Jean-Baptiste Ayissi Ntsama
| Naissance | |
|---|---|
| Décès | |
| Nationalité | |
| Activités | |
| Conjoint | |
| Enfants |
| Sport | |
|---|---|
| Distinction |
Jean-Baptiste Ayissi Ntsama, né le 25 avril 1929 à Mvolyé[1] et mort le 5 avril 2016 à Yaoundé[2], est un boxeur camerounais, qui a aussi été une personnalité politique.
Biographie[modifier | modifier le code]
Enfance et débuts[modifier | modifier le code]
Carrière sportive[modifier | modifier le code]
Champion de boxe anglaise d'Île-de-France en 1956 dans la catégorie des poids moyens[2], Jean-Baptiste Ayissi Ntsama est cité comme étant le premier médaillé d'or de boxe aux Jeux africains, lors de l'édition 1965 à Brazzaville[1] ; d'autres sources citent Joseph Bessala[3],[4].
Carrière politique[modifier | modifier le code]
Il a été président du parti politique des Démocrates authentiques du Cameroun[1].
Vie privée[modifier | modifier le code]
Jean-Baptiste Ayissi Ntsama épouse la mannequin Julienne Honorine Eyenga Fouda, Miss Cameroun 1960, avec lequel il a neuf enfants : Ayissi Le Duc (Chorégraphe), Ayissi Ntsama Frédéric alias Zimbo (Boxeur), Chantal Ayissi (Danseuse), Ayissi Eyenga Josué (Boxeur et homme d'affaires), Imane Ayissi (Chorégraphe, styliste), Ndzié Ayissi Marguerite alias Fifi (styliste), Nnomo Ayissi Geneviève alias Bijou (Mannequin), Ntsama Ayissi Abraham alias Souri (boxeur), Akassou Ayissi Juan Pedro (Danseur).
Jean Marie Didière Ayissi (demi frère de même père, professeur de danse classique à l'Opéra, chorégraphe et encadreur[5]) est aussi un de ses fils avec sa mère Simone.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Le patriarche Jean-Baptiste Ayissi Ntsama tire sa révérence », sur www.journalducameroun.com, (consulté le )
- Aurélie Godet, « Cameroun : disparition de Jean-Baptiste Ayissi Ntsama, ex-champion de boxe », sur www.jeuneafrique.com, (consulté le )
- .All-Africa Games - Brazzaville, Congo - July 18-25 1965
- Achôt Mélik-Chakhnazarov, Le sport en Afrique, Paris, Présence africaine, , 206 p., p. 197-199.
- Clarisse Juompan-Yakam, « Cameroun : les Ayissi, la danse en partage », sur www.jeuneafrique.com, (consulté le )
