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Cette page est un espace de travail pour préparer un article sur « Alimentation dans la marine britannique (1650-1850) »


Résumé introductif[modifier | modifier le code]

(A1) Cadre administratif[modifier | modifier le code]

(A11) Les évolutions au long de la période[modifier | modifier le code]

  • La situation en 1650.
  • En 1683, création du « Comité pour l'avitaillement » (« Victualling Board », officiellement : « Commissioners for the Victualling of the Navy) (en) »[1]). Ce comité est un service subordonné à l'Amirauté de la Royal Navy.
  • À compter de 1731, sont éditées les « King's Regulations and Admiralty Instructions » qui réglementent le fonctionnement de la Royal-Navy. Ces instructions abordent le domaine de l'alimentation des équipages.
  • Le « Comité d'avitaillement » fonctionnera jusqu'en 1832. Il se transformera alors en « Département pour l'avitaillement » Victualling Department (Royal Navy) (en), toujours rattaché à l'Amirauté.

(A12) Organisation du « Comité pour l'avitaillement »[modifier | modifier le code]

(A121) Les fonctions[modifier | modifier le code]

  • Domaine d'intervention
  • Interlocuteurs (en amont, en aval)

(A122) Les hommes[modifier | modifier le code]

Les commissaires
L'administration
Le « Cantinier »
voir aussi : Commissaire de bord

(A123) Les procédures[modifier | modifier le code]

Réception des ordres
Passation de marchés
Production directe
  • Les structures
  • Boulangeries
  • Brasseries
  • Abattoirs
  • Tonnelleries, corderies (à vérifier)
  • Délivrance des fournitures
comment sont approvisionnés les navires
Cas des bases outre-mer

(A124) Financement[modifier | modifier le code]

(A2) Ce que mange le marin[modifier | modifier le code]

(A21) Les denrées[modifier | modifier le code]

Exemple de biscuit de mer (musée de la Marine d'Elseneur, Danemark). Celui-ci est présenté comme étant « le plus vieux » biscuit de mer connu.

Les aliments embarqués sont principalement des denrées pouvant se conserver longtemps, c'est à dire plusieurs mois. Des denrées fraîches peuvent aussi être embarquées mais, par définition, leur conservation est limitée.

(A211) Aliments solides[modifier | modifier le code]

Pain
Viandes
  • boeuf
  • lard
  • poisson
Légumes
Autres aliments
  • fromage
  • porridge
  • tablette de bouillon

(A212) Boissons[modifier | modifier le code]

  • Eau
  • Boissons fermentées
Il s'agit principalement de la bière, et accessoirement du vin.
  • Spiritueux

(A213) Apparition des conserves[modifier | modifier le code]

A la fin de la période considérée dans le présent article, la procédure élaborée par Nicolas Appert va trouver des applications pour l'alimentation des équipages. Chez les britanniques, la conserve appertisée figure dés 1814 dans la ration du matelot de la Navy, bien avant les français[2].
Il convient de préciser que les conserves Appert utilisaient des récipients en verre[3] ; que l'usage de contenants en fer-blanc sera une innovation d'outre-manche[4].

(A22) La ration journalière[modifier | modifier le code]

La ration est assez similaire à celle du marin français. Il est prévu de lui fournir, par semaine, 7 livres[note 1] de biscuit, 4 de bœuf, 2 de porc et 2 pintes de légumes secs. Il reçoit aussi 3 pintes de porridge (avoine), 6 onces de beurre et 12 de fromage. Il reçoit pour sa boisson 1 gallon de bière par jour[5],[note 2].

Les textes réglementaires précisent ce qui doit être donné au matelot par jour et la répartition sur une semaine. Ainsi, chaque jour, il doit recevoir une livre de biscuit et un gallon de bière. Ensuite, selon le jour de la semaine, d'autres denrées lui sont distribuées[5]. Le lundi, une pinte de porridge ; avec deux onces de beurre et quatre onces de fromage. Le mardi, comme le samedi, deux livres de bœuf. Le mercredi, comme le vendredi, une demi-pinte de pois secs, avec deux onces de beurre et quatre onces de fromage. Le jeudi, comme le dimanche, une livre de viande de porc avec une demie pinte de pois secs. Il doit aussi recevoir une demi-pinte, au plus, de vinaigre, répartie sur la semaine[5].

Ce système paraît très rigide, ce qu'il est, mais il offre un avantage certain pour les services d'intendance afin de déterminer les quantités à fournir en fonction du nombre de navires et de l'effectif de chacun d'eux[5].

Deux mots sur le « Short Food Allowance ».

(A23) La préparation des denrées[modifier | modifier le code]

(A231) Acquisition (marchés, fournisseurs)[modifier | modifier le code]

Le « Comité pour l'avitaillement » est l'unique fournisseur de la Royal Navy. Ce service, qui fait partie de l'Amirauté britannique, a été créé en 1683[1]. Il est alimenté par les subsides votés par la Chambre des Communes. Recevant chaque année les prévisions de l'Amirauté, il évalue les besoins et passe les marchés avec les fournisseurs.

Il possède de nombreux entrepôts mais, à la différence de la marine française, il dispose d’infrastructures propres, comme des brasseries de bière, des abattoirs, etc., pour préparer et stocker les denrées et, ensuite, approvisionner les vaisseaux.

Ce service doit aussi fournir le ravitaillement des unités de l'armée transportées par la marine ; Il doit aussi fournir de quoi nourrir les condamnés à la déportation. Comme ces personnes ne sont pas comprises dans les sommes votées, cela contribuera aux problèmes financiers récurrents du « Comité pour l'avitaillement ».

(A232) Stockage et préparations[modifier | modifier le code]

Stockage à terre
Le Comité pour l'avitaillement dispose de ses propres infrastructures. Ainsi, en plus de son rôle de dépôt d'approvisionnements, le site de Portsmouth dispose de boulangeries et d'abattoirs[7]. Il dispose aussi d'une brasserie de bière[7].
Préparations de denrées
Exemple
boulangeries
Exemple
Brasserie.
Données de tonnellerie
Exemples de tonneaux anglais.
L'élément standard de stockage de l'époque est le tonneau. Il en existe de nombreuses formes, de volumes différents. Ainsi, pour donner quelques exemples, un « tun » est un tonneau de 250 gallons environ[note 3] (1 125 litres) ; un « half-hogshead » contient, lui, environ 26 gallons ; un « firkin », 56 livres de beurre ou 9 gallons de bière[9].
Pour donner une idée du contenu, prenons l'exemple du « hogshead ». Ce tonneau de 54 gallons peut contenir 124 morceaux de bœuf salé (4 livres pièce) ; ou 220 morceaux de porc salé (2 livres pièce)[10]. On rappellera qu'un matelot reçoit par jour 2 livres de bœuf ou 1 livre de porc.
Les tonneaux sont fabriqués par le Comité pour l'avitaillement mais, à certaines époques, les difficultés d'importations de merrains limitèrent la production[11]. Des marchés peuvent être passés auprès de fournisseurs privés[12]. Pour donner une idée, encore, de l'importance de ces fournitures, on précisera qu'en novembre 1771 et un peu plus d'une année, les seuls arsenaux londoniens du Comité d'Avitaillement auront réceptionné 37 483 tonneaux et 72 146 merrains[13].

(A24) L'emport des denrées[modifier | modifier le code]

(A241) Nourriture fraîche[modifier | modifier le code]

« Rafraîchissements »
Animaux
Emport de bétail et volailles (HMS Deal Castle  (en), 1775).

Des animaux vivants sont embarqués pour être consommés au cours de la croisière. On donnera deux exemples.

  • HMS Elizabeth (3e rang, Guerre de Sept Ans) : 71 bœufs embarqués[14] ;
  • Escadre de Hawke (même période) : chaque bâtiment a embarqué une douzaine de bœufs et une quarantaine de moutons[14].

