Julien Breton

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Julien Breton
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Naissance
(45 ans)
Nîmes, France
Autres noms
Kaalam
Nationalité
Français
Activité
Artise, calligraphe, performeur
Influencé par
Hassan Massoudy, Mehdi Saeedi, eL Seed

Julien Breton est un artiste, calligraphe et performeur français, connu aussi sous le pseudonyme de Kaalam.

À ses débuts, il a été influencé par l'art du graffiti et la calligraphie arabe. Julien Breton ne suivait pas les styles calligraphiques classiques mais cherchait à trouver sa propre expression calligraphique qui reflétait les écritures Diwani, Thuluth et Kufi. Le plus grand changement dans son esthétique s'est produit lorsqu'il a remplacé la plume et le papier par la calligraphie lumineuse (light painting), et ce changement de support a fait de lui l'un des protagonistes de cet art.

En plus de l'exploration des possibilités de la calligraphie lumineuse, Julien Breton collabore avec d'autres artistes, groupes de danse ou musiciens, et reflètent sa volonté d’apporter et d’intégrer l’art visuel sur scène.

Biographie[modifier | modifier le code]

Julien Breton, connu sous le pseudonyme de Kaalam, est essentiellement inspiré par Khalil Gibran. Ils sont tous les deux animés par le même désir : le rapprochement de mondes apparemment différents. Julien Breton mêle et fait cohabiter l’esthétique de l'Orient avec celle de l'Occident.

Julien Breton a commencé en tant que calligraphe inspiré par le graffiti, montrant les nouvelles possibilités de générer de nouvelles formes dans l'art islamique (Khoury 2015).


Bien qu'il se soit inspiré de la calligraphie traditionnelle, Julien Breton n'est pas un calligraphe classique et s'inscrit plutôt dans le domaine de l'art contemporain.

Débuts en calligraphie papier[modifier | modifier le code]

Julien Breton est né en 1979 à Nîmes. Il vit depuis de nombreuses années à Nantes, dans l’ouest de la France. Cette ville est une ville d’eau, située sur les deltas de trois fleuves et rivières : la Loire, l'Erdre et la Sèvre. Elle est un des plus grands ports de France et est souvent comparée à Venise. Nîmes et Nantes sont reliées par un multiculturalisme fort qui a imprégné sa pratique artistique.

Julien Breton ne traite pas de la théorie et de la critique de l'art, mais son art pourrait être défini comme "art pérenne" dans lequel s'incarne la philosphia perennis. Comme René Guénon, Frithjof Schuon, Ananda Coomaraswamy et Martin Lings, il cherche un trait commun au sein de différentes cultures. La preuve en est la forme de sa calligraphie, née de deux graines - l'écriture arabe et l'écriture latine, qui sont les caractéristiques principales des œuvres de Julien Breton.

La relation bipolaire de son approche calligraphique se retrouve également dans son nom de famille, Breton, et dans le choix de son pseudonyme, Kaalam (plume arabe).

Son nom le rattache à la Bretagne, région où il vit et crée, tandis que son nom de scène l’ancre au Moyen-Orient. C'est l'union de l'incompatible imaginaire, visible dans toute son œuvre.

C'est par hasard qu'il a commencé sa carrière de calligraphe. Le déclencheur a été un livre d’Hassan Massoudy, calligraphe français d'origine irakienne, qu'il a reçu en cadeau d'une amie.

À partir de ce moment, l'impact d’Hassan Massoudy sur Julien Breton est indéniable, et lui- même ne le conteste pas. Leur pratique est cependant différente puisque l’œuvre d’Hassan Massoudy est basée sur l'écriture arabe, tandis qu’à ses débuts, Julien Breton a traduit l'esthétique de l'alphabet arabe en latin afin de développer son propre style.

