Gillian Brett
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Cet article est une ébauche concernant l’art contemporain et une sculptrice française.
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Gillian Brett
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| Activité |
artiste plasticienne |
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Gillian Brett, née en novembre 1990 à Paris, est une artiste plasticienne française. Elle vit et travaille à Marseille.
Biographie[modifier | modifier le code]
Gillian Brett obtient son diplôme national supérieur d'expression plastique à l'École nationale supérieure d'art de Nice en 2015[1] puis un diplôme de Deuxième cycle universitaire au Goldsmiths College à Londres.
Ses œuvres sont exposées au musée Munch (Oslo) lors de la MUNCH Triennale[2], à la Friche Belle de Mai[3] (Marseille), et seront visibles en 2024 au KW Institute for Contemporary Art[4](Berlin), à la Fondation Vincent van Gogh Arles[5] et au musée Groeninge dans le cadre de la Triennale de Bruges[6].
Expositions personnelles (sélection)[modifier | modifier le code]
- 2023 : Au fond de la couche gazeuse, Villa Noailles - Ancien Evêché, Toulon[7]
- 2022 : Umarell, galerie C+N Canepaneri, Milan[8]
- 2020 :
- Die Antiquiertheit des Menschen, cur. Katharina Ritter, Stadtgalerie Saarbrucken, Sarrebruck[9]
- J'ai tout mangé, metaxu, Toulon[10]
- 2019 : In silico, Bungalow - ChertLüdde, Berlin[11]
Expositions collectives[modifier | modifier le code]
Gillian Brett a participé à de nombreuses expositions collectives, parmi lesquelles :
- Van Gogh et les Étoiles, cur. Jean de Loisy & Bice Curiger, Fondation Vincent van Gogh, Arles. (2024)[5]
- Rebel Garden, cur. Michel Dewilde, Triennale Bruges 2024, Musée Groeninge, Bruges (2024)[6]
- Poetics of Encryption, cur. Nadim Samman, KW Institute for Contemporary Art, Berlin (2024)[4]
- Douze preuves d'amour - Révélations Emerige, cur. Gaël Charbau, Paris & Toulon (2022)[12]
- MUNCH Triennale - The Machine is us, cur. Tominga Hope O'Donnell & Stephano Collicelli Cagol, Munch Museum, Oslo (2022)[2]
- High-cycle Fatigue, cur. Nadja Quante, Künstlerhaus Bremen, Brême (2020)[13]
- Par Hasard, cur. Xavier Rey & Guillaume Theulière, Friche de la Belle de Mai, Marseille (2019)[3]
- Have You Ever Mesured Reality? (In Between #2), das weisse haus, Vienne (2017)[14]
Prix et distinctions[modifier | modifier le code]
- 2022 : Prix Révélations Emerige - Villa Noailles[15]
- 2021 : Prix Artissima - Xiaomi HyperCharge[16]
- 2016 : Prix Dauphine pour l'art contemporain (en binôme avec la curatrice Hélène Soumaré)[17],[18]
- 2015 : Bourse de la Fondation Kenza - Institut de France
Références[modifier | modifier le code]
- « Gillian Brett », sur Diplômés 2015 Villa Arson (consulté le )
- (en) « MUNCH Triennale - The machine is us », sur www.munchmuseet.no (consulté le )
- « Par Hasard », sur Friche la Belle de Mai (consulté le )
- (en-US) Luisa Schmoock, « Poetics of Encryption Exhibition 24 », sur KW Institute for Contemporary Art, (consulté le )
- « Fondation Vincent van Gogh à Arles - Van Gogh et les Étoiles – », sur Fondation Vincent Van Gogh Arles (consulté le )
- « Rebel Garden », sur Musea Brugge (consulté le )
- « Révélations Emerige 2023 », sur villanoailles.com (consulté le )
- (en) « Gillian Brett “Umarell”, text by Patrick Marcolini. Milan, Solo Show », sur www.canepaneri.com (consulté le )
- « Gillian Brett | Stadtgalerie Saarbrücken », sur stadtgalerie.saarbruecken.de (consulté le )
- « gillian brett », sur Metaxu (consulté le )
- (en-US) « Gillian BrettIn silico16 September – 16 November 2019 – ChertLüdde », (consulté le )
- « Edition 2022 », sur Revelations Emerige (consulté le )
- (de) « High-cycle Fatigue », sur www.kuenstlerhausbremen.de, (consulté le )
- (en) « “Wir bauen Zukunft” I Gillian Brett I Artist in Residence 2016 »
- « Gillian Brett, lauréate du Prix Villa Noailles des Révélations Emerige 2022 », sur The Art Newspaper, (consulté le )
- (en-GB) Administrator, « Artissima has closed its 28th edition », sur Artissima, (consulté le )
- « Prix Dauphine pour l'art contemporain », sur Prix Dauphine pour l'art contemporain (consulté le )
- « Hélène Soumaré et Gillian Brett, binôme vainqueur du Prix Dauphine pour l’art contemporain 2016 », sur Connaissance des Arts, (consulté le )
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- (it) Sara Dolfi Agostini, « Gillian Brett “Umarell” C+N Canepaneri / Milano », Flash Art, (lire en ligne)
- (it) Elena Bara, « Gillian Brett vince la prima edizione di Xiaomi HyperCharge Award », Vogue, (lire en ligne)
- Stéphane Durand, « Ces Françaises qui redessinent l’art contemporain… », Harper's Bazaar, (lire en ligne)
