Aller au contenu

« Ionie » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
A bas les FACHOS antiSSectes de wikipédia. Ce sont des CRETINS. ILS NE SAVENT QUE CENSURER CE QUI NE RESSEMBLE PAS ASSEZ A LA PENSEE UNIQUE. CE SONT DES MOUTONS. DE DANGEREUX CRETINS!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Brooke Vibber (discuter | contributions)
m restitution de la dernière modification de Ffx
Ligne 1 : Ligne 1 :
La Ionie fédérait douze cités grecques, du continent et des îles : [[Chios]], [[Éphèse]], [[Érythrée]], [[Clazomène]], [[Colophon]], [[Lébédos]], [[Millet]], [[Myonte]], [[Phocée]], [[Priène]], [[Samos]] et [[Téos]]. [[Halicarnasse]] les rejoignit après. Elle s'étendait sur la côte ouest de l'[[Asie Mineure]] (Turquie actuelle), entre Smyrne et Milet, ainsi que sur les îles voisines de la mer Egée et fut un brillant foyer de la civilisation hellénique aux [[VIIe siècle av. J.-C.|VIIe]] et [[VIe siècle av. J.-C.]].
=ENQUETES SUR DES FAITS DE DISCRIMINATION PAR L'ADFI=


Leur peuplement issu de la deuxième vague de migration achéenne, au [[XIe siècle av. J.-C.]], avait intégré, suite à de nombreux mariages mixtes, des [[Doriens]] et des populations préhelléniques, et étaient unis par un dialecte commun, et un sanctuaire religieux commun, le [[Panionion]] situé à Priène.
Bonjour à toutes et à tous,
L'une des meilleurs moyens de faire progresser la cause de la liberté de conscience est de collecter et documenter des témoignages de discrimination ou de harcèlement administratif, juridique, social, etc..
Nous lançons une ENQUETE sur tout fait de discrimination instigué ou appuyé par l'ADFI/UNADFI, l'une des associations ayant été le plus associée à ces faits.
Si vous avez subi ou avez été témoins de tels faits, essayez d'obtenir des preuves autant que possible (lettres, minutes de conseil, interviews dans les journaux, bulletins municipaux, etc.) et envoyez-en nous une copie.
Domaines possibles :
Enseignement - devoirs, conférences orientées, etc.
Travail, affaires
Campagnes de rumeurs
Education et conflits familiaux
Droit de manifestations
Achat/location de locaux
Liberté thérapeutique
Discrimination dans la fonction publique
Pressions sur les librairies pour ne pas vendre certains livres
Interdiction d'antenne ou de presse / censure
Exclusion d'un salon


Chaque cité était indépendante et avait son propre gouvernement et sa propre organisation sociale, mais elles eurent la même évolution politique, vers la tyrannie, que les autres cités grecques, avec lesquelles elles se sentaient unies par une communauté de culture et de race, même s'il y avait de nombreux conflits frontaliers.
D’autre part, nous rassemblons une documentation sur toutes les situations où, à la suite d'une action en justice, l'ADFI aurait été condamnée pour diffamation, discrimination, etc. Prière de préciser la juridiction et la date, et tout détail, et la copie du jugement si vous la possédez.


Les côtes ioniennes présentaient beaucoup d'avantages économiques : de bons ports pour le commerce avec des communications aisées vers l'arrière-pays, un climat agréable, des vallées ouvertes pour la culture des céréales et l'élevage des chevaux, des plateaux pour l'élevage des moutons, des collines pour les arbres fruitiers et les oliviers.
Merci de nous envoyer votre dossier par email à
contact@coordiap.com, ou par courrier à : CAP, 12 rue Campagne première, 75014 PARIS.


L'Ionie est la première région de Grèce où la philosophie, l'art (en particulier l'architecture avec l'ordre ionique) et les sciences se développeront, bénéficiant des richesses intellectuelles du Proche-orient et de l'[[Égypte]]. Les cités ioniennes donneront de nombreux grands penseurs présocratiques, des grands artistes et de grands architectes, comme : [[Thalès]], [[Anaximandre]], [[Anaximène]], [[Leucippe]], à Priène, [[Héraclite]] à Ephèse, [[Anaxagore]] à Clazomène et [[Pythagore]] dans l'île de Samos.
Pour savoir si nous avons déjà votre témoignage ou pour voir des exemples des faits recherchés:

[www.coordiap.com/temo00.htm témoignages]
La Ionie fut vite enviée pour sa richesse économique et son développement intellectuel, par des voisins puissants, ambitieux et entreprenants. Les ioniens avaient développé le goût du luxe et des produits de qualité, celui des banquets et des courtisanes élégantes et cultivées. Ils avaient développé la civilisation la plus raffinée et la plus somptueuse que la Grèce ai connue. Or, les Ioniens, à demi-orientaux, étaient de mauvais combattants, peu endurants et peu entraînés, leurs cités étaient souvent désunies, leurs routes étaient aisées pour le commerce et les échanges, mais aussi pour les invasions.
Pour consulter nos actualités et faits récents + notre dernière lettre d’info : [www.coordiap.com www.coordiap.com]

La Ionie passa d'abord sous protectorat des [[Lydie|lydiens]], puis après la victoire de [[Cyrus]] sur [[Crésus]], sous domination des [[Perse|perses]], auxquels elles devaient payer de lourds tributs et entretenir les garnisons, en contrepartie d'une certaine autonomie et de la liberté laissée aux tyrans locaux.

