Discussion:Régime de brise

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Je pense qu'on est toujours sur une ébouche pour cette article et il serait bon, à mon avis, de le structurer. et de se poser les questions suivantes :

- parlent-on tous des mêmes brises ?

- doit on séparé en sous articles ?

- sur météofrance, la définition est : tout vent de force 2 à 6 [[1]]

Mais je ne pense pas que cela s'applique sur les brises de montagnes. Pour moi, brise défini un vent local ayant une cause thermique.

Ensuite, j'ai plus ou moins paraphrasé ce qui avait déjà été dit concernant les brises marines alors qu'on doit pouvoir faire une belle explication du phénomène général ( mais je suis pas trop calé en thermo ;-) ) Sletuffe 18 octobre 2007 à 18:43 (CEST)[répondre]

Erreur ?[modifier le code]

L'article ne comporterait-il pas une erreur au niveau des brises de montagne ? La poussée d'Archimède a lieu uniquement dans l'eau, non ?

--90.62.21.211 (d) 4 juin 2012 à 09:41 (CEST)[répondre]

Non, dans un fluide (liquide ou gaz) voir Poussée d'Archimède--Klipper Chatting 4 juin 2012 à 10:13 (CEST)[répondre]

Commentaire par 90.32.184.194[modifier le code]

Ce texte ajouté par 90.32.184.194 (d · c · b) est un commentaire et ne va en aucun cas dans le texte de l'article : « /// Là, en tant que lecteur, je m'insurge. Je vole en parapente non loin de la mer, sur une colline qui nous permet de prendre de la hauteur et d'aller au dessus de la campagne, et vers la mer, et je n'ai jamais senti un vent inverse à celui de la brise au sol. C'est une hérésie que de répéter à loisir cette niaiserie. Lors du Cht de F delta de 1991 au Lachens au nord de Draguignan, la brise de mer (de sud) n'a jamais été accompagnée d'un vent retour jusqu'à l'atterro en altitude. Les pilotes qui se sont posés hors terrain peuvent témoigner. L'auteur copie, répète, ne vérifie pas. Qu'à dit Montaigne ? //// »

De plus, cet IP n'a aucun sens de la physique des cellules fermées de convection. Un parapentiste ne peut atteindre le niveau du sens de retour de la boucle de retour. L'expérience sensible n'est pas de la science, à ce compte, on devrait penser que la Terre est plate car on ne peut voir sa courbe du sol. Pierre cb (discuter) 13 août 2017 à 02:16 (CEST)[répondre]

Petit ajout de ma part: on peut voir la courbure de la Terre sur la côte : avec une bonne paire de jumelles on peut voir un navire s'enfoncer sous l'horizon. Donc, celui qui prétend que la Terre est plate devra m'expliquer pourquoi on ne voit plus que le haut du navire. Ainsi, à partir d'une observation incomplète, on peut déduire n'importe quoi. Malosse [Un problème de météo ou de planeur?] 13 août 2017 à 04:19 (CEST)[répondre]

Autre commentaire sur même sujet[modifier le code]

-- Je m'oppose fortement à l'idée d'un courant retour en altitude dans le cas de la brise de mer. J'ai déjà lu cette idiotie dans le supplément météo de Voiles et voiliers de 1996. En tant que parapentiste évoluant sur un petit site situé à quelques kilomètres de la mer, je n'ai jamais constaté ce flux retour, bien qu'ayant évolué à différentes altitudes, à différentes distances de la mer. Mieux, on constate plutôt des convergences ou des confluences qui nous maintiennent "gratuitement" durant de longs moments. Il faut refuser de répéter ce qui a déjà été écrit. Souvenons nous de Michel de Montaigne. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 109.218.110.6 (discuter), le 5 octobre 2021 à 18:28 (CEST)[répondre]

Expérience anecdotique : Lire les références scientifiques de Météo-France dans l'article au lieu de généraliser des expériences personnelles incomplètes. Si vous n'êtes pas convaincu, lire l'article détaillé du mécanisme : Gérard Beltrando, Salem Dahech et Malika Madelin, « L'intérêt de l'étude des brises thermiques : exemples des brises littorales et orographiques. », Bulletin de la Société géographique de Liège, ReasearchGate,‎ , p. 49-61 (lire en ligne) qui cite « Ce courant de retour en altitude, qui n’est pas toujours facile à observer car il est souvent perturbé par la circulation atmosphérique d’échelle spatiale supérieure, peut apparaître à des altitudes qui varient de quelques dizaines à quelques centaines de mètres dans la zone tempérée (il est plus haut dans l’atmosphère sous les latitudes intertropicales où les quantités d’énergie absorbées par les substrats sont généralement plus importantes). »
Où peut-être aimeriez-vous mieux cet autre article scientifique qui dit la même chose : (en) S. T. K. Miller, B. D. Keim, R. W. Talbot et H. Mao, « Sea breeze: Structure, forecasting, and impacts », Review of Geophysics, vol. 41, no 3,‎ (DOI 10.1029/2003RG000124, lire en ligne, consulté le ) et qui décrit le processus en détails avec sondages, etc.
Pierre cb (discuter) 5 octobre 2021 à 18:57 (CEST)[répondre]
Le courant retour est forcément à une altitude - le plafond - qu'on ne peut pas atteindre en parapente. En général, on considère que les derniers 5% (aussi bien que les premiers 5%) des thermiques ne sont pas exploitables parce qu'on rentre dans la zone de l'entonnoir - le thermique s'élargit de plus en plus. Normalement, quand on monte au plafond, le courant retour doit être à une centaine de mètres plus haut. De plus, il est plus large et donc moins intense. Mmom (discuter) 31 juillet 2023 à 12:16 (CEST)[répondre]

Différence adiabatique entre la montée et la descente?[modifier le code]

Durant le trajet en altitude, l'air s'est mélangé avec l'air froid à ce niveau et en redescendant, il se réchauffe par compression mais moins qu'à la montée.

Ceci est tout simplement faux et je n'arrive pas à retrouver une telle affirmation dans la source citée (Météo-France). Mmom (discuter) 31 juillet 2023 à 12:30 (CEST)[répondre]