Non-binarité

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La non-binarité est un terme générique utilisé en sciences sociales pour désigner la catégorisation des personnes, dites non-binaires ou genderqueer, dont l'identité de genre ne s'inscrit pas dans la norme binaire, c'est-à-dire qui ne s'identifient ni strictement homme, ni strictement femme, mais entre les deux, un mélange des deux, ou aucun des deux.

Karine Espineira indique que cette identité s'oppose à la binarité de genre et à la hiérarchie des genres qui l'accompagnerait (le patriarcat)[1]. Elle remet aussi en cause le présupposé d'une stricte correspondance entre le sexe et le genre[2],[3].

Histoire

La non-binarité est un concept plutôt mal compris et accepté dans les sociétés occidentales actuelles[4]. Dans la plupart des autres sociétés, la non-binarité n'existe pas étant donné que le concept d'identité de genre n'est pas reconnue. Cependant, le fait qu'il existe plus de deux genres est commun dans certaines sociétés[4].

Définitions

La non-binarité est un terme parapluie qui englobe plusieurs réalités. Selon Matsuno et Budge, cela inclut, sans toutefois y être limité, les personnes qui s'identifient en dehors des identités masculine et féminine ou qui s'identifient comme ayant une identité située entre ces deux points, mais aussi les personnes qui s'identifient soit homme soit femme à des périodes différentes, ainsi que les personnes qui rejettent toute identité de genre ou ne ressentent aucune identité de genre[4].

Confusions fréquentes

Il ne faut pas confondre identité de genre, l'expression de genre, le genre assigné à la naissance, le sexe assigné à la naissance et l'orientation sexuelle ou romantique.

L'identité de genre non-binaire concerne la façon dont la personne se ressent. L'androgynie quant à elle, fait référence à une apparence extérieure ni féminine ni masculine. Elle s'inscrit dans l'expression de genre (la façon dont la société perçoit quelqu'un sans lui parler). Enfin, l'intersexuation concerne les caractéristiques sexuelles (anatomiques, chromosomiques, etc.) d'une personne. Ce sont donc trois choses entièrement différentes.

Enfin, l'identité de genre est indépendante de l'orientation sexuelle ou romantique[5] : toutes les personnes, y compris celles qui se considèrent non-binaires, peuvent être hétérosexuelles, homosexuelles, bisexuelles, asexuelles[6] etc.

Une personne non-binaire n'a donc pas forcément une apparence androgyne, n'est pas forcément intersexe et peut avoir n'importe quelle orientation sexuelle ou romantique. Des pronoms masculins, féminins et/ou non-genrés peuvent être utilisés par cette personne selon ce qui lui convient le mieux.

Caractéristiques

Taille de la population concernée

D'après la plus grande étude menée aux États-Unis sur la population transgenre, environ 35 % des personnes transgenres seraient non-binaires[4]. Cependant, ce nombre est probablement sous-estimé étant donné que toutes les personnes non-binaires ne se définissent pas également comme trans[4].

Selon l'étude de Kuyper & Wijsen (2014) portant sur une nombreuse population néerlandaise (8064 personnes, de 15 à 70 ans) 4,6% des personnes assignées hommes à la naissance et 3,2% de celles assignées femmes se reconnaissent dans une « ambivalent gender identity » (identité de genre ambivalente). Van Caenegem et al. (2015) ont étudié 1832 individus flamands et 2472 personnes appartenant à une minorité sexuelle en Flandre, parmi ces populations la prévalence de « gender ambivalence » ou d'un genre non-binaire est de 1,8% des personnes assignées hommes à la naissance et 4.1% de celles assignées femmes[7].

Selon une étude américaine menée en 2016 par l'agence de prévision des tendances J. Walter Thompson Innovation Group sur moins de 1 000 personnes[8],[9], 56 % des 13–20 ans connaissent une personne qui se qualifie à travers des pronoms neutres, 74 % considèrent que « le genre ne définit pas une personne autant qu’avant »[10]. En 2015, la moitié des Américains de moins de 35 ans considéraient le genre comme un continuum[11]. Un sondage français indiquait en 2018 que 6 % des personnes interrogées ne se considèrent « ni homme ni femme »[12],[13].

Un sondage mené en France en 2021 par l'institut CSA montre que 51 % des personnes interrogées affirment être en désaccord avec la phrase : « Une personne est soit un homme, soit une femme et rien entre les deux » (enquête menée via un questionnaire en ligne auprès de 1 173 personnes âgées de 12 ans et plus)[14],[15].