.

(A242) Lieux de stockage à bord[modifier | modifier le code]

  • Eau potable, bière
L'eau douce est stockée dans une cale qui lui est dédiée.
En 1809, la marine britannique décide, pour le stockage de l'eau, de remplacer les tonneaux en bois par des caisses de tôle[11]. La marine française n'adoptera un système similaire qu'en 1825[15].
Le vin n'est pas la boisson principale du matelot anglais, il n'est fourni que si la bière vient à manquer. Cette bière, légère[16], est fournie à raison d'un gallon (4,5 litres environ) par jour à chaque matelot[note 4].
  • Biscuit, légumes secs
Chez les britanniques, le biscuit est stocké en sacs, dans des compartiments en bois, similaires à ceux utilisés par les français. Ces compartiments sont disposés à l'arrière de l'entrepont (« orlop-deck »), lieux réputés moins humides.
Les légumes secs (peas[note 5]) sont stockés à proximité des soutes à biscuit.
  • Viandes
Les tonneaux de viande salée sont rangés dans une cale, en arrière de la cale à eau.

(A243) Manutention journalière[modifier | modifier le code]

tonneaux empilés dans une cale
fûtailles dans la cale du HMS Victory

(A244) Quantités embarquées[modifier | modifier le code]

Si on prend l'exemple d'un vaisseau de 50 canons, HMS Rochester, qui va prendre la mer en 1757, les quantités embarquées, pour quatre mois de mer et un équipage de 350 hommes, sont les suivantes[19] :

Type et quantité[note 6]
Denrées Denrées
bœuf salé (17 « puncheons ») légumes secs (20 « hogsheads »)
Porc salé (18 « puncheons ») Biscuit (140 sacs)
graisse de rognon (6 « barrels ») Beurre (60 « firkins »)
Vinaigre (7 « barrels ») Fromages (53 unités)
Farine (27,5 « barrels ») charbon (15 « chaldrons[note 7] »)
Gruau d'avoine (18,5 « barrels ») Bois de chauffe (18 cordes)

En ce qui concerne l'eau et la boisson, on prendra l'exemple d'un autre vaisseau de 4e rang, HMS Salisbury, en 1770 qui emporte, pour trois mois et 280 hommes d'équipage, les quantités suivantes. La rangée de tonneaux la plus basse comprend 150 « butts[note 8] », 23 « puncheons » et 20 « hogsheads » ; la rangée intermédiaire, 28 « butts », 42 « puncheons », 36 « hogsheads » et 24 « half-hogsheads » ; la rangée supérieure, 127 « butts » contenant la bière[22].

(A245) Conservation à bord[modifier | modifier le code]

  • conservation attendue
L'ensemble des denrées conservées à bord doit faire l'objet d'une surveillance attentive de la part du responsable.
Cependant, des altérations plus ou moins graves ne peuvent être évitées.
  • conservation altérée (parasites, rats)
  • les procédures de rejet des denrées altérées

(A25) Le gestionnaire à bord[modifier | modifier le code]

À la différence des français, le responsable de la gestion des denrées alimentaires est un officier-marinier (« warrant-officer »), au même titre que le maître-charpentier ou le maître-armurier du navire. Le cantinier « Purser (Marine) (en) ».
  • Rôle sur le navire
  • Fonctions (principales, secondaires)
  • Aspects financiers

(A26) Ravitaillement à la mer[modifier | modifier le code]

L'apport aux escadres en mer de nourriture fraîche, est mis en place lors de la Guerre de Sept Ans.

  • Finalités
  • Modalités

(A3) Comment mange le marin[modifier | modifier le code]

(A31) Les repas[modifier | modifier le code]

nombre, horaires
Menus
organisation matérielle
HMS Victory. Le matelot anglais mange attablé ; pas le matelot français.
Dans les deux marines, les matelots sont réunis par petits groupes. « Plat » de 7 matelots chez les français[23], « Mess » chez les britanniques[24]. Un « mess » varie autour du même nombre de personnes[25],[note 9]. Un marin peut changer de groupe, en respectant la procédure prévue. Par exemple, c'est possible une fois par mois sur autorisation du premier lieutenant pour les anglais[25].