En choisissant les couleurs, le rapport des masses, et la disposition du texte, Julien Breton suit le maître franco-irakien, de sorte que ses œuvres, bien que latines, ressemblent à une combinaison de Diwani, Thuluth et d’écriture Kufi (Figure 2)[Quoi ?]. Le caractère ludique de l'écriture Diwani, la recherche de la hauteur du Thuluth et l'emphase horizontale du Kufi ne sont que quelques-unes des caractéristiques des premières œuvres Julien Breton.

Bien qu'Hassan Massoudy ait eu une grande influence sur lui, il faut dire que les œuvres de Lassaâd Metoui, Mehdi Saeedi et EL Seed ont également joué un rôle dans la formation du style de Julien Breton (Zoghby, Stone, Hawley 2011 ; Lenon 2013).

Calligraphie lumineuse[modifier | modifier le code]

À partir de la première rencontre avec la calligraphie arabe, à travers la recherche d'une expression personnelle, cinq années se sont écoulées avant que Julien Breton ne découvre un médium complètement nouveau : la calligraphie lumineuse. Il a décrit le changement dans son style en disant que "l'encre devient lumière, le papier devient photographie et la calligraphie elle-même devient chorégraphie " (Behiery 2012).

La calligraphie lumineuse appartient aux techniques de light painting (Keimig 2017). Le processus repose sur une longue exposition d'un appareil photo qui capture une scène dans laquelle l'artiste utilise une source de lumière mobile.

Dès 2006, lorsqu'il s'est familiarisé avec les possibilités de la calligraphie lumineuse, Julien Breton a dirigé l’essentiel de sa pratique artistique vers les aventures exploratoires de cette technique.

Contrairement à la calligraphie classique, la calligraphie lumineuse n'est pas limitée par l'espace papier, au contraire, l'espace est illimité.

Bien que la calligraphie lumineuse soit issue de la calligraphie sur papier, la première n’autorise aucune erreur - chaque mouvement de l'artiste est enregistré par la photographie.

C'est pourquoi Julien Breton doit d’abord dessiner ses traits sur papier. Cette étape est suivie par une répétition de la chorégraphie, qui ressemble aux mouvements du Tai Chi (Be- hiery 2012).

Les formes présentes dans sa calligraphie lumineuse s'inscrivent dans la continuité de ses travaux de calligraphie sur papier. Dans l'exécution de la forme imaginée, le corps de l'artiste devient un stylo, qui doit non seulement répondre aux critères esthétiques des règles calligraphiques, mais doit aussi s'adapter à l'environnement donné, l'espace physique.

Bien sûr, l'artiste se sent libre grâce à l'espace illimité, mais en même temps, l'environnement impose indirectement l'aspect final de l'œuvre. On peut remarquer que Julien Breton utilise un peu plus l'alphabet arabe dans la calligraphie lumineuse.

Au-delà de la pratique spécifique de Julien Breton et de son art, une observation peut être soulignée ici. D’autres artistes sont complémentaires du calligraphe afin de mener à bien le processus de création d'un manuscrit islamique traditionnel : l’enlumineur, et le relieur (Ždralović 1988).

Ainsi, comment relier cette expression collective du passé avec le présent ?

Julien Breton travaille en équipe, avec les photographes Eloi Brignaudy et François Aenishlanlin (Lenon 2013). Par conséquent, on peut dire que Julien Breton tient le rôle du calligraphe et de l’enlumineur modernes, tandis que les photographes deviennent les relieur d'aujourd'hui, indispensables à la qualité du rendu.

Le processus de création de la calligraphie lumineuse prend naissance principalement dans son atelier où l'artiste esquisse un graffiti lumineux et s'exerce ensuite aux mouvements (Figure 3)[Quoi ?]. Cette étape est suivie par une visite conjointe de Julien Breton et du photographe des lieux où ils ont pu prendre des photos. Après les préparatifs, le processus de calligraphie lumineuse se déroule toute la nuit car la calligraphie lumineuse est conditionnée par l'obscurité. Pour réaliser la calligraphie lumineuse, Julien Breton utilise des lampes de différentes couleurs. Son rituel est enregistré par le photographe avec des photographies d'exposition allant de 30 secondes à quelques minutes (Figure 4)[Quoi ?].