Utilisation de mots non genrés

Les personnes non-binaires peuvent choisir d'employer des pronoms neutres, ou bien une combinaison de pronoms genrés ou encore décider de n'employer aucun pronom pour se désigner. Les pronoms utilisés également peuvent varier pour correspondre à l'identité de genre de la personne en fonction de la période. Leur emploi dépend à la fois de l'adéquation ressentie par la personne entre son identité et le ou les pronoms utilisés, ainsi que de l'environnement dans lequel la personne non-binaire évolue[4].

Anglais

Certaines personnes non-binaires préfèrent utiliser des pronoms neutres[2], comme le « they » singulier[16],[17],[18],[19],[20],[21], élu « mot de la décennie » (2010-2020) par l’American Dialect Society[11].

Indya Moore, par exemple, se définit comme non-binaire et préfère l'utilisation du pronom they singulier[22]. En anglais, depuis 2015, le titre de civilité Mx peut remplacer Mr (Monsieur) ou Mrs (Madame)[23],[24] pour éviter d'indiquer le genre de la personne[25]. Un éditeur de l'Oxford English Dictionary explique qu'il s'agit d'un « exemple de la façon dont la langue anglaise s'adapte aux besoins des personnes, leur permettant d'utiliser la langue d'une façon qui leur convient, plutôt que de laisser la langue leur imposer leur identité »[26].

Français

En français, il n'existe pas de genre neutre[27]. Les personnes s'identifiant comme non-binaires utilisent soit des néologismes[11], soit le pronom indéfini « on »[28][source insuffisante].Plusieurs pronoms ont été inventés pour pallier l'absence de pronom neutre en français : le pronom « iel »[29],[11] (aussi écrit « yel »[25]), d'autres formes pronominales néologiques comme « ille », « ul », « ol », « ael », « æl », ou « ele »[30],[31], ainsi que le pronom neutre « al » et ses flexions (accords) neutres « an, aine, aire, x, z »[32],[33]. Le phénomène d'accord avec l'emploi de « iel » dépend des personnes, qui peuvent préférer les accords féminins, masculins, double flexion abrégée[34].

Les déterminants possessifs « mon » ou « ma » sont parfois remplacés par « mo », « maon » ou « man » et les démonstratifs « celui » et « celle » par « cellui », ainsi que « celleux » ou « ceuses » au pluriel[35]. Les pronoms « elle » et « lui » peuvent être remplacés par « ellui »[36]. Les pronoms totalisants « toustes » et « tou-te-s » sont utilisés à la place de « tous » ou « toutes »[35]. L'Office québécois de la langue française décrit ces termes en distinguant les rédactions bigenrée et non genrée[25].

Il ne faut pas non plus confondre les pronoms neutres et l'écriture inclusive.

Tableau des néologismes non-binaires[37][source insuffisante] :
Masculin Feminin Neutre Inclusif
Pronom personnel singulier il elle iel, ul, ol,al i, im, em, ael iel
Article définis le la lo, lu, l', li le.a
Articles indéfinis un une um, om, on, im, an un.e
Déterminant possessif mon/ ton/ son ma/ ta/ sa mo/ to/ so

man/ tan/ san

ma.on/ ta.on/ sa.on

man/ tan/ san

Pronom complémentaires lui/ eux elle/ elles ill, ul, ol, i, im, em, ael ellui, iel/euxes, elleux

L'usage de ces pronoms est présenté par les personnes non-binaires comme un moyen de mieux faire correspondre les mots qui les désignent avec leur identité de genre au quotidien, même si l'usage de ces néologismes non-binaires est actuellement rare[38],[39].

En France, l'Académie française considère qu'en français, le neutre est exprimé par le recours au masculin utilisé en tant que genre non marqué, comme dans l'expression « quelque chose de beau » (et non « quelque chose de belle »)[40].

Au Québec, l'Office québécois de la langue française évoque, en matière de rédaction non binaire, le recours à la formulation neutre, c'est-à-dire « l’ensemble des procédés de rédaction qui privilégient les termes ou les tournures qui ne comportent pas de marques de genre relatives à des personnes ». En revanche, il « ne conseille pas le recours aux néologismes comme le pronom de troisième personne iel ou le nom frœur en remplacement de frère/sœur que la rédaction non binaire emploie, en complément de la formulation neutre », considérant que ces néologismes « restent propres aux communautés de la diversité de genre »[41].

Suédois

Le pronom neutre « hen »[42],[43],[44] apparu dans les années 1960 dans les milieux féministes, sert à désigner une personne de manière non sexuée en suédois. Ce pronom entre dans en 2015 dans le dictionnaire l'Académie suédoise .

