Sonate K. 405
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Sonate K. 405 la majeur —   , Allegro, 97 mes.
⋅ K.404 ← K.405 → K.406 ⋅ L.42 ← L.43 → L.44 ⋅ P.437 ← P.438 → P.439 ⋅ F.350 ← F.351 → F.352 —
⋅ IX 17 ← Venise IX 18 → IX 19
⋅ XI 17 ← Parme XI 18 → XI 19
⋅ III 49 ← Münster III 50 → III 51
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La sonate K. 405 (F.351/L.43) en la majeur est une œuvre pour clavier du compositeur italien Domenico Scarlatti.
Présentation[modifier | modifier le code]
La sonate K. 405, en la majeur, est notée Allegro. Son mouvement à évoque soit la gigue, soit la tarentelle italienne, ou encore la Bulería espagnole qui peut aussi être la source d'inspiration de Scarlatti[1].
Manuscrits[modifier | modifier le code]
Le manuscrit principal est le numéro 18 du volume IX de Venise (1754), copié pour Maria Barbara ; les autres sont Parme XI 18, Münster III 50 et Vienne E 45[2].
Interprètes[modifier | modifier le code]
La sonate K. 405, peu jouée, est défendue au piano, notamment par Ievgueni Zarafiants (1999, Naxos, vol. 6) et Carlo Grante (2013, Music & Arts, vol. 5) ; au clavecin par Scott Ross (1985, Erato)[3], Richard Lester (2003, Nimbus, vol. 4) et Pieter-Jan Belder (Brilliant Classics, vol. 9) et Pierre Hantaï (2015, Mirare). David Schrader l'a enregistrée au piano-forte (1997, Cedille).
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Chambure 1985, p. 219.
- Kirkpatrick 1982, p. 470.
- Victor Tribot Laspière, « Au Château d’Assas, sur les traces de Scott Ross et de Scarlatti », sur France Musique, (consulté le )
Sources[modifier | modifier le code]
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Ralph Kirkpatrick (trad. de l'anglais par Dennis Collins), Domenico Scarlatti, Paris, Lattès, coll. « Musique et Musiciens », (1re éd. 1953 (en)), 493 p. (ISBN 978-2-7096-0118-4, OCLC 954954205, BNF 34689181).
- Alain de Chambure, « Domenico Scarlatti : Intégrale des sonates — Scott Ross », Erato (2564-62092-2), 1985 (OCLC 891183737).
Liens externes[modifier | modifier le code]
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