Comme la création de la calligraphie lumineuse se déroule dans un lieu public fréquenté, elle est classée parmi les Arts de la rue. Elle est aussi une performance car les mouvements que l'artiste exécute devant l'objectif de la caméra ont toutes les caractéristiques de l’art performatif.

L'expression calligraphique de Julien Breton, inspirée principalement des œuvres de Hassan Massoudy, Mehdi Saeedi, et El Seed, a fusionné avec l'influence de l'artiste français de light graffiti français Marko 93 pour finalement proposer sa propre expression artistique, la calligraphie lumineuse. On pourrait résumer et dire que son plus grand pas en avant, et sa plus grande contribution à l'art du visuel est un mélange réussi de lumière, de calligraphie et de graffiti (Zehra 2011).

Bien que la forme trouvée par Julien Breton soit récente, elle a trouvé des échos dans les jeunes générations, ainsi son influence est évidente dans les œuvres de l'artiste pakistanais JZ Aamir ou Khadijah El Gawas (Islamic Arts Magazine 2013), et bien d'autres.

3D calligraphie[modifier | modifier le code]

Bien que la calligraphie tridimensionnelle ou la sculpture tridimensionnelle n'occupent pas encore beaucoup de place dans la pratique de Julien Breton, il semble utiliser les possibilités du multimédia dans toutes ses capacités pour exprimer la calligraphie islamique traditionnelle. Grâce à la technologie numérique et à l'infographie, il a créé un modèle virtuel d'impression calligraphique dans Le Respect - Calligraphie Arabe" (Pascal, Stone et Hawley, 2011 : 120). La traduction de la calligraphie islamique en sculpture n'est pas nouvelle (comme le fait Parviz Tanavoli) (Blair 2008), mais la tentative de le faire dans un environnement virtuel est innovante (figure 5)[Quoi ?]. Dans le cas de Julien Breton, la sculpture tridimensionnelle ne peut être qualifiée de phase mais plutôt d'expérience et de recherche plus essentielle pour comprendre son art.

Calligraphie en temps réel[modifier | modifier le code]

Julien Breton a essayé une autre technique, la calligraphie temps réel. Contrairement à la calligraphie lumineuse, où la toile est "l'air", en calligraphie temps réel, la toile est une "surface physique". Grâce à la technologie numérique, l'artiste utilise une lampe pour réaliser des graffitis qui sont projetés sur les murs des bâtiments ou les écrans de projection. Un exemple en est Virtual Calligraphy v0.1 / Virtual Graffiti (Figure 6)[Quoi ?]. Avec ce projet, Julien Breton ouvre les portes de son studio et transforme le monde entier en son atelier - l'intimité de l'œuvre graphique est révélée (au lieu d'un photographe, Julien Breton s'est fait aider par un groupe pluridisciplinaire d'artistes appelé Digital Slaves). On peut dire que c'est de nouveau Hassan Massoudy dans les limites du temps et des possibilités qui a tenté une expérience similaire lorsqu'il a utilisé un rétroprojecteur et des feuilles pour réaliser des calligraphies projetées sur une toile (figure 7)[Quoi ?]. L'esthétique, la géométrie, le rythme et le mouvement du texte calligraphié, écrit par Hassan Massoudy, se déroulaient en présence du public.

Il convient de mentionner plusieurs autres projets auxquels Hassan Massoudy a participé et qui sont importants pour la compréhension de l'opus de Julien Breton. La première était Arabesque[1], œuvre portée par Hassan Massoudy, l'acteur français Guy Jacquet et le musicien de oud irakien Fawzy Al-Aiedy et qui peut être caractérisée comme une performance dans laquelle chaque artiste a donné une partie de lui-même : Al-Aiedy pour la musique, Jacquet pour le théâtre et Massoudy pour la calligraphie. Ce projet a été un succès et a été présenté de façon continue à travers la France et l'Europe pendant treize ans (figure 8)[Quoi ?].