Rejet des personnes non-binaires

La non-binarité d'une personne peut provoquer d'intenses réactions de rejet en milieu scolaire[45] ou familial[46]. Le rejet des personnes non-binaires est appelé « enbyphobie », un néologisme formé à partir des initiales de Non-Binaire, NB, prononcées à l'anglaise[47],[48]. Pour Isabelle Barbéris et David Christoffel la qualification « non-binaire » est une manière paradoxale de « ficher l'indétermination »[49].

Le concept de non-binarité dérange ce que ses partisans appellent "l'ordre hétéronormé"[50]. Karine Espineira explique que ce rejet existe parce que la société serait profondément binaire et patriarcale, et que certaines personnes traditionalistes craignent un chamboulement de « l'ordre des genres »[2]. De même, Éric Fassin explique que, dans une société dont l'évolution inquiète, certaines personnes peuvent vouloir se raccrocher à ce qui ne change pas en cherchant dans la nature et dans l'idée que l’humanité est naturellement divisée en deux groupes, donnant « une impression de stabilité dans un monde de moins en moins stable[51]. »

Sur le site conservateur Atlantico, la psychologue Michelle Boiron, fait un lien avec une prétendue « théorie du genre [qui] nierait la pluralité de la différence des sexes » et s'inquiète que « selon les influences qu’il subit (…), le jeune homme ou la jeune femme, par définition encore malléable, optera de manière irréversible pour un sexe qu’il pourra regretter plus tard, avec toutes les conséquences psychologiques »[52]. Pour le sociologue David Paternotte, ce lien relève de la théorie du complot[51].

Un tel rejet a été manifeste en 2018 lorsque Arnaud Gauthier-Fawas, porte-parole de l'Inter-LGBT, a reçu plusieurs insultes homophobes après s'être déclaré non-binaire en affirmant ne pas être un homme sur le plateau de l'émission Arrêt sur images.[53],[54],[55].

Florence Ashley note que des enjeux tels que l’accès aux soins de santé, le harcèlement, la discrimination et la violence sont les mêmes pour les personnes non-binaires et pour les personnes trans[56]. Mais Karine Espineira estime que ce rejet est sans commune mesure avec « la transphobie que peut vivre une personne trans quand elle fait sa transition, qui est d’une violence inouïe dans l’espace public [et] familial[2]. »

Législation

Mention d'un genre neutre à l'état civil

Passeport allemand indiquant le sexe « X ».

Parmi les pays qui ont accédé à la demande de reconnaissance légale d'un troisième sexe figurent les Pays-Bas (cas particulier d'un requérant intersexe)[57],[58], l'Australie (sans condition médicale)[59], l'Allemagne (avec condition médicale)[59],[60],[61],[62], la Belgique (sans condition médicale)[63], le Canada (sans condition médicale)[64], l'Islande[65], le Népal (sans condition médicale)[66],[67], le Pakistan, l'Inde, l'Indonésie[68], l'Afrique du Sud, Malte, l'Argentine, le Danemark[69], la province de l'Ontario[70], la ville de New York[71], l'Utah[72], la Californie[73],[74] et l'Oregon[68].

Dans certains pays, des personnes intersexes ou non-binaires ont demandé la reconnaissance légale d'un troisième sexe, mais cela ne correspond pas à une revendication des associations trans et intersexes (définies à l'occasion du troisième Forum international intersexe en 2013) : celles-ci demandent plutôt l'enregistrement des enfants intersexes comme filles ou garçons, l'interdiction immédiate des mutilations des enfants intersexes[75], la mise en place de procédures simples de changement d'état-civil, et, à terme, la suppression complète des catégories sexuées sur les documents d’identité[2],[76],[77],[59] .

Les résultats d'une consultation menée en Écosse en 2018 montrent qu'une majorité des voix exprimées sont en faveur de la reconnaissance d'un genre non-binaire[78]. En 2021, un tribunal suisse (canton d'Argovie) reconnaît légalement l'existence d'un genre non-binaire[79],[80]. Un troisième marqueur de genre, X, est possible sur les passeports américains[81].

En France, la Cour de cassation s'y est opposée en 2017[73],[82],[83],[62], mais d'après Libération, un requérant veut solliciter à ce sujet la Cour européenne des droits de l'homme[84]. Les anciens modèles de carte d'identité française (jusqu'en 1980) et de passeports français (le modèle bleu plastifié) ne mentionnaient pas le sexe[85]. La carte d’identité allemande ne mentionne pas de sexe, et les Pays-Bas prévoient d'adopter la même règle « à partir de 2024/2025 »[86],[87]. Le sexe reste cependant écrit sur le passeport communautaire, cette mention ayant été rendue obligatoire en 1977 par le Conseil de l'Europe[86],[88],[89].

