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[[Fichier:Victorino Martin.JPG|160px|thumb|right|Victorino Martín lors d'une [[novillada]] dans le cadre de la [[Feria]] du [[Toro de lidia|Toro]] 2009 à [[Beaucaire (Gard)|Beaucaire]]]]
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'''Victorino Martín''' est l'un des plus prestigieux éleveurs (''[[ganadero]]'') de [[toro de lidia|toros de lidia]] de la fin du {{XXe siècle}} et du début du {{XXIe siècle}}.
'''Victorino Martín''' est l'un des plus prestigieux éleveurs (''[[ganadero]]'') de [[toro de lidia|toros de lidia]] de la fin du {{XXe siècle}} et du début du {{XXIe siècle}}.


==Présentation==
==Présentation==
[[Fichier:Morante-veronica.jpg|thumb|left|upright=1|Taureau de '''Victorino Martín''' combattu par [[Morante de la Puebla]] aux [[arènes de la Real Maestranza de Caballería de Séville]]]]

Victorino Martín Andrés, éleveur madrilène, a formé son élevage à partir de l'ancien fer de Don Escudero Calvo, de pur [[Encastes contemporains des taureaux de combats|encaste]] Albaserrada, au début des années 60<ref name="Bérard 121">{{harvsp|Bérard|2003|p=121}}</ref>. Parti de rien, le « ''paleto'' (« paysan », « plouc ») de Galapagar », ainsi qu'on le surnomme souvent, a sélectionné ses bêtes selon des critères très particuliers et a commencé à connaître le succès dans les années 1970<ref name="Bérard 121"/>. Cette ganadería se trouve près de celle du [[Miura (Elevage de taureaux)|duc de Veragua y Mihura]], l'une des plus prestigieuses de l'[[Histoire de l'Espagne]].
Victorino Martín Andrés, éleveur madrilène, a formé son élevage à partir de l'ancien fer de Don Escudero Calvo, de pur [[Encastes contemporains des taureaux de combats|encaste]] Albaserrada, au début des années 60<ref name="Bérard 121">{{harvsp|Bérard|2003|p=121}}</ref>. Parti de rien, le « ''paleto'' (« paysan », « plouc ») de Galapagar », ainsi qu'on le surnomme souvent, a sélectionné ses bêtes selon des critères très particuliers et a commencé à connaître le succès dans les années 1970<ref name="Bérard 121"/>. Cette ganadería se trouve près de celle du [[Miura (Elevage de taureaux)|duc de Veragua y Mihura]], l'une des plus prestigieuses de l'[[Histoire de l'Espagne]].


Reconnu pour son intelligence et sa sagacité, c'est un des éleveurs le plus cotés des 25 dernières années et un des favoris des [[aficionado]]s de la place de [[Madrid]]. Il possède également deux autres troupeaux, le Monteviejo et la Ganadería de Urcola.
Reconnu pour son intelligence et sa sagacité, c'est un des éleveurs le plus cotés des 25 dernières années et un des favoris des [[aficionado]]s de la place de [[Madrid]]. Il possède également deux autres troupeaux, le Monteviejo et la Ganadería de Urcola.

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==Bibliographie==
==Bibliographie==
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{{Références}}
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==Voir aussi==
== Voir aussi ==

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==Liens externes==
=== Liens externes ===
* {{Officiel|http://www.victorinomartin.com/}}
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{{Palette Taureau de combat}}
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[[Catégorie:Ganadería en Espagne]]
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[[Catégorie:Taureau (corrida)]]
[[Catégorie:Taureau (corrida)]]

[[es:Victorino (ganadería)]]
[[es:Victorino (ganadería)]]

Version du 3 mars 2011 à 11:05

Victorino Martín lors d'une novillada dans le cadre de la Feria du Toro 2009 à Beaucaire

Victorino Martín est l'un des plus prestigieux éleveurs (ganadero) de toros de lidia de la fin du XXe siècle et du début du XXIe siècle.

Présentation

Taureau de Victorino Martín combattu par Morante de la Puebla aux arènes de la Real Maestranza de Caballería de Séville

Victorino Martín Andrés, éleveur madrilène, a formé son élevage à partir de l'ancien fer de Don Escudero Calvo, de pur encaste Albaserrada, au début des années 60[1]. Parti de rien, le « paleto (« paysan », « plouc ») de Galapagar », ainsi qu'on le surnomme souvent, a sélectionné ses bêtes selon des critères très particuliers et a commencé à connaître le succès dans les années 1970[1]. Cette ganadería se trouve près de celle du duc de Veragua y Mihura, l'une des plus prestigieuses de l'Histoire de l'Espagne.

Reconnu pour son intelligence et sa sagacité, c'est un des éleveurs le plus cotés des 25 dernières années et un des favoris des aficionados de la place de Madrid. Il possède également deux autres troupeaux, le Monteviejo et la Ganadería de Urcola.

Bibliographie

  • Robert Bérard (dir.), Histoire et dictionnaire de la Tauromachie, Paris, Bouquins Laffont, (ISBN 2221092465)

Notes et références

  1. a et b Bérard 2003, p. 121

Voir aussi

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