Cette situation empira avec le roi de Perse [[Darius Ier]] et aboutit en [[-499]] à une révolte de l'Ionie, favorisée par les revers militaires des perses dans la steppe danubienne, et l'appui militaire d'Athènes et d'Érétrie. Mais la révolte tourna au désastre malgré quelques victoires, et la population paya lourdement cet épisode : destruction et incendie d'Éphèse et de Milet, déportation des populations, comme esclaves en [[Mésopotamie]] en [[-494]], jusqu'à leur totale allégeance.

De nombreux habitants (marchands, artisans, poètes, penseurs), émigrèrent, emportant avec eux les raffinements de leur culture. Ce fut un coup d'arrêt à l'essor intellectuel de la Ionie.

Ce n'est qu'après les victoires des cités de la Grèce continentale à la [[Bataille de Salamine]], en [[-480]], à la [[Bataille de Platées]], et à la [[Bataille du cap Mycale]] en [[-479]], que les Ioniens recouvrirent leur liberté, l'expansion de l'Empire perse vers l'ouest était définitivement arrêtée.

Athènes qui avait joué un rôle prépondérant dans la victoire, en tira gloire et profit, et en [[-478]], par la création de la Ligue de Délos, elle entreprit de constituer autour d'elle un empire maritime qui allait assurer son hégémonie sur la mer Égée, désormais interdite aux vaisseaux perses, et sa domination sur le monde grec. La guerre se termina en [[-449]] et la défaite des Perses fut confirmée par la [[paix de Callias]].

Version du 1 janvier 2004 à 05:38

La Ionie fédérait douze cités grecques, du continent et des îles : Chios, Éphèse, Érythrée, Clazomène, Colophon, Lébédos, Millet, Myonte, Phocée, Priène, Samos et Téos. Halicarnasse les rejoignit après. Elle s'étendait sur la côte ouest de l'Asie Mineure (Turquie actuelle), entre Smyrne et Milet, ainsi que sur les îles voisines de la mer Egée et fut un brillant foyer de la civilisation hellénique aux VIIe et VIe siècle av. J.-C..

Leur peuplement issu de la deuxième vague de migration achéenne, au XIe siècle av. J.-C., avait intégré, suite à de nombreux mariages mixtes, des Doriens et des populations préhelléniques, et étaient unis par un dialecte commun, et un sanctuaire religieux commun, le Panionion situé à Priène.

Chaque cité était indépendante et avait son propre gouvernement et sa propre organisation sociale, mais elles eurent la même évolution politique, vers la tyrannie, que les autres cités grecques, avec lesquelles elles se sentaient unies par une communauté de culture et de race, même s'il y avait de nombreux conflits frontaliers.

Les côtes ioniennes présentaient beaucoup d'avantages économiques : de bons ports pour le commerce avec des communications aisées vers l'arrière-pays, un climat agréable, des vallées ouvertes pour la culture des céréales et l'élevage des chevaux, des plateaux pour l'élevage des moutons, des collines pour les arbres fruitiers et les oliviers.

L'Ionie est la première région de Grèce où la philosophie, l'art (en particulier l'architecture avec l'ordre ionique) et les sciences se développeront, bénéficiant des richesses intellectuelles du Proche-orient et de l'Égypte. Les cités ioniennes donneront de nombreux grands penseurs présocratiques, des grands artistes et de grands architectes, comme : Thalès, Anaximandre, Anaximène, Leucippe, à Priène, Héraclite à Ephèse, Anaxagore à Clazomène et Pythagore dans l'île de Samos.

La Ionie fut vite enviée pour sa richesse économique et son développement intellectuel, par des voisins puissants, ambitieux et entreprenants. Les ioniens avaient développé le goût du luxe et des produits de qualité, celui des banquets et des courtisanes élégantes et cultivées. Ils avaient développé la civilisation la plus raffinée et la plus somptueuse que la Grèce ai connue. Or, les Ioniens, à demi-orientaux, étaient de mauvais combattants, peu endurants et peu entraînés, leurs cités étaient souvent désunies, leurs routes étaient aisées pour le commerce et les échanges, mais aussi pour les invasions.

La Ionie passa d'abord sous protectorat des lydiens, puis après la victoire de Cyrus sur Crésus, sous domination des perses, auxquels elles devaient payer de lourds tributs et entretenir les garnisons, en contrepartie d'une certaine autonomie et de la liberté laissée aux tyrans locaux.

Cette situation empira avec le roi de Perse Darius Ier et aboutit en -499 à une révolte de l'Ionie, favorisée par les revers militaires des perses dans la steppe danubienne, et l'appui militaire d'Athènes et d'Érétrie. Mais la révolte tourna au désastre malgré quelques victoires, et la population paya lourdement cet épisode : destruction et incendie d'Éphèse et de Milet, déportation des populations, comme esclaves en Mésopotamie en -494, jusqu'à leur totale allégeance.

De nombreux habitants (marchands, artisans, poètes, penseurs), émigrèrent, emportant avec eux les raffinements de leur culture. Ce fut un coup d'arrêt à l'essor intellectuel de la Ionie.

Ce n'est qu'après les victoires des cités de la Grèce continentale à la Bataille de Salamine, en -480, à la Bataille de Platées, et à la Bataille du cap Mycale en -479, que les Ioniens recouvrirent leur liberté, l'expansion de l'Empire perse vers l'ouest était définitivement arrêtée.

Athènes qui avait joué un rôle prépondérant dans la victoire, en tira gloire et profit, et en -478, par la création de la Ligue de Délos, elle entreprit de constituer autour d'elle un empire maritime qui allait assurer son hégémonie sur la mer Égée, désormais interdite aux vaisseaux perses, et sa domination sur le monde grec. La guerre se termina en -449 et la défaite des Perses fut confirmée par la paix de Callias.