En janvier 2021, la Cour supérieure du Québec invalide cinq articles du code civil du Québec — dont trois d'entre eux « violent la dignité et le droit à l’égalité » des personnes non-binaires. —, facilitant ainsi une transition à l'état-civil et celui-ci doit proposer d'autres options que « femme » ou [90]« homme ». De plus une lettre médicale n'est plus nécessaire pour les personnes mineures pour valider un changement à l'état-civil[90].

Suppression de la mention du genre à l'état civil

Certains pays envisagent de supprimer la mention du genre à l'état civil. C'est le cas des Pays Bas[91].

Autres initiatives

Des écoles américaines incluent une option de genre « non-binaire » dans leurs formulaires d'inscription[92]. Des compagnies américaines proposent à leurs passagers de cocher « non précisé » (unspecified) ou « confidentiel » (undisclosed) au lieu de « Monsieur » ou « Madame » sur les billets d’avion[93],[94].

Lexique et variations

Spectre de genre.

De nombreux néologismes existent pour parler des identités non-binaires. Selon Matsuno et Budge, ces termes changent et évoluent rapidement[4].

Oliver Rowland a montré que le terme « intergenre » est apparu au début du XXIe siècle, avant que le lexique ne s'élargisse, bénéficiant de nombreux relais et groupes de discussion sur les réseaux sociaux[95].

Symbole agenre.

Les types suivants sont distingués :

  • agenre : « Personne qui ne se reconnaît dans aucune identité de genre. Variation de la non-binarité »[45]. Une personne agenre s'identifie comme n'ayant pas d'identité de genre. D'après Karine Espineira, l'identité agenre est « le refus probablement le plus affirmé d’un marqueur de genre[2] » ;
  • neutrois : L'expression « neutrois » qualifie une identité de genre qui est neutre[96],[97]. C'est une troisième catégorie à part du féminin et du masculin. Contrairement à l'absence de genre, les personnes se définissant comme "neutrois" expriment un vécu de genre et un sens du genre mais qui n'est ni féminin, ni masculin, ni entre les deux.
  • bigenre : une personne bigenre est une personne qui s'identifie à deux genres à la fois[98],[3] ;
  • cisgenre : « Personne en accord avec le genre qui lui a été assigné à la naissance, à partir de son sexe biologique »[45] ;
  • genderfluid : « Personne dont le genre varie au cours du temps »[45]. L'expression met l'accent sur la fluidité du genre, les personnes pouvant se définir d'une façon ou d'une autre à différents moments, sans se sentir obligées de s'inscrire dans un genre particulier[2],[99],[100]. Le terme englobe tous ceux qui ne se sentent ni tout à fait homme ni tout à fait femme, ou à la fois homme et femme, et qui ne se sentent pas bien décrits par la catégorisation binaire entre masculin et féminin[50]. L'affirmation d'une identité de genre fluide est très visible dans le milieu de la mode[12],[101],[102] ;
  • non-binaire : « Personne qui ne se reconnaît pas dans le genre qui lui a été assigné à la naissance, mais pas entièrement dans le genre opposé. Se situe en dehors des normes du féminin et du masculin »[45] ;
  • transgenre ou trans : personne ayant un genre différent du sexe assigné à la naissance[45] ;
  • transféminin ou transmasculin : peut être utilisé par des personnes pour décrire un aspect de féminité ou de masculinité dans leur identité[103] ;
  • trans* : les anglophones utilisent « trans* » (avec un astérisque) pour qualifier toutes les identités de genre non-standard : genderfluid, agenre, transgenre, etc.[104],[105],[106] ;
  • demi-genre (demiboy/demigirl) : personne se reconnaissant à la fois dans un genre binaire et un genre neutre.

Culture non-binaire

Drapeau de la fierté non-binaire

Drapeau non-binaire.

Le drapeau de la fierté non-binaire a été créé par Kye Rowan en [107],[108] après un appel lancé par plusieurs membres de la communauté non-binaire demandant un drapeau de la fierté qui représenterait les personnes non-binaires ne s'identifiant pas au drapeau genderqueer. L'intention était que ce drapeau coexiste avec celui de la fierté genderqueer plutôt qu'il le remplace.

Le drapeau est composé de quatre bandes de couleur (de haut en bas) jaune, blanc, violet et noir[107] :

  • le jaune représente les personnes dont le genre existe en dehors du cadre binaire ;
  • le blanc représente les personnes qui s'identifient à plusieurs ou à tous les genres ;
  • le violet représente les personnes se situant entre le genre masculin et le genre féminin ;
  • le noir représente les personnes sans genre ou de genre neutre.

Célébration

Le a été choisi pour être l'International Non-Binary Day of Visibility[109],[110],[111].

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Voir aussi

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Articles connexes

Sources audio

Bibliographie

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