D’autres expériences d’Hassan Massoudy ont imprégné l’œuvre de Julien Breton comme cette association en 2005 avec la chorégraphe Carolyn Carlson et le musicien turc de ney Kudsi Ergüner dans le projet Métaphore[2] dans lequel le jeu d'acteur, les sons du ney et un subtil travail calligraphique ont fusionné.

Un exemple de ceci est un projet commun de Julien Breton, le danseur Malik Le Nost et plusieurs autres participants à une performance lors des Abu Dhabi Awards 2010[3]. La performance peut être décrite comme un mélange harmonieux de la danse de Malik Le Nost et de la calligraphie temps réel de Julien Breton (figure 9)[Quoi ?].

Depuis Julien Breton s’est tourné vers une autre technologie pour la calligraphie lumineuse en temps réel sur scène, grâce au travail de William Guignard et François Aenishlanlin de Studio-light-painting.

Avant ce projet à Abu Dhabi, Julien Breton a été invité à la cérémonie "Ilm Day" organisée par Islam Channel[4] à Londres en 2010. En plus de Julien Breton, le percussionniste et musicien Hussein Zahawy a contribué à la performance (Figure 10)[Quoi ?]. Il ne faut pas longtemps pour remarquer la ressemblance avec la performance d’Hassan Massoudy et Fawzy Al-Aiedy au début des années 70. La force motrice de Julien Breton et Hussein Zahawy est l'art - pendant la performance, Zahawy crée un rythme, ce qui inspire Julien Breton, afin que le calligraphe puisse écrire symboliquement le mot al-Fan (art en arabe) sur une feuille de papier.

Performances[modifier | modifier le code]

Le chorégraphe Benjamin Midonet, le peintre graffiti Saïd Boucenna, et un groupe de danseurs de hip-hop ont fondé en 2007 un groupe artistique appelé Compagnie Cortex, une sorte de projet combinant la danse, le graffiti, la chorégraphie et le DJing. Julien Breton a collaboré avec le groupe à plusieurs reprises, donnant à l'ensemble de la performance une expression complètement différente avec sa calligraphie. (Pascal, Stone et Hawley 2011).

Les mouvements des danseurs de hip-hop sous la direction du chorégraphe, les rythmes créés par les DJ, ont complètement fusionné avec la calligraphie lumineuse de Julien Breton et l'on voit que l'homme est devenu une plume, et le monde entier un papier.


Les danseurs recherchent l'harmonie de leurs corps avec les sons du hip-hop, afin d'harmoniser le rythme du spectacle. Après que le danseur ait performé, Julien Breton complète l'espace avec une calligraphie lumineuse, qui est enregistrée par le photographe avec à l'aide d'un appareil photo pendant quelques secondes. Ce projet a été suivi d'autres ayant le même objectif de combiner la lumière, la photographie, la calligraphie, la chorégraphie et la danse. Parmi les plus importants, citons le projet Turn off the light[5] (Jadikan 2019), réalisé sur scène avec des éléments dramatiques. Julien Breton a travaillé sur le projet Turn off the light[5] (composé de Razy Essid, Stephanie Naud, Dj One Up, David Gallard et Vincent Potreau) en collaboration avec Pick Up Production[6] et Stereolux.

Bien que ce soit sa première rencontre avec ce type de danse, Julien Breton a absorbé chaque mouvement des danseurs, entraînant une fermentation de sentiments d'où la calligraphie lumineuse est née. La performance a été symboliquement appelé Kathak-Kaalam.

On peut dire que le kathak a trouvé sa forme dans la calligraphie (Keimig 2017). En plus du projet avec les danseurs de kathak, Julien Breton a utilisé chaque moment libre pour faire son travail de calligraphie lumineuse dans l'ambiance mystérieuse de l'Inde. La photographie était assurée par David Gallard cette fois-ci.

