De leeuw van Vlaanderen de Hugo Claus : Deschamps
- 1986 : Les Roses de Matmata de José Pinheiro : Max
- 1987 : Macbeth de Claude d’Anna : Macduff
- 1988 : Le Maître de musique de Gérard Corbiau : Jean Nilson
- 1988 : Issue de secours de Thierry Michel et Philippe Volter (film d’essai dont il est le seul interprète) : Alain
- 1989 : Les Bois noirs de Jacques Deray : Gustave
- 1990 : La Passion Van Gogh de Samy Pavel : Albert Aurier
- 1990 : Cyrano de Bergerac de Jean-Paul Rappeneau : Vicomte de Valvert
- 1990 : Trois années de Fabrice Cazeneuve : Constantin Biochon
- 1991 : La Double Vie de Véronique de Krzysztof Kieślowski : Alexandre Fabbri
- 1991 : Simple mortel de Pierre Jolivet : Stéphane
- 1992 : Aline de Carole Laganière : Michel
- 1993 : Abracadabra de Harry Cleven : Phil
- 1993 : Trois Couleurs : Bleu de Krzysztof Kieślowski : L'agent immobilier
- 1994 : L’Affaire de Sergio Gobbi : René Charlet (non-crédité)
- 1994 : Dernier stade de Christian Zerbib : Olivier Chardon
- 1997 : La Nuit du destin d'Abdelkrim Bahloul : Inspecteur Leclerc
- 1999 : Les Cinq Sens (The Five Senses) de Jeremy Podesva : Docteur Richard Jacob
- 2002 : Même Dieu est venu nous voir - (Y gospod slezeda ni vidi/Posseteni ot gospod) de Peter Popzlatev
- 2003 : Résistance de Todd Komarnicki : Henri Daussois
- 2004 : Les gens honnêtes vivent en France de Bob Decout : Bénolo
Courts métrages
- 1986 : Le Repli du temps de Gil Bauwens
- 1988 : 5150 de Yannick Saillet : Prisonnier musicien
- 1990 : Sirènes de Harry Cleven
- 1992 : Basse tension d'Yves Buclet
- 1993 : Le Concert de Samy Brunett
Télévision
- 1989 : Nick chasseur de têtes de Jacques Doniol-Valcroze : Marc
- 1991 : La Femme des autres de Jean Marbœuf : Rocco
- 1992 : Les Amants du Tage de David Delrieux : Antoine Roubier
- 1992 : Papa et rien d'autre de Jacques Cortal : Thomas
- 1993 : Regards d'enfance d'Olivier Langlois : David
- 1995 : L’Affaire Dreyfus d'Yves Boisset : Mathieu Dreyfus
- 1995 : Charlotte dite 'Charlie' de Caroline Huppert : Serge
- 1995 : Une femme dans la tempête de Bertrand Van Effenterre : Serge
- 1995 : Tatort de Hans-Christoph Blumenberg : Vincent
- 1995 : Docteur Semmelweis de Roger Andrieux : Docteur Ignaz Philipp Semmelweis
- L'Histoire du samedi :
- 1995 : Le Garçon sur la colline de Dominique Baron : Pierre Gravepierre
- 1996 : Noces cruelles de Bertrand Van Effenterre : Daniel
- 1997 : La Parenthèse de Jean-Louis Benoît : Thierry de Saint-Elme
- 1997 : Vivre avec toi de Claude Goretta
- 1996 : Adorable petite bombe de Philippe Muyl : Gérard Brunner
- 1997 : Le Prix de l'espoir de Josée Yanne : Benjamin
- 1997 : Le Pantalon d'Yves Boisset : Lieutenant Guérin
- 1997 : À chacun son tour de Jean-Jacques Kahn : Jean Savoy
- 1998-1999 : Chercheur d'héritiers (série TV) :
- 1998 : Hélène ou Eugénie ? de Olivier Langlois
- 1999 : Un frère à tout prix de Olivier Langlois
- 1999 : Bonjour Philippine de Olivier Langlois
- 1999 : Une carte postale de Rome de Williams Crépin
- 1999 : La maison du pendu de Patrice Martineau
- 2002 : Madame Sans-Gêne de Philippe de Broca : Joseph Fouché
- 2002 : Napoléon d'Yves Simoneau : François Barras
- 2005 : L'Enfant de personne de Michaël Perrotta
Théâtre
Liste non exhaustive
- 1963 : Fantasio d’Alfred de Musset, mise en scène Henri Chanal
- 1981 : Têtes rondes têtes pointues d'après Bertolt Brecht, mise en scène Philippe Van Kessel
- 1983 : La Ronde d'après Arthur Schnitzler, mise en scène Jacky Franquin* 1983 : Six personnages en quête d'auteur, de Pirandello
- 1984 : La Nuit juste avant les forêts de Bernard-Marie Koltès[3]
- 1984 : Hamlet de William Shakespeare[3]
- 1987 : Le Mariage de Figaro de Beaumarchais, mise en scène par Jean-Pierre Vincent[3]
- 1988 : Nuit d’amour de Patrick Delperdange et Anita Van Belle, mise en scène Gabriel Garran, théâtre 13
- 1993 : La Plaie et le Couteau d’Enzo Cormann, mise en scène Hervé Tougeron
- 1999 : Trahisons de Harold Pinter, mise en scène David Leveaux
- 2000 : Trahisons d’Harold Pinter, mise en scène David Leveaux, théâtre de l’Atelier
Prix et distinctions
- 1984 : Ève du Théâtre[4]
- 1990 : Nomination César de la meilleure révélation masculine[2],[6] pour son rôle dans Les Bois noirs de Jacques Deray
Notes et références
- « Acte de décès », sur CinéArtistes (consulté le )
- « Philippe Volter meurt à 45 ans », sur La Libre, (consulté en )
- Philippe Tirard, « Philippe Volter, comme un météore », sur La Libre, (consulté en )
- « Décès - Le comédien belge Philippe Volter avait joué au théâtre, au cinéma et à la télévision Un acteur aux pieds d'argile Le cinéma lui a souri... mais pas assez ! « C'était un chevalier à l'écharpe blanche » », sur Le Soir, (consulté le )
- Fabienne Bradfer, « Philippe Volter, le Belge de Bergerac », sur Le Soir, (consulté en )
- « L'acteur Philippe Volter est mort », sur Le Parisien, (consulté en )
Liens externes
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Ressource relative au spectacle :
- Ressource relative à la musique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :