Discussion:Camp de sûreté de Vorbruck-Schirmeck
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Votre aide est la bienvenue pour corriger les liens, présents dans l'article, vers les pages d'homonymie Haslach ⇒ Quelques explications pour effectuer ces corrections. -- 28 mars 2022 à 15:37 (CEST)
SD != SS ?[modifier le code]
Dans le texte on lit "L'initiative en revient aux SD et non aux SS." . AFAIK, le SD faisait parti de la SS, formant les Amt III et V du RSHA. On ne peut donc les opposer. Potemkine (d) 4 mars 2010 à 17:34 (CET)
OK rectifié, merci. Vous êtes invité à corriger par vos soins.Apfelstrudel (d) 9 décembre 2010 à 23:27 (CET)
Sources gardienne en chef[modifier le code]
Pourrait on avoir les sources permettant d'avancer que:
Au fond se situe le camp des femmes, dont la gardienne en chef fut une Alsacienne.
- Lisez les sources citées en fin d'article.
- http://archeographe.net/node/446
- "Il (Buck) s'était entouré d'un personnel sans scrupule, parmi lequel Marie-Louise Lehmann, une Alsacienne, qui tenait en main le camp des femmes".
- Sinon vous trouverez facilement :
- " ...ce tortionnaire (Buck) est secondé par une Alsacienne, Marie-Louise Lehmann, qui dirige sans pitié le camp des femmes."
- La Gestapo et les Français de Dominique Lormier ed Flammarion. (ISBN 2756405892)
- Chapitre L'Alsace sous les coups de la Gestapo. Apfelstrudel (discuter) 1 septembre 2015 à 00:08 (CEST)
--B(l 3 PP W (discuter) 1 octobre 2017 à 14:28 (CEST)== Nombre de détenus ==
"Globalement 18 500 Alsaciens ont été, à un moment donné, arrêtés par la police allemande pour une période relativement longue. On estime que l'Alsace a eu proportionnellement sept fois plus d'internés et de déportés que le reste de la France, et ce sont les réfugiés en zone libre (juifs et tziganes surtout) qui paient le plus lourd tribut à la déportation". GRASSER Jean-Paul, Une histoire de l'Alsace, Editions Jean-Paul Gisserot, 2013, p. 105. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par B(l 3 PP W (discuter), le 9 janvier 2016 à 16:29 (CET) Il ne s'agit ici que d'Alsaciens. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par B(l 3 PP W (discuter), le 9 janvier 2016 à 16:25 (CET)
Euuuh ... je ne crois pas qu'il y ait eu de déportations en zone libre.
- Tu veux un p'tit vichy ? du debut - "Des l'armistice de 1940, il avait fallu livrer a Hitler des refugies politiques allemands qui avaient trouve asile en France apres 1933. Mais rapidement, le regime de Vichy anticipa les demandes allemandes, en particulier en ce qui concerne les mesures antisemites. A partir de juin 1941, lorsque la resistance communiste commenca a se livrer a des attentas contre les troupes d'occupation, les autorites de Vichy, soumises par la Allemands au chantage d'execution d'otages pris indistinctement, se firent elles-memes des agents de la repression". Michel Mourre, Dictionnaire encyclopedique d'histoire, p. 2240. - Milice francaise Joseph Darnand janv. 1943 a la fin - les rafles dans les Maquis qui se soldent par des deportations - etc, etc, etc... — Le message qui précède, non signé, a été déposé par B(l 3 PP W (discuter), le 1 octobre 2017 à 14:06 (CEST)
Utilisation du camp dans les années 50-60[modifier le code]
Ayant vécu dans le coin de Schirmek (et mon grand-père ayant participé à la libération du Stuthof), j'ai eu ouï dire de la part d'Alsaciens que le camp de Schirmek a aussi servi dans les années 50-60, notamment pour l'internement des gens de l'OAS.