Guyane brésilienne
Pour les articles homonymes, voir Guyane (homonymie).
| Type |
|---|
| Coordonnées |
|---|
La Guyane brésilienne était située entre la République de l'Équateur à l'ouest, l'Amazone au sud, l'océan Atlantique à l'est, la Guyane vénézuélienne et la Guyane britannique au nord.
Géographie[modifier | modifier le code]
Établie sur un sol montagneux très arrosé au nord et constituée de grandes forêts vierges, la Guyane brésilienne s'étendait sur une superficie de 1 300 000 km2. Elle était comprise dans la province d'Alto Amazonas où elle formait la comarca de Rio-Negro (pt)[1].
Ses villes principales étaient Thomar, Barcelos et Barra do Rio Negro (pt).
Histoire[modifier | modifier le code]
La Guyane brésilienne est constituée de l'ancienne Guyane portugaise vendue par la France au Portugal en 1713[2],[3]. Le Portugal la perd lors de l'Indépendance du Brésil le [4].
Elle constitue de nos jours l'État fédéré du Brésil d'Amapá.
Un ensemble mégalithique y a été découvert en 2006[5].
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Paul Le Cointe, Notice sur la carte du cours de l'Amazone et de la Guyane brésilienne depuis l'Océan jusqu'à Manaos, Annales de Géographie, 1907, p. 159-174
- Dezobry et Bachelet, Dictionnaire de biographie, t. 1, Ch. Delagrave, 1878, p. 1260
- Jules Radu, Bibliothèques communales. Instruction élémentaire. Religion, lecture, écriture, calcul, grammaire, géographie, histoire générale, 1852, p. 472
- Paul Guérin, Dictionnaire des dictionnaires : lettres, sciences, arts, 1886, p. 470
- Mariana Petry Cabral et João Darcy de Moura Saldanha, Note sur des structures mégalithiques en Guyane brésilienne, Amapá, Journal de la Société des Américanistes, 95-1, 2009, p. 97-100
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Gustav Wallis, La Guyane brésilienne au point de vue botanique, 1871
- Alexander Hamilton Rice, Exploration en Guyane brésilienne. Rio Branco, Uraricuera, Parima, 1937
- Hervé Théry, Une Guyane brésilienne ?, in Cahiers des Amériques latines no 43, 2003, p. 103-120 (Lire en ligne
Liens externes[modifier | modifier le code]