(A32) Préparation des repas[modifier | modifier le code]

(A321) Distribution des vivres[modifier | modifier le code]

cambuse description
rythme des distributions

(A322) cuisine[modifier | modifier le code]

  • Les cuisiniers

Le cuisinier est un membre de la Navy. Aucune qualification n'est requise, juste la possession d'un mandat (« warrant »). Cet emploi est aussi réservé de préférence aux pensionnaires de l'hôpital maritime de Greenwich, ce qui favorisera l'image du cuisinier à la jambe de bois[26].

Le commandant du navire peut avoir son propre cuisinier, voire ses cuisiniers[27]. Les officiers peuvent aussi avoir le leur[27].

L'emplacement de la cuisine est généralement situé sur l'avant du navire, derrière le mât de misaine, juste avant le gaillard d'avant[28]. Au début de la période considérée, elle se compose d'un foyer entouré d'un appareillage de briques, sur lequel on place une marmite de cuivre[29]. Le choix du cuivre est un choix per défaut ; on lui attribue une responsabilité dans l'apparition du scorbut mais les ustensiles en fer ne résistent pas à la corrosion[29].

Dans les années 1740, on va rajouter, sur le côté ou l'arrière du foyer, d'autres structures (toujours derrière des murs de briques) permettant de griller ou de cuire au four[30].

Chaudière Brodie sur HMS Victory. On distingue le grill et, sur le dessus, les poignées des couvercles des marmites servant pour l'équipage

Le poids et l'encombrement des structures en briques va conduire à l'apparition de fourneaux en métal. La première application date de 1728 et est généralisée en 1757[30]. En 1781, un monopole est accordé à Alexander Brodie qui fournit des appareils de cuisson en tôles boulonnées[31]. Le modèle prévu pour les vaisseaux de 74 canons a deux mètres de haut et 2,50 mètres de côté[32]. Il présente, sur l'avant, deux marmites servant à la cuisson des aliments pour l'équipage[31]. Sur l'arrière, il présente un grill et, sur un côté, des fours ; ces éléments servant à la préparation des plats pour les officiers[31]. Il est chauffé au charbon de bois ou de terre[31],[note 10].


(A323) distribution des denrées cuisinées[modifier | modifier le code]

Ustensiles

(A33) Aspects sanitaires[modifier | modifier le code]

Un régime alimentaire carencé
La ration journalière semble suffisante.
Conséquences sanitaires

Si les anglais adoptent le jus de citron dès 1795, les français ne le feront qu'en 1856.

  • Les « Fièvres putrides »
Alimentation des malades
  • « Portable soup »[33].

(A4) Le cas des officiers[modifier | modifier le code]

(A41) Cadre réglementaire[modifier | modifier le code]

Contrairement à leurs homologues français, les officiers britanniques sont comptés au nombre des rationnaires et perçoivent donc la même nourriture que les matelots[34]. Ils peuvent cependant embarquer leurs provisions personnelles.

Il est d'usage que les officiers se constituent en « mess ». L'un d'entre eux est choisi comme gestionnaire et gère un pécule constitué par les cotisations des membres. Ce gestionnaire s'occupera des achats des denrées voulues par les officiers (pour donner un exemple, l'achat des animaux vivants (volailles, moutons,etc., des boissons). Un système équivalent est généralement mis en place par les « midshipmen ».

Le montant des cotisations peut être élevé si comparé à la solde perçue. Il est préférable que l'officier dispose d'une fortune personnelle ou, à tout le moins, que sa famille le finance.

