Avenue de la Roseraie
L'avenue de la Roseraie vue du chemin Michoun. | |
Situation | |
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Coordonnées | 43° 37′ 26″ nord, 1° 28′ 06″ est |
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Haute-Garonne |
Métropole | Toulouse Métropole |
Ville | Toulouse |
Secteur(s) | 4 - Est |
Quartier(s) | Roseraie |
Début | no 7 rue Théodore-Lenotre |
Fin | no 60 chemin Michoun |
Morphologie | |
Type | Avenue |
Longueur | 553 m |
Largeur | 10 m |
Transports | |
Métro | (à proximité) |
Bus | 1936 (à proximité) |
Odonymie | |
Nom actuel | 1932 |
Nom occitan | Avenguda de la Roseda |
Histoire et patrimoine | |
Création | 1932 |
Notice | |
Archives | 315556025655 |
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L'avenue de la Roseraie (en occitan : avenguda de la Roseda) est une voie publique de Toulouse, chef-lieu de la région Occitanie, dans le Midi de la France. Elle traverse le quartier du même nom, dans le secteur 4 - Est.
Situation et accès[modifier | modifier le code]
Description[modifier | modifier le code]
La chaussée compte une voie dans chaque sens de circulation. L'avenue de la Roseraie est définie comme une zone 30 et la vitesse y est limitée à 30 km/h. Il n'existe pas de piste, ni de bande cyclable.
Voies rencontrées[modifier | modifier le code]
L'avenue de la Roseraie rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants (« g » indique que la rue se situe à gauche, « d » à droite) :
- Rue Théodore-Lenotre
- Rue des Orchidées
- Rue des Primevères
- Rue des Capucines
- Place Rosine-Bet (g)
- Rue des Pervenches (d)
- Rue des Balsamines (d)
- Rue des Anémones (g)
- Rue des Amarantes (g)
- Rue des Nénuphars (g)
- Chemin Michoun
Transports[modifier | modifier le code]
L'avenue de la Roseraie n'est pas directement desservie par le réseau de transport en commun Tisséo. Elle est cependant parallèle à l'avenue du Président-Doumergue et perpendiculaire au chemin Michoun, parcourus tous deux par la ligne de bus 19. Plus loin, le long de l'avenue de Lavaur se trouvent les arrêts de la ligne de bus 36. Enfin, au sud, sur la place de la Roseraie se trouve la station de métro du même nom, sur la ligne .
Les stations de vélos en libre-service VélôToulouse les plus proches sont les stations no 184 (70 chemin Michoun), no 185 (30 rue Roubichou) et no 216 (3 rue Jean-Houdon).
Odonymie[modifier | modifier le code]
L'avenue, qui forme l'axe principal du nouveau quartier de la Roseraie, en a pris naturellement le nom[1].
Histoire[modifier | modifier le code]
Patrimoine et lieux d'intérêt[modifier | modifier le code]
Lotissement de la S.I.T.E.E.V.[modifier | modifier le code]
Le lotissement est créé le 1er décembre 1930 par la Société immobilière toulousaine pour l'extension et l'embellissement de la ville (S.I.T.E.E.V.), constituée pour l'aménagement des nouveaux quartiers de la Roseraie et de Jolimont[2]. Le premier est délimité entre la rue de Caumont et le chemin des Argoulets à l'est, l'avenue de Lavaur au sud, l'avenue Joseph-Le Brix et le chemin Michoun à l'ouest, l'avenue de la Roseraie, la rue Théodore-Lenotre et la route d'Agde au nord.
- no 34 : maison (deuxième moitié du XXe siècle).
- no 38 : maison (deuxième moitié du XXe siècle).
- no 54 : maison (deuxième moitié du XXe siècle).
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Salies 1989, vol. 2, p. 378.
- Salies 1989, vol. 2, p. 39-40.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Pierre Salies, Dictionnaire des rues de Toulouse, 2 vol., éd. Milan, Toulouse, 1989 (ISBN 978-2-8672-6354-5).
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Inventaire préliminaire de la ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse (consulté le ).
- Inventaire général du patrimoine culturel d'Occitanie, sur le site Ressources patrimoines - La médiathèque culturelle de la Région Occitanie (consulté le ).