Kiwi
l'appellation « Kiwi » s'applique en français à plusieurs taxons distincts.
Taxons concernés
Parmi la famille des Actinidiaceae,
Plusieurs espèces du genre Actinidia :
- Actinidia deliciosa
- dont plusieurs cultivars
- et de probables hybrides
- Actinidia chinensis
- Actinidia arguta
- Actinidia kolomikta
- Actinidia polygama
Kayla ou Kayla-May chatagnon, nee le 31/102007, a Paris 13eme.
Commerce
Le kiwi le plus souvent commercialisé (variété Hayward, un cultivar d’Actinidia deliciosa) pèse en moyenne entre 100 g et 125 g[1].
Un kilogramme de kiwi comporte donc généralement 8 à 10 fruits.
Le kiwi issu de l’agriculture française est commercialisé de novembre à mai. Ainsi, en trouvant des kiwis dans les commerces en France en été et au début de l’automne, ils viendront probablement de Nouvelle-Zélande[1].
Pays producteurs
En 2009, environ 2,8 millions de tonnes de kiwis ont été produites dans le monde dont près de la moitié en Chine et environ le quart dans le bassin méditerranéen. L’Italie, avec 16 % de la production mondiale, est le premier producteur européen. La Nouvelle-Zélande (14 %) suit ces deux leaders mondiaux.
Entre 2009 et 2013, la production mondiale a augmenté d'environ 25 % avec un accroissement de la part de la Chine qui représente désormais plus de la moitié (51 %) des 3,5 millions de tonnes de kiwis produits. Bien que leurs productions respectives soient en augmentation, l’Italie et la Nouvelle-Zélande, qui conservent leur rang mondial, ne représentent plus que 13 % et 11 % (respectivement) de la part mondiale.
Entre 2013 et 2019, la production mondiale a de nouveau augmenté d'environ 25 %. La Chine consolide son statut de premier producteur mondial (51 % des 4,3 millions de tonnes de kiwis produits dans le monde). La Nouvelle-Zélande devance désormais l'Italie en devenant le deuxième producteur mondial, en conséquence d'une augmentation de près de 41 % de sa production nationale.
La France (8e producteur mondial et 3e européen) produisait près de 56 000 tonnes en 2019, un volume en baisse continue depuis 2009. Son premier client est l'Espagne. La zone de production française se répartit dans l'Ariège, dans le Tarn-et-Garonne et sur la façade atlantique, du Pays basque à la Bretagne. Commercialisé pour la première fois en France dans les années 1970, le kiwi de l'Adour obtient le label rouge en 1992 et une indication géographique protégée (IGP) en 2009[2].
Pays exportateurs
Le fruit conditionné est transporté dans des conteneurs réfrigérés[4] et sous atmosphère contrôlée fortement réduite en dioxygène[5],[6].
En 2019, les exportations mondiales de kiwis atteignent environ 1,5 million de tonnes, pour une valeur globale d'environ 2,9 milliards de dollars américains.
La Nouvelle-Zélande est le premier exportateur avec un peu plus du tiers du marché mondial (en volume) et environ la moitié (en valeur) grâce à une valeur unitaire avantageuse (2,82 $ par kg en moyenne). De plus, ce pays se caractérise aussi par le fait d'exporter la quasi-totalité (95 %) de sa production[4]. La logistique maritime du kiwi néo-zélandais nécessite environ un mois de transport par navires frigorifiques en provenance de Tauranga pour fournir les ports européens de Zeebruges, Tarragone et Vado Ligure[4].
L'Italie est le deuxième exportateur mondial (20 % du marché) et le premier en Europe.
Exportations en volume et en valeur (en 2019)[7] | |||||
Pays | Exportations (en tonnes) |
Part mondiale | Exportations (en millions $) |
Valeur unitaire (en $/kg) | |
---|---|---|---|---|---|
Nouvelle-Zélande | 528 791 | 35 % | 1 494 | 2,82 | |
Italie | 304 147 | 20 % | 485 | 1,59 | |
Grèce | 172 161 | 11 % | 161 | 0,93 | |
Chili | 153 380 | 10 % | 175 | 1,14 | |
Iran | 93 447 | 6 % | 81 | 0,87 | |
Belgique | 71 737 | 5 % | 219 | 3,05 | |
Pays-Bas | 40 755 | 3 % | 78 | 1,90 | |
Chine | 27 664 | 2 % | 39 | 1,41 | |
Espagne | 22 242 | 1 % | 33 | 1,50 | |
Portugal | 17 967 | 1 % | 24 | 1,31 | |
Autres pays | 66 398 | 4 % | 101 | 1,52 | |
Monde | 1 498 689 | 100 % | 2 888 | 1,93 |
Pays importateurs
En 2019, les importations mondiales de kiwis atteignent environ 1,5 million de tonnes, c'est-à-dire un volume équivalent aux exportations mondiales.
En plus d'être le premier producteur mondial de kiwis, la Chine est aussi le premier importateur mondial dans un volume très proche de celui de la Belgique (10 % de la part mondiale pour chacun d'eux).