Domestiques autorisés [35]

(A42) Cuisine[modifier | modifier le code]

(A43) Comment mange l'encadrement[modifier | modifier le code]

 À faire

(A431) Le commandant[modifier | modifier le code]

(A432) Les officiers[modifier | modifier le code]

(A433) Maistrance[modifier | modifier le code]

(A434) Autres personnes rattachées à l'encadrement[modifier | modifier le code]

(A5) Pour la Marine marchande[modifier | modifier le code]

Pour comparaison, nous donnerons ici un aperçu de l'alimentation du marin des grandes compagnies marchandes au XVIIIe siècle.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Pour rappel, une livre britannique pèse un peu plus de 450 grammes ; une pinte donne un peu plus d'un demi-litre et une once correspond à un vingtième de livre.
  2. Cela semble beaucoup mais est similaire à ce qui est fourni, à l'époque, aux serviteurs de la noblesse anglaise (et de la cour royale de Suède)[6]
  3. Environ, car il contient 216 gallons de bière ou 252 gallons de vin[8].
  4. Petite particularité toute britannique, le gallon fourni est calculé comme une quantité de vin (« Wine measure »). C'est à dire 5/6e d'un gallon normal, soit 3,5 litres environ[17].
  5. Il s'agit de variétés de Pisum Sativum[18].
  6. Contenances en gallons (4,5 litres, abréviation « gal ») : « Puncheon » = 72 gal ; « Hogshead » = 54 gal ; « Barrel » = 36 gal ; « Firkin » = 56 lb. La « corde », pour le bois de chauffe, représente environ 3,62 m3.
  7. « Chaldron » était une mesure spécifique pour le charbon de terre, variant selon les lieux et pesant 3 100 livres environ à Londres[20].
  8. Ce type de tonneau a une contenance de 108 gallons, soit 500 litres environ[21].
  9. Pour donner un exemple, HMS Victory, avec un équipage de plus de 800 hommes, avait 165 mess. Ce qui donne environ 5 personnes par mess[25].
  10. HMS Victory embarque environ 50 tonnes de charbon pour les besoins de la cuisine.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Macdonald 2010, p. 1.
  2. Dartigues 1991, p. 15.
  3. Dartigues 1991, p. 13.
  4. Dartigues 1991, p. 14.
  5. a b c et d Mcdonald 2010, p. 18.
  6. C.S.L. Davies, Les rations alimentaires de l'armée et de la marine anglaise au XVIe siècle, Annales ESC, 1963, n° 1, page 140.
  7. a et b Macdonald 2010, p. 45.
  8. Madonald 2006, note 2, p. 174.
  9. Madonald 2006, p. 174-175.
  10. Rif Winfield, The 50-Gun Ship, Londres, 2001, Caxton Editions, page 115, Tableau 120.
  11. a et b Macdonald 2010, p. 21.
  12. Roger Morriss, « The supply of casks and staves to the Royal Navy, 1770-1815 », 2007, The Mariner's Mirror, vol. 93, n° 1, pages 43-50.
  13. Morriss, op. cit., page 44.
  14. a et b Buchet 1999, p. 77.
  15. De Fonssagrives 1856, p. 466.
  16. Macdonald 2006, p. 40.
  17. Macdonald 2006, p. 174.
  18. Macdonald 2006, p. 33.
  19. Rif Winfield, The 50-Gun Ship, Londres, 2001, Caxton Editions, page 115, Tableau 121.
  20. Charles Hutton, A Philosophical and Mathematical Dictionary, 1815, page 302 ,[1].
  21. Rif Winfield, op.cit., page 115, tableau 120.
  22. Rif Winfield, op.cit., page 116, tableau 122.
  23. Fournier 2007, p. 92.
  24. Macdonald 2006, p. 100.
  25. a b et c Macdonald 2006, p. 109.
  26. Mcdonald 2006, p. 104.
  27. a et b Lavery 1989, p. 140.
  28. Lavery 1987, p. 195.
  29. a et b Lavery 1987, p. 196.
  30. a et b Lavery 1987, p. 197.
  31. a b c et d Lavery 1987, p. 199.
  32. Lavery 1987, p. 198.
  33. Layinka Swinburne, « Dancing with the Mermaids: Ship's Biscuit and Portable Soup », in Harlan Walker (ed.), Food on the Move (Totnes, 1997), pp. 309–320.
  34. Macdonald 2006, p. 121.
  35. Macdonald 2006, p. 127.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Articles[modifier | modifier le code]

