Discussion:Question royale

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Je ne veux pas révoquer tous vos changements cher Effco mais la Consultation populaire est bien un référendum consultatif: j'avais mis ce mot dans la mesure où la plupart des habitants de la Francophonie n'usent pas du mot "Consultation populaire", terme cependant auquel je tiens aussi car il appartient à notre histoire... Qu'en pensez-vous?

Par ailleurs, l'Encyclopédie du Mouvement wallon est une réfrence que l'on ne peut exclure...

Cordialement,

Utilisateur: José Fontaine 7/8/6 19h.

Les motivations de Léopold III quant à son retrait nous sont totalement inconnues. Plusieurs hypothèses peuvent être soulevées: crainte de voir le pays divisé, certes; mais, tout aussi bien, volonté de préserver l'héritage de la famille Saxe-Cobourg qui aurait bien évidemment fondu à l'instauration d'une République. Alors parler de "se sacrifier", ben c'est prématuré, pas neutre, et non démontrable.

D'accord avec cela. On pense cependant que pour le roi, dès le moment où le gouvernement faisait éclater publiquement le désaccord avec celui-ci, politiquement il se découvrait lui-même et risquait d'apparaître comme celui qui ordonnait de tirer sur la marche vers Bruxelles, situation impossible. C'est bien expliqué dans 'A l'attention de sa Majesté le Roi (paru l'an passé). José Fontaine 1 avril 2007 à 00:39 (CEST)[répondre]
A noter que "la tendance autoritaire du roi" est d'une subjectivité sans égal !


On oublie trop souvent l'influence des français qui flétrirent le roi (on se souviendra du discours de Reynaud suite à la capitulation) et de l'attitude fort peu courageuse de nos ministres qui tous se désolidarisèrent du roi.
Le discours de Reynaud devrait ête dans Bataille de la Lys (1940). Le problème des ministres est qu'ils n'étaient pas d'accord avec le roi et que pour eux se désolidariser de lui demandait peut-être un certain courage: jusqu'alors, il faut admettre que personne ne s'était jamais opposé au roi publiquement. Bien cordialement, José Fontaine 15 septembre 2007 à 17:09 (CEST)[répondre]
Je regrette mais si j'en crois l'ouvrage de Jo Gérard Léopold III, un Roi trahi , mentionne un discours prononçé par Pierlot à la radio française (le 28 mai) , dûment rectifié par Reynaud :" Le Roi vient d'ouvrir des négociations avec l'ennemi ... La Belgique sera frappée de stupeur, mais la faute d'un homme ne peut être imputée à la nation entière". Et de rajouter :"Notre armée n'a pas mérité le sort qui lui est fait". Pierlot rectifiera le tir par la suite mais il n'aura fait là qu'obéïr à la vindicte de Reynaud.
Le courage à ce moment eut été plutôt de défendre le Roi que de céder à l'opinion et à la "thèse" française (à savoir faire porter le chapeau aux belges). M. Van Cauwelaert, M. Spaak et cie vont donc tous cédé aux français. L'un l'accuse d'avoir "brisé net" l'honneur militaire et "abandonné son trône à l'ennemi", l'autre déclare avoir trouvé la raison du Roi "Folle, sotte, plus ; criminelle parce qu'elle dénotait chez lui un effondrement du sens moral qui nous a épouvanté". Hors ces hommes ne pouvaient pas ne pas connaître la situation extrêmement critique de l'armée et des réfugiés belges le 28 mai. Il est tout à fait hors de question de parler de courage. Au mieux peut'on parler de désarroi, au pire de lâcheté (préçisons que l'acceuil français ne donnait aucune garantie de sécurité à aux politiciens belges).
Quant à l'entrevue de Wyenendale, tous les témoins en ont une version différente.
Cordialement (Je précise tout de même que Jo Gérard ne cache pas ses sympathies pour Léopold III mais il n'en demeure pas moins un historien.)

Juste une chose, avec le recul, on ne peut que constater que le drame de Grâce-Berleur, c'est la veille de son abdication--Breugelius (d) 2 août 2010 à 21:12 (CEST) ...[répondre]

Rectification mineure[modifier le code]

De 1947 à 1949 : Gouvernement PSB-PCB (et non PSC-PCB) non c'est PSC-PSB.

Un gouvernement PSB-PCB n'aurait pas eu je crois une majorité parlementaire: en outre: les communistes (sauf erreur de ma part), même alors, n'avaient pas d'élus en Flandre (et je pense qu'ils n 'en ont jamais eus). José Fontaine 13 novembre 2007 à 11:04 (CET)[répondre]
J'ai commis deux petites modifications portant atteinte à la neutralité du texte. D'abord, préciser comme le maréchal Pétain n'apporte qu'un intérêt négatif et sous entend une comparaison qui n'est pas de mise ici. ensuite, l'article reprend des accusations anti-léopoldistes qu'ils essayent toujours de prouver au sujet de la prétendue attitude collaborationiste du roi, en réalité, une attitude de neutralité qu'il avait déclarer prendre quand il se constitua prisonnier.