Dans une de ses interviews, Julien Breton dit de lui-même : "Je suis biculturel dans la mesure où tout en étant un occidental d'origine européenne, j'ai grandi dans un quartier à dominante arabe de la région de Nantes où j'ai été imprégné de culture arabo-musulmane (Behiery 2012). Dans un premier temps, on pourrait s'attendre à ce que Julien Breton ne reste que dans le cadre de l’examen de la relation entre deux civilisations, l'Europe occidentale et le Moyen-Orient.

Au contraire, son art est comme un fluide, il prend la forme d'un vaisseau, ce qui est prouvé dans l'œuvre de Julien Breton. Pour cette raison, la calligraphie lumineuse de Julien Breton ne doit pas être considérée comme de « l’art spécifique » (Kwon 2003), car elle s'adapte à tout lieu et à tout moment. Ceci est particulièrement visible dans les collaborations qu’il a menées avec de nombreux artistes dans lesquelles on ne peut parler que d'un ensemble homogène. Le facteur initial qui a poussé Julien Breton à se tourner vers la calligraphie a été la rencontre avec les œuvres du célèbre artiste franco-irakien Hassan Massoudy.

En plus d’Hassan Massoudy, l'influence du graffeur franco-tunisien EL Seed et du designer et artiste iranien Mehdi Saeedi ont joué un rôle important. Le talent artistique de Breton lui-même a également contribué à tout cela, en interprétant tout ce qui précède à travers sa propre expression artistique. Sa calligraphie peut être qualifiée d'engagement social, et les œuvres de Julien Breton portent certainement un message, tant par le choix de citations des penseurs individuels (Khalil Gibran, Edgar Allan Poe, Lewis Carroll, etc.) que par l'écriture d'un seul mot (Lumière, Révolte, Solitude). En remplaçant la calligraphie sur papier par une calligraphie lumineuse, Julien Breton a partagé les moments intimes du calligraphe avec le public. De cette façon, la calligraphie devient une partie de l'art de la rue. La question est de savoir si Julien Breton a dématérialisé la calligraphie islamique (Lippard, Chandler 1999). Outre le fait que son art peut être qualifié de conceptuel, Julien Breton est un artiste de rue et de scène.

Le jeu corporel de Julien Breton lors de la calligraphie lumineuse a certainement toutes les qualités d'une performance. Les projets qui méritent une attention particulière sont les collaborations de Julien Breton avec des danseurs, des musiciens, des photographes et d'autres artistes. Parmi eux, Turn off the Light[5] se distingue comme une combinaison de musique, de danse, de théâtre, la calligraphie et la photographie. Turn off the Light[5] peut être qualifié de performance multicouche (Goldberg 2004). L'œuvre de Julien Breton se compose de cinq cycles : calligraphie sur papier, calligraphie lumineuse, calligraphie en 3D, calligraphie virtuelle, et performance. Jusqu'à présent, il semble que Julien Breton s’adapte avec succès à chaque nouveau support, à partir duquel une nouvelle forme émerge encore et encore. Bien que son travail ait été résumé en cinq phases, ce qui reste à venir semble plus intéressant.

Cet article est une adaptation de la traduction de l’article "Julien Breton: Maestro of Light Calligraphy"[7] de Haris Dervisevic,[8] historien d’art specialisé sur les arts islamiques de la faculté de Sarajevo.

Principaux spectacles[modifier | modifier le code]

  • Turn off the light avec Razy Essid, Stéphanie Naud et Dj One Up (2011)
  • Empreintes avec Razy Essid, Stéphanie Naud et Dj One Up
  • Méditerranée avec Meivelyan et Rohan Hussein
  • Alif and exil avec le musicien Kyriakos Kalaitzidis
  • Trait d’union du chorégraphe Amala Dianor avec Sarah Cerneau