Importations en volume (en 2019)[8] | |||||
Pays | Importations (en tonnes) |
Part mondiale | |||
---|---|---|---|---|---|
Chine | 157 225 | 10 % | |||
Belgique | 154 436 | 10 % | |||
Espagne | 136 624 | 9 % | |||
Allemagne | 108 405 | 7 % | |||
Japon | 106 500 | 7 % | |||
Russie | 77 840 | 5 % | |||
France | 75 403 | 5 % | |||
États-Unis | 69 265 | 5 % | |||
Pays-Bas | 65 748 | 4 % | |||
Italie | 63 355 | 4 % | |||
Autres pays | 483 236 | 32 % | |||
Monde | 1 498 037 | 100 % |
Composition nutritionnelle
Apport énergétique et composition générale
L'apport énergétique pour 100 g de kiwis frais est en moyenne de 61 kcal (soit 255 kJ)[9]. Du fait de sa forte proportion en eau (environ 84 %), l'apport énergétique de cet aliment est relativement faible.
L’équilibre entre saveurs sucrée et acide des kiwis dépend principalement de leur teneur en acide citrique[10] . Ces fruits ont d'ailleurs une teneur en acide totale élevée (de 1 à 3 %) parmi lesquels l’acide quinique, l’acide citrique et, dans une moindre mesure, l'acide malique[10].
La composition nutritionnelle générale moyenne pour 100 g de kiwis frais est détaillée[9] dans le tableau ci-dessous :
Composant | Masse |
---|---|
Eau | 83,5 g |
Protides | 0,9 g |
Lipides | 0,6 g |
dont acides gras poly-insaturés | 0,25 g |
dont acides gras mono-insaturés | 0,16 g |
dont acides gras saturés | 0,13 g |
Glucides | 11,0 g |
dont sucres | 8,9 g |
Fibres | 2,4 g |
Minéraux, oligo-éléments et vitamines
La composition nutritionnelle moyenne en sels minéraux, en oligo-éléments et en vitamines pour 100 g de kiwis frais est détaillée[9] dans les tableaux ci-dessous :
Le kiwi est exceptionnellement riche en vitamine C puisque 100 g de ce fruit frais couvrent la totalité des apports journaliers recommandés (AJR)[11]. C'est donc bien plus que l'orange avec 59 % des AJR pour 100 g d'orange fraîche. Le kiwi est aussi source de vitamines K et B9 (22 % et 11 % respectivement des AJR) et fournit, dans une moindre mesure, de la vitamine E (contenue dans ses graines noires)[11]. Le kiwi est également source de cuivre et de potassium (15 % des AJR pour chacun d'eux)[9].
Du fait de sa composition en oligo-éléments et en vitamines, le kiwi fait partie des fruits ayant l'activité antioxydante la plus élevée[12].
Une étude de scientifiques néo-zélandais a établi en septembre 2020 que, grâce à sa composition riche en vitamines et en minéraux, le kiwi a une action bénéfique sur la fatigue et l'humeur[13].
Une étude de gastroentérologie parue en 2023 montre une amélioration de la constipation par la consommation de deux kiwi verts par jour[14].
Reproduction
Les kiwis sont les fruits d'une plante grimpante dioïque[12] : les fleurs des plants mâles ne produisent que du pollen et celles des plants femelles produisent les fruits (leurs étamines sont stériles).
Culture
Les Actinidia apprécient les sols profonds et légers, bien drainés au pH compris entre 6,0 et 6,5 avec une exposition ensoleillée abritée du vent. La plante est sensible au froid (de −10 °C à −15 °C) selon les variétés alors que le kiwaï résiste jusqu'à −30 °C.
La pollinisation des kiwis est difficile, car leurs fleurs ne sont pas très attirantes pour les abeilles. Certains producteurs pollinisent artificiellement avec du pollen récolté[15] et d'autres placent des ruches dans les champs pour optimiser les chances de pollinisation[16].
Depuis les années 1990, on trouve des plants hermaphrodites qui permettent théoriquement de ne cultiver que des pieds « productifs ».
Le kiwi apprécie la mycorhization[17].
Arrosage
À la plantation, positionner au centre d'une cuvette qu'on remplira une fois par semaine à la belle saison. Mettre un bon paillis de paille, BRF ou encore du gravier pour établir une isolation thermique des racines superficielles très fragiles. Quand le plant est adulte, il protège ses racines par l'ombrage de son feuillage abondant. Lorsqu'il est jeune, il faut à tout prix ombrer le sol et en tous cas éviter les expositions trop sévères. Pour ces raisons, il faut déconseiller sa culture en zone venteuse, ou bien créer des coupe-vent au moyen de haies, ou encore de filets.
Taille
Dès la chute des feuilles, il est important de tailler cette liane. Éliminer les rameaux ayant produit du fruit. Couper au niveau du « rameau de l'année » qui n'a aucune ramification latérale. Les fruits vont pousser sur les premiers nœuds. On peut donc ne laisser que 20 ou 30 cm de bois mais on peut aussi garder plus de longueur pour palisser en pergola ou verticalement. Il n'y a pas de « charpentière ». Il faut éviter le foisonnement et remplacer les rameaux anciens par des plus récents (un peu comme les rosiers grimpants). Trop de bois diminue la taille des fruits.