En français[modifier | modifier le code]

  • Bernard Dartigues, « Nicolas Appert Ses rapports avec la Marine », Cols Bleus, 1991, n° 2147, pp. 12-15 ; [2]. Document utilisé pour la rédaction de l’article

En anglais[modifier | modifier le code]

  • Karen McBride, Tony Hines, Russell Craig, « A rum deal: The purser’s measure and accounting control of materials in the Royal Navy, 1665–1832 », Business History, 2016, vol. 58 n°6, pp. 925-946, DOI: 10.1080/00076791.2016.1153068 [3]
  • Janet Macdonald, Colin Jones, « The Introduction of Iron Water Tanks in the Royal Navy », 2009, The Mariner's Mirror, vol. 95, n° 2, pages 215-219,
  • Douglas W Allen, « “The Lesser of Two Weevils”: British victualling organization in the long eighteenth century », 2017, European Review of Economic History, n° 22, pages 233-259.
  • Roger Morriss, « The Supply of Casks and Staves to the Royal Navy, 1770–1815 », 2007, The Mariner's Mirror, vol. 93, n° 1, pages 43-50.

Ouvrages[modifier | modifier le code]

En français[modifier | modifier le code]

  • Christian Buchet, Marine, économie et société. : Un exemple d’interaction : l'avitaillement de la Royal Navy durant la Guerre de Sept Ans, Paris, Honoré Champion, , 430 p. (ISBN 978-2745301246).

En anglais[modifier | modifier le code]

  • (en) Janet Macdonald, British Navy's Victualling Board, 1793-1815 : Management competence and incompetence, Woodbridge, The Boydell Press, , 264 p. (ISBN 978-1843835530). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Janet Macdonald, Feeding Nelson's Navy : The True Story of Food at Sea in the Georgian Era, Londres, Chatham Publishing, , 279 p. (ISBN 978-1861762887). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Dudley Pope, Life in Nelson's Navy, Londres, Chatham Publishing, , 279 p. (ISBN 978-1861760340).
  • (en) Brian Lavery, The Arming and Fitting of English Ships of War : 1600 - 1815, Londres, Conway Maritime Press, , 319 p. (ISBN 978-0851774510).
  • (en) Brian Lavery, Nelson's Navy : The ships, Men and Organisation 1793-1815, Londres, Conway Maritime Press, , 352 p. (ISBN 978-0851775210), p. 194-212.
  • (en) N.A.M. Rodger, The Wooden World : An Anatomy of the Georgian Navy, Londres New York, W.W. Norton & Co Ltd, , 445 p. (ISBN 978-0393314694), p. 82-112.
  • (en) N.A.M. Rodger, The Command of the Ocean : A Naval History of Britain, 1649-1815, Londres, Penguin Books, , 907 p. (ISBN 978-0141026909), Chap. 3, 7, 12, 19, 24 et 31.
  • (en) Roger Knight et Martin Wilcox, Sustaining the fleet 1793-1815 : War, the British Navy and the Contractor State, Woodbridge, The Boydell Press, , 251 p. (ISBN 978-1843835646).

Documents plus anciens[modifier | modifier le code]

Dictionnaires[modifier | modifier le code]

Ouvrages[modifier | modifier le code]

  • Jean-Baptiste de Fonssagrives, Traité d'hygiène navale : ou de l'influence des conditions physiques et morales dans lesquelles l'homme de mer est appelé à vivre et des moyens de conserver sa santé, Paris, J-B Baillière, , 770 p. (lire en ligne). Document utilisé pour la rédaction de l’article

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Liens internes (articles connexes)[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • King'Regulations & Admiralty Instructions 1731 [4]
  • Institute of Nautical Archeology [5]