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Festival Arabesques 2010 ● Hassan Massoudy » (consulté le )
  2. « Vidéo-clip Kudsi Erguner METAPHORE A Kudsi Erguner Project, Carolyn Carlson choreography, Hassan Massoudy calligraphy », sur musicMe (consulté le )
  3. « Abu Dhabi Awards - Virtual calligraphy live performance » (consulté le )
  4. « Islam Channel | Discover the world of Islam », sur www.islamchannel.tv (consulté le )
  5. a b c et d « Retour sur : Turn off the light », sur Institut des Cultures d'Islam (consulté le )
  6. « Pick Up Production - Accueil », sur Pick Up Production (consulté le )
  7. (en) Haris Dervišević, « Julien Breton: Maestro of Light Calligraphy », DHS-Društvene i humanističke studije: časopis Filozofskog fakulteta u Tuzli, vol. XVIII, no 18,‎ , p. 267–280 (ISSN 2490-3604 et 2490-3647, lire en ligne, consulté le )
  8. « Doc. dr. Haris Dervišević », sur www.ff.unsa.ba (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Behiery, Valerie (2012), ̋An Interview with a French Artist Julien Breton: Scripting Calligraphy with Light : http://islamicartsmagazine.com/magazine/view/scripting_calligraphy_with_light/
  • Blair, Sheila S. (2008), Islamic Calligraphy, Edinburgh University Press,Edinburgh 3. Goldberg, Rose Lee (2004), Performance: Live Art Since 1960, Thames and Hudson https://www.persee.fr/doc/bcai_0259-7373_2006_num_22_1_1025_t5_0105_0000_1
  • Islamic Arts Magazine (2009), ̋Interview, Julien Breton : http://islamicartsmagazine.com/gallery/view/julien_breton/
  • Islamic Arts Magazine (2013), ̋JZ Aamir, a Pakistani Light Calligraphy Artist ̋, Juni 3, http://islamicartsmagazine.com/magazine/view/jz_aamir_a_pakistani_light_calligraphy_artist/
  • Jadikan (2019), Les secrets du light painting, Paris, Éditions Eyrolles.
  • Keimig, Lance (2017), Night Photography and Light Painting: Finding Your Way in the Dark, Routledge, New York
  • Khoury, Nuha N. N. (2015), ̋Art ,̋ in: Reynolds, Dwight F. (Ed.), The Cambridge Companion to Modern Arab Culture, Cambridge Companions to Culture, Cambridge University Press, 191- 208.
  • Kwon, Miwon (2003), Ő ne Place After Another: Notes on Site Specificy ,̋ in: Wood, Paul (Ed.), Art of the 20th Century: A Reader, Yale University Press, New Haven – London, 213-222.
  • Lennon, John (2013), "Interview with Julien Breton”, Rhizomes, 25, http://www.rhizomes.net/issue25/lennon_breton/index.html
  • Lippard, Lucy R., John Chandler (1999), ̋The Dematerialization of Art ̋, Alberro, Alexander, Blake Smitson (Eds.), Conceptual Art: A Critical Anthology, MIT, 46-50.
  • Massoudy, Hassan, Isabelle Massoudy (2002), L’ABC daire de la calligraphie arabe, Flammarion, Paris
  • Massoudy, Hassan, Saeb Eigner (2017a), Calligraphies of love, prev. Sophie Lewis & Elisabeth Jacquette, Saqi, London
  • Massoudy, Hassan, Isabelle Massoudy (2017b), Calligraphies of the Desert, Saqi, London 15. Walker, Margaret E. (2014) India’s Kathak Dance in Historical Perspective, Ashgate Pub Co.
  • Zehra, Fatema (2011) ̋The World Enlightened – Art Profile ̋, Emel – The mu-slim life style magazine, 76, https://www.emel.com/article.php?id=80&a_id=2230&c=3&return=julien%20breton
  • Zoghbi, Pascal, Stone aka Don Karl, Joy Hawley (Eds.) (2011), Arabic Graffiti, From Here To Fame GmbH, Berlin
  • Ždralović, Muhamed (1988), Bosansko-hercegovački prepisivači djela u arabičkim rukopisima, I tom, Svjetlost, Sarajevo
  • Haris Dervisevic, Julien Breton: Maestro of Light Calligraphy, DHS 6 (18) (2021), 267-280 : https://www.ceeol.com/search/article-detail?id=1024573