Nathalie Chaix

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Nathalie Chaix
Naissance (52 ans)
Annecy
Nationalité Franco-suisse
Activité principale
Historienne de l’art, romancière
Formation
Universités de Grenoble, Avignon, Nice et Genève
Distinctions
Prix Atelier Studer/Ganz 2009
Bourse nouvel auteur Commission consultative pour la mise en valeur du livre 2007
Prix Georges-Nicole 2007
Auteur
Langue d’écriture Français

Œuvres principales

Sonates du mystère, roman, Bernard Campiche (2022)

Home, photographies Aline Kundig, Editions Slatkine (2017)

« Eda », An deiner statt – à ta place, recueil de récits, Art + politique (2012)

Grand nu orange, roman, Bernard Campiche (2012)

Liegender Akt in Blau, traduction Lydia Dimitrow, illustrations Christina Röckl, kunstanstifter verlag (2016)

Il y a toujours un rêve qui veille, roman, Bernard Campiche (2010)

Exit Adonis, roman, Bernard Campiche (2007)

Nathalie Chaix est une historienne de l'art et romancière, née le à Annecy.

Elle dirige le Musée Jenisch Vevey en Suisse depuis 2019.

Biographie[modifier | modifier le code]

Nathalie Chaix naît le à Annecy, en Haute-Savoie[1].

Elle grandit avec sa mère et son frère à Viuz-en-Sallaz après le divorce de ses parents lorsqu'elle est âgée de 3 ans[1].

Elle obtient un master en communication de l'université d'Avignon en 1994, suivi par une formation en gestion de projets culturels à l'université de Nice en 1995. Elle entreprend ensuite une formation en histoire de l’art à l’Université de Genève, obtenant un master en 2000[1].

Elle travaille durant 17 ans au Département de la culture de la Ville de Genève où elle occupe différents postes : collaboratrice scientifique aux Musées d’art et d’histoire de 1995 à 2000, cheffe du Service de la promotion culturelle de 2000 à 2007, directrice adjointe des Musées d’art et d’histoire de 2008 à 2010[réf. nécessaire] (elle conduit notamment la célébration du centenaire du Musée d’art et d’histoire[1]) et directrice de la Maison Tavel[2].

En 2012, elle rejoint la Ville de Carouge en tant que cheffe du Service des affaires culturelles et de la communication avant de diriger le Musée de Carouge[3].

Le , elle devient directrice du Musée Jenisch Vevey, le deuxième musée d’art du canton de Vaud[4],[2].

Son entrée en littérature a lieu en 2007 grâce à l’obtention du Prix Georges Nicole pour son roman Exit Adonis[2]. En 2012, elle publie Grand nu orange, librement inspiré de la vie du peintre Nicolas de Stäel. Son dernier roman, Sonates du mystère, sort en 2022.

Elle est mariée au violoncelliste François Grin et mère d'un enfant[2].

Publications[modifier | modifier le code]

Littérature[modifier | modifier le code]

  • Sonates du mystère, roman, Bernard Campiche, 2022
  • Home, photographies Aline Kundig, Editions Slatkine, 2017
  • « Eda », An deiner statt – à ta place, recueil de récits, Art + politique, 2012
  • Grand nu orange, roman, Bernard Campiche, 2012[5] - 20e Sélection Prix Lettres Frontière 2013
  • Traduction Liegender Akt in Blau, traduction Lydia Dimitrow, illustrations Christina Röckl, kunstanstifter verlag, 2016
  • Il y a toujours un rêve qui veille, roman, Bernard Campiche, 2010[6]
  • Exit Adonis, roman, Bernard Campiche, 2007 - Prix Georges-Nicole, sélectionné pour le prix Senghor de la création littéraire - premier roman 2008

Prix et bourse[modifier | modifier le code]

Publications dans le domaine de l’art[modifier | modifier le code]

Expositions[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Karim Di Matteo, « La rêveuse qui dévore la culture comme les Haribo » Accès payant, sur 24 heures, (consulté le )
  2. a b c et d Alexandre Demidoff, « Nathalie Chaix, chasseuse de beautés à Vevey », Le Temps,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. Etienne Dumont, « Nathalie Chaix quitte la Maison Tavel pour gérer la culture carougeoise », La Tribune de Genève,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le )
  4. Karim Di Matteo, « « Le Musée Jenisch n’est pas assez connu » », La Tribune de Genève,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  5. E. Sr., « Le dernier amour de Nicolas de Staël », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  6. Lisbeth Kouthoumoff, « Une exploration du manque », Le Temps,‎

Liens externes[modifier | modifier le code]