Discussion:Presse et édition dans l'affaire Dreyfus

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Corrections à venir[modifier le code]

Il y a pas mal d'inexactitudes, d'approximations et de manques dans cet article. Je le corrige en commentant ici :

Dans contexte : "On peut constater que l'immense majorité des titres de presse, entre les années 1894 et 1906, c'est-à-dire tout au long de l'Affaire, est antidreyfusarde. Dans l'édition, c'est tout le contraire, car à l'inverse de la presse, les éditeurs sont très favorables à la cause dreyfusarde." Cela n'est pas d'une grande utilité ici (puisque développé) à la suite et pas tout à fait exact. L'immense majorité de la presse est antidreyfusarde mais plus en 1906... Les choses changent et nombreux sont les journaux anti qui deviennent pro en 1898, 1900, 1903 puis 1906. Quant à l'édition, il n'est pas exact de dire qu'ils sont majoritairement dreyfusard. C'est le contraire. l'auteur fait ici une mauvaise interprétation de l'intro de l'article de Mollier qui est à la base de son travail > Je propose de supprimer cette phrase.

Les interventions de la presse dans l'affaire Dreyfus. Quelques dates importantes à ajouter. cette phrase : "Le 13 septembre, Paul de Cassagnac, plume antisémite, exprime le sentiment général dans un article de L'Autorité intitulé « Le Doute »" est inexacte (sentiment général ???), je la corrige.

L'édition à la fin du XIXe siècle. Inspiré de Mollier. > Je déplace la note à la fin du paragraphe.

La presse dans l'affaire Dreyfus. J'ajoute ici, par période, un panorama des journaux avec leur tirage et leur changement d'orientation.

L'édition dans l'affaire Dreyfus. Je corrige cette phrase inexacte : "Ceci est dû au fait que les grands éditeurs parisiens sont très favorables à la réhabilitation de Dreyfus". J'enlève ici les deux noms n'ayant pas publié à l'époque : "On peut citer outre Bernard Lazare et Émile Zola, des écrivains comme Octave Mirbeau, Anatole France, Marcel Proust, Lucien Herr (bibliothécaire de l'école normale supérieure). C'est aussi le moyen d'expression central du monde politique avec de nombreux ouvrages écrits par Georges Clemenceau, Jean Jaurès ou Léon Blum pour n'en citer que quelques-uns." Herr et Proust. Idem pour Blum à la suite.

Je corrige aussi cette phrase tout à fait inexacte : "Il n'existe, en effet, quasiment plus d'éditeur acceptant de publier des brûlots extrémistes, au moment où débute l'affaire Dreyfus." LA suite est tout aussi fausse : Maurras, Barrès, Lemaitre, Quesnay de beaurepaire, de Mun, Pujo, Soury, Renauld, Drumont, Rochefort, Cassagnac publièrent des volumes.

Presse catholique[modifier le code]

Pour lever toute ambiguïté, de La Croix, je n'ai pas publié la liste de ces infâmes journaux antidreyfusards pour en faire la pub, mais par repentance sans prescription. J'approuve totalement l'ordre (tardif) du 17 mars 1900 du pape Léon XIII faite aux assomptionnistes de se retirer de La Croix (googlebook). Cdt, Speltdecca (discuter) 10 janvier 2019 à 03:55 (CET)[répondre]

  • Dreyfusarde :
    • Comité catholique pour la défense du droit de Paul Viollet et dont l’audience est faible.