Le reste de l'article mérite une sérieuse révision car il souffre d'énormes défauts et de manques.Wombi (d) 4 mai 2008 à 20:16 (CEST)[répondre]

Cet article fait toujours autant la part belle aux anti-léopoldistes : -La façon dont est présentée la mise en impossibilité de règner du roi : on pourrait croire que le gouvernement "puni" le roi en votant cette impossibilité. Il n'en est rien. Le roi fut le premier à se déclarer dans l'impossibilité de règner du fait de son statut de prisonnier. -Le gouvernement belge qui condamne la capitulation le fait sous l'influence, on peut même parler de menace, de la France et des Français. Je rappelle que Reynaud n'hésita pas à faire porter le chapeau de la débacle aux Belges et nos courageux politiciens ne se posèrent pas de questions entre leur salut et leur honneur. Il ne s'agit donc en rien d'un processus démocratique mais d'une entourloupe visant visant à accréditer l'idée d'un roi aux tentations autoritaires. -Le gouvernement belge n'est pas à Limoge, il est un peu partout dans la nature (abandonnant parfois lachement leur poste et heureux de voir leur lâcheté oubliée par la Question, le taire serait oublier une des grosses motivations des anti) et ses principaux ministres sont proches (géographiquement) du roi (Pierlot et Spaak entre autres). -Le remariage du roi n'a absuloment pas mécontenté les Belges pendant la guerre. Ce sont les socialistes qui vont manipuler l'opinion à tel point qu'encore aujourd'hui,en Wallonie, nombreuses sont les personnes qui résument et limite ainsi la Question, ignorant tout des tracasseries politiques. J'en veux pour preuve que ce remariage ne fut qu'anecdotiquement évoqué lors des débats au parlement. -Les incidents de la bataille de la Lys ? Quels incidents ? La plus grande majortié des militaires (Belges comme alliés) savaient la capitulation inéluctable. La discussion porta essentiellement sur la personne du roi et son devenir. Le roi désirant suivre l'image de son père (Albert Ier) et rester avec son armée (donc prisonnier) et d'autres (Belges comme alliés) lui demandant de passer en Angleterre. -C'est bien gentil de citer l'encyclopédie du mouvement wallon mais il serait plus convenable de ne pas négliger qui soutint ce projet : le PS belge à la probité partout reconnue hum hum

- Nul part il n'est question des aveux -fort tardifs- de Spaak, étonnant.

-Un fossé se creuse entre les représentants du peuple ... Ha bon, depuis quand un ministre est-il représentant du peuple ? Il n'est pas élu que je sache. Alors la prose stalinienne, oublions. C'est d'autant plus partisan que Pierlot, Spaak et d'autres s'excuserons pendant mais aussi longtemps après la guerre, de leur conduite opportuniste.

-La Belgique capitule le 28 mai, il est absurde de parler de "juin 1940".

-Que viennent faire ici les engagements différenciés entre flamands et wallons dans la Réistance ? Ne serait-ce pas là une occasion de taper sur les Flamands car si la Wallonie fut plus résistante, n'oublions Degrelle et sa SS Wallonie qui fut pas mal non plus. Il en va de même de la politique nazie favorisant les Flamands. Elle a sa place dans un article sur les querelles linguistiques belges mais pas dans la Question royale. Les prisonniers de retour d'Allemagne n'avaient aucuns griefs particuliers à reprocher au roi, bien au contraire (cfr son action humanitaire).Ici, le problème n'a aucune cause linguistique, il n'en aura que des conséquences. Le vote dépend avant tout et surtout de la couleur politique. En revanche, l'abdication du roi et les réactions de la gauche furent effectivement vécue, non sans raison (cfr résultat de la consultation populaire), part les Flamands comme un crime de lèse-démocratie et en effet, contribua a creuser un fossée entre les deux "communautés" linguistiques.

-Une capitulation est un acte purement militaire. Le roi avait donc tout pouvoir de la signer et ce sans tenir compte de l'avis du gouvernement. Le passage est présenté comme un autre crime de lèse démocratie et donc partial.

-Les grèves n'ont jamais été encadrées mais lancées par la Gauche, grande nuance !

-Que vient faire ici l'assassinat de Lahaut ? Jamais il n'a été relié d'une quelconque façon à la Question royale. Il n'a donc rien à faire ici.

- Virulentes oppositions de la population wallone. Allons donc, il s'agissait de violences excercées par les opposants au roi et leurs troupes. Non de la population wallone (très partagée comme le montre les résultats par provinces)et bien de violences, évitons donc les doux euphémismes.

-Alors on parle de Flamands de Wallons, de néérlandophones ou de francophones ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 87.64.155.220 (discuter), le 19 janvier 2010 à 05:56 CET

Neutralité de point de vue[modifier le code]

Le bandeau de désaccord de neutralité a été supprimé en mai 2010 au motif que la controverse était ancienne. La lecture de l'article me laisse l'impression que ce problème (vision des événements selon le mouvement wallon, tendance renardiste et Toudi) n'a pourtant pas été fondamentalement résolu. Lykos | discuter 5 mai 2016 à 09:39 (CEST)[répondre]