Taille « en vert » : dès le mois de juillet, éliminer les vrilles et les rameaux très fins. Pour augmenter le diamètre des fruits, éliminer le rameau au-delà du fruit et supprimer les petits fruits d'une grappe trop chargée.
Multiplication
Le marcottage est très facile. Le bouturage est plus complexe. Les bois de taille se conservent au réfrigérateur dans du polyéthylène. Vers le , planter sous cloche à l'ombre ou demi-ombre. Après apparition des feuilles, soulever de 2 cm la cloche pour éviter le dessèchement car les racines tardent à apparaître.
On peut aussi procéder par semis mais on obtient en général quatre plants mâles pour un plant femelle. On ne peut différencier les mâles et les femelles qu'au moment de la première floraison. Les fleurs femelles ont un ovaire et un pistil assez volumineux au centre de la fleur. Les étamines sont très voyantes sur les fleurs mâles. On peut greffer les plants mâles avec un greffon femelle. Un semis fructifie de 3 à 8 ans après le semis, le pic de production a lieu entre 10 et 15 ans et la durée de vie d'un plant est d'environ 30 ans.
Greffe
Elle est déconseillée en zone très froide (< -8 °C) où il ne faut cultiver que des plants « directs » car, si les plants greffés gèlent, ils repartiront en « sauvage ». En zone plus favorable, on peut greffer des pieds obtenus par semis (sauvages) de graines ou des mâles en excès ou encore une partie du plant mâle. On peut procéder dès la mi-février en fente ou encore à l'anglaise.
Sur les grosses sections, il faut greffer par « incrustation ». Retirer un cinquième environ du diamètre du rameau sur environ cm. Tailler le greffon pour qu'il s'adapte (système tenon/mortaise) et mastiquer.
Fumure
Un peu de cendre et de compost bien décomposé à la fin de l'hiver. Attention aux nitrates et à la tonte de gazon trop riche. Plante très sensible à l'azote. Les symptômes sont le jaunissement des feuilles et le brunissement des bordures des feuilles.
Pesticides
Certains pesticides sont autorisés en France pour lutter contre les parasites du kiwi[18]. Pendant longtemps, il ne connaissait ni ravageur, ni maladie ou champignon et se cultivait donc aisément en agriculture biologique, mais depuis 2010, une maladie commence à toucher les vergers européens : la bactérie qui la propage, Pseudomonas syringae pv. actinidiae (psa), est transportée par le vent et mute fréquemment, on ne connait pas encore de remède, les arbres touchés sont donc coupés et détruits.
Utilisation
Conservation
Pour obtenir un taux de sucre optimal, le kiwi doit être cueilli le plus tard possible à la fin de l'automne, si possible avant ou juste après la première gelée pas trop sévère.
Le kiwi est un des rares fruits qui continue de mûrir après la récolte[1]. Selon son niveau de maturation, il peut se conserver deux à quatre semaines dans le bac à légumes d'un réfrigérateur[1],[2]. À maturité, il devient plus souple et sa durée de conservation se réduit alors à 7 jours à température ambiante[1].
En tant que fruit climactérique, il mûrit plus vite à proximité de pommes, à cause de l'éthylène qu'elles dégagent. La durée de mûrissement est toutefois très variable ; il faut les trier de temps en temps et consommer prioritairement les moins rigides. Cueillis à l'automne, les kiwis de la dernière récolte peuvent tenir jusqu'à l'été suivant (neuf mois).
Consommation
Le kiwi est idéal à déguster en dessert et peut ainsi être consommé nature, intégré en salade de fruits ou encore en version smoothie[12]. Il peut aussi faire partie des fruits utilisés en agrément dans un gâteau (comme la pavlova)[19] ou plus rarement être consommé en jus (seul ou associé à d'autres fruits).
Il est préférable de choisir le kiwi avec une peau souple mais pas trop molle. Pour une consommation ultérieure, mieux vaut les sélectionner plutôt durs puisqu'ils mûrissent rapidement à température ambiante et se conserveront ainsi dix jours sans difficultés (et plus longtemps au réfrigérateur dans le bac à légumes).
En cuisine, il faut rester prudent quant à l'utilisation du kiwi : il empêche la gélatine de figer et rend les produits laitiers amers, conséquence de l'action de l’actinidaine, une enzyme (de type protéase à cystéine) présente dans ce fruit[2].
De plus, grâce à cette enzyme digestive, la consommation de kiwis permet une meilleure digestion des protéines[11],[20],[21] et pourrait soulager de certains symptômes digestifs[11] comme les ballonnements et la constipation[12].
Enfin, les kiwis font partie des aliments pouvant provoquer des allergies alimentaires rares (notamment le syndrome oral croisé)[12],[22].
Notes et références
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