Nature morte (Honegger)

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Nature morte
H. 11
Image illustrative de l’article Nature morte (Honegger)
Une évocation d'une Nature morte en peinture, par Georges-Émile Lebacq, 1918.

Genre Musique vocale
Musique Arthur Honegger
Sources littéraires Poème de Fritz Vanderpyl
Effectif Voix, piano
Durée approximative 2 minutes
Dates de composition 1917

Nature morte (H. 11) d'Arthur Honegger est une œuvre vocale composée en 1917 sur une poésie de Fritz Vanderpyl, éditée par Salabert.

Genèse[modifier | modifier le code]

Alors que le Conservatoire retient l'attention du compositeur en ce début d'année 1917. Le jour de l'An voit l'achèvement du Prélude pour Aglavaine et Sélysette et en avril, il achève la Rhapsodie pour deux flûtes, clarinette et piano. Il compose également des mélodies, L’Adieu en janvier et Saltimbanques en mars, toutes deux faisant partie des Six Poèmes tirées d’Alcools de Guillaume Apollinaire. En , il compose Nature morte qui sera publiée dans le numéro 2 de la revue L’Arbitraire en [H 1] avec la mention « musique de Honniger »[H 2].

Analyse et structure[modifier | modifier le code]

Sa durée d'exécution est d'environ 2 minutes. La mélodie évoque une table garnie de fruits et d'une unique fleur[H 2].

Partitions[modifier | modifier le code]

  • « Honegger » (partitions libres de droits), sur le site de l'IMSLP

Discographie[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Sources et références[modifier | modifier le code]

  • Harry Halbreich, Arthur Honegger, op. cit. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  1. p. 47
  2. a et b p. 352

Autres références[modifier | modifier le code]