Carle Coppens

Ajouter des liens
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Carle Coppens
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Nationalité
Formation
Activités
Autres informations
Distinctions

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Carle Coppens, né à Montréal le 13 juillet 1972, est un poète et romancier québécois[1].

Biographie[modifier | modifier le code]

Fils du poète Patrick Coppens, Carle Coppens détient une maîtrise en psychologie différentielle de l’Université d’Aix-Marseille II (1995-1996) ainsi qu'un doctorat en psychologie industrielle/organisationnelle de l’Université de Montréal[1],[2].

Il collabore à une émission culturelle sur les ondes de CISM, la radio communautaire de l'Université de Montréal[2]. En 2000, il est critique littéraire à La Presse, puis il travaille chez Publicis et BCP avant de devenir vice-président et directeur de l'agence Brad[3].

En plus de signer des textes dans plusieurs revues culturelles et littéraires (Lettres Québécoises, Moebius, Critère, Stop, Brèves littéraires, Entrelacs, Le Sabord et Action Poétique), il publie plusieurs recueils de poésie ainsi que des romans[1].

En poésie, il fait paraître Poèmes contre la montre (Noroît, 1996), Le grand livre des entorses (Noroît, 2002) ainsi que À qui se méfier (Le Quartanier, 2014)[1],[4],[5].

Comme romancier, Carle Coppens publie Baldam l'improbable (Le Quartanier, 2011), lequel sera adapté au cinéma par le scénariste Stéphane Lafleur et réalisé par Emanuel Hoss-Desmarais[6],[7],[8]. Il publie également Le deuxième étage de l'océan (Le Quartanier, 2015)[1].

Carle Coppens collabore aux ouvrages collectifs Nous reviendrons comme des Nelligan, (VLB éditeur, 1989) ainsi que Poèmes du lendemain (Écrits des Forges, 1993)[2].

Carle Coppens est récipiendaire de plusieurs prix dont le Grand Prix du concours épistolaire de l’Office Franco-Québécois pour la jeunesse (1993), le Prix Émile-Nelligan (1996), le Prix de poésie de la Vocation, le Prix Alcuin Society’s Citation de Vancouver (1997) ainsi que le Prix spécial de la Fondation Hachette (1999)[1],[9].

Famille[modifier | modifier le code]

Carle Coppens est le fils du poète d'origine française Patrick Coppens, le petit-fils de l'artiste peintre française Madeleine Prévost et l'arrière petit-fils de l'artiste peintre français Eugène Prévost-Messemin.

Œuvres[modifier | modifier le code]

Poésie[modifier | modifier le code]

Romans[modifier | modifier le code]

Prix et distinctions[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ a b c d e et f « Recherche - L'Île », sur www.litterature.org (consulté le )
  2. ↑ a b c d et e Mario Gilbert, « Le prix Émile-Nelligan à un jeune poète de 24 ans », Le Soleil •,‎ , p. C7.
  3. ↑ Josée Lapointe, « Grossir le trait », La Presse •,‎ , p. ARTS SPECTACLES5 •
  4. ↑ Claude Beausoleil, « Les jeux du hasard », La Presse •,‎ , p. F4.
  5. ↑ Laverdure, Bertrand, « « Publicisme » et « Remix » / Le grand livre des entorses, de Carle Coppens, Éditions du Noroît, 2002, 147 p. / Le grand livre des entorses (version brève), de Carie Coppens, Éditions du Noroît, n.p. », Spirale : arts • Lettres • Sciences humaines, no 190,‎ (ISSN 0225-9044 et 1923-3213, lire en ligne, consulté le )
  6. ↑ « Le roman Baldam l'improbable adapté au cinéma par Stéphane Lafleur », ICI Radio-Canada,‎
  7. ↑ Josée Lapointe, « Détournement de sens selon Carle Coppens », La Presse,‎
  8. ↑ Catherine Lalonde, « Carle Coppens - Fils de pub, poète et romancier », sur Le Devoir (consulté le )
  9. ↑ Josée Lapointe, « L'urgence de la Poésie », Le Soleil •,‎ , p. C1 •

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Carle_Coppens&oldid